David et les femmes - 4

Trois jours, trois jours à attendre. David avait trois jours avant de penser à cette belle brune, Chloé, qui allait enfin revoir. Depuis le soir du premier échange sur internet, elle ne quittait pas ses pensées. Il ne cessait de l'imaginer, plus rayonnante et plus belle encore.



Dans ses pensées et dans ses rêves, Chloé avait toujours des tenues érotiques avec des bas.



Trois jours suffisaient à David pour rechercher une photographie de Chloé, un des souvenirs de la faculté. Ainsi, le jeune homme dénicha un cliché où Chloé était seule. Elle semblait heureuse.



Trois jours ! S'était assez pour David pour se rappeler une aventure érotique qui restait encore dans sa mémoire lors qu'il trouva dans pendant ses recherches, une photographie d'une femme.



De retour de ses vacances dans le Sud de la France, et après sa première expérience avec Amélie, il était dans sa chambre à écouter de la variété française. De temps en temps, il jetait un œil par la fenêtre et aperçut une voiture en train de de se garer dans la rue. C'était celle de Carole, la voisine sur le point d'ouvrir la portière.



En la regardant de son point d'observation, David s'intéresse au monde extérieur, matérialisé par cette charmante touche de féminité.



C‘était une belle femme de vingt-six ans qui portait toujours des tenues la mettant en valeur.



David l'observait avec attention et n'avait d'yeux que pour ses beaux cheveux souples, libres pour une fois, qui retombaient en cascade au bas de son dos.



David soupira quand elle disparut dans la maison. Il fantasmait sur sa délicieuse voisine à maintes reprises.



Aujourd'hui, en la voyant, elle lui rappelait même Amélie, qui n'avait malheureusement pas donné de nouvelles depuis la fin du séjour.



Amélie et ses tenues qui avaient égayer les vacances de David.



Mais, cela semblait bien loin pour David maintenant.



Des visions de la belle voisine accompagnaient les rêves de David.



Parfois, elle était un peu plus dénudée dans l'imagination de David



Elle pouvait même être en train de faire l'amour avec un amant imaginaire dans les rêves les plus débridés.



Il la trouvait troublante pour ne pas dire terriblement sexy.



C‘était une amie intime de sa mère qui ne manquait pas une occasion de l'inviter car Carole élevait seule son enfant, que la mère de David avait en garde, lorsque la jeune fille blonde travaillait.



David s'arrangeait pour être près d'elle : il pouvait avoir le plaisir de l'admirer longuement en contemplant son joli visage de poupée et ses yeux clairs vifs, envoûtants.



En devinant ses formes pleines à travers ses tenues et en sentant son parfum qui le mettait dans tous ses états.



Sa jolie voisine représentait la femme parfaite, fatale.



David était bien conscient qu'il n'avait aucune chance de la séduire.



Ne serait-ce qu'une seule seconde.



Le jeune homme entendit alors le son de la sonnette. Il alla ouvrir vite et il aperçut derrière la porte Carole avec un large sourire.



- Bonsoir David, dit Carole en tenant ses clefs et son téléphone à la main.



Elle s'avança pour lui faire la bise : quand ils se frôlèrent et que leurs lèvres mutuellement se posèrent sur les joues, il ressentit plein de petits frissons qui lui parcoururent le corps. L'adolescent adorait cette petite étreinte formelle et aurait tant voulu prolonger ce contact intime.



- Entrez, répliqua David



David s'effaça poliment pour la laisser entrer et referma la porte derrière elle. Le vestibule était assez vaste dans cette maison ancienne et l'arrivée de cette femme si séduisante lui offrait brièvement l'opportunité de la suivre de près jusqu'à la pièce où se trouvait sa mère et l'enfant de Carole.



Elle était juste devant et il pouvait contempler la robe s'animer, une bretelle blanche de soutien-gorge encore en train de glisser sur un bras et l'imperceptible déhanché des fesses qui acheva de mettre en feu son ventre.



Carole salua chaleureusement ses parents en arrivant dans la pièce.



Avec un large sourire, elle prit son bambin dans ses bras et expliqua ensuite piteusement qu'elle était en panne de café pour le lendemain. Un peu tête en l'air, fidèle à sa réputation, elle avait oublié d'en acheter et peut-être pouvait-on la dépanner jusqu'à demain soir. Une question de vie ou de mort !



La mère de David rit de cette péripétie et chercha dans un placard un paquet d'arabica qu'elle remit à son Carole.



Pendant ce temps, David était bouche bée à fixer sa voisine avec intensité raconter sa journée de travail. Elle avait toujours l'anecdote, le bon mot qui ravissait ses parents : elle ne laissait personne indifférent.



Intérieurement, il pensait à tout ce qu'il pourrait essayer de tenter, avec quelques années de plus ou maintenant, en imagination. Oser un geste équivoque, l'embrasser, lui écrire un mot.



Ce soir-là, son intimité commença à se réveiller, à le travailler. Des rêveries érotiques qu'il soulagea avec sa main. Il pensait que c'était sa belle voisine qui s'occupait de lui procurer du plaisir cette nuit là.



Par ses lèvres charnues ou ses longs doigts aux ongles vernis de rouge enroulés autour du membre palpitant qui le menaient à l'orgasme, arrosés par la semence qui avait giclé. Le désir pour une femme épanouie, désirable.



C‘était encore plus excitant que les films pornos que l'adolescent avait déjà visionné dans l'intimité de sa chambre.



Même si les actrices pornographiques avaient des charmes non négligeables.



Surtout les actrices blondes, le petit pêché mignon de David.



David observait le corps en pensant à sa voisine.



Il les regardait nue en se demandant comment faire pour parvenir à ses fins avec sa voisine.



David voulait que son sexe soit à la place des bananes que mangeait souvent Carole.



Ses bananes que la jeune femme aimait tant et mangeait délicatement et sensuellement d'après l'imagination de David.



Deux semaines plus tard, David rentrait de sa première journée du lycée quand il vit Carole lourdement chargée qui essayait avec difficulté d'ouvrir sa porte d'entrée. Sans réfléchir, le jeune homme laissa tomber son sac à dos sur le trottoir et accourut vers elle pour lui donner un coup de main.



Elle avait ses provisions dans les bras et s'escrimait à fouiller dans son sac à main pour dénicher les clés. Trop occupée pour s'apercevoir de sa présence, Carole eut un sursaut quant il attrapa les sacs sur un côté, en touchant sa main et effleurant sa poitrine en feignant la maladresse.



Elle eut peur mais vit avec soulagement David, un grand sourire aux lèvres, plein de galanterie lui proposer son aide. Reconnaissante, la femme remercia et l'invita à entrer pour poser les sacs.



- Tu peux les poser ici. Tu veux boire quelque chose ?
- Euh oui d'accord, si ça vous dérange pas.
- Viens, on va s'assoir là.
David était tout timide, il n'osait pas la regarder dans les yeux. Carole ôta ses escarpins pour se mettre à l'aise, servit deux verres de coca-cola.



Elle s'assit en face de lui.



Le jeune homme avait maintenant une vue directe sur les charmes de sa voisine qui se détendait sans penser à mal. Elle avait croisé ses jambes, ce qui avait fait remonter assez haut la jupe de Carole.



Dans le mouvement, David avait entraperçu le haut des cuisses moulé par des bas auto-fixants, une vision largement suffisante pour embraser encore son bas-ventre car le décolleté de son corsage laissait deviner également la naissance des seins et soulignait leur forme pleine, féminine.



- Alors cette journée ?
- Cela peut aller
La gorge serrée et la voix étranglée par l'émotion ne laissaient sortir que quelques bribes de phrases.
- Dis moi, tu es bien en bac ES, c'est très bien, mais difficile.
David se rappelait du métier de Carole, assistante de direction dans une agence d'assurance.



- Et les filles ? À ton âge, on a beaucoup d'histoires d'amour, non ? Au lycée, j'avais toujours un ou deux garçons qui voulaient sortir avec moi ! s'exclama-t-elle avec un grand sourire malicieux et complice.



Il se fit la réflexion à l'instant qu'il aurait énormément apprécié de l'avoir dans sa classe. Pour avoir la chance de l'approcher sans la barrière de l'âge.



La conversation prenait une tournure nouvelle, intime pour lui qui répondit un autre vague » ça peut aller... » à cette question indiscrète. Encouragé par ces confidences, David s'enhardit.
- Je peux vous poser une question ?
- Oui, bien sûr David.
Elle se redressa et balança ses longs cheveux en arrière.



- J'aimerais savoir ce qui plaît aux femmes ?
Il prit son courage à deux mains et regarda Carole dans les yeux, comme pour lui faire comprendre que ce message était pour elle.



- Ce qui leur plait ? C'est une question compliquée ça ! Mais, disons que les femmes aiment les choses attentionnées, romantiques comme des fleurs, un cadeau, la surprise d'une invitation au restaurant, des moments imprévus comme un dîner aux chandelles. Je crois qu'elles apprécient beaucoup en tout cas pour moi, de savoir qu'elles sont aimées et désirées.



Carole avait souri à cette question charmante en se demandant si son jeune voisin voulait connaitre d'autres conseils de séduction féminine ! Peut-être avait-il en tête une jolie camarade de classe à conquérir ?



Mais David n'avait plus envie de paroles à cet instant. Il dévorait des yeux Carole en se demandant ce qu'il pourrait faire maintenant chez elle pour la séduire pour qu'elle cède à ses avances.



Il régnait maintenant une certaine tension érotique dans la pièce entre une femme et un homme seuls, que Carole connaissait trop bien et qu'elle essaya d'arrêter en se levant brusquement pour remplir à nouveau son verre.



Elle évita soigneusement son regard avec gêne, troublée par la tournure des évènements en pensant intérieurement à ce qui avait déclenché subitement cette étrange complicité avec le fils de sa meilleure voisine.



Tout en sortant le coca-cola, elle lui montra le paquet de café à rendre pour la mère de l'adolescent.



Mais dans un état presque second, David ne l'écoutait plus : il se rapprocha, l'attrapa subitement par les hanches face à lui et l'embrassa sur la bouche, en la poussant contre le meuble.



Comme inerte, Carole ne réagit pas, tellement étonnée par ce geste. A ce moment là, toujours collé contre elle, l'adolescent pouvait sentir la chaleur de son corps, la poitrine élastique qu'il touchait du buste, le ventre tout proche.



Rouge d'émotion, David brisa le silence avec son regard le plus séducteur, malicieux et demanda :
- Et ça, c'était assez imprévu... ?
Sans attendre une réponse, il se mit à la caresser avec fébrilité, passant d'une hanche à la cambrure des reins, commençant à malaxer la chair ferme des fesses, fou de désir.



Prenant brusquement conscience de la situation, Carole le repoussa violemment et s'appuya les mains derrière le réfrigérateur pour se donner une certaine contenance. Elle était ahurie bouleversée par l'audace du fils de sa meilleure amie.



- Oh mon Dieu... Non, David ! Qu'est ce qui t'es arrivé ? Pourquoi tu as fait ça ?
- Je vous aime, je suis dingue de vous depuis des années. Carole, je pense à vous tout le temps !



- Non, non, ce n'est pas possible ! Non ! Tu devrais partir, rentre chez toi. On va faire comme si rien ne s'était passé ! Pas la peine d'en parler !
Carole poussa le jeune homme de la cuisine, elle le mit avec empressement à la porte puis se couvrit le visage des mains pendant un long moment. Elle était mal avec un sentiment de honte d'avoir séduit involontairement ce garçon sans le vouloir.



Elle était aussi troublée par cette brève étreinte, ce baiser maladroit, fougueux, amoureux ce corps masculin contre elle. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas senti le désir d'un homme pour elle et il lui fallait aussi à présent admettre qu'elle avait sa part de responsabilité dans cet écart qu'elle espérait passager.



En revenant à la cuisine, Carole pensa bêtement au paquet de café qu'il avait laissé dans la précipitation mais elle ne se sentait pas la force d'aller sonner chez ses voisins maintenant. Revoir son regard plein d'espoir, d'amour fou et de désir, non, elle ne pouvait pas.



De son côté David n'en revenait pas, c'était tellement mieux que dans ses rêves les plus fous, ses fantasmes.



Elle n'avait pas eu une réaction quand il l'avait embrassée ! Peut-être ne lui était-il pas indifférent après tout.



L‘adolescent rentra chez lui en ne cessant de repenser à ce baiser, à ses mains sur ses hanches, son corps.



Son odeur qu'il avait encore sur lui.



Enfermé dans sa chambre, David était tellement excité que son sexe en érection lui faisait mal, trop à l'étroit dans son boxer.



Il se libéra sur son lit et commença à se caresser, les yeux fermés, concentré sur ce qu'il venait de vivre. Après quelques mouvements sur son pénis qui lui semblait encore plus gros que d'habitude, le plaisir vint rapidement.



- Carole... Carole...!



Le jeune homme n'avait pu s'empêcher de crier son nom au moment de l'orgasme.



Mais, cela semblait maintenant assez loin pour David même s'il avait été plus loin avec Carole et qu'il ne pouvait pas oublier.



Il faut dire que l'aventure de vacances avec Amélie l'avait transformée et qu'il se sentait mieux avec les femmes.



Encore trois jours à attendre avant de voir à nouveau Chloé, pensait-il en regardant la photographie et en se rappelant les bons et longs moments passés sur le net avec cette muse.



La joie avait regagné son cœur.



David avait choisi un restaurant dont le cadre était romantique à souhait, la nourriture excellente. Il voulait passer un bon moment auprès de Chloé.



En repensant à Chloé, son cœur s'était emballé plus que de raison. La dernière fois qu'il l'avait vu lors d'une soirée étudiante, cette charmante brune était en train de se déhancher sensuellement sur la piste de danse.



Vaguement honteux, David se revoit encore là à se trémousser en faisant l'intéressant dans l'espoir de capter son attention.



L‘ondulation de ses hanches pleines ou le balayage de sa chevelure souple l'avaient électrisé à un point tel que, prenant son courage à deux mains, il avait eu envie de lui parler et plus, si affinités selon la formule consacrée.



Mais, David n'était pas parvenu à ses fins dans ses tentatives de séduction.



Mais, aujourd'hui, David allait au rendez-vous plein d'espoir secret.



Pourtant, David savait qu'elle n'était pas le genre marie-couche-toi-là.



Qu'elle ne soit pas une femme facile, cela convenait parfaitement à David qui était flatté et tout simplement heureux de voir à nouveau Chloé.



Samedi soir, Chloé irradiait de sensualité, rayonnait littéralement.



David l'aperçut assis dans le gymnase pendant l'échauffement.



A la façon qu'elle s'installe tout sourire, dans sa tenue un rien élégante, discrète et moulant parfaitement ses courbes superbes.


David se dit que cette soirée démarre très bien.



Chloé porte une jupe bien ajustée.



La couleur de sa tenue met en évidence ses jolis yeux.



Elle porte un haut qui laisse ses épaules nues.



Elle porte des jolies bottines.



Le match terminé et gagné par l'équipe de David, ce dernier prend sa douche. Il va rejoindre ensuite rejoindre Chloé qui le félicite et lui offre un bouquet de fleur.



En lui faisant la bise, David respire avec émotion les effluves retrouvées du parfum et du coin de l'œil, fugitivement, dans le corsage baillant, la fine dentelle du soutien-gorge lui apparait comme la vision annonciatrice d'ébats sensuels, raffinés et passionnés.



Mais la belle s'éloigne un instant, le laissant songeur à de si douces pensées érotiques.



En revenant, Chloé le remercie chaleureusement du bouquet de fleurs qu'elle dépose dans sa voiture avant de prendre en marchant le chemin du restaurant distant de trois centres mètres de la salle omnisports. David a ainsi tout loisir d'observer Chloé.



Le repas se passe très bien. David apprend que la gastronomie est une des grandes passions de Chloé et qu'elle adore faire la cuisine. Petit à petit, la discussion évolue d'un plan presque formel à une certaine complicité pour ainsi dire charmante.



Cette soirée se poursuit de la plus belle des manières, faite d'attentions, d'esprit et de connivence. Imprévisible, malicieuse et si séduisante.



Tout en l'écoutant parler attentivement, David pose ses yeux discrètement sur le tissu uni de la robe légèrement relevée qui découvre de belles jambes.



Proche de Chloé, David peut presque ressentir la chaleur de son corps, tout près.



Son imagination divague, en une envie folle de l'allonger près de lui.



Et son émoi irrépressible qui gonfle le bas de son ventre, à en devenir visible, l'oblige à se redresser. A table, la magie de l'instant reste sublimée par la finesse des mets servis ! David était également sous le charme de Chloé.



Elle est véritablement d'une beauté renversante.



Le repas terminé, les deux jeunes gens sortent du restaurant et en prenant, chacun leur véhicule, se rendent dans l'appartement de Chloé.



Son appartement est sobre, peint tout en blanc et seulement décoré de deux tableaux représentant le Haut-Doubs dont elle est originaire. Cette soirée se poursuivit comme elle avait commencé, c'est-à-dire délicieusement.



Chloé juge qu'il était temps de mettre un peu de musique et de baisser légèrement l'éclairage du living. Chloé se relève du divan pour mettre un peu de musique, du jazz. Dans la douceur de cette nuit, les deux jeunes gens parlent doucement sur un mode confidences, de la vie en général.



Progressivement la conversation s'éteint doucement : avec malice, Chloé d'un coup de télécommande enchaine sur les rythmes chaloupés et ensoleillés.



Elle est debout nature, au milieu de la pièce à fredonner la mélodie tout en se laissant bercer par la musique.



David décide de lui barrer la route et tente un rapprochement.



- Tu es très belle, j'ai envie de t'embrasser.



C'est Chloé qui rapproche sa bouche de la sienne, dans la position de la femme qui s'offre et s'abandonne à son amant.



La bouche passionnée de David s'appuie contre les lèvres si rouges de la jeune femme en les entrouvrant.



David introduit la langue dans sa bouche puis l'embrasse voluptueusement. Ce premier baiser ne dura pas loin d'une minute. Les deux jeunes gens s'offrent complètement l'un à l'autre.



Ils se dévorent littéralement la bouche, suçant leurs lèvres et mélangeant leurs salives avec leurs langues qui s'amusent à danser l'une contre l'autre.



Les doigts de David frôlent le cou découvert de la belle avant de s'aventurer sur cette peau si douce au parfum de femme qui l'émeut tant. Le cœur battant, c'est avec beaucoup d'émotion que d'une main, David entame l'exploration des courbes voluptueuses de la jeune femme.



Le corsage ouvert lui permet de gouter d'une légère caresse à la fine dentelle du soutien-gorge avant de pétrir avec fougue la poitrine pleine, enveloppée du fin tissu.



Chloé frémit de plus en plus fort au passage des mains indiscrètes, de plus en plus audacieuses.



David abandonne la bouche de Chloé pour aller lui embrasser chaque sein, dont les tétons se montraient à chaque fois un peu plus durs à chaque passage de ma bouche et de ma langue. David s'offrir à sent Chloé s'offrir à lui de plus en plus.



Elle pousse de petits gémissements à chaque fois que David lui suce un téton.



David reste sur ses seins de bonnes minutes tellement ils sont excitants et de toute beauté.



David est heureux.



Vient ensuite le moment où David dégrafe la jupe moulante qu'elle portait pour s'apercevoir qu'en-dessous, Chloé porte des bas fumés sur un porte-jarretelles très excitant et une petite culotte en dentelle.



David se dit qu'elle a tout prévu pour l'exciter.



Savait-elle par avance que nous deux, ça se conclurait de cette façon ?



Elle était un peu coquine.



David caresse longuement ses grandes jambes fines.



Les mains de David remontent depuis ses fines chevilles jusqu'en haut de ses cuisses galbées sous les bas noirs soyeux pour atterrir aux dentelles de sa petite culotte.



Chloé ne dit plus rien, ne gémit plus.



David est maintenant assis. Il enlève son pantalon et caresse Chloé qui sent la chaleur monter.



Elle sent tout contre elle, cette colonne de chair comprimée dans le boxer de David qu'elle effleure d'un doigt avec amusement.



La douce reste debout immobile, la respiration haletante, poussant un gémissement passionné. David embrasse alors le pubis à la fine toison, léchant en écartant délicatement cette féminité humide qui se cambre pour mieux se donner, agitée de brulants frissons qui font crier de plaisir.



L'orgasme tend les muscles de Chloé.



Les muqueuses inondent la bouche de David qui continue à lécher délicatement l'intimité de la jeune fille.



Chloé s'offre docile à ses caresses buccales. Seuls quelques râles de plaisir sortaient de sa bouche.



De son côté, la verge de David lui fait mal d'être aussi dure et de n'avoir rien à se mettre sous la dent. Il se redresse soudainement et avance son sexe vers le visage de Chloé.



Un instant, il se dit qu'il y va un peu fort, d'imposer comme cela, sans préavis, une fellation.



Il risque un refus, mais après tout ne vient-il pas de lui donner du plaisir et n'est-ce pas à son tour d'en recevoir ?



Chloé se redresse sur les coudes et c'est de bonne grâce qu'elle commence à sucer le bâton de chair.



Elle y met tout de suite une évidente bonne volonté pour le plus grand plaisir de David.



Cinq minutes à se faire engloutir le membre par une bouche aussi pulpeuse,
David n'est pas loin de l'orgasme.



Désireux de ne pas jouir en elle de cette façon, il lui confisque la verge des lèvres.



Il s'allonge à ses côtés pour aussitôt s'introduire en elle. Dès les premiers assauts, Chloé est comme folle.



Elle pousse de puissants râles de plaisir.



David se sent devenir taureau dans ses bras. Si dur, si puissant, il veut tout lui donner.



Imposant, déchainé, son pénis semble grossir encore en elle, donnant de grands coups de reins qui la font tressauter avec des petits cris de plaisir.



Chloé accompagne David en rythmant son bassin sur ses pénétrations régulières, active.



Une main empoigne nerveusement les fesses de David comme pour l'encourager à la pénétrer plus profondément.



Elle se blottit tout contre David qui lui dit qu'il l'aime.



Elle lui répond.



Juché en elle, perdant petit à petit de ma vigueur animale, David reste encore là avec cette sensation merveilleuse de plaisir assouvi.



Sa semence finissant de s'écouler dans son intimité brulante.



Les deux jeunes gens s'enlacent tendrement, longuement sans un mot.



La main de Chloé enveloppe délicatement tout en bas David pour le faire réagir.



Elle a les doigts pleins de nos fluides mêlés : David se remet à bander, une érection lourde, impérieuse et si forte, à la limite de l'obscénité.



Chloé veut refaire l'amour et David aussi.



Les ébats se répètent à nouveau sans un mot, comme si les deux jeunes ont du temps à rattraper.



Enfin, les deux jeunes s'endorment dans les bras l'un et l'autre sans pouvoir se quitter, totalement épuisés par la nuit d'amour.



Chloé a offert son corps comme un cadeau aussi précieux que son cœur.



David n'est plus le célibataire endurci et c'est bel et bien Chloé qu'il aime !



Le matin, au réveil, Chloé enfile une belle nuisette.



Le dimanche, après le repas de midi, David quitte avec regret Chloé.



Les deux jeunes promettent de se revoir rapidement et David laisse son adresse à Chloé.