Quand ce matin j'ai annoncé à Simon que j'allais réaliser un de mes gages, il était tout émoustillé :
- Lequel ? Celui avec l'esthéticienne ou celui avec les quatre types ?
- J'ai rendez-vous ce matin avec l'esthéticienne...
- Je peux t'accompagner ?
- A ce gage-là, non. Pour le second, on verra.
- Ok, je peux t'habiller ?
Simon tenait déjà en main le rosebud et les boules de geisha qu'il venait de sortir du tiroir. Avec un grand sourire, il s'approcha de moi. Je retirai ma nuisette et écartai les cuisses largement. Il s'accroupit devant moi et me doigta un peu la moule avant de commencer à y faire pénétrer les boules de geisha. Il bandait comme âne dans son caleçon et je mourrais d'envie de me jeter sur lui. Une fois cela fait, je me retournai et me penchai pour lui donner accès à mon petit trou. Le rosebud était un peu froid et ce pervers le savait, il l'appuya contre mon anus et l'enfonça doucement. Je laissai échapper un feulement de plaisir.
- Ma belle, il faut te calmer. Si tu as rendez-vous tout à l'heure, il est important que tu gardes l'esprit clair pour bien profiter de ce gage.
- Tu as raison... Je vais me ressaisir.
Mais les quelques pas vers l'armoire pour aller chercher une robe furent déjà atrocement délicieux. Simon me proposa de ne pas bouger et de choisir la robe pour moi. Une petite robe bleue hyper moulante avec une bretelle uniquement d'un seul côté. L'absence de tout sous-vêtement ne pouvait pas rester inaperçue.

J'avais choisi le salon sur les pages jaunes parmi ceux se trouvant pas trop loin de chez nous. Heureusement que je n'avais pas trop à marcher car avec ce que j'avais entre les jambes j'aurais fini par avoir de la cyprine à me couler le long des cuisses. Je n'étais jamais allée dans cet institut. C'était un homme qui était à l'accueil, probablement celui que j'avais eu au téléphone.
- Bonjour.
- Bonjour, Ah, vous êtes la demoiselle qui a demandé une épilation intégrale ?
- C'est cela...
Il me regarda avec insistance et arrêta quelques instants son regard au niveau de ma poitrine avant d'ajouter :
- Ma collègue va vous recevoir tout de suite. Vous pouvez passer dans le vestiaire juste à côté pour vous préparer. La salle de soin se trouve derrière la porte au fond du vestiaire.
- Merci.

C'était rare de voir des mecs dans ce genre d'établissement et celui-ci me dévorait des yeux au point que je me demandai un instant si je n'étais pas déjà totalement nue. Cela m'excitait un peu de voir l'effet que je faisais sur ce type. Lentement, je passai devant lui et entrai dans le vestiaire pour commencer à me déshabiller.

Je venais de dégager ma poitrine quand le type de l'accueil entrouvrit subitement la porte pour passer la tête. Je me cachai les seins maladroitement alors qu'il m'annonçait sans aucune gène :
- Mademoiselle, comme c'est la première fois que vous venez ici, nous vous offrons le massage avant l'épilation. Vous êtes d'accord ?
- Heu, oui, bien sûr...

Il resta quelques secondes à m'observer. J'attendis qu'il reparte et ferme la porte pour continuer à me déshabiller. Je me doutais bien que cette intrusion n'avait pour but que d'essayer de me voir nue. Pourquoi avais-je dissimulé ma poitrine, alors que je l'exhibe si volontiers sur la plage ou même à des inconnus. S'il revenait, il aurait le droit à la totale sans fausse pudeur. D'un autre côté, j'étais certaine que cette pudeur simulée n'était pas pour déplaire aux garçons.

Une fois nue, je constatai quand même que ma cyprine avait commencé à me couler sur les cuisses. Je commençais à être passablement excitée alors que je n'avais toujours pas rencontrer mon esthéticienne. Je poussai la porte au fond du vestiaire. Je découvris une jeune femme blonde très jolie. Elle portait un débardeur sur ses seins apparemment sans soutien-gorge et, telle qu'elle était assise, je distinguai sa petite culotte blanche sous sa jupette.
- Bonjour, je suis Nadia.
- Bonjour.
- Installez-vous.
Je m'assieds sur le bord de la table de massage. Elle se leva et m'observa quelques secondes. Dans la position où j'étais, elle ne pouvais pas se douter des objets qui me caressaient les entrailles.

Puis elle se dirigea vers une autre porte au fond et me dit :
- Veuillez m'excuser une minute, un détail à régler.
Je me retrouvais nue, seule au milieu de cette grande pièce. L'effet était étrange et très excitant. Les fantasmes s'échafaudèrent en quelques secondes dans ma tête. J'imaginais que la porte allait s'ouvrir et qu'une dizaine d'hommes allaient entrer pour s'occuper de moi dans une orgie de débauche totale. Je fus tirée de mes rêveries par la porte qui s'ouvrit soudain. C'était l'homme de l'accueil. Je cachai aussi vite que possible ma poitrine et je croisai les jambes pour dissimuler mon sexe.

- Excusez-moi. Nadia m'a demandé de changer la serviette de la table de massage.
Il tenait effectivement une serviette bien propre dans sa main. Celle qu'il voulait changer n'était ni plus ni moins celle sur laquelle j'étais assise... Je fus bien obligée de décroiser mes jambes et de lui révéler mon sexe nu pour me décaler et lui laisser l'accès à la serviette.

Il n'en perdit bien sûr pas une miette. Je distinguais une tension très nette au niveau de son entrejambe, très clairement déformée par une belle érection. Il vit mon regard sur son entrejambe et s'en amusa. Dés qu'il fut reparti, je m'allongeai sur la serviette, sur le ventre. Je serrais bien les cuisses pour que le rosebud ne se voit pas tout de suite.

Nadia revint juste après.
- Mon collègue vous a dit que nous vous offrions le massage ?
- Oui, c'est très aimable à vous !
Elle attrapa un flacon d'huile de massage et s'en mit plein les mains. Elle commença à me masser le dos et s'arrêta net en voyant le rosebud.
- Oh, il est drôlement joli votre bijou d'anus !
- Vous connaissez ?
- Bien sûr, mais je ne sors jamais avec...
Elle ne semblait donc pas aussi surprise que je l'espérais. Elle se mit à me masser les fesses, produisant un mouvement très agréable du rosebud.

Comme je feulais, elle proposa :
- Ce serait peut-être mieux de le retirer pour le massage non ?
Sans répondre, j'écartai les cuisses et lui laissai le soin de retirer le rosebud. Elle attrapa le bijou et tira lentement, sachant pertinemment le plaisir que cette extraction pouvait provoquer. Elle découvrit alors le cordon des boules de geisha.
- Pardon, mais... vous êtes dans une mauvaise semaine ?
- Oh non, pas du tout ! Ce sont des boules de geisha, vous ne connaissez pas ?
- Merde, excusez-moi, si si, je connais. J'ai juste cru que...
- C'est vrai que ça peut porter à confusion. Vous préférez que je les retire aussi pour le massage ?
- Je vais le faire, ne vous inquiétez pas...

Lentement encore, elle tira sur le cordon pour extraire les boules. Elle commenta :
- Vous avez du tempérament pour sortir avec tout ça entre les jambes ! Vous deviez être sacrément excitée rien qu'à marcher, non ?
- Oui...
Moi qui voulait surprendre mon esthéticienne, c'est finalement l'inverse qui se produisait. Elle se pencha entre mes cuisses et passa un doigt sur ma moule.
- Vous êtes drôlement excitée, ça ne fait aucun doute... Si ce n'est pas indiscret, je peux vous demander ce que vous trouvez le plus agréable entre le rosebud et les boules ?
- Mmmh, je crois que c'est le rosebud...
- Je comprends.
Elle commença à me doigter l'anus.

Je ne pense pas que ça faisait parti de la prestation mais je n'avais pas du tout envie qu'elle s'arrête maintenant. Elle s'arrêta pourtant au bout d'une petite minute et alla ouvrir un tiroir. Elle en sortit fièrement un petit godemichet. Elle commença par me l'enfiler dans ma moule dégoulinante avant de le faire doucement pénétrer dans mon anus.

La coquine savait y faire. Je lui caressais les jambes et remontai ma main sous sa jupe. J'y découvris une fontaine. Et, surprise ! son sexe nu : elle s'était donc absentée pour retirer sa culotte ? Elle me laissa lui doigter la moule bien que ma position ne me permette pas vraiment de la caresser correctement.

Puis elle sortit le rosebud et se pencha sur moi pour me lécher l'anus. Sa langue dansait délicieusement contre mon petit trou et je sentis qu'elle était bien capable de m'arracher un orgasme de cette manière. Je me cambrais un peu pour lui faciliter les choses.

Elle m'attrapa aux hanches et me fit remonter les reins encore plus haut pour pouvoir me sucer la moule. Là, je crus défaillir. Aucun homme ne sait faire des cunnilingus aussi bien qu'une femme, et celle-ci était particulièrement douée.

Elle se mit à me branler avec deux doigts et à me sucer le clitoris. Dans la grande pièce on n'entendait plus que mes feulements, les bruits de sucions de sa bouche sur ma moule et les bruits de ventouse que faisaient ses doigts en entrant et sortant de mes muqueuses.

J'étais au bord de l'orgasme et elle dut le sentir car arrêta de me branler la chatte pour se mettre à me branler l'anus, tout en continuant à me sucer la moule. L'orgasme fut si violent que je roulais sur la table pour essayer de me dégager de ces diaboliques caresses.

Quand elle me laissa enfin, je pus reprendre mon souffle et me redresser. Je constatai qu'elle en avait profité pour retirer son débardeur et sa jupette. La séance de massage n'était donc semble-t-il pas encore terminée. Nous nous embrassames à pleine bouche.

Sa langue cherchait la mienne et son baiser était plus sauvage que celui de la plupart des garçons. Quand elle m'abandonna pour reprendre son souffle, j'en profitai pour lui sucer un mamelon. Je reprenais enfin les choses en main, après m'être fait dominée par cette petite coquine. Elle semblait très apprécier la présence de ma bouche sur ses seins. C'était maintenant à moi de la faire jouir.

Je la fis s'asseoir sur la table et je m'emparai du godemichet pour commencer à la branler. Elle ouvrit bien volontiers les cuisses le plus largement possible pour me faciliter la manœuvre, mais elle mouillait tant que j'aurais sans doute pu lui enfourner l'objet même si elle avait gardé les cuisses serrées.

Je voyais sa mouille s'échapper à chaque fois que je ressortais le godemichet et j'entrepris d'abandonner l'objet phallique au profit d'un petit cunnilingus, histoire de lui montrer que je me débrouillais moi aussi très bien. Elle comprit aussitôt la suite du programme en me voyant prendre position entre ses cuisses.

La porte claqua derrière moi, je voulus me retourner pour voir mais elle me maintint fermement la tête contre son entrejambe pour que je ne m'arrête pas de la sucer. "Un courant d'air..." me donna-t-elle comme explication. Prise dans le feu de l'action, je n'y prêtais pas attention et continuais. Je lui mis deux doigts dans la chatte et lui suçai le clitoris. Elle se mit rapidement à gémir.

A un moment, je crus sentir un doigt me pénétrer l'anus. Trop occupée à branler mon esthéticienne, je n'y prêtai pas attention en me disant que mon petit trou avait été rendu trop sensible par le rosebud. Je continuais donc mon léchage de moule sans me laisser perturber.

Je devais effectivement n'être pas mauvais en cunnilingus car ses gémissements devinrent rapidement des cris de jouissance. Son corps s'arqua sous la violence du plaisir. J'espérais que ses cris n'allaient pas attirer son collègue voyeur.

Je restais à quatre pattes à lui sucer la moule jusqu'à ce que son orgasme s'atténue et qu'elle me supplie d'arrêter.
_ Oh... Arrêtez s'il vous plaît. C'était délicieux. Il ne faudra pas hésiter à revenir nous voir.
- "Nous" ?

J'étais encore sous l'étonnement de cette formulation que je sentis un liquide chaud couler entre mes fesses. Ses mains sur mes épaules, Nadia m'empêchait de tourner la tête pour comprendre ce qu'il se passait.

Mais dans le reflet d'un petit miroir sur le côté, je vis le mec de l'accueil qui se masturbait tranquillement juste derrière moi, la queue bien droite et du sperme s'échappant encore de son gland !

Moi qui venait en provocatrice, j'avais finalement été piégée par celle que je voulais piéger. Nadia me fit me redresser et m'embrassa à pleine bouche. Dans mon dos, j'entendis son collègue quitter la pièce alors que Nadia faisait tournoyer sa langue autour de la mienne dans un baiser très sensuel.

Elle se leva et attrapa des mouchoirs en papier pour m'essuyer le bas du dos :
- Désolée, nous avons un peu profité de vous...
- C'était un plaisir !
- Nous allons pouvoir passer à l'épilation maintenant.
Je vis l'heure sur la pendule au mur.
- Je vais devoir filer, j'ai un autre rendez-vous... Je peux revenir un autre jour pour l'épilation ?
- Aucun problème !
Et pour que ce soit parfaitement clair, elle se jeta sur moi et m'embrassa à nouveau à pleine bouche.

Elle me proposa de me remettre elle-même le rosebud et les boules de geisha, ce que je ne pus pas refuser. Nous nous rhabillâmes toutes les deux et je la laissai pour aller au rendez-vous avec mon banquier qui voulait me voir pour un problème de soi-disant découvert...