Chapitre : Poste de surveillance

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Laura n'est pas très à l'aise à aller au poste de surveillance de baignade ainsi habillée. Son débardeur, trop court, révèle le bas de ses fesses et également son entrejambe nu. Quand elle passe à côté de familles, elle tire autant que possible sur le bas du débardeur pour couvrir son intimité, mais elle dégage ainsi plus largement son décolleté et dévoile ses mamelons tendus d'excitation. Alors qu'elle approche du poste, elle sent des mains qui s'accrochent à sa taille :
- Où vas-tu comme ça, ma belle ?



Laura se retourne vivement :
- Qu'est-ce que vous voulez ?
L'homme la regarde de haut en bas, attardant son regard sur le décolleté largement ouvert et sur les cuisses dénudées très haut.
- Vous avez l'air d'avoir besoin d'aide, alors je me propose...
- Je me suis fait piquer ma jupe...
- Et votre culotte apparemment...
Comme la jeune fille tire encore sur le débardeur pour couvrir son sexe, le gars en profite pour tirer le décolleté et dégager la poitrine nue :
- ... et votre soutif !



- Hey !
Laura rajuste son décolleté et gronde le goujat :
- Vous vous croyez où ?
- Une jolie fille qui se balade juste en débardeur, ce n'est pas pour aller à la messe...
- Quelqu'un a amené mes fringues au poste en pensant qu'elles avaient été perdues. Je viens les récupérer, c'est tout.



- Ne te méprends pas, je ne veux pas abuser de toi. C'est juste étonnant et rare de voir une fille dans cette tenue...
L'homme se pousse et la laisse passer. Après avoir quelques mètres, Laura tourne la tête et demande :
- Par hasard, vous n'auriez pas un pantalon ou un short à me prêter le temps que je récupère ma jupe ?



L'homme sourit et la rejoint :
- Non, ce serait dommage de cacher d'aussi jolies fesses.
Laura déçue, s'apprête à repartir mais l'homme attrape les bretelles du débardeur et les tire vers le bas pour dégager les seins.



- Ah ! Mes foutez-moi la paix, bon sang !
La jeune fille n'a pas le temps de réagir et, comme il maintient le décolleté, elle est obligée de s'accroupir pour l'obliger à lâcher prise. Elle se retrouve alors seins nus avec les cuisses écartées, exhibant sa moule.



L'homme rigole :
- Oh, je n'en demandais pas tant !
- Imbécile.
Laura se rajuste autant que possible et repart, énervée. Le type l'appelle à nouveau :
- Attendez ! Vous avez perdu ça !
Avant qu'elle n'ait le temps de voir ce qu'il tenait en main, le gars lance l'objet à ses pieds.

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