Vacances Corse 8

Le viol

Je roulais dans Ajaccio en rentrant des sanguinaires quand un jeune salopard en scooter me coupe la route.

Je le klaxonne pour marquer mon mécontentement et il me répond par un doigt :
« Vas te faire enculée salope ! »
Vu la réaction de cette racaille, je file doux et rentre à la marine.
Dés en arrivant je me mets nue et file sous la douche.



Totalement détendu, je m'adore en me savonnant à des caresses bien appuyées qui me font gémir de plaisir.

Je n'avais pas fermé la porte de ma marine et bien mal m'en avait pris.
Le cailra m'avait suivi et était en train de m'observer sous la douche.
Quand je le vis, je poussais un cri en tentant de cacher mon intimité :
« Salopard casse toi ou je hurle »

Il se mit à rigoler :
« Tu peux toujours hurler salope personne ne t'entendra ici. Te gênes pas pour moi la pinsoute ! Continue à te branler »
Comme je ne bougeais pas terrorisée, Il défit sa ceinture et m'en assenât un grand coup sur les cuisses qui me fît hurler de douleur.

« Allez salope branles toi ! »
Et vlan un deuxième coup tombait sur mes épaules.



« Aiiiiie non arrêtez, ne me faite pas de mal »
Vlan ! Un troisième sur les seins.


Sous les coups je pleurais et me mis à me caresser devant mon tortionnaire en espérant ne plus recevoir de coup.
Mais c'était sans compter que se tordu prenait un malin plaisir à me faire mal.
« Oui comme çà putain de blondasse, je vais te rougir la peau à coup de ceinture chiennasse »
« Tu fais moins la fière putasse »
Il s'approchât de moi, sortir sa queue raide et me prenant par les cheveux, il me mit à genoux et forçât ma bouche.
Il s'enfonçât à fond me secouait la tête en me baisant la bouche.

Je pleurais et avais envie de vomir.
Tout en me baisant la bouche, il continuait à m'insulter.



« Tu dois avoir le trou du cul serré putain ! Je vais te l'élargir »
Il me retournât et sans précaution m'enculât me faisant hurler de douleur :
« Nooooooooooon haaaaaaaaaaaaaa pas çààààà noooooooooon pitié arrêtez »

Rien n'y fit et il me pilonnait brutalement.
Dans un dernier mouvement il restât bien au fond de mon cul et poussat un cri horrible se lâchant dans le profond de mes entrailles.

Il se retirat et je m'écroulais sanglotante au fond du bac de douche.

« La prochaine fois tu f'ras gaffe sur la route putain »
Avant de partir, Il me redonnât plusieurs coups de ceinture que j'essayais d'esquiver recroquevillée au fond de la douche.

Enfin il partit et je restais prostrée douloureuse, sanglotante dans la douche.
Au bout d'un certain temps je me relevais encore fébrile et me demandant si ce n'était pas un mauvais cauchemar.
En me regardant dans la glace les traces de ceinture qui sillonnaient mon corps attestaient de la réalité.

J'espérais seulement que les traces allaient rapidement s'estomper.
Je m'enduis de crème pour calmer la brulure.
Le lendemain les traces commençait à disparaitre.