Entre réalité, rêves et fantasmes - La professeur d'histoire de terminale

Voilà un peu plus d'un an que je surfe sur ce site que j'apprécie tout particulièrement. J'aime bien d'ailleurs lire les histoires de plus en plus érotiques et échanger avec certaines personnes. Finalement, je me rends compte que je ne suis jamais présenté. C'est peut-être l'occasion de le faire à travers cette nouvelle série d'histoires que je vais intituler « Entre réalité, rêves et fantasmes », où je vais raconter plusieurs expériences de ma vie avec des femmes plus ou moins mystérieuses.



Aujourd'hui, âgé d'un peu plus de trente-cinq ans, je suis une personne aux cheveux bruns, assez grand et maintenant beaucoup plus ouvert. En effet, j'étais un jeune homme assez réservé. Je pratiquais un sport collectif mais, cela ne m'avais pas permis de vaincre ma timidité pour aborder les filles. Pourtant, en classe de terminale, à l''âge de dix-huit ans, une jeune fille aux cheveux bruns attirait mon attention. Je me souviens encore de son prénom, Sandrine, qui était la première de la classe. Elle avait des cheveux mi-longs et des petits seins menus.



Elle était au fil de l'année, devenue une copine et m'a permis de me surpasser dans les études, car mon but était d'obtenir de meilleures notes qu'elle pour essayer de l'impressionner. J'y parvenais mais, je n'osais pas encore franchir le pas même si elle portait des tenues de plus en plus courtes et semblait apprécier ma compagnie puisque nous passions de plus en plus de temps ensemble.



Finalement, pendant une bonne partie de l'année scolaire, j'ai fantasmé sur ma professeur d'histoire. Assez jeune, même pas la trentaine, elle enseignait depuis trois ans dans le lycée. Elle était assez grande et mince, avec des cheveux blonds. Elle portait souvent des robes en classe.



Pendant, les pauses, elle discutait souvent avec les élèves et j'imaginais ses envies de sexe avec un jeune timide et quasiment le meilleur élève de la classe.



En classe, elle avait souvent les yeux des garçons rivés sur son joli petit cul, qu'elle savait mettre en valeur avec ses tenues.



Je me masturbais souvent en pensant à elle où à Sandrine.



Ainsi, une nuit, je fis ce rêve érotique où cette belle professeur d'histoire était le personnage principale, au centre de toutes mes bonnes intentions.



A la fin du cours de la dernière heure de l'après-midi, alors qu'elle avait enfilé une tenue encore plus provocante que les autres jours, alors que je passais devant elle en la saluant, elle m'expliqua qu'elle désirait me parler.



Elle attendit que tous les élèves sortent de la salle de classe et ferma la porte. Elle se rapprocha de moi et sans rien dire, elle se laissait tomber à genoux. Je l'admirais comme figé, tandis que qu'elle détachait mon jean et baissait la fermeture éclair rapidement, pressée de voir mon sexe. Elle baissait jean et slip d'un même mouvement jusqu'au genou et ma bite, longue, droite, sans prépuce bondit sous son nez, gonflée à bloc, sursautant à chaque battement de mon cœur.



Elle se mit à saliver comme une affamée en me regardant palpiter, regardant aussi mes testicules qui pendaient très bas, sans aucun poils, Fermant les yeux, elle commençait à me masturber et à venir lécher le bout de mon gland, tandis que je caressais sa tête doucement.



Je soupirais et geignais faiblement, toujours silencieux, profitant pleinement de la situation. Mon gland qui surgissait de Sa chair tendre semblait avoir redoublée de volume et une goutte claire de liquide séminal s'en écoulait en s'étirant. Elle la léchait, elle frissonnait, nerveuse, nerveuse, excitée, troublée.



Je me mis à remuer mon membre, ce qui poussa mon gland entre ses lèvres. Elle saisit mon sexe si dur entre mes petites mains et l'enfonçait dans sa bouche en écartant les mâchoires au maximum. Mon gland glissait sur sa langue et contre son palais jusqu'à sa gorge ou presque. Elle le sentit frémir, elle serrait les lèvres et commençait à le sucer lentement, donnant de la tête en aspirant, enduisant mon membre de salive épaisse.



Elle agitait sa petite langue tout autour du membre en le pompant avidement.



Elle donnait de la tête, tenant la bite d'une main à présent, caressant mes couilles.



Elle entreprit ensuite de me lécher tout le long de la hampe à petits coups de langue.



Elle n'oubliait pas de gober mes testicules tout doucement.



Elle remontait le long du membre veiné et alternait de petits vas- et- vient avec ses lèvres et sa langue tournoyant sur le bout de mon gland.



Ma bite était si raide que le moindre attouchement la faisait rebondir, puis, langue sortie et bouche grande ouverte, elle décidait de gober en entier ma verge. Elle regardait alors mon membre disparaître peu à peu entre ses lèvres étirées au maximum.



Elle me regardait droit dans les yeux, ma bite enfoncée jusque dans sa gorge et elle vit le désir brûlant qui m'habitait. Un feu doux bouillonna dans mon ventre me dictant de continuer. Mains sur mes cuisses elle tournait la tête de droite à gauche me sentant frissonner.



J'avais les deux mains dans ses cheveux fins sans essayer de la forcer à quoi que ce soit. C'est alors qu'elle sentit mon sexe se contracter et mon sperme gicler. Le goût âcre et salé lui emplit la bouche et passait lentement dans sa gorge. Le premier jet fut suivi de plusieurs autres, longs et continus.



Essoufflée, elle me suçait tout de même encore un peu avant de sortir ma bite de sa bouche.



Malheureusement, cela n'était qu'un rêve avec ma professeur d'histoire et en me levant le matin, les draps sans souvenaient certainement, des draps que j'avais pris pour la bouche de ma jolie professeur.



Pourtant, le lendemain, mon regard n'avait pas changé sur la professeur qui me paraissait de plus en plus jolie dans ses tenues et me motivait pour obtenir de biens meilleures résultats en classe et décrocher mon baccalauréat.



Mais, avant, je devais trouver un moyen de déclarer enfin ma flamme à Sandrine, qui comme toutes ses amies, portaient des tenues de plus en plus courtes avec les beaux jours arrivants.



Je l'imaginais, elle aussi en experte de la fellation.



Maintenant, serais-je assez courageux pour le découvrir et ne plus seulement le rêver ?