Deux plus une font trois


Ce soir, Mélanie et Ève organisent une soirée entre voisins, pour fêter leur arrivé dans le village.
Elles sont occupées à dresser la table.

Ève s'avance derrière Mélanie, la prend par la taille et lui donne un tendre baiser dans le cou.




Mélanie tourne la tête et lui prend les lèvres.




Ève caresse le ventre plat de son amie, remonte sur les seins, puis glisse une main plus bas, entre les cuisses.

- Oh la vilaine, sourit Ève, mais elle n'a pas mis de culotte et elle s'est épilée... salope...!
- Hum, gémit Mélanie, je n'ai pas mis de culotte pour que tu puisses caresser ma petite chatte...
- C'est pour moi que tu as fait ça... et si je la faisais mouiller ? Tourne-toi... embrasse-moi...




Les deux femmes se donnent un farouche baiser puis Ève saisit Mélanie par la taille, et la force à s'asseoir sur la table, après l'avoir mise totalement nue.
Obéissante, Mélanie s'allonge, jambes écartées.
Ève s'accroupit et écarte les lèvres intimes de son amie à l'aide de ses doigts.




- Hum, quelle belle chatte, dit-elle, bien fraîche, bien mouillée. Elle ne demande qu'à être mangée.
- Oh oui ma chérie, souffle Mélanie, mange-la, vide-la de son jus...

Ève lèche la chatte ouverte, excite le clitoris.
La respiration de Mélanie s'accélère, son corps est pris de spasmes.
L'orgasme est proche.




- Tu aimes, salope, dit Ève, tu aimes ce que ta maîtresse fait à ta petite chatte ?
- Oh oui maîtresse, c'est tellement bon... oui... je jouis... oui...

Effectivement, l'orgasme est puissant.




Ève profite de sa domination, pour faire avouer n'importe quoi à son amie.

- Dis que je suis ta maîtresse, que je peux faire ce que je veux avec toi...
- Oui, tu es ma maîtresse, mon corps t'appartient...
- Ce n'est qu'un jeu ma chérie, poursuit Ève. Tu sais très bien que t'aime...
- Mais ça me plait que tu me domines, répond Mélanie. Moi aussi je t'aime, et je ne veux pas te perdre. Je ne pourrai jamais me passer de toi...




Ève se penche sur le visage de Mélanie et l'embrasse tendrement.
Mélanie passe une main sur le ventre de son amie pour envenimer le baiser.




- Allons nous doucher, propose Mélanie, on a du travail et nos invités ne vont pas tarder.
- Dommage, répond Ève, je t'aurais bien mis ton compte, petite vicieuse...!




Les invités arrivent vers vingt heures.
Mélanie et Ève jouent le rôle d'hôtesses.




Le dernier couple est accompagné de leur fille Leila, âgée de dix neuf ans.
D'une beauté à couper le souffle.




- Ouah, tu as vu la bombe, fait remarquer Mélanie, je me la taperais bien...!
- Ouais, c'est ça, dit Ève, fais gaffe, ne m'oblige pas à de te donner la fessée.
- Oh la, sourit Mélanie, ma maîtresse serait-elle jalouse...?




Pendant toute la soirée, Ève surveille son amie.
Mélanie le remarque, fait exprès de s'éclater ouvertement, exhibant ses seins à tout le monde car son top est presque transparent...




Elle tourne autour de la jeune femme en dévoilant son intimité que ne dissimule aucun sous-vêtements et cela, parce que qu'elle est excitée par Leila, mais aussi, surtout, pour rendre Ève morte de jalousie.
Elle y parvient, à tel point qu'Ève ne peut s'empêcher d'intervenir.
Ève saisit Leila par le poignet.
Sous l'énervement, elle ne se rend pas compte que son léger soutien-gorge a glissé et dévoile presque complètement sa jolie poitrine...




- Je peux te voir jeune fille, dit-elle, il faut qu'on parle toutes les deux.
- Bien sûr, Madame, répond poliment la jeune femme.

Les deux femmes se mettent à l'écart.
Mélanie les suit du regard, puis retourne vers ses invités, toujours excitée et dansant de façon très provocante.




Au bout d'un moment, elle s'aperçoit qu'elles ne sont plus là, ça l'intrigue.

Elle monte aux étages, à la recherche de son amie.
En passant devant la chambre, elle entend des petits cris.
Elle pousse la porte et découvre un spectacle hallucinant.

Ève est entièrement nue, jambes écartées.
Installée à ses côtés, Leila, qui est resté habillée, lui caresse la chatte.

- Alors, Madame, c'est bon ce que je vous fais, dit Leila, vous aimez ?
- Oh oui j'aime, gémit Ève, ma chatte est toute mouillée...vas-y, branle-la, je t'en prie...




Mélanie voit les doigts de la jeune femme disparaître dans la chatte d'Ève qui se tord sous la vicieuse caresse.
Le pouce excite le clitoris entièrement décapuchonné.




- Hum...hum, râle Ève...oh oui, doigte mon petit bouton... c'est bon tu sais...
- Vous aimez vous faire caresser le clitoris, Madame...
- Oui, c'est tellement excitant de se soumettre une jeune fille aussi belle que toi... mais, je t'en supplie, ne dis rien à Mélanie...
- Pourquoi, sourit Leila, vous avez peur qu'elle ne vous oblige à vous soumettre à ses caprices ?
- Oh mon dieu... assez... assez, se plaint Ève, je viens... ça fait deux fois que tu me fais jouir...
- Et alors, répond Leila, vous n'aimez pas que je fais à votre chatte... que je vous doigte le clitoris ? C'est vrai que vous préférez votre amie... allez, jouissez, salope... voila, bien, c'est bon hein ?
- Oh oui... oui... je jouis... je t'en prie... que Mélanie ne sache rien...elle voudra jouer avec moi après...




C'est au moment ou Ève atteint l'orgasme, que Mélanie fait irruption dans la chambre.
Mélanie a un léger sourire en entendant son amie hurler de plaisir, soumise à la jeune femme.
Elle profite du spectacle de ces deux femmes qui se donnent maintenant beaucoup de plaisir.
Cela l'excite davantage et, après s'être très vite dévêtue, elle ne peut s'empêcher de jouer la voyeuse et se caresser...




Leila l'aperçoit et lui fait signe d'approcher.
- Tiens, dit-elle, justement, voila Mélanie. Mélanie, viens t'amuser avec elle, elle est prête.
- Alors, dit Mélanie, qu'est-ce-qu'elle ta fait, ta petite chatte est toute mouillée ?
- Si tu savais comme elle s'est amusée avec moi... elle m'a faite jouir deux fois. S'il te plait, ne me laisse pas, viens te coucher avec nous, j'ai besoin de toi...
- Je suis à toi mon amour. Tu seras sage j'espère ?




Les trois amies passent le reste de la nuit à faire l'amour.
Mélanie, pas rancunière, ne profite pas de sa position de force.
Mieux, elle tient à ce que Ève reste la maitresse.







- Après tout, c'est ma faute reconnait Mélanie. Si je n'avais pas essayé de te rendre jalouse, ça ne serait jamais arrivé. Ma petite chatte t'appartient toujours ma chérie.




La nuit s'annonce chaude, très chaude...