Lucie et sa patronne (1)

Lucie était une très jolie jeune femme, habitant une petite ville de Vendée dans laquelle elle était née.

Elle avait reçu de ses parents une éducation très stricte et, à l'adolescence, sa vie sexuelle avait été quasi inexistante. A tout juste 18 ans, elle s'était mariée à Jérôme, de quatre ans son aîné, et qui habitait à quelques kilomètres.

Par chance, Jérôme, bien qu'il soit issu lui aussi d'une famille conservatrice, se révéla être au lit un amant plus que satisfaisant.

Il faut dire que, lorsqu'il découvrit pour la première fois Lucie, nue dans son lit, il y avait toutes les raisons d'exciter un homme normalement constitué !



Elle avait un physique de femme enfant, mais son corps mince et ferme ne pouvait laisser Jérôme indifférent, et lui-même offrait à Lucie le spectacle d'un mâle bien bâti et généreusement membré.



Sa première pénétration fut, pour elle, un moment intense, et la découverte d'un plaisir qui lui était jusqu'à présent défendu.



Très vite, elle parvint à un premier orgasme.



Mais Jérôme se maîtrisait parfaitement. Il se retint de jouir, et accéléra les allées et venues de sa queue dans la chatte de Julie, maintenant dégoulinante de cyprine.



Lucie ne parvenait pas à se lâcher totalement, malgré les vagues de plaisir qui la submergeait, et elle étouffa ses cris lorsqu'un second orgasme l'emporta. Ses gémissements étaient néanmoins des plus suggestifs, et Jérôme choisit ce moment là pour éjaculer. Un torrent de sperme jaillit, en partie dans le sexe de Julie, en partie sur son ventre.



Le couple resta un long moment affalé sur le lit, essoufflé, pantelant. Puis il échangea un long baiser...



... avant de se lancer dans une nouvelle séance de baise, torride.



Les semaines et les mois qui suivirent, Lucie et Jérôme continuèrent de faire l'amour toutes les nuits, et parfois en pleine journée. Lucie aimait particulièrement chevaucher son mari, position dans laquelle elle contrôlait le rythme de la pénétration, jouant à contracter habilement les muscles de sa chatte sur le dard de son mari.



Elle avait accepté de sucer Jérôme, mais celui-ci s'interdisait de jouir dans sa bouche.



Malgré tout, Lucie restait bloquée par son éducation. La découverte de son goût pour le sexe provoquait chez elle des réactions contradictoires : si, au fond d'elle-même, elle ressentait l'envie de s'abandonner à ses pulsions, elle était malgré tout freinée par un sentiment de gêne et de culpabilité, l'impression de devenir une fille perverse, et elle craignait de détruire l'image que Jérôme avait de celle avec qui il s'était marié.

Lucie se contrôlait donc du mieux qu'elle pouvait : elle s'empêchait de manifester trop bruyamment son plaisir, elle évitait de demander certaines caresses, de prononcer des mots trop crus...

De son côté, Jérôme agissait de la même manière et pour les mêmes raisons. Il n'avait jamais osé proposer à sa femme de porter des tenues sexy, encore moins de pratiquer la sodomie !

Bizarrement, c'est un évènement extérieur qui débloqua la situation, et transforma - oh combien - la vie de ce couple.

Lucie travaillait depuis quelques temps comme secrétaire dans une PME locale, produisant des objets publicitaires et, suite au départ en retraite du patron, la société fut rachetée par un groupe national. Une nouvelle directrice arriva de la région parisienne. Elle s'appelait Sandra, et c'était une jolie brune, très BCBG, d'une trentaine d'années.



Elle appréciait le travail de Lucie, qui devint son assistante. Les premières semaines, leurs relations furent strictement professionnelles, puis la confiance s'installa entre les deux femmes.



Sandra faisait quelques confidences à Lucie sur sa vie privée - elle était marié à Benoît, mais semblait assez libre - et elle remarqua bientôt la réserve de son assistante, et ses cas de conscience.

Tout bascula quand Sandra demanda à Lucie de l'accompagner pour une réunion au siège du groupe, en région parisienne, sur deux jours. Lucie ne pouvait pas vraiment refuser, mais elle était ennuyée de laisser Jérôme pour une nuit ; c'était la première fois depuis leur mariage.

Sandra s'occupa de réserver une chambre et, le lendemain, elle annonça à Lucie, sur un ton qui se voulait ennuyé :

-Il y a un salon sur Paris en ce moment, et tous les hôtels sont complets. J'ai quand même pu avoir une chambre double. J'espère que ça ne te dérange de dormir dans la même chambre que moi ?
-Mais non, pas du tout, répondit Lucie.

Les deux femmes partirent donc ensemble en voiture sur Paris, et la première journée se déroula dans les bureaux du groupe, pour traiter de son développement. Avant le repas du soir, Sandra fut appelée par la direction, mais l'entretien ne dura pas longtemps, et elle en ressortit radieuse.

Après le dîner, les deux femmes rejoignirent leur hôtel, et Sandra expliqua à Lucie les raisons de sa bonne humeur.

-La direction m'a annoncé qu'elle avait acheté une autre entreprise, aux Sables d'Olonne et, compte tenu de mes résultats, je prends également la tête de cette nouvelle filiale. C'est une belle promotion : on va arroser ça !

Elle décrocha le téléphone, et demanda à la réception une bouteille de champagne et deux flûtes. Quelques minutes plus tard, un serveur apportait la commande.

-On va laisser le champagne rafraîchir dans le seau à glace. Pendant ce temps-là, je vais prendre une douche. Il fait chaud ici, tu peux te mettre à l'aise si tu veux.
-Je vais prendre aussi une douche après.

Sandra rentra dans la salle de bains et, sans fermer la porte, entreprit de se déshabiller.



Lucie était un peu gênée, pensant que Sandra ne le faisait pas exprès. Mais celle-ci lui lança avec un grand sourire :

-Ouah, c'est bon d'être nue après une journée pareille.



Elle commença à se doucher, se savonnant avec beaucoup de sensualité.



Elle se caressa même un long moment, sans la moindre pudeur.



Puis elle sortit de la salle de bains, n'ayant apparemment pas la moindre intention d'enfiler un quelconque vêtement.



Elle s'installa sur le bord du lit, dans une position qui dévoilait largement sa chatte entièrement rasée, et elle regardait Lucie, embarrassée, avec un air amusé.



-Et bien, vas-y, Lucie, la salle de bains est libre, et je servirai le champagne pendant que tu te douches. Mais j'ai un ordre à te donner : ne ferme pas la porte ! Je sais que tu n'oses pas montrer ton corps, mais je compte bien y remédier.

Subjuguée par l'autorité de sa patronne, Lucie rentra dans la salle de bains et, sans fermer la porte, commença à se déshabiller.



Lorsqu'elle fut nue, elle rentra précipitamment dans la douche, et fit couler l'eau sur son corps en sueur.



Petit à petit, son angoisse diminua, mais elle craignait de ressortir à poil de la salle bains, redoutant que Sandra exige qu'elle ne se rhabille pas non plus. Cette crainte était fondée !...

En rentrant dans la chambre, elle vit sa patronne, souriante, qui lui tendait une flûte.

-Je suis sûre que c'est la première fois que tu vas boire du champagne en tenue d'Eve ! Je me trompe ?

Lucie ne répondit pas, prit le verre en rougissant, et Sandra porta un toast.

-A ma promotion, à toi, à nos amours, à nos hommes... Je me demande bien ce qu'ils font en ce moment !
-A votre promotion, renchérit Lucie, avec un sourire un peu forcé.

Autant parce qu'elle avait soif que pour masquer sa gêne, Lucie but son champagne rapidement, et Sandra lui versa une deuxième flûte.

-Pas trop, s'il vous plait. Je ne supporte pas bien l'alcool, supplia-t-elle.

Elle but quelques gorgées, et posa son verre. Sandra se rapprocha alors.



Lucie ne savait plus trop où elle en était, et elle sentait monter le trouble en elle.

-Tu as déjà eu des expériences avec des femmes ? lui demanda sa patronne d'une voix sensuelle.
-Non, jamais ! se défendit Lucie - tout en repensant à quelques caresses équivoques qu'elle avait connues dans le vestiaire du gymnase, au lycée.
-Alors, il faut que tu fasses l'essai ! lui répondit Sandra et, sans lui laisser le loisir de répondre, elle se rapprocha et la prit par la taille.



Sandra approcha ses lèvres de la bouche de Lucie, elle posa sa main dans le haut de sa cuisse, tout près de sa chatte. Lucie tenta bien mollement de la repousser, mais dans ce geste sa main se posa sur le sein durci de sa patronne, et elle rendit les armes.



Les deux femmes s'allongèrent doucement sur le lit. Lucie s'abandonnait aux baisers de Sandra, dont les doigts commençaient à caresser sa fente et son clito.



-Mais, ma parole, tu mouilles déjà, petite cochonne ! Et tes seins sont tout durs !

Lucie était écarlate. Elle savait que sa poitrine était hypersensible, avec des pointes qui dardaient dès qu'elle était excitée. Pour masquer son trouble, elle embrassa Sandra avec fougue.



Maintenant certaine que Lucie serait consentante pour la suite, Sandra glissa ses doigts dans la chatte qui n'offrait aucune résistance. De petits gémissements de plaisir ponctuaient les mouvements légers de sa main.



Sandra vint s'allonger entre les cuisses largement ouvertes de Lucie, découvrant en gros plan l'abricot qu'elle allait maintenant déguster.



Lucie sentit comme dans un rêve le long baiser que Sandra déposait sur sa fente, une langue s'insinuer entre ses petites lèvres, pour venir titiller son clito gonflé de désir.



Lucie poussa un petit cri, et Sandra lui demanda de se lâcher complètement.

-Vas-y, tu peux crier, l'hôtel est bien insonorisé. Je suis sure que d'habitude, tu te retiens. N'hésite pas à dire des vulgarités, tu verras : ça décuple ton plaisir et l'excitation de tes partenaires.
-Oh oui, allez-y, bouffez moi la chatte ! Oh c'est bon votre langue, continuez, oui, oui, comme ça, aaah ! gémit Lucie, dont les inhibitions fondaient comme neige au soleil.



Lucie se tordait de plaisir, et le couple arriva au bord du lit, quand un orgasme bruyant la foudroya.



Elle resta un moment inerte, à bout de souffle mais, pour Sandra, rien n'était fini.

-Maintenant que tu as bien pris ton pied, ma jolie, je veux que tu me fasses jouir aussi, pendant que je continue de m'occuper de toi !

Elle ramena Lucie au centre du lit, et vint se mettre sur elle, en 69. Lucie se retrouvait avec sa chatte juste devant son visage.



C'était la première fois que Lucie faisait l'amour à une femme, et elle se sentait excitée.

-Vous voulez que je vous lèche aussi ? Oh, j'ai honte, mais j'en ai envie aussi... Elle avait l'impression que c'était une autre fille qui parlait.
-Bien sur, vas-y ! lèche, suce, glisse ta langue dans ma fente ! Elle est en feu ! l'encouragea Sandra.

Lucie ne se fit pas prier davantage.



Sa langue et ses doigts s'activaient, pour le plaisir de Sandra, qui gémissait à son tour.



Sandra n'oubliait pas de rendre ce cunnilingus à sa partenaire, qui en perdait la tête.



Au bout d'un long moment, ponctué de cris et de plaintes, le couple roula sur le lit, et échangea ses positions, sans s'interrompre.



Elles parvinrent à l'orgasme presque simultanément...



.... avant de se laisser glisser sur le lit....



... pour une dernière caresse.



Après qu'elles eurent repris leur souffle, Sandra servit deux nouvelles coupes de champagne, et trinqua en riant :

-A ma petite assistante qui, sous ses dehors bien sages, a le feu au cul !
-A ma patronne, qui m'a fait découvrir que j'étais bi, répliqua Lucie, à qui l'alcool faisait perdre toute réserve.
-Tu ne crois pas quand même qu'on va en rester là pour cette nuit ! Ce n'est qu'un début.

Malgré l'ivresse, Lucie s'inquiétait, et elle vit Sandra sortir un grand étui de son sac de voyage. Elle y prit un godemichet bleu, mais l'étui semblait contenir d'autres engins, de tailles diverses.

Sandra présenta le gode à Lucie.



-Je suis certaine que tu n'as jamais utilisé cet appareil. C'est génial quand on est toute seule, mais on peut y jouer à deux.

Elle commença à faire vibrer l'appareil, et à le présenter à l'entrée de sa chatte.



L'effet sur Sandra fut immédiat. Devant sa patronne en transe, Lucie ne résista pas longtemps au désir qui montait en elle.

-S'il vous plait, j'aimerais tant essayer !

Sandra retira le gode luisant de cyprine, et entreprit de préparer la chatte de son assistante.



Elle fit pénétrer le sextoy sans problème, puis fit mettre Lucie en levrette.



La dureté de l'engin, ses vibrations lui procuraient des sensations inconnues.

-Oh oui, j'adore ça, c'est fabuleux ! Bourrez-moi le minou bien à fond.... Oui ! Comme ça !.. Oh je jouis déjà.



Elle ne laissa pas à Lucie le temps de se reprendre, et sortit de son sac un deuxième engin. Elle lui tendit les deux godes.

-A ton tour de t'occuper de moi ! Mais je suis encore plus salope que toi : tu vas me faire jouir par devant et par derrière en même temps.
-


Sandra adorait la double pénétration. Avec des godemichets, elle pouvait contrôler les mouvements des pieux qui fouillaient son intimité, les plier à ses désirs, aussi longtemps qu'elle le voulait.

Mais elle aimait tout autant se faire prendre en sandwich par de vrais mecs. C'était alors le plaisir de sentir leurs coups de boutoirs, qui soulevaient son corps en cadence...



...ces verges qui palpitaient en elle...



... et finissaient par lâcher de longs jets de foutre, qui coulait ensuite sur ses cuisses.



Mais, pour l'instant, Sandra voulait faire l'amour comme une bête, avec Lucie !

-Prépare bien mon petit trou, lubrifie le, ordonna-t-elle en offrant ses fesses rondes à son assistante, qui ne se fit pas prier.



Lorsqu'elle sentit le désir monter de nouveau en elle, son petit trou impatient de se faire pénétrer, elle tendit l'un des godes à Lucie. Celle-ci s'en saisit et, avec un art auquel elle ne s'attendait pas elle-même, elle commença à effleurer la rosette de Sandra pour l'exciter, faisant rentrer légèrement le toy puis le retirant pour mieux revenir ensuite.



Sandra devenait folle.

-Oh oui, tu t'y prends bien. Si tu savais comme j'ai envie d'être enculée... Oui, maintenant, enfonce le à fond !

Lucie ne se le fit pas dire deux fois !



Sandra poussa un long cri de plaisir, et Lucie fit aller et venir le gode, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, provoquant chez sa patronne des gémissements très suggestifs.

Sandra, à genoux, se cambrait maintenant au maximum pour offrir sa chatte aux caresses de Lucie, qui continuait à lui limer le petit trou.



-Oh ce que tu t'y prends bien ! Une fille aussi douée que toi... Tu es vraiment faite pour la baise !... Attends, prends ça, pour ma chatte.

Et elle tendit un deuxième godemichet à Lucie, qui le couvrit de salive....



... avant d'offrir à Sandra la double pénétration qu'elle attendait.



Sandra se remit en levrette, saisit le toy planté dans sa fente pour se branler avec rage, pendant que Lucie continuait à la sodomiser.



Lucie n'en pouvait plus d'excitation.

-Oh, mon dieu, moi aussi j'ai envie d'un truc dans mon petit cul... J'en peux plus, c'est trop fort, je veux essayer...

Sandra se dégagea, en gardant les godes plantés dans ses deux orifices, secouée par les spasmes d'un orgasme.



Elle prit un troisième gode, puis prépara l'anus de Lucie.



Et elle enfonça un énorme toy entre les fesses de son « élève », qui cria de plaisir.



Lucie était à la limite de l'évanouissement, secouée par des vagues de jouissance qui la submergeaient. La vibration au creux de ses reins de cet engin, manié de main de maître par Sandra, irradiait dans tout son corps tétanisé.

-Oh, je n'aurais jamais cru que ce serait aussi bon. Je jouis, je jouis... J'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter !



Au bout de longues minutes, les deux femmes durent abandonner, épuisées et comblées.

Sandra servit deux dernières flutes de champagne, pour terminer la bouteille.

-Alors, ça te plait cette nuit entre filles ?
-Si je vous disais non, vous ne me croiriez pas.
-C'est vrai, mais arrête de me vouvoyer ! Maintenant que tu n'as plus de tabous, j'espère que tu vas te lâcher.
-Je ne sais pas.... Il y a mon mari ! Je suppose que le tien ne sait pas non plus ce que tu fais en ce moment, s'inquiéta Lucie.
-Ben ? répondit Sandra en riant, mais c'est le premier à m'encourager ! Il adore me voir à poil devant des gens, me partager avec d'autres partenaires, ou me regarder faire l'amour.
-Je ne crois pas que Jérôme serait d'accord.
-Qu'est ce que tu en sais ? Il te croyait jusqu'à présent bien sage, mais les hommes ont des fantasmes que tu ne supposes même pas.

Lucie resta songeuse un moment.

Sandra l'interrompit dans sa rêverie :

-Si tu veux, je te propose un dernier exercice pour finir la nuit. Ca te tente ?
-Je commence à être fatiguée mais... pourquoi pas, répondit Lucie.

Sandra sortit de son sac un autre godemichet, très long. Elle en introduisit une extrémité dans la fente encore humide de son assistante.



Lucie s'abandonna complètement, goûtant maintenant cette nouvelle pénétration en connaisseuse. Lorsque le gode fut bien enfoncé dans la fente trempée de cyprine, Sandra vint sur elle et, instinctivement, Lucie plaça l'autre extrémité entre ses cuisses.



Sandra se saisit du sextoy et, doucement, s'empala dessus, en gémissant.



Elle se mit à remuer des hanches, avec des petits mouvements circulaires. Lucie, qui sentait de nouveau l'excitation monter en elle, donnait de petits coups de reins, et leurs mouvements respectifs étaient amplifiés par l'engin qui les transperçait. Elle ne put retenir des cris de plaisir.



Avec un art consommé du sexe, Sandra retira le gode juste avant que Lucie ne parvienne à l'orgasme. Puis elle se plaça face à elle, la double bite artificielle en face de leurs minous affamés.



Ensemble, elles commencèrent à la faire aller et venir, doucement, entre les lèvres de leurs sexes.



Puis elles s'empalèrent ensemble, progressivement...



... très progressivement, pour goûter cette sensation délicieuse.



Alors, elles se déchainèrent, se pilonnant réciproquement l'abricot, jusqu'à ce que le gode disparaisse dans leurs chattes...



... jusqu' à ce que leurs pubis se rejoignent, et qu'elles soient clouées par un dernier orgasme.



Alors seulement, alors que le jour commençait à pointer, elles s'écroulèrent sur le lit, et s'endormirent, dans les bras l'une de l'autre.



La nuit fut courte, et elles dormaient profondément quand le téléphone sonna pour les réveiller. Elles prirent une douche rapide, avant de retourner en réunion, les yeux cernés. Elles devaient faire un effort pour ne pas s'assoupir, et elles furent l'objet de quelques plaisanteries de leurs collègues.

L'après-midi, elles reprirent en voiture la direction de la Vendée. Nous étions vendredi et, peu avant de déposer Lucie, Sandra lui proposa :

-Avec Ben, on a une maison près de la côte. Et si tu venais demain avec Jérôme, passer l'après-midi avec nous ? Vous pourriez rester pour la soirée, je serai très heureuse de connaître ton mari.

Lucie n'osa pas refuser, mais s'inquiétait tout de même de ce qui pourrait se passer, et se demandait comment réagirait Jérôme !