La fellation miraculeuse (suite 1-du Nouveau Monde)
Je quittai mes amis en les embrassant sur la bouche. Il était tard et nos corps sentaient le sexe.
J'étais troublé par la fellation de Georges.
La semaine s'écoula et l'idée de poursuivre la découverte de la bisexualité me titillait. Je me branlais en pensant à Aline, mais, plus curieusement, je me mettais à bander dans les circonstances les plus inattendues en pensant à ce que Georges m'avait fait : dans une réunion ennuyeuse ou dans un magasin.

Je ne comprenais pas. Toute femme avec des gros seins, des belles jambes, un peu âgée avec ces grosses poitrines dans un t-shirt moulant,

des laides avec un beau cul ou une jupe trop courte attirait mon regard ou me faisait tourner la tête et me donnait une secousse au niveau de la bite. En dépit de cela, dès que je pensais à la fellation de Georges, je triquais. Quel était ce mystère? Etre bi, voulait en définitive dire profiter de toutes les occasions. Je devais en avoir le coeur net.
Au bout de quelques jours, je n'y tenais plus et proposai à Georges de nous retrouver comme d'habitude, le samedi.
Aline n'était pas chez lui. J'appris plus tard qu'elle souhaitait que nous soyons seuls.
Je le vis, il était habillé de manière classique. Ma queue se dressa instantanément. Je ne l'embrassais plus sur les joues comme depuis tant d'année, mais clos les yeux et l'embrassai sur les lèvres.
Nous nous déshabillâmes dans les souffles brefs, et cherchions avidement la bouche de l'autre. Nous étions nus et en érection. Il me prit pas la main et m'entraina dans la salle de bain. De grand miroirs renvoyaient l'image de nos corps. Nous prîmes une douche ensemble, chacun savonnant l'autre dans ses recoins les plus intimes.
Nous nous séchâmes et entrâmes dans la chambre. Je pris doucement son sexe en main. Je sentais l'engin tressaillir. Curieux de toucher une autre bite que la sienne pour la première fois. Sa pine se durcissait, comme la mienne. Elle était belle, bien droite, avec un gland bien dégagé. Il n'avait pas de poils sur les couilles, ni d'ailleurs sur le corps. Je passais l'autre main sur sa poitrine glabre, sur laquelle je sentais le picotement des poils rasés de près. Ma bouche se pressa sur ses tétons. Je le regardais et il souriait de me voir si ému, lui qui n'ignorait pas mon attraction maladive pour les femmes structurellement 10 ans plus âgées que moi, avec des gros seins et des colliers en or. Ma bouche parcourut délicatement son ventre musclé et descendit le long de son corps. Je vis que de son gland suintant une goutte. Je m'agenouillai devant lui et, d'un geste naturel aspirai son sexe. Puis, je le libérai et le léchai depuis les couilles pendues jusqu'au gland. Je lui fis une pipe virevoltant de la langue, des doigts. Nous nous regardions parfois pendant cet office. Puis son souffle se fit plus court. Il tressaillit, sa queue se raidit et les jets de semence coulèrent dans ma bouche.
J'hésitai une seconde puis, fermant mes lèvres sur cette colonne, je gardai sa liqueur jusq'u'à la dernière goutte. Sans hésiter, j'avalai le liquide poisseux.
Je ressenti la même émotion que le jour où j'ai éjaculé pour la première fois en me masturbant et découvrant cette matière visqueuse et à l'odeur si pénétrante.
Je demandai à Georges ce qu'il en pensait. Il me caressa la tête.
J'étais excité et il me dit: « encule-moi ». Il me présenta son cul et, s'étant enduit du lubrifiant, il pressa mon gland sur son anus. Je poussai et mon gland disparu. L'impression était agréable et je me mis à le baiser. Il en redemandai, puis ce fut à mon tour de jouir. Il m'essuya le sexe et me remercia du plaisir procuré.
Nous reprîmes une douche et, épuisés nous nous couchâmes. Nous nous embrassions et nos jambes se mêlaient. Petit à petit nos bites se tendirent. Nos poitrines se gonflaient et nos sexes dardaient dans un duel magnifique. Je le pris en bouche et puis, voulant achever ma découverte,

je lui demandait de me dépuceler. Je me mis à quatre pattes, lui présentant l'orifice si mystérieux. Il me lécha puis glissa son doigt dans mon cul. Il commençait des mouvements précis. J'y trouvais du bien être. Tant dans le plaisir physique que dans la rupture d'un interdit. Il prit ensuite un gode, relativement petit « pour te préparer » disait-il. L'anus avait été lubrifié et ce gode me faisait du bien. Puis, enfin je le sentis, lui. Je poussai mon cul en arrière et sentit sa bite en moi. Il me caressait le cul et me bourrait lentement. Parfois il ressortait son gland qu'il faisait entrer immédiatement après. Quel délice d'être désiré ainsi. Soudain tout s'accéléra et il m'attira vers lui pour se vider dans les derniers spasmes.

Je n'avais rien ressenti de mal à cette aventure différente. Et je décidai qu'il était dommage de me priver de ces plaisirs. Je m'endormis auprès de Georges, révant de partouze bi avec des hommes glabres et des femmes plantureuses en lingerie.

J'avais en tête une petite surprise pour une amie...

Cette aventure m'avait donné envie de refaire du sport et de me faire raser.

