Chapitre : Vestiaire

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Laura arrive aux vestiaires. Salle est vide. La jeune fille referme la porte avant d'aller ouvrir son casier. Elle pose sa serviette sur le banc et sort son débardeur et sa mini-jupe. Elle commence à enfiler le débardeur mais le laisse au-dessus de ses seins pour d'abord mettre la mini-jupe. Au moment, où elle achève d'enfiler celle-ci, la porte s'ouvre brusquement et un gars en vêtement de travail surgit en disant :
- C'est bon, les filles, la porte des douches des femmes est réparée !
Il s'arrête net alors que son regard tombe sur la splendide poitrine de Laura, encore dénudée.



Laura, aussi surprise que lui, met quelques secondes à réagir. Elle rabaisse vivement son débardeur sur ses seins et répond :
- Merci, c'est gentil, mais je suis allée me doucher du côté des hommes.
- Oh, toutes mes excuses mademoiselle ! Je ne pensais pas que vous...
- Il n'y a pas de mal.



- Il y avait une dame brune qui attendait tout à l'heure et qui hésitait à aller se doucher avec son mari. Je lui ai dit de patienter mais il semble qu'elle est finalement partie... Si j'avais su qu'il y avait quelqu'un d'autres, je ne me serais jamais permis d'entrer ainsi...
- Ne vous inquiétez pas, ça ne me dérange pas.
- J'ai quand même un peu vu vos seins...
- Je sais et je vous dis que ça ne me dérange pas. D'ailleurs, si vous désirez les revoir, je vous y autorise.
Laura est d'humeur coquine et le gars n'en revient pas d'une telle offre. Il s'approche d'elle et commence à soulever le débardeur.



Laissant celui-ci au-dessus de la poitrine pleine de la jeune fille, il fait un pas en arrière pour admirer la jolie coquine qui accepte de s'exhiber. Laura demande :
- Mes seins vous plaisent ?
- Enormément...
- Vous voudriez les caresser ?



Le gars reste bouche bée.
- Pardon ?
- Si vous voulez, je vous laisse les caresser.
- Que je vous caresse les seins ?
- Oui, j'aime bien me faire caresser la poitrine...
Le gars s'approche en tremblant. Laura le fait s'asseoir sur le banc et se tient face à lui. Il ne faut pas longtemps pour qu'il tende les mains et qu'il pelote la jeune fille.



Il exulte :
- Ah ! C'est incroyable ! Ils sont parfaits ! J'avais jamais vu d'aussi beaux nénés.
- Heureuse que ça vous plaise !
Laura se recule et lui dit gentiment :
- Maintenant, il va falloir que j'y aille...



Le gars semble triste :
- Dommage, j'aurais pu vous proposer autre chose d'intéressant...
- Dites toujours ?
- Je suis certain que ça vous aurait excitée de me branler la queue entre vos nichons.
Bien que Laura trouve cette proposition particulièrement vulgaire, elle sent qu'elle commence à mouiller.

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