Le repas chez Karine et Thierry fut très sympathique. En fait, nous avons fait un apéritif-dinatoire. Ne voulant pas rester en robe, j'avais demandé à Karine de me prêter une jupe et un débardeur. J'étais installée entre Simon et Thierry. Durant tout le repas, on échangea beaucoup sur nos différentes expériences sexuelles, nos fantasmes et bien sûr le site. Quand le diner toucha à sa fin, l'excitation commença à monter et c'est Karine qui proposa qu'on s'y mette :
- On y va ?



Les garçons n'osèrent pas répondre mais je les sentais fébriles, sauf Eric qui semblait un peu contrarié. Je lui demandai :
- Eric ? Tout va bien ?
- Heu... oui...
C'est Karine qui comprit la raison de son comportement un peu étrange :
- Oh, mon pauvre... Tu vas devoir rester témoin, c'est ça qui te mine ?
- Bah oui, j'aurais bien voulu en profiter aussi...
- Je t'offrirai une revanche demain soir, si Thierry est d'accord.
Thierry qui était à côté de moi répondit à Karine :
- Ce serait grossier de ne pas te partager avec mon cousin alors que Simon partage sa femme sans discuter.



Je dis à Thierry :
- Tu es gonflé ! Ce soir Eric doit se contenter de regarder. Ne me dis pas que demain tu arriveras à rester simple observateur sans intervenir !
- Bien sûr que non ! Ce sera la première expérience avec deux mecs pour Karine, alors je ne vais pas rester sur la touche. Je veux le beurre, l'argent du beurre, la fille le la crémière et même la crémière !
Tout le monde partit dans un fou rire.



Karine nous remit sur le droit chemin :
- Bon, les gars, on va peut-être vous faire bander pour qu'on puisse s'y mettre, non ?
Elle avait l'air très excitée et semblait avoir hâte de m'aider à réaliser la dernière partie de mon gage. Sous les yeux exorbités des garçons, elle dégagea sa poitrine de sa robe. Elle avait des seins magnifiques et j'étais bien certaine que les garçons bandaient déjà à la regarder.



Comme je commençais à faire passer mon débardeur par dessus ma tête pour me mettre seins nus comme Karine, Simon m'arrêta :
- Oh attend, chérie ! On va t'aider. Garde les bras en l'air, on s'en occupe.
Bien sûr, ils remontèrent le débardeur au-dessus de mes seins. Bien sûr ils se mirent aussitôt à me caresser les seins et je gardais les bras en l'air, comme une conne, à attendre qu'ils me retirent le débardeur.



Je me suis donc levée pour achever ce que les garçons ne semblaient pas prêt à faire et j'en profitai pour retirer ma jupe. Thierry m'imita aussitôt et se trouva nu en quelques secondes. Il bandait fort et ça longue queue me faisait de l'œil. Je le repoussais sur le canapé pour qu'il s'y assoit et sans autre préliminaire, je vins le chevaucher pour m'empaler sur lui. C'était un plaisir de le chevaucher à nouveau et je remerciai mentalement Karine de m'avoir laissée renouveler l'expérience.



Simon nous regardait, fasciné par mon sexe qui montait et descendait sur cette tige imposante. Karine se leva et abandonna sa robe. Elle vint se mettre devant Simon et le fit se lever pour lui retirer ses vêtements. Simon subit alors le même traitement que Thierry : Karine le fit asseoir à côté de son mec et vint l'enfourcher en lui faisant face. Alors qu'elle commençait à gémir en chevauchant Simon, nous entendîmes derrière nous Eric qui se plaignait :
- Putain ! Vous avez trop de chance les gars !!!



Après avoir chevauché les garçons pendant quelques minutes, nous nous regardâmes, Karine et moi. Nous avions la même idée : il était de passer à la réalisation du gage de Salass. Croyez-le ou non, j'eus la nette impression que Karine était plus excitée à l'idée de se faire brouter le minou que de baiser Simon. Nous abandonnâmes les garçons pour nous installer sur le tapis : Karine s'allongea sur le dos, cuisses écartées. Elle pensait sans doute que j'allais venir m'installer à quatre pattes entre ses jambes, mais j'eus l'idée de la faire aussi participer et je l'enjambai pour m'installer en soixante-neuf sur elle.



Les garçons se mirent à applaudir. Thierry et Simon ne débandaient pas. Karine gémissait sou les coups de langue que je donnais à son clitoris. J'eus alors la révélation que Karine n'en étais pas à sa première expérience lesbienne car elle maîtrisait parfaitement le cunnilingus et me donna un plaisir incroyable. Elle contrôlait pourtant ses coups de langues et se débrouillait pour ne pas déclencher mon orgasme.



Quand je sentis sa langue m'abandonner quelques secondes, je compris qu'elle était en train de sucer Thierry. Bientôt, je le sentis me pénétrer. Karine reprit aussitôt son cunnilingus. C'était absolument divin et très difficile pour moi de me concentrer sur ce que je faisais !



Quand Simon vint présenter on sexe tendu contre ma joue, je fus bien obligée de lui faire une petite fellation avant de le laisser pénétrer ma nouvelle copine. Je sentis Karine s'arrêter de me sucer la moule quelques secondes avant de se remettre à la tâche. Je me remis moi-aussi à faire tourner ma langue autour de son clitoris alors que Simon allait et venait en elle avec un rythme déjà assez soutenu.
Simon vient baiser Karine, elle jouit



Karine gémissait de plus en plus fort. Je me contrôlais pour ne pas jouir car ce broutage de minou ne constituait que la première condition de la dernière étape du gage. Bientôt, je sentis les cuisses de Karine se raidir. Soudain, son corps s'arqua. Elle abandonna ma moule et se mit à hurler, terrassée par un violent orgasme. Dès qu'elle revint à elle, Simon me demanda de me redresser un peu. Sans que Thierry n'arrête de ma labourer, il tira Karine par les cuisses et la dégagea de sous moi. Puis, il vint se glisser à sa place. Karine fit signe à Thierry de me laisser. Il sortit donc sa longue tige de moi et Karine guida le sexe de Simon en moi. Sans attendre, elle guida le sexe de son mec vers mon anus. Même si ce n'était pas l'objet du gage, je me dis que ça ne ferais sûrement pas de mal.



C'était absolument génial de se faire défoncer la rondelle à nouveau par Thierry. Mais Karine n'avait pas perdu de vue mon gage. Je ma sentis passer la main contre mes fesses pour dégager Thierry et le guider à nouveau en moi, mais cette fois-ci dans mon vagin, tout contre la queue de Simon. Simon s'arrêta quelques instants pour lui laisser le temps de bien s'installer



J'avais l'impression d'avoir un gigantesque braquemart en moi. Quand les garçons commencèrent à bouger, ce fut une sensation incroyable que de sentir ses deux bites se mouvoir de manière indépendante en moi. J'eus un orgasme en un rien de temps. Mes gémissements et mes soubresauts déclenchèrent l'éjaculation de Simon. Thierry continuait à aller et venir frénétiquement en moi avant de se mettre à jouir à son tour. Il se retint quelques secondes et envoya une première salve importante au fond de moi. Simon en profita pour s'extraire mais il entraina avec lui la bite de Thierry qui continuait à exploser. Il émettait des râles profonds alors que son sperme continuait de me fouetter l'anus et la moule. En même temps, je sentais le sperme que les garçons avaient lâché en moi s'échapper de ma moule béante.



Quand je repris mes esprits, Karine eut la gentillesse de m'embrasser. J'étais maintenant convaincue qu'elle avait déjà connu les plaisirs saphiques. Je fus toutefois bien surprise quand elle abandonna ma bouche et qu'elle vint me lécher l'anus pour en nettoyer tout le sperme.



Thierry lui-même en était bouche-bée et son sexe reprit une vigueur inespérée. Outre Eric, nous étions tous exténués par cette soirée, aussi Simon proposa que l'on rentre et j'acceptai avec plaisir, souhaitant vivement m'endormir enserrée dans ses bras dans notre lit. Je ne sus pas alors si Eric était reparti lui aussi, mais il nous raconta par la suite que Karine eut un regain d'énergie et qu'il y eut un troisième acte à cette soirée.
Pour ma part, mon gage était terminé et j'étais fière de la manière dont je l'avais résolu, en espérant que tout cela, et en particulier cette fin, allait satisfaire l'ami Salass.

Lisa