David et les femmes - 5

David rentre dans son appartement et regarde à nouveau la photographie de Chloé.



Elle est belle et rayonnante.



Il la veut tout de suite à côté d'elle mais il doit travailler pour améliorer sa présentation de son sujet de master d'Histoire, prévue pour le lundi matin.



Par hasard, il regarde la photographie de Carole et pense encore malgré tout à elle.



Même avec la nuit torride qu'il vient de passer avec Chloé, il ne peut pas encore la chasser de sa mémoire, surtout qu'il la revoit quelquefois quand il passe chez ses parents.



Ainsi, depuis le fameux baiser, un mois avait passé, mais David était persuadé au fond de son âme que cette femme était pour lui.



Pour l'avoir tenu dans ses bras, senti la chaleur intime de son corps contre lui. Elle n'avait pas réagi quand ses mains s'étaient faites baladeuses. Sur la gorge nue, ses seins pleins avant de descendre rapidement sur les hanches et les fesses élastiques. Ces souvenirs encore à présent le mettaient dans un état d'excitation hors du commun.



Ce samedi matin, ses parents étaient partis et l'adolescent avait décidé de rester dans sa chambre à réviser ses cours. Quand il entendit la porte de la maison d'à côté se refermer, son sang ne fit qu'un tour. David se pencha de sa fenêtre pour voir sa voisine sortir de chez elle.



Elle était toujours aussi belle dans une robe sombre légèrement courte qui libérait de jolies jambes si fines et moulait parfaitement une silhouette féminine.



Le cœur battant la chamade, il dévala l'escalier et courut dehors à toute vitesse pour lui parler.



Carole était déjà montée dans sa voiture, il s'approcha d'elle et tapa à la portière :
- Carole !
Elle ouvrit la vitre. Le jeune homme pouvait sentir les effluves de son parfum capiteux.
- David ! Qu'est-ce que tu veux ?
- On peut parler ? S'il te plaît. rien qu'une minute.
-Non David, désolé, je suis pressée !



Carole démarra en trombe.



L'adolescent dépité la regarda partir : il ne savait plus comment faire
pour que cette superbe femme s'intéresse à lui, tombe amoureuse et accepte ses avances.



Déprimé, le jeune homme rentra chez lui dans sa chambre et consulta internet. Après une bonne heure à parcourir des sites érotiques, David avait repéré ce qu'il serait capable de faire et ce qui pourrait peut-être plaire à la femme de ses rêves.



Comment l'embrasser !



Comment la déshabiller !



Comment la caresser !



Comment la séduire avant de penser à la pénétration !



Comment la pénétrer !



Carole serait heureuse !



Elle serait satisfaite !



Il s'imaginait que Carole lui prodiguait une fellation torride.



Elle prenait dans ses rêves le gland en pleine bouche.



David sentait bien la belle bouche de Carole.



Comment allait-il alors pouvoir éjaculer sur le visage de la jeune femme après cette fellation ?



David était en transe et éjacula en pensant à la fellation de Carole.



Encouragé par toutes ces images sur le sexe, le jeune homme se sentait galvanisé dans sa virilité.



Il en était à échafauder de nouveaux plans de séduction quand on sonna à la porte.



Il ouvrit, Carole se tenait derrière avec un air grave. Malgré son air sérieux, il ne put s'empêcher de la trouver terriblement attirante.



- Il faut qu'on parle, je peux entrer une minute ?
- Bien sûr.



Carole rentra, David avait le cœur qui palpitait à deux mille à l'heure. Il repensait à toutes ses recherches sur le net mais l'adolescent n'arrivait pas à prendre son courage à deux mains, ses pensées furent coupées par sa voisine.



- David,, il faut vraiment que l'on parle tous les deux. Il va falloir que tu arrêtes de penser que toi et moi c'est possible ; ça ne l'est pas ! Ce n'est pas possible !



- Mais, je suis dingue de vous, je suis amoureux de toi, je n'y peux rien et j'ai envie qu'on soit ensemble.



- Non, non ! Il faut que tu comprennes ! Je suis ta voisine, une amie et ça doit continuer comme ça !
- Carole ! Et mes sentiments ? Ce que je ressens !



- Je sais bien mais entre toi et moi, il n'y aura jamais rien, alors arrête ça tout de suite, sinon je serais obligée d'en parler à tes parents.



Carole n'attendit pas sa réponse, elle s'en alla sans le regarder : le jeune homme eut la sensation d'avoir le cœur arraché d'un coup net, il n'arrivait plus à bouger, il ne savait plus quoi faire et alla se réfugier dans sa chambre.



Deux semaines plus tard, David était devant la fenêtre de sa chambre à regarder sa charmante voisine.



Ce jour-là, l'adolescent était assis à son bureau et il décida d'écrire une lettre à Carole.



Il employait des mots doux.



Il sortit discrètement mettre la lettre devant sa porte et remonta vite dans sa chambre pour continuer à guetter.



Plus tard dans la journée, Carole arriva : elle vit la lettre, devina contrariée à l'instant son expéditeur et l'ouvrit sur le pas de sa porte. Mais en lisant ce billet doux, la femme fut vraiment émue par ces mots romantiques, touchants et si naïfs. Elle ne savait pas pourquoi mais cela la bouleversa comme jamais.



Elle qui n'avait jamais eu de lettre d'amour, elle qui n'avait jamais eu de chance avec les hommes.



Comme un signe, la belle femme leva la tête vers la fenêtre de David et eut la surprise de le voir : leurs regards se croisèrent un long moment avec intensité.



Il crut même déceler un léger sourire sur son beau visage.



Puis elle rentra chez elle, la lettre à la main.



Ce bref instant de complicité finit de redonner espoir à l'amoureux transi.



L'adolescent avait le sentiment de revivre à nouveau.



Le lendemain, après les cours qu'il avait suivis d'un œil très distrait, David était toujours en émoi, se refaisant cent fois le film de la veille et cherchait désespérément une suite à l'épisode de la lettre où il avait vu que Carole n'était pas indifférente à ce qu'il éprouvait.



L‘adolescent n'avait qu'un souhait : se retrouver enfin seul avec sa belle voisine pour qu'elle succombe enfin à ses avances et qu'ils puissent se laisser aller à leur amour.



N‘y tenant plus à tourner sans arrêt dans sa chambre, se regardant cinquante fois devant la glace, il prit une douche pour se calmer.



Dans la chaleur des jets d'eau, l'imagination galopa dans son esprit enfiévré.



Des visions de baisers volés, de seins caressés et de cuisses fuselées qui s'ouvraient à lui augmentaient son excitation.



Apaisé, le jeune homme descendit pour dîner en cinq minutes puis remonta se réfugier dans sa chambre.



Vers 22h30 quand ses parents allèrent se coucher, David se prépara soigneusement, mit un peu d'eau de toilette sur lui et descendit sur la pointe des pieds pour sortir. Il avait les nerfs à vif et une fois dehors, la paisible atmosphère nocturne de la ville lui fit du bien. Le silence de la nuit était seulement troublé par les bruits d'un chat en maraude ou les voitures au loin. Le jeune homme se fit la réflexion qu'il se rappellerait peut-être toute sa vie de ses détails ce soir là.



En se rapprochant de sa belle voisine, il vit qu'il y avait de la lumière en-bas chez elle. L'air grave, David prit une grande inspiration, se dirigea lentement vers l'entrée et sonna. Il ne pouvait plus reculer.



Carole était dans la cuisine en train de se faire une tisane avant d'aller se coucher : elle fut intriguée quand elle entendit sonner. Il y avait des lustres que personne ne venait à l'improviste aussi tard mais quand elle ouvrit la porte, elle fut à demi-surprise de voir David en face qui la regardait toujours aussi intensément sans un mot.



En pleine confusion, elle ne savait pas quoi faire.



Lui demander de partir !



L'inviter à rentrer !



Carole ne put que baisser son regard devant l'insistance trouble des yeux bleus de l'adolescent qui entra, la frôlant au passage.



Quand le jeune homme se retrouve dans le salon, la femme se sent un peu gênée à ses côtés, en prenant conscience de sa tenue pour la nuit.



Le fin peignoir légèrement ouvert quelle n'a pas eu le temps d'ajuster laisse voir une petite nuisette en satin presque transparente et une large partie de sa poitrine.



- David ! Il faut que tu partes !



Il ne lui laisse pas le temps de finir.



Il pose doucement un doigt sur ses lèvres pleines et en la prenant par le poignet pour la rapprocher de lui.



Elle veut protester et sent déjà son souffle sur elle, prêt à poser ses lèvres sur son corps.



Carole le repousse doucement, murmure.



L'adolescent est en train de passer un bras sur l'épaule de sa voisine pour la serrer contre lui et l'embrasser avec fougue.



Elle résiste à nouveau d'une voix plus faible, presque imperceptible :
- Non, David ! Non, non, il ne faut pas ! Non ! Il faut que tu t'en ailles !Sois gentil ! S'il te plait !



David comprend qu'elle est sur le point de céder à son étreinte, face à cette bouche qui se pose à nouveau sur elle, à ses mains qui ont complétement ouvert le peignoir et qui enflamment les sens de Carole.



Des doigts libèrent les globes des seins du tissu.


Ils pétrissent la chair tiède et si souple de la poitrine maintenant dressée par les paumes ardentes de l'adolescent.



Ses ultimes non, non sont étouffés par les lèvres du jeune homme et cette langue qui prend possession de sa bouche qui ne se refuse plus.



Un baiser plein de vie et d'amour arrache un premier gémissement à sa partenaire.



Elle essaie dans un dernier sursaut de reprendre le contrôle de la situation en se détournant de lui et en se réajustant mais David est bien décidé à aller jusqu'au bout ce soir, fou de désir pour la troublante voisine.



Il attrape Carole dans ses bras, la soulève en la portant jusqu'au canapé. La belle n'a plus aucune réaction maintenant, s'abandonne avec un soupir aux mains pressantes de l'adolescent qui lui enlèvent tout, fiévreusement.



Il arrache presque la délicate nuisette.



Elle est totalement nue.



Frémissante à ses mains baladeuses qui se promènent avec assurance à présent de la gorge au dos en revenant sur la poitrine gonflée, pétrissent les fesses si fermes de Carole en descendant pour ensuite s'immiscer sans douceur de l'autre côté jusqu'à son intimité humide, accueillante.



La femme est sortie de sa passivité, elle se laisse complètement aller à son tour à ces ébats, retire fébrilement le maillot, caresse le jeune homme et apprécie sa musculature, le ventre plat, l'embrasse dans le cou et les épaules, allant à câliner longuement ses pectoraux pour ensuite retirer son pantalon et après une brève hésitation, son boxer plein d'une érection imposante.



Carole a les yeux clos, haletante de désir en touchant pour la première fois la peau nue du sexe de David, éprouvant de la main gauche sa vigueur et le caressant d'un geste sûr, l'adolescent gémit fort.



Mais l'adolescent reprend l'initiative, il veut montrer à la femme de ses rêves que c'est un homme capable de la satisfaire.



David s'agenouille en écartant les cuisses de Carole puis caresse son intimité de ses doigts un peu malhabiles mais qui arrivent à arracher un gémissement passionné de sa partenaire.



Encouragé par ses halètements, sa tête remplace sa main et descend jusqu'au sexe de sa tendre voisine.



Il pénètre cette entrejambe, cette fente luisante d'humidité d'une langue énergique.



Il s'attarde d'abord sur les lèvres puis remonte sur le petit bouton d'amour avant de s'immiscer avec fougue plus profondément.



Carole frissonne de plaisir en se cambrant et caresse distraitement la chevelure de son amant pour lui montrer son bonheur.



En trois, quatre mots murmurés dans un soupir entre eux, tout bascule.



David se relève et embrasse Carole dans un état second.



Excitée, la jeune femme prend le sexe de David en main.



Elle engloutit avec avidité la virilité si dure de son amant avec la bouche.



Elle l'enveloppe de sa langue virevoltante.



Elle presse la base du pénis de ses doigts vernis pendant un moment.



- Oui ! oui ! Carole ! Carole !



David halète de plus en plus fort, il sent qu'il perd le contrôle de lui, l'orgasme est proche.



D'expérience elle arrête sa fellation, baisse d'un cran l'excitation en le serrant fortement à la base pour se mettre maintenant sur le canapé face à lui.



Carole gémit et halète. Elle se caresse et ne peut plus reculer



Elle se demande si son jeune voisin a déjà fait l'amour, n'ose le questionner et décide de prendre l'initiative : elle l'attire contre lui, presse ses fines mains contre les fesses musclées de l'adolescent pour le rapprocher de son intimité humide. Le couple continue ses caresses, le souffle court et des murmures d'amour, dans l'attente du moment si particulier de la pénétration.



La première fois depuis trop longtemps pour la femme qui n'a plus fait l'amour depuis presque un an.



Carole s'écarte en prenant le membre gonflé de David de sa main droite pour l'attirer contre l'entrée de son mont d'amour : les deux amants sont tout proches l'un contre l'autre un instant avant que d'un mouvement du bassin, elle ne l'attire en elle.



Savourant ces moments privilégiés, la femme prend les devants en plaquant à nouveau ses mains contre les fesses du jeune homme pour l'encourager à la pénétrer complétement.



Très émue par son partenaire, Carole gémit de bonheur, projette doucement son bassin contre la virilité de David qui ne peut s'empêcher de mordre ses lèvres pour ne pas crier de plaisir.



Elle l'incite à rythmer ses va-et-vient en le tenant par les fesses pour faire coïncider la houle de l'étreinte passionnée.



- Oui ! oui ! comme ça ! C'est bon !



L‘acte d'amour dure un long moment, l'adolescent s'étant caressé auparavant pour faire baisser la pression. Encouragé par sa belle voisine, il se redresse davantage sur les coudes pour reprendre sa bouche, étouffant ses halètements en mâle conquérant, malaxant les seins durcis par le plaisir qui ne cesse de monter.



La femme accélère le rythme de ses reins en sentant la vague de bonheur arriver, de plus en plus démonstrative.



- David ! Oui ! David !



L‘adolescent a senti une onde de chaleur traverser leur zone commune, le puits ruisselant de sa maitresse se contracter lors de l'orgasme.



Elle est en train de jouir.



Il continue sa cavalcade qu'elle accompagne à nouveau après un petit répit, ses coups de boutoir deviennent désordonnés, les yeux se ferment.



Concentré sur la jouissance qui arrive sans crier gare, ne contrôlant plus grand chose, David conclut son rapport sexuel en explosant bruyamment.



La semence est abondante.



- Carole !Carole! Je t'aime !



Le couple retrouve son souffle : il lui montre sa gratitude en lui exprimant ses sentiments, un élan d'amour qu'elle suit en refermant ses jambes autour d'elle pour mieux le retenir.



Encore en elle, quelques caresses viennent reposer le rythme des corps et des cœurs songeurs.



Mais voila que David reprend de la vigueur à nouveau et l'enlace avec passion.



Elle le fait monter à présent dans sa chambre que l'adolescent découvre pour la première fois. Le dressing sur le côté, un soutien-gorge noir en dentelle sur la commode décorée d'un grand vase avec les fleurs du jardin, son odeur de femme et ce grand lit pour eux deux ce soir.



Faire l'amour encore.



Cette nouvelle étreinte est plus maitrisée de la part des deux amants accroupis qui se font face l'un à l'autre. Ils prennent le temps de mieux se connaitre avec leurs mains, leurs bouches, leurs sexes s'attendant et en arrivent à avoir ensemble un orgasme simultané qui les font crier de plaisir.



Le couple a sombré depuis une heure dans un profond sommeil mais David s'est réveillé brusquement, trop ému par la tournure des évènements de cette nuit où la voisine s'est offerte à lui avec passion, sans retenue.



En bougeant légèrement, il a réveillé involontairement Carole qui l'étreint tendrement et écoute les mots d'amour de son jeune amant. Dans l'obscurité, elle reste muette face à ces paroles qui la touchent au plus profond d'elle-même et veut l'attirer contre elle : il est déjà en érection pour refaire l'amour.



Elle est heureuse de sentir sa virilité vibrer encore pour elle, flattée de savoir qu'elle l'excite à nouveau pour un troisième ou quatrième corps à corps.



Elle ne sait plus.



Au petit matin, elle regarde à présent avec beaucoup de tendresse son jeune amant dormir : la femme sait que dans quelques heures, il faudra tout oublier, même si ces étreintes multiples, pleines de sentiments lui ont donné un plaisir trouble, infini quelle n'avait jamais connu.



Carole se blottit contre David, dans l'espoir que cette nuit passionnée ne s'arrête jamais.



Soudainement, alors que David pense à ce moment avec Carole, il entend le téléphone sonner.


Il reconnait le numéro de Chloé.



La jeune brune est en passe de prendre la route pour venir voir David.



David accepte en pensant à sa nuit d'amour si intense avec Chloé.



Son sexe se souvient de ses multiples ébats avec elle. Cela l'irrite un peu avec le contact du boxer, une petite sensation de brulure car David n'avait fait l'amour depuis longtemps.



Que c'est bon de s'y remettre !



Il en ressent même une chaleur insidieuse et des fourmillements au niveau du bas ventre.



Il part dans ses rêves en pensant à ses belles fesses.



Il va pouvoir de nouveau jouer avec les formes de Chloé.



Deux sms plus tard, Chloé et David se retrouvent vers 20 heures.



La belle est là.



Elle semble plonger dans ses pensées.



David se demande bêtement si Chloé n'était pas en train de regretter sa nuit.



Peut-être veut-elle maintenant ralentir avec David ?



Chloé regarde David sans un mot.



Elle montre ses cuisses à David.



Elle est émue.



Les deux jeunes s'embrassent alors tendrement avant de laisser libre cours à une sensualité débordante.



David l'étreint à l'étouffer.



Son torse contre ses seins dont il veut sentir le velouté à nouveau, mordiller les tétons avec frénésie.



Un baiser amoureux et les deux jeunes se sourient.



Les langues s'enroulent et le baiser devient érotique.



David retrouve avec émotion son parfum fleuri, la douceur de sa peau.



David est comblé.



Ses mains glissent sous le chemisier, griffe un sein sous la dentelle
blanche dont la pointe se durcit.



Il la libère avant de la happer d'une bouche gourmande.



Chloé descend pour se caler entre les jambes de David en baissant avec dextérité pantalon et boxer.



Une courte hésitation avant de prendre le sexe déjà durci entre ses lèvres.



Un gémissement de plaisir retentit, dû à cette langue qui ne reste pas inactive et s'enroule autour de sa virilité à nouveau raidie par le désir.



Rejetant la tête en arrière, la main gauche de David s'appuie sur les épaules de Chloé, remonte jusqu'à la chevelure pour rythmer la caresse.



Chloé est habile.



Le plaisir peu à peu monte.



Les lèvres chaudes et accueillantes et cette langue si animée vont finir par avoir raison de David.



Un peu gêné, d'un soupir, il lui signifie son plaisir sans que la jeune femme ne se retire.



David s'enfonce davantage en elle.



Il laisse jaillir sa semence dans la bouche.



Chloé est heureuse.



Toutefois, elle est surprise.



Essoufflés tous les deux, elle reste prostrée un instant.



Chloé récupère.



Elle file ensuite à la salle de bains.



Dans la nuit, David et Chloé font l'amour.



Le désir est fort, dans un mouvement de houle, montant et descendant autour de la colonne de chair qui remplit le ventre de la jeune femme.



Un concerto charnel de soupirs passionnés, de halètements fous, de cris de plaisir sans retenue.



Chacun se retient pour faire durer le plus longtemps ce moment unique
avant de laisser l'orgasme submerger.



Quand finalement la semence de David l'inonde une nouvelle fois, ils jouissent ensemble longuement.



Définitivement, dans des draps froissés qui sentent l'amour.



Un amour nouveau pour Chloé et David.



Le plaisir pour David de regarder son beau visage.



Le plaisir de deviner ses formes, le matin au réveil.



Le plaisir de la toucher.



Le plaisir de la sentir.



Mais, surtout l'envie de construire une belle et grande partie de sa vie
avec Chloé.



Tout simplement...