Enfin mon dépucelage avec Alain
2 foi je l'avais sucé et j'avais avalé sa substance de mâle.
Dans le car et lors de la fête qu'il organisait. J'y prenais plaisir dailleur.
Mais mainteant j'avois envie enfin d'être femme.
Les regards des hommes et surtout moins jeunes se retournaient de plus en plus sur moi. Il devait émaner de ma personne une sensualité naissante. Moi-même j'avais des envies, j'avais découvert mon corps depuis quelque temps, avec des copines et dernièrement avec Alain. Mais je me caressais de plus en plus souvent en imaginant pleins de choses que je ne connaissais pas. Je me masturbais dans mon lit le soir, les cuisses ouvertes, je me caressais les seins, je me mettais un doigt, que je n'osais trop enfoncer de peur de me dépuceler moi-même. Dans mon bain, en cours, dans le bus, partout où je pouvais passer ma main dans ma culotte sans être vue. Je pensais à ce qu'Alain pourrait me faire. Cà tournait à l'obséssion.

Ma mère devinant la fille qui se transformait décida de m'emmener chez le gynéco pour prendre la pilule. Il me fit mettre entièrement nue. Même médecin, j'étais très gênée d'être nue devant ce vieux. Il m'installa sur la table et commença par m'examiner les seins en les pétrissant.
« Ils sont magnifiques vos seins jeune fille ! Votre copain doit se faire plaisir avec ! »
Mes tétons se mirent à durcir. Il sourit.
Puis il passa à mon sexe.
« Vous êtes toujours vierge, c'est bien. »
Il m'expliqua la fonction du clitoris le tout en me masturbant délicieusement. Au bout de quelques instants il s'arrêta. Je fus déçue.
Il me dit : « tu es normal, tes tétons durcissent, et tu mouilles sous les caresses, tout va bien. Rabillez vous ! »
J'étais toute troublée et je sortis du cabinet la pilule en poche.

Un jour que je partais faire des courses, je ne portais qu'une culotte sous ma robe légére d'été. Dans la rue, je rencontrais Alain, a son regard, je savais que je ne le laissais pas indifférent.
« salut tu es drôlement jolie, tu vas ou comme ça ? »
« Je vais faire des courses »
« Tu sais il va pleuvoir, si tu veux je t'emmène en voiture »
L'occasion est trop bonne pour ne pas accepter d'être avec lui.

Je monte dans sa voiture au moment où il se met à pleuvoir.
« tu as bien fait d'accepter mon invitation, tu aurais été trempée »
En moi même je me disais que de toute façon j'étais déjà trempé rien que d'être à ses côtés.
Je sentais son regard sur mes cuisses, découvertes, car ma robe courte était remontée quand je m'étais assise. J'étais troublée.
Il fit un détour, sortit de la ville, pour aller se garer, dans un coin reculé sous les bois. L'orage faisait rage.
« Mais Alain où vas-tu ? » dis je très ingénue.
« Par ce temps personne ne va venir nous déranger ici qu'en penses tu ? »
J'allais peu-être enfin connaître la joie d'être une vraie femme.
Il me posa un baiser sur la bouche et répondis à ce baisé amoureusement.
Sa main gauche me caressait, les cuisses, que j'écartais largement pour lui faire comprendre qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait.
Mon corps disait oui j'ai envie, je suis offerte et disponible.
Sa main est venue se poser sur mon minou déjà bien humide. Il l'a caressé doucement, d'abord par-dessus la culotte, puis en dessous. A part ma langue qui s'enroulait autour de la sienne, rien de mon corps ne bougeait, je savourais le fait d'être caressée par ses mains expertes. Il me déshabilla entièrement, tout en me couvrant de baiser. Il s'arrêta longuement sur mes seins, et commença à descendre vers mon sexe.
« Je suis vierge Alain »
« Je vais faire attention et je vais te dépuceler en douceur. Tu n'y prendra que du plaisir »

Quand sa bouche s'empara de ma chatte et que sa langue s'insinua dans mon vagin, qu'il aspira et mordilla mon clitoris, je cru devenir folle, jamais je n'avais ressenti ça. J'avais les cuisses ouvertes, impudique et je lui disais de continuer.
Puis il me dit : « suce moi comme tu sais si bien le faire. »
Je m'exécutais avec bonheur mais me disais que je n'aillais pas être pnénétrée une fois de plus.
Il se caressait et je le suçais très gourmande.
« Pour une novice, tu es drôlement bonne ma cochonne. Mais arrêtes je ne veux pas jouir dans ta bouche, mais dans ta chatte étroite et te dépuceler »
« Merci ! Depuis le temps que j'attendais çà ! » J'étais quand même angoissée.
Il m'allongea sur la banquette, les jambes bien écartées, me lécha et approcha son gland sur l'entrée de mon vagin.
Je fermais les yeux, j'avançais le bassin, en lui disant : « vas y ! »
Je sentis le gland forcer délicatement mes grandes lèvres, puis un léger picotement.
« ça va ? »
« oui continue !!! »
Il s'enfonça délicatement dans mon ventre qui s'ouvrait à lui. Une fois au fond, il ne bougea plus, me fit un bisou, j'ouvris les yeux et lui rendit son baiser avec un sourire.
J'étais enfin une femme. Des larmes coulaient sur mon visage mais pas de douleur, d'émotion immense.
Il m'embrassa, et commença à bouger lentement, je me laissais aller, plus le baiser devenait fougueux. Maintenant je sentais ses couilles taper sur mes fesses. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Il haletait sur moi. Je sentais mon plaisir monter. Je refermais mes jambes sur ses reins pour le sentir aller au plus profond de mon trou ouvert.
Je gémissais en lui disant que c'était bon.
Lui au bord de l'explosion, entre deux râle, me traitait de petite salope en chaleur.
En entendant ses mots je fus encore plus excitée,
« Je vais jouiiiiiir, vas y fort fort fooooooooooooort !!!!! »
« Moi aussi je jouiiiiiiiiiiiii dans ton sexe en chaleur, petite pute »
Dans mon délire je m'entendis lui répondre : « Oui je suis ta pute ! tu peux faire ce que tu veux de moiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! »
Dans un dernier coup de rein, Alain se cambra et son sexe se raidit encore plus. Je sentis sa jouissance gicler en moi. Il était sur moi, nous ne bougions plus, nous reprenions nos esprits. Nous avions jouit ensembles. Il se souleva, me regarda, et se retira. je sentis son sperme qui coulait le long de ma raie.
Il se mit à rire, et me dit : « il ne pleut plus, sors vite pour ne pas tacher les sièges. »
Sans réfléchir, je suis sortie entièrement nue de la voiture. J'ai senti sa semence couler el long de mes jambes. Il a voulu que je m'essuie avec de mouchoirs, mais j'étais tellement heureuse d'être devenu une femme que j'ai refusé. j'ai voulu tout garder.