7h00. Mardi matin. Le linge est sec. J'ai à nouveau une collection de culottes propres. J'en choisie une et je la regarde dans ma main. J'hésite. Culotte ou pas culotte ? Si je la mets, il y a peu de chance pour que j'ai l'opportunité de voir les bites d'André et de Paul. C'était un peu devenu mon objectif ! Je décide donc de ne pas mettre de culotte. Je me pose alors la question du soutien-gorge... Autant ils semblaient s'amuser à regarder mes culottes et ont fait de nombreux sous-entendus hier quand ils ont vu que je n'en avais pas, autant ça a semblé les laisser muets en voyant que je n'avais pas de soutien-gorge. Dans le bus ça ne posera pas de problème puisque j'aurais ma veste. Bon, soyons aventureuse et essayons. Au pire, je récupère mon soutien-gorge dans le tiroir de Jérémy à midi et je le remets.



8h05. J'attends mon bus. Il fait froid et je sens mes tétons pointer malgré ma veste. Mais ce n'est pas là où j'ai le plus froid... Le bus arrive, je vais au fond et trouve une place assise juste au-dessus d'un radiateur. C'est un bonheur de se réchauffer un peu l'entrejambe. Je m'amuse à regarder les gens autour de moi : qui peut se douter que je ne porte aucun sous-vêtement ? Cela m'excite un peu mais j'évite de trop regarder les autres voyageurs, de peur qu'ils ne devinent à mon regard ce que j'essaye de cacher. A l'avant dernier arrêt, je me lève pour me diriger vers la porte. Le bus est plein. Je me retrouve coincée entre plusieurs types en costume. Je sens leurs cuisses contre mes fesses. J'ai peur que certains ne se rendent compte que je n'ai pas de culotte mais après tout, ce n'est pas ce simple contact qui peut leur laisser deviner. D'ailleurs, leur intérêt est ailleurs. L'un d'eux profite d'une vue plongeante dans le décolleté de mon chemisier pour découvrir mes seins libres de soutien-gorge.



Il fait un petit signe à son collègue juste à côté de moi. Le collègue en question plonge à son tour son regard. Les deux gars s'échangent des clins d'œil. J'ai peur que ça dégénère et regrette de n'avoir finalement pas mis de soutien-gorge. Heureusement, le bus arrive à mon arrêt. Les deux gars devant moi me laissent descendre. Je ne me retourne pas mais aux bruits des pas, je sais qu'ils prennent la même direction que moi. Dans le reflet d'une vitrine, j'aperçois qu'ils sont cinq. Le bâtiment où je travaille n'est par chance plus très loin. J'accélère le pas et monte la grande passerelle métallique qui permet d'accéder à l'entrée principale des bureaux. Je vois les gars poursuivre leur chemin en contrebas, soulagée qu'ils ne me suivent pas. Mais l'un d'eux s'arrête soudain et me désigne à ses collègues. Tous lèvent la tête et je prends alors conscience qu'ils sont en train de reluquer mon entrejambe nu sous ma jupe.



Je me dépêche de rentrer. La prochaine fois, si je décide de ne pas mettre de sous-vêtements, je les retirerais dans les toilettes de mon lieu de travail.

8h30. Personne dans le bureau. Les garçons doivent être à fumer dehors. Je fonce au bureau de Jérémy pour récupérer mon soutien-gorge. Mais celui-ci n'est plus dans le tiroir. J'entends des bruits de pas dans le couloir, je me dépêche de regagner mon siège. Qu'est-ce que Jérémy a fait de mon soutif ? Avant que la porte du bureau ne s'ouvre, j'ouvre rapidement mes tiroirs des fois où Jérémy aurait eu la délicatesse d'y déposer mon soutif. Rien. Les garçons entrent.
- Salut Ninon.
- Salut les gars. Vous êtes d'attaque ce matin ?
Paul, les yeux rivés à mes seins, me répond :
- Carrément oui !
Et comme hier avec André, je sens qu'à chaque seconde que ses yeux restent posés sur mes seins, mes mamelons se raidissent et tendent le tissu du chemisier.



Je reprends ma respiration quand Paul s'assied enfin. Derrière son écran, face à moi, il ne peut plus me voir. André dans l'angle à ma droite et Jérémy dans l'angle à ma gauche, eux, ne se privent pas de reluquer mon chemisier. J'allume mon ordinateur et observe les images des trois webcams pointées sur les entrejambes des garçons. Paul se caresse déjà à travers son pantalon. J'en profite pour décroiser les jambes et leur offrir à eux aussi la vue sur mon intimité.



Après dix minutes, Jérémy annonce aux deux autres :
- Les gars, vous me devez 10 euros chacun !
Les autres ronchonnent. Encore un de leur pari. Ensuite, Jérémy se lève pour m'apporter le dossier qu'il a préparé la veille. Je vois au passage que son pantalon est nettement déformé mais il ne s'en cache pas. Une crainte m'apparaît : et si Jérémy avait parlé à André et Paul de ma petite fellation de la veille ? Je chasse cette idée en me disant que je vais bien voir comment évolue la matinée. Le dossier qu'il me tend est, comme hier, sans pochette :
- Pas de pochette ?
- Eh non. Pas de pochette, me répond-il en souriant.
Une idée fulgurante me traverse alors l'esprit : pas de culotte, pas de pochette ! Et si Jérémy choisissait avant les couleurs des pochettes en fonction des couleurs de mes petites culottes ? Je réfléchis et me souviens que vendredi j'avais une parure bleue claire et le dossier de vendredi était justement dans une pochette bleue claire. Jeudi, j'avais une culotte noire et la pochette était noire aussi. Mercredi, culotte rouge et pochette rouge. Merde ! Les salauds ! Voilà donc le fameux code qui les a fait tant rire hier... Et si les paris qu'ils font portaient finalement aussi sur la couleur de ma culotte ? J'en suis désormais persuadée. Voilà donc leurs petits jeux montés depuis plusieurs mois, depuis que Paul a placé une webcam sous mon bureau pour observer mon entrejambe. Moi qui déteste les pantalons, je me demande si je ne vais pas quand même finir par en mettre, juste pour les emmerder.

Jérémy retourne à sa place et interroge André :
- Pas de réunion avec le boss aujourd'hui ?
- Pas qu'on sache... Mais si vous avez besoin de travailler en profondeur un dossier avec Ninon, ne vous gênez pas pour nous !
Paul ajoute :
- Au contraire, on peut même vous donner des conseils...
Les trois gars rigolent. Pas de doute, ce connard de Jérémy leur a raconté la fellation. J'ai un peu honte de lui avoir fait confiance. Je me ressaisis et préfère me concentrer sur mon objectif : voir aujourd'hui les bites d'André et Paul !

Pour André, ça ne me paraît pas trop compliqué. Je déboutonne deux boutons de mon chemisier. Le sillon de mes seins est visible. André le remarque bien vite. Il ne regard plus trop son écran et porte surtout son attention en direction de ma poitrine et plus particulièrement le profil d'un sein qu'il devait pouvoir voir d'où il se trouvait.



A l'écran, je vois qu'il bande et se caresse à travers son pantalon. Je pose ma boîte de trombones sur le bord de mon bureau, du côté d'André. Un petit geste maladroit et zut ! Tous les trombones sont renversés par terre entre mon bureau et celui d'André. Contrairement à hier, André se montre un véritable gentleman :
- Ne bouge pas Ninon, je vais te ramasser tout ça.
Je tourne ma chaise vers lui et écarte les cuisses. A genoux pour ramasser les trombones, dès qu'il relève la tête, il ne peut pas manquer le spectacle de mon sexe nu.



Il me regarde, stupéfait. Je lui souris et fait tourner un peu ma chaise de gauche à droite pour lui permettre de varier les angles de vue. Il en reste bouche-bée. Jérémy, qui devine sans doute mon manège, lui demande :
- Tu veux de l'aide André ?
- T'inquiète, je gère.
Bien qu'il soit à genoux, je vois la bosse de son pantalon prendre des proportions extraordinaires. Il termine laborieusement de ramasser les derniers trombones et pose la boîte sur mon bureau.
- Merci.
- Y'a pas de quoi, tout le plaisir est pour moi.
Il regagne son bureau et s'avance bien sous le plateau pour que personne ne puisse voir son entrejambe. A mon écran, je le vois déboutonner sa braguette de pantalon et sortir sa virilité. Il a un sexe pas très long mais très épais.



De voir son érection à l'écran me fait instantanément mouiller et j'écarte largement les cuisses pour tenter de me rafraîchir.



André se branle lentement en regardant tantôt son écran (donc probablement ma moule), tantôt vers mon décolleté. Que va-t-il faire pour finir ? Va-t-il oser aller jusqu'au bout et jouir comme ça sous son bureau, en présence de ses collègues ? C'est alors qu'une solution arrive par mail.

9h30. Un message d'Antoine, notre informaticien :
"Ninon,
Je suis en formation aujourd'hui mais tu peux passer à mon bureau si tu veux remettre les webcams, normalement il est resté ouvert. Préviens éventuellement les gars, qu'ils ne me cherchent pas aujourd'hui.
Antoine"
Je me tourne vers André :
- André, je viens de recevoir un message d'Antoine qui voudrait nous voir pour des histoires de licences logiciels.
- Là maintenant ?
- Bah oui. Tu viens ?
Je vois André se rajuster à la va-vite sous son bureau. Il saisit sa veste la tient devant lui alors qu'il se lève. Je m'amuse à le taquiner :
- Heu, le bureau d'Antoine est dans le même bâtiment, on ne sort pas...
- Ouais, mais je supporte de moins en moins les courant d'air des couloirs.
Nous sortons et je passe devant lui pour rejoindre l'ascenseur. Dans l'ascenseur, André me demande :
- C'est nouveau cette tenue vestimentaire ?
- C'est-à-dire ?
- Que tu t'exhibes sans culotte et sans soutif...
- Tu n'aimes pas ?
Et ce disant je soulève ma petite jupe sur mon sexe nu.



Il manque de s'étouffer. Je rajuste ma jupe avant que les portes de l'ascenseur ne se rouvrent. Je sors en première et le précède dans le bureau d'Antoine.
- Ah merde ! Il nous dit de venir, mais il n'est pas là.
- On peut l'attendre...
Je ferme la porte et m'assieds en me tournant vers André, toujours debout, sans doute gêné par son érection galopante. Je déboutonne encore davantage mon chemisier en lui souriant :
- Il fait chaud, hein ?



- Qu'est-ce que tu fous, Ninon ? Antoine va arriver...
- Antoine est en formation aujourd'hui.
Il faut quelques secondes à André pour comprendre l'information et analyser la situation. Quand il semble avoir enfin compris, je lui fais signe d'approcher. Il pose sa veste sur le bureau d'Antoine et se tient devant moi, le pantalon outrageusement déformé. Je le masse un peu à travers le tissu. Il a les yeux rivés à mes seins dénudés par le chemisier baillant largement. Je finis par ouvrir son pantalon et j'extrais son érection. Le gland est déjà décalotté.



Je commence par le masturber un peu pour qu'il soit bien raide. Après quelques minutes, je me penche sur lui et le prend en bouche. Il souffle comme un taureau. Je suis en train de sucer mon deuxième collègue et je me demande alors comment je vais le faire jouir.



Si ça m'avait paru hier une bonne idée d'avaler la semence de Jérémy, là je n'ai pas du tout envie d'avaler le sperme d'André. Quand je le sens sur le point d'éjaculer, je me relève et attrape un gobelet en plastique sur le bureau d'Antoine pour le placer devant le sexe d'André que je me mets à branler frénétiquement. Il jouit rapidement, en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Son sperme se répand dans le gobelet.



J'essuie la dernière petite goutte de sperme avec le rebord. André me sourit :
- Ninon, je ne te savais pas aussi délurée !
- Eh, c'est exceptionnel ! Ne crois pas que je vais te tailler une pipe tous les matins. Je suis excitée, j'en avais envie, un point c'est tout.
- Tu sais ce que tu veux !
Je lui tends le gobelet :
- Débrouille-toi avec ça.
Je referme mon chemisier et je sors.

10h00. Je regagne le bureau. Paul et Jérémy me regardent de manière soupçonneuse. Se doutent-ils de quelque chose ? Il me reste à voir la bite de Paul, ce qui sera sûrement plus compliqué à cause de la présence des deux autres, surtout que Jérémy et André peuvent suspecter que je vais aussi essayer d'avoir Paul. La matinée n'est pas achevée. J'ai encore le temps de trouver comment je vais opérer.



(à suivre)