Voici le récit d'une très bonne amie:

Récit original (2009) : [http://blog.scene-porno.com/2009/11/11/bustier-ami-pompiers/]

J'ai passé ma journée de samedi habillée avec seulement un bustier très sexy que je me suis payée la semaine dernière.

J'ai eu cette idée un peu folle pendant que je prenais ma douche. Alors que je me rinçais en me demandant ce que j'allais porter, j'ai eu comme un flash dans lequel je me suis vue habillée avec mon nouveau bustier. J'ai trouvé l'idée très érotique et surtout super excitante. J'ai alors pris la décision de ne porter que ça toute la journée ... histoire de pimenter ma journée qui s'annonçait jusque là bien ordinaire.

A la grande surprise de mon copain, qui attendait que je libère la place, je suis sortie toute nue de ma salle d'eau. Il m'a attrapé par la taille pour me prendre dans ses bras et me faire des petits bisous d'abord dans le cou puis sur la bouche. J'ai démarré au quart de tour, tu me connais, et je lui ai roulé un patin mémorable ...



j'ai alors commencé à sentir son sexe devenir tout dur ... j'ai continué de le tenter en allant lui murmurer à l'oreille que j'avais très envie de lui.

Il m'a alors plaqué contre le mur, et d'un petit coup de pieds il m'a écarté les jambes. Pendant ce temps là, il continuait de m'embrasser dans le cou et le haut du dos tout en sortant son sexe en érection de son pyjama. Dès que je me suis rendue compte que sa bite était libérée, je l'ai attrapée pour me la mettre directement dans mon vagin tout mouillé. Plaquée face contre le mur, il m'a baisée.



Après quelques minutes d'un assaut soutenu, j'ai refait un rapide séjour dans la salle d'eau avant de lui laisser définitivement la place.

Pendant qu'il se lavait, j'ai donc enfilé mon beau bustier.



Je me suis sentie terriblement belle avec, c'est presque impossible à expliquer ... je n'avais donc absolument aucune raison de me cacher des autres.



J'en ai profité pour aller faire mon lit. J'ai attrapé mon drap housse, et je suis allée à la fenêtre le secouer dehors avant d'aller le remettre sur mon lit.



En le bordant, je prenais bien soin de me pencher en avant pour exposer mon joli petit cul devant ma porte-fenêtre grande ouverte.



Avec tous les étudiants qui habitent dans le bâtiment d'en face, il devait bien en avoir un ou deux dans leur minuscule petit studio qui devaient regarder à l'extérieur à ce moment là, surtout qu'avec toutes les cochonneries que je fais chez moi, je dois avoir une sacrée réputation.



Ensuite j'ai attrapé ma couette, et comme pour le drap, je l'ai secoué sur ma terrasse. Comme elle est un peu lourde, j'ai passé une bonne minute dehors à moitié toute nue a l'agiter tout en cherchant des gens qui se cachaient derrière leurs fenêtres - Il m'a semblé en voir au moins deux - puis je suis allée la reposer sur mon lit. Pour finir, j'ai attrapé mon traversin, et rebelote je suis ressortie, je l'ai tapoté en me tournant afin que mes admirateurs puissent mieux admirer mes jolies formes et je suis rentrée...



Au moment ou j'enjambais ma porte fenêtre, je suis tombée nez à nez avec mon copain qui sortait de sa douche et qui venait de me voir m'exhiber dehors !

- Tu es folle ! Que fais tu dehors toute nue ?
- Je fais mon lit !
- Mais pas toute nue quand même ! Les gens vont te voir
- C'est peut-être ce que je cherche ? Qui sait

La fenêtre était toujours ouverte, et je sentais mon copain qui s'énervait. Rien de mieux qu'une petite pipe pour le détendre, n'es-ce pas ? D'un geste rapide, j'ai arraché la serviette de bain qu'il avait noué autour de sa taille. Il a bien essayé de la rattraper, mais j'ai été trop rapide en plus je l'ai lancé sur la terrasse histoire qu'il ne puisse pas la récupérer. J'ai donc profité du laps de temps pendant lequel il a cherché à l'intercepter, pour me jeter sur sa bite toute molle et toute froide. Malgré sa volonté de se cacher, il est resté là où il était, il faut dire que ma bouche experte a le pouvoir extraordinaire de plaire aux hommes.



J'aurai bien aimé être de profil par rapport à la fenêtre, mais j'ai réalisé que ce n'était pas plus mal que je sois à genoux et de dos à mes voisins alors que mon copain se tenait debout devant moi. C'était moins visuel mais beaucoup plus subjectif de mon point de vue en tout cas. Par contre, mon acharnement à m'occuper de la bite de mon ami était bien réel, et parfaitement explicite pour ceux qui nous regardaient depuis l'autre bâtiment.



Une fois que mon copain a eu fini sa petite affaire, en grosse cochonne que je suis, je suis retournée sur ma terrasse toute contente de moi pour aller chercher la serviette que mon ami ne pouvait (voulait) pas aller chercher



J'avoue qu'après avoir passé tout ce temps dehors, j'ai eu un peu froid surtout aux jambes j'ai enfilé une jolie paire de bas. Il n'y a pas à dire, cela fait plus habillé.



Le reste de la matinée a été plus calme : j'ai fait un peu de repassage, la cuisine et deux ou trois autres taches ménagères dans ma jolie petite tenue. Bien évidemment, mon copain est venu tenter sa chance à plusieurs reprises, mais comme je n'avais pas trop apprécié sa réaction après la pipe goulue que je lui ai taillée dans ma chambre, je me suis refusée à lui, ce n'était pourtant pas l'envie qui manquait. D'un autre côté, je trouvais également très jouissif l'idée de l'exciter pour l'envoyer promener au moment de passer à l'acte

Pour le déjeuner, j'ai rajouté un petit élément à ma tenue : le tablier...



... toujours dans l'optique de l'allumer en lui laissant croire que ... et de lui dire « pas touche » au moment ou il commençait à laisser traîner ses doigts sur mon corps. Il a fini le repas si énervé, qu'il est parti super tôt à son entraînement de foot en me disant à peine au revoir ! Ce petit jeu m'avait beaucoup amusé et surtout excité, la soirée allait être chaude ... à la condition qu'il revienne chez moi.

Après son départ, j'ai fait la vaisselle et ensuite je suis allée traînée sur le net en allant visiter des sites amis. Bref, je ne faisais pas attention à l'heure tellement les discutions auxquelles je participais m'amusaient.

Et puis, quelqu'un à sonner à la porte. J'ai regardé rapidement l'heure sur le portable, et j'ai pensé que mon ami rentrait. Je savais que j'avais été méchante avec lui, et je voulais me rattraper. J'ai couru lui ouvrir la porte et...

- Bonjour, mademoiselle, c'est les pompiers pour....

Et il s'est arrêté net en me dévisageant de la tête aux pieds. Son collègue qui sonnait chez ma voisine s'est alors retournée. Même si je n'étais pas vraiment gênée, la situation était un peu spéciale. Je leur ai fait un sourire charmeur, histoire de faire quelque chose.

- Ils ne sont pas chez eux. Ils sont en lune de miel ... Voulez-vous entrer cinq minutes ?

Ils se sont regardés pour finalement accepter ma proposition.

- Voulez-vous un café ?
- Avec plaisir

Je les ai invité à aller s'asseoir dans le salon pendant que j'allais dans ma cuisine leur préparer deux tasses. Je sentais leurs regards sur mes fesses. Quelques instant plus tard, je revenais vers eux avec les deux cafés tout en les regardant intensément. J'ai posé la première tasse, et je me suis retournée vers le second pour en faire de même.

- Vous permettez que je m'asseye sur vos cuisses ?

Celui qui était devant moi a failli s'étouffer, et sans attendre la réponse je me suis installée confortablement sur son collègue.

- Vous savez j'adore les hommes musclés, tout en tâtonnant tout ce que je pouvais toucher.

Il a mis le temps, mais sa main s'est mise à explorer tout d'abord mes cuisses avant de remonter vers mes seins.



Son collègue s'est alors levé de la chaise pour venir à son tour me caresser.

- Continuez comme ça, c'est très bien.



J'en profitais pour me doigter pendant qu'ils m'embrassaient et qu'ils me tripotaient la poitrine. Je ne sais pas trop si c'est le fait d'être touchée par quatre mains, ou d'être avec deux beaux pompiers ou encore les deux à la fois, mais mon plaisir est monté à une vitesse fulgurante et j'ai jouis très rapidement. Les deux gars étaient tout excités en me voyant avoir un orgasme.

- Baissez-moi vos pantalons les garçons.

Je me suis mises entre eux deux, et j'ai commencé à les sucer alternativement.



Vous n'imaginez pas comment c'est bon une queue d'un jeune pompier. C'est dommage qu'ils n'avaient pas leur casque sur la tête, je pense qu'elles auraient été encore meilleures.



- Cela vous dit de me bourrer la chatte ? Elle est très accueillante vous verrez.
- Pas de problème, Madame.
- Restez là, je vais chercher des capotes.

Je n'ai trouvé qu'une boite dans le tiroir de ma table de chevet. Je l'ai prise pour la donner à mes deux jeunes pompiers afin qu'ils se couvrent le plus vite possible.

Nous avons commencé classiquement : Moi, debout mais penchée en avant à sucer l'un pendant que l'autre derrière moi me défonçait la chatte.



Ensuite on a changé les rôles : celui que je pompais est passé derrière moi pendant que l'autre me donnait sa bite à sucer ... J'ai alterné les plaisirs plusieurs fois, jusqu'à ce que l'un d'eux, n'en pouvant plus, éjacule dans la capote. Je me suis mise à lui lécher la verge et les couilles jusqu'à ce que son copain balance la purée à son tour.



J'étais déçue, car malgré l'endurance dont ils faisaient preuve et mon excitation, je n'avais pas eu de second orgasme.

- Messieurs, je ne vous lâcherai pas tant que vous ne m'aurez pas fait jouir !
- Et tout à l'heure ?
- Ca ne compte pas ! Tiens, toi, mets une autre capote et allonges-toi sur le sol, en désignant celui qui avait éjaculé le premier.

Je me suis couchée sur lui.

- Ton copain viendra nous rejoindre quand il sera en forme. J'ai mon trou du cul qui se sent bien seul.

Je n'ai pas attendu bien longtemps que mon jeune pompier rebande bien dur, par contre soit il n'avait jamais enculé de fille de sa vie, soit il n'avait jamais pratiqué de double pénétration car il a mis un petit moment avant d'arriver à me sodomiser.

Par contre une fois les deux bites de pompiers en moi, ce fut vraiment très, très bon, surtout que vu leur jeune age, ils étaient assez énergiques et vigoureux. Comme on dit, j'en ai pris plein le cul.



D'ailleurs, je fus la première à jouir, ce qui a déclenché l'orgasme du pompier sur lequel j'étais empalée et de son copain quelques instants après.



Après quelques secondes de récupération, j'ai relevé machinalement la tête et je me suis aperçue que nous venions de baiser juste devant la fenêtre de mon salon. J'ai été prise d'une crise de rire que mes deux jeunes pompiers n'ont pas comprise.

- Vous avez été très bien les gars, je vais vous prendre un calendrier, mais maintenant il faut que vous partiez, mon copain risque de rentrer d'un instant à l'autre.

Au moment où les portes de l'ascenseur se sont fermées je leur ai proposé de repasser d'ici un mois :

- Vous savez, ma voisine fantasme aussi sur les beaux pompiers

Mon ami est rentré une bonne heure plus tard. Il avait réfléchi et il voulait s'excuser de son comportement du matin, et pour se faire pardonner, il m'a même attrapé pour me mettre dans mon lit et me faire un super cunni la lumière allumée alors qu'il commençait à faire nuit dehors.







Les filles expliquez-moi le mythe des pompiers......