Les plages de Seignosse 3


Quand Lisa me raconta sa rencontre avec Amandine et Romain, j'eus une belle érection. En rentrant au camping nous décidâmes de nous mettre en quête de ce jeune couple pour voir s'ils n'étaient pas installés trop loin de notre emplacement. Lisa les reconnus assez vite et elle me présenta à ses nouveaux amis :
- Voici Simon, mon mari.
- Amandine et Romain, enchantés. On est là, juste au F32, vous êtes où, vous ?
- On est par là-bas, de l'autre côté des sanitaires.
- L'emplacement à côté du nôtre est libre, vous ne voulez pas demander à changer ?
- Pourquoi pas...
Nous laissâmes le jeune couple tandis que nous rejoignîmes l'accueil pour demander à changer d'emplacement. C'est Lisa qui demanda car j'étais bien occupé à regarder dans le décolleté de la nana de l'accueil pour me rappeler du numéro de l'emplacement que nous devions demander.



La fille ne fit pas d'histoire et nous accorda l'emplacement F33. Nous consacrâmes une petite heure à déménager nos affaires et à prendre possession de notre nouvel espace. Romain me donna un coup de main pour remonter la tente pendant qu'Amadine et Lisa échangeaient quelques considérations vestimentaires. Quand tout fut installé, la nuit commençait à tomber et nous avions tous faim. Nous sommes allés manger ensemble et nous échangeâmes sur nos métiers, nos hobbys. Romain semblait autant captivé par le fait que Lisa gérait un site coquin que par sa poitrine nue qui jouait librement sous le tissu du débardeur.



Pour ma part, je trouvais Amandine toute aussi à mon goût et elle semblait intimidée quand je posais mes yeux sur elle. La fin de soirée fut sage et nous nous quittâmes en simples amis.
Ayant un peu trop bu et curieusement fatigué de ma journée, je sombrai rapidement dans le sommeil. Au matin, je fus réveillé par la lumière du jour et la chaleur déjà insupportable dans la tente. Lisa s'éveillait également tout juste. Mon sexe fit un bond en découvrant sa moule nue et son petit débardeur blanc qui semblait moite de sueur.
- Bonjour mon chéri. Tu as bien dormi ?



- Comme un loir...
- Tu faisais un rêve érotique ?
- Même pas ! C'est de te voir comme ça qui me donne des envies...
- Je suis pourtant habillée.
Se redressant, Lisa fit passer son débardeur par dessus sa tête et exhiba fièrement sa magnifique poitrine dont je ne me lasse pas. Puis elle se rallongea sur le ventre en écartant les cuisses pour me laisser admirer le spectacle de sa jolie minette.
- Amandine et Romain ont fait l'amour hier soir... J'ai failli les rejoindre.



- Tu aurais dû... Je n'étais pas vraiment en état de te satisfaire...
- Non, mais ça a l'air d'aller mieux...
Elle tourna la tête pour regarder mon sexe bandé et se tourna sur le côté pour m'attirer à elle. Nous nous enlaçâmes et elle passa une cuisse par dessus ma hanche. J'imaginai sa moule ouverte et luisante de mouille. Mon sexe trouva bien vite le passage et s'y introduisit. Nous fîmes l'amour.



Cela fut délicieux car nous étions encore un peu tous les deux ensommeillés et tout était doux et tranquille. Quand Lisa atteint l'orgasme, je l'accompagnais d'une franche éjaculation qui m'arracha quelques râles que je ne pus réprimer. Nous nous séparâmes et affalés sur le dos, nous replongeâmes dans un demi-sommeil.



Les bruits du dehors me réveillèrent. J'enfilai un caleçon et pris mes affaires pour aller prendre une douche, laissant Lisa dormir. Volontairement, je laissai l'ouverture de la tente un peu entrebâillée pour que les passants puissent profiter du charmant spectacle de ma femme nue.
Lisa se réveilla quelques minutes plus tard. En entendant des bruits de pas s'approcher de la tente, elle se mit à quatre pattes et se cambra, tendant son cul vers l'ouverture, persuadée que je revenais de la douche.



En sentant les mains froides qui se posèrent sur ses fesses, Lisa comprit qu'il ne s'agissait pas de moi. Elle devina que c'était plus probablement Romain mais s'amusa à lui faire croire qu'elle l'ignorait :
- Oh Simon, baise-moi !
Elle s'avança un peu dans le fond de la tente pour le laisser entrer. Il retira aussitôt son caleçon et Lisa sentit l'érection du jeune garçon contre sa cuisse.



Se mettant à genou derrière elle, Romain la pénétra. Il s'enfonça loin en elle. Lisa le trouva particulièrement gros et se mit rapidement à gémir. Elle se dit qu'il était sans doute très excité de la baiser en lui laissant croire qu'il était son mari.



Pour sa part, Lisa ne voulait pas laisser filer une telle occasion. Elle comptait bien en profiter au maximum, si bien que, après plusieurs minutes, elle n'hésita pas à lui proposer son cul :
- Prends mon petit trou, s'il te plaît. Encule-moi !
Romain ne pouvait pas refuser car il se disait sans doute que sinon Lisa se retournerait et se rendrait compte que ce n'était pas moi. Il poussa donc son gland contre le petit trou de la jeune femme et se mit à la sodomiser en lui tenant les hanches. Les gémissements de Lisa ressemblaient désormais plus à des cris. Quand Amandine passa la tête par l'ouverture et découvrit la scène, elle ne s'offusqua même pas que ce soit son copain qui soit en train de sodomiser Lisa et se contenta de s'excuser avant de disparaître :
- Oh, excusez-moi...



Lisa prit à peine conscience de cette intrusion tant tout son corps s'abandonnait à cette intense sodomie. Lisa jouit alors que Romain était sur le point d'éjaculer. Quand celui-ci sortit sa queue pour répandre sur ses fesses de longs filets de sperme épais, Lisa fut un peu frustrée car elle était au beau milieu de son orgasme et aurait préféré qu'il reste encore en elle.



Quand Lisa se laissa tomber sur le côté, elle se rendit compte que Romain était déjà reparti. Elle se laissa rouler sur le dos, les cuisses écartées, tant pis pour le sperme sur le duvet. Elle entendit des chuchotements dans la tente à côté. Romain devait raconter son exploit à Amandine. Lisa s'assoupit à nouveau sans se soucier que l'entrée de la tente était restée encore entrouverte.



Quand elle sentit une langue venir lui lécher la moule, Lisa ouvrit les yeux et eut le réflexe d'écarter encore davantage les jambes plutôt que de les refermer. C'était Amandine qui était venue prendre sa part de plaisir et léchait avec précision les lèvres et le clitoris de Lisa.



Lisa se mit aussitôt à gémir. Regardant à nouveau, elle se rendit compte qu'Amandine était intégralement nue et qu'elle devait offrir aux passants la vue de son cul nu. Était-elle venue dans cette tenue depuis sa tente ou elle s'était-elle déshabillée une fois rentrée ? Peu importe. La jolie blonde couvrait Lisa de baisers et remontait lentement, embrassant son ventre, puis ses mamelons pour enfin l'embrasser dans le cou.



Lisa était bien partie et elle voulait partager son plaisir avec Amandine. Elle lui demanda :
- Allonge-toi tête-bêche à côté de moi...
Amandine s'exécuta et s'allongea sur le dos, la tête vers l'entrée de la tente. Lisa vint aussitôt s'installer à quatre pattes au-dessus d'elle et commença à lui brouter la moule. La jeune blonde allait s'y mettre également quand elle se rendit compte de ma présence à l'entrée de la tente.



Je m'étais mis à genoux juste à côté d'elle et mon érection dépassait de la serviette que je m'étais nouée autour de la taille pour revenir des douches. Amandine ne sembla pas se préoccuper de ma présence et entreprit de sucer la moule de Lisa où elle pouvait boire quelques gouttes du sperme de Romain.



Amandine tira sur les hanches de Lisa pour l'obliger à se reculer un peu, d'abord pour lui permettre de lui sucer le clitoris de manière plus commode, ensuite pour que ma femme approche davantage son cul de moi. Quand je vins appuyer mon gland contre son sexe parfaitement lubrifié, elle eut un petit tressautement mais se détendit aussitôt, reconnaissant probablement la virilité de son homme.



En la baisant ainsi, je voyais son anus un peu dilaté qui s'agitait sous mes yeux et je compris en voyant les traces de sperme et la forte odeur qui régnait dans la tente qu'il y avait eu une visite masculine avant la mienne. Puisqu'Amandine était là, je déduisis bien évidemment qu'il s'agissait de Romain. Ma petite femme avait donc déjà eu une matinée bien chargée. Moi aussi, j'avais envie d'investir son petit trou et je ne m'en privai pas.



Ma femme criait maintenant sans la moindre discrétion et je pense qu'on pouvait l'entendre à l'autre bout du camping. Je la labourais ainsi pendant de longues minutes alors qu'Amandine lui dégustait le clitoris. Elle eut bien deux orgasmes successifs et je profitais du second pour jouir moi aussi, sortant ma queue de l'étroit fourreau pour me répandre, comme Romain, sur l'anus de Lisa, alors qu'Amandine attrapait avec sa langue tout le sperme qu'elle pouvait.



Une fois vidé, je m'assis à côté pour observer Amandine qui léchait méticuleusement chaque centimètre du cul de ma femme faisant même disparaître les traces séchées du sperme de Romain. Amandine attrapa ensuite un petit bout de tissu qui s'avéra être une mini robe très fine qu'elle enfila directement avant de sortir. Je la trouvais ainsi presque plus indécente que si elle avait été nue puisque le tissu était si fin qu'on distinguait parfaitement ses tétons. Le bas était si court qu'il lui couvrait à peine les fesses et j'imaginais même qu'on pouvait lui voir l'entrejambe quand elle marchait.



Mon sexe se redressa aussitôt, prêt à satisfaire la splendide jeune fille si elle me le demandait. Quand elle vit mon état, cela la fit rigoler. Elle s'adressa ensuite à Lisa :
- Lisa, tu viens te doucher avec moi ?
- J'arrive !
Lisa se contenta de s'enrouler dans une grande serviette et prit son gel douche pour accompagner Amandine.



J'avoue que j'avais une folle envie de les suivre et c'est d'ailleurs ce que je fis dès que j'eus enfilé une serviette autour de ma taille. Je me sentais un peu coupable de ne pas passer chercher Romain pour qu'il m'accompagne mais je ne voulais pas perdre une miette du spectacle qu'allait m'offrir ces deux coquines. Quand j'arrivais aux-douches, les filles étaient déjà dans une grande cabine familiale. Je frappai pour qu'elle m'ouvre. C'est Amandine qui vint m'ouvrir. Elle referma la porte derrière moi et mis son index sur ses lèvres :
- Pas un mot. Tu restes sage.
Me contenter de regarder m'allait parfaitement pour le moment, même si la proéminence de mon sexe sous ma serviette trahissait d'autres désirs. Les filles s'installèrent sous la douche et Lisa prit le jet pour laver Amandine.



Sous l'eau tiède, les filles s'embrassaient et se caressaient, totalement impudique. C'était d'un érotisme torride. J'étais absolument ravi car si Lisa n'est pas en reste question sexe et écarts extraconjugaux, je dois bien avouer, à mon grand regret, qu'elle est assez peu portée sur les plaisirs saphiques et qu'elle se s'offre que très rarement à une fille.



Leur complicité semblait réelle et les filles échangèrent un baiser particulièrement long et sensuel qui me rendit presque jaloux. Elles ne faisaient pas du cinéma dans le but de m'exciter mais prenaient réellement leur pied à se câliner. J'en avais de tels frétillements dans la bite que je ne supportai plus la pression de la serviette et chassai celle-ci pour libérer mon sexe dressé. Les filles ne préoccupèrent et continuèrent leur baiser.



La situation changea quand Amandine arracha soudain sa bouche à celle de Lisa. Elle se mit à gémir de plaisir et je compris en voyant la main de ma femme entre ses cuisses qu'elle était en train de la masturber. Amandine se tourna légèrement et je pus effectivement distinguer la main de Lisa dont un doigt fouillait le sexe de sa nouvelle copine.



Le spectacle était inouï et je me mis accroupi pour ne pas rater le moindre détail. Je voyais le majeur de Lisa se perdre dans le vagin d'Amandine, puis ressortir pour venir frotter le clitoris, petit morceau de chair que je pouvais voir bander comme un mini sexe. Lisa devait être douée dans cette discipline aussi puisqu'elle arracha rapidement un orgasme à Amandine qui se convulsa alors que le majeur de ma femme continuait à fouiller son sexe.



Amandine, jambes flageolantes, dut s'appuyer sur Lisa pour ne pas tomber. Elle était pourtant resplendissante. Je me rendis compte que j'étais en train de me masturber en la regardant. Lisa me gronda :
- C'est douche de filles, ici... Qu'est-ce que tu fais avec ta bite ?
- Désolé, c'était machinal...
- C'est surtout vulgaire devant cette prude jeune fille !



- On est sanitaire du Chêne, non ? Normal que j'y expose mon gland !
Les filles rigolèrent de ma plaisanterie. Amandine, qui avait repris des forces, se mit à doucher Lisa en essayant de l'attendrir :
- Ne sois pas dure avec lui, je trouve ça mignon moi qu'il bande en nous regardant.
Tout en me regardant, Lisa répondit à Amandine :
- Tu veux t'occuper de lui ?



Amandine ne répondit pas, mais elle posa la douchette et vint s'agenouiller devant moi. J'avais le cœur qui battait la chamade car j'avais son gland à seulement quelques centimètres de ses yeux et je savais déjà ce que serait la suite. Amandine commença à me lécher les couilles. C'était divin ! Puis sa langue remonta le long de ma hampe, lentement, jusqu'à atteindre mon gland. Lisa vint la rejoindre et attrapa ma queue pour la fourrer dans la bouche de la petite blonde.



Amandine était très douée en fellation et elle se mit à me pomper la bite tout en me caressant les couilles. Lisa vint s'appuyer contre moi. C'était un délice de sentir ses seins contre mon flanc et son sexe contre ma cuisse. Elle posa sa main sur la tête d'Amandine pour lui imprimer un rythme plus soutenu.



J'étais prêt à exploser quand on frappa à la porte de la douche. Nous ne faisions pourtant presque pas de bruits mais une femme semblait attendre depuis un moment avec ses enfants. Je crus que c'était fini car Amandine marqua une pose, mais Lisa vint se mettre derrière elle et profita qu'elle était penchée sur moi pour lui caresser la moule. Amandine replongea aussitôt sur mon sexe au moment même où je sentis la sève monter de mes couilles. Mon foutre vint emplir sa bouche et cette coquine avala absolument tout.



Voyant mes yeux fermés et mon visage abandonné au plaisir, Lisa comprit que j'étais en train de me vider en elle. Elle vint donc la rejoindre et la repoussa pour plonger aussitôt sur mon gland qu'elle pompa autant qu'elle put d'en l'espoir d'en tirer les dernières gouttes de sperme. Amandine ne resta pas inactive et reprit son savant léchage de couilles pour mon plus grand plaisir.



Quand Lisa se redressa, elle lui adressa un regard de reproche :
- Tu ne m'en as pas laissé une goutte !
- C'est moi qui ai fait tout le boulot...
Nous nous lavâmes rapidement et nous séchâmes tout aussi rapidement. La dame à la porte avec ses enfants hallucina en me voyant sortir avec Amandine et Lisa. Nous eûmes une franche rigolade dès que nous sortîmes des sanitaires en repensant aux yeux exorbités de la dame. La matinée était déjà très avancée. Lisa proposa :
- Il est presque midi. On te laisse manger avec Romain et on se retrouve ensuite à la plage ?
- Ça me va ! A tout à l'heure.
Nous regagnâmes les tentes pour nous habiller plus décemment et nous partîmes en quête de sandwiches pour notre déjeuner.