Vengeance(s) - Acte 2
LISA
Quelques semaines passèrent. Nous étions surprises Chloé et moi de ne pas avoir de nouvelles de David. Puis l'opportunité de nous venger arriva tout naturellement.
Chloé m'appela, surexcitée :
- Lisa ! On le tient ! David nous donne rendez-vous dans un bar, j'ai noté l'adresse.
Je n'avais pas oublié que Chloé voulait se débrouiller pour le faire éjaculer en public, à la terrasse d'un café. L'occasion était trop belle !
- Quand ?
- Il veut nous voir dans une demi-heure.
- Ok, je me change rapidement et je passe te chercher.
Mais en fait de me changer rapidement, je mis plus de temps que prévu pour choisir ma tenue et j'optai finalement pour un jeans très sage et un fin chemisier blanc, sans rien dessous, évidemment...
Chloé me gronda car j'arrivai chez elle avec pas mal de retard. Elle avait choisi une jolie mini-jupe et un petit gilet sous lequel ses seins pointaient fièrement et, de tout évidence, elle aussi libre de tout soutien-gorge.
Quand nous arrivâmes à l'adresse indiquée, David regardait sa montre avec impatience et sembla agacé de nous voir arriver :
- Vous avez presque une demi-heure de retard les filles !
- Bonjour David !
- Excusez-moi, bonjour. C'est que j'attends depuis un moment et j'ai un rendez-vous après.

Chloé se lança :
- Il est chouette ce bar, mais on serait mieux en terrasse, non ?
- Non, il faut que je vous parle et j'aimerai mieux faire ça ici.
- Allez, il fait sombre ici et ça ne prend que deux secondes de sortir.
Je voyais qu'elle était excitée d'avance car ses tétons pointaient à travers son petit gilet.

Voyant que la requête chaleureuse de Chloé ne semblait pas émouvoir notre homme, je vins en renfort :
- Oui et on étouffe dans cette salle. Au moins dehors on aura de l'air.
David regarda mon chemisier et sourit :
- Pourtant, tu n'as pas grand-chose sur le dos...

David ajouta même :
- Allons dans l'arrière salle, ce sera plus discret.
Là, Chloé et moi nous faisions un film sans doute assez semblable : David voulait nous baiser toutes les deux, vite fait, bien fait.. Chloé prit une pause sensuelle et, très décidée, lui dit :
- Si tu veux profiter de nous, ce sera en terrasse devant tout le monde, pas dans un coin obscur de ce bar !

Voyant l'air contrarié de David, je me dis qu'à défaut de la terrasse, la grande salle ferait toujours mieux l'affaire que l'arrière salle sans personne. Je m'assis donc à une table libre et me penchai un peu en avant dans l'espoir de le convaincre en le laissant admirer mon décolleté.
- Bon, restons ici, si tu préfères.

Chloé semblait contrariée que je baisse les armes.
CHLOE
Je commençai à craindre que notre plan tombe à l'eau, et je me décidai à sortir le grand jeu pour provoquer David.
- Tu ne veux pas nous faire plaisir ? Je vais t'avouer : nous étions excitées à l'idée de te revoir malgré tout ce que tu nous as fait. Tu veux une preuve ?
Je remontai juste un peu ma jupe, mais elle était si courte que c'était suffisant pour exhiber ma petite chatte épilée.

- Allez, sois chic, minaudai-je. Et puis, tu ne crois pas que les passants seront jaloux, en te voyant en terrasse avec deux filles comme nous ?
Mon insistance fut sans effet sur David qui, au contraire, ne cachait plus son agacement.
- Ce n'est pas la peine d'insister, je tiens à ce qu'on s'installe dans l'arrière-salle, et il faut que je vous parle vraiment sérieusement.
Lisa ne voulait pas encore s'avouer vaincue et, par jeu, écarta son chemisier, découvrant presque entièrement ses seins ronds et fermes.
- Quoi, tu t'es soudain pris de passion pour les soutiens-gorge et tu es fâché qu'on n'en ait pas mis ?

David accusa le coup, et ne parvint pas à cacher qu'il bandait. Mais il restait inflexible :
- Ecoutez les filles. Je vous adore mais ce que j'ai à vous dire est important et j'ai peu de temps.
Nous finîmes par le suivre dans l'arrière-salle, pendant qu'il dissimulait tant bien que mal la bosse qui déformait son pantalon.

- Alors, qu'est ce que tu as de si important à nous dire ?, lui demanda Lisa.
- Suite au mauvais tour que vous m'avez joué en forêt l'autre jour, j'ai fait la connaissance de Caroline, une superbe blonde, qui a eu la gentillesse, ELLE, de me délivrer. Nous nous sommes revus depuis, et j'en suis follement amoureux.
- Nous sommes contentes pour toi, répondis-je - avec un peu de mauvaise foi : qu'il nous préfère une blonde était un affront pour Lisa et moi... Mais ce n'est pas la première nana que tu dragues !
- Non, mais cette fois c'est sérieux, avoua David, avec une mine austère. Pour moi, la drague, c'est fini, et je ne voudrais pas qu'il y ait de quiproquo avec vous.
Avant que nous ayons eu le temps de réagir à cette nouvelle improbable, le téléphone de David, qu'il avait posé sur la table, sonna. Etant juste à côté de lui, je lus « Caroline », et j'eus le temps de mémoriser le numéro que je notai discrètement. La conversation fut brève.
- Excusez-moi, dit David en raccrochant. C'était Caroline. J'ai rendez-vous avec elle et elle est arrivée. Je vais vous présenter. Mais je compte sur vous : vous ne lui dites rien !
Sans nous laisser le temps de répondre, David se leva et s'éclipsa, pour revenir l'instant d'après accompagné de Caroline.

C'était bien la fille que nous avions vue, quand nous épiions David, cachées derrière les arbres. Elle portait une robe blanche très sexy.
- Caroline, je te présente Lisa et Chloé, dit David sur un ton cérémonieux. Ce sont d'anciennes amies.
- Enchantée, répondit Caroline, sans chercher à comprendre ce que le mot « amies » signifiait.
Pendant que nous échangions des banalités, David embrassait tendrement la jolie blonde dans le cou.

LISA
J'étais moins vexé par le « amies » qui nous nous reléguait à de simples connaissances que par le « anciennes » qui semblait nous indiquer qu'il tirait un trait définitif sur notre relation. J'étais écœurée et j'étais furieuse contre moi-même puisque nos projets de vengeance se soldaient systématiquement par de la frustration pour nous et d'heureuses surprises pour David. On ne lui fit même pas la bise et on s'éclipsa après leur avoir dit un simple « Salut ».
Quand on eu quitté l'arrière salle, Chloé m'attrapa par le bras :
- Attends un peu...
Elle avait laissé la porte entrouverte sur un centimètre pour qu'on puisse observer le couple. David, que l'on avait dû chauffer un peu trop, soulevait déjà la robe de Caroline. Elle protesta mollement avec un "Pas ici, David", peu convaincant.

On le vit attrape sa culotte et lui retirer. Elle chuchota :
- Arrête, t'es fou ! Pas ici.
Mais elle laissa la culotte tomber à ses chevilles et ne protesta pas quand David la souleva pour l'assoir sur une chaise. Il lui retroussa la robe sur ses fesses nues et libéra son érection.

J'étais fascinée de pouvoir assister à cela mais j'étais également extrêmement frustrée de me dire que ce n'étais pas moi qui allait profiter de cette belle queue. Il la pénétra en lui arrachant un profond soupir de contentement.
- Tu te rends compte, Chloé. C'est nous qui l'avons chauffé et c'est elle qui en profite !
- Je suis dégoûtée...
Dégoûtée et fascinée, comme moi, de voir la bite de notre amant s'enfoncer lentement dans le sexe de Caroline.

Elle feulait de plus en plus. Pendant que nous jouions aux voyeuses, je sentis un type qui s'approchait derrière nous pour voir ce qui nous intéressait autant. Il mit une main au cul de Chloé. Celle-ci se contenta de tourner la tête et de lui répondre sur un ton presque agressif :
- Dégage !
Le type n'insista pas et on put reprendre notre activité de voyeurisme. Caroline s'était redressée et David avait enlevé le tabouret pour continuer à la prendre en levrette.

Caroline se cambra soudain encore davantage et se mit à feuler :
- Oooooh, David...
Elle était manifestement en train d'avoir un orgasme et nous devinions que, si David restait immobile, c'est qu'il était en train de se vider en elle.

Nous ne restâmes pas davantage et quittâmes le bar. Nous étions vexées d'avoir encore raté notre vengeance. Dans la rue, Chloé me montra un bout de papier sur lequel était noté un numéro :
- C'est celui de Caroline. Je l'ai mémorisé quand elle a appelé et je l'ai noté.
- Bravo ! Mais qu'est-ce que tu veux qu'on en fasse ? Tu veux qu'on se venge en lui révélant la réalité sur David ?
- Mieux que ça. On la convainc de faire de l'exhibition et on la filme !
Je reconnaissais bien Chloé et j'étais contente qu'on ne reste pas sur un échec.
L'après-midi même, Chloé appela Caroline et lui proposa de se voir chez elle. Caroline accepta sans trop savoir ce qui l'attendait. Elle était même très souriante en nous retrouvant :
- Alors, les filles ? On se fait une petite sortie sans mec ou vous voulez des révélations sur David ?

- Parce que tu as des révélations à nous faire sur David ?
- Bah, je ne le connais pas depuis très longtemps...
- Nous, on le connait depuis un bout de temps et David reste un mystère sur de nombreux points. T'a-t-il dit quel était son métier ?
- Heu, non, dans le commerce, je crois ?
- C'est assez vague... Et tu sais s'il pratique un sport ?
- Nous n'avons pas encore abordé le sujet, mais je ne l'ai rencontré qu'il y a trois semaines.
- Et la façon dont vous vous êtes rencontrés ne t'a pas interpelée ?
Caroline ne répondit pas. Elle avait perdu son bel enthousiasme.

Elle comprenait qu'on savait des choses et attendait, inquiète, qu'on lui en dise plus. Nous lui racontâmes alors nos aventures avec David et la manière dont il nous avait trompées. Chloé alluma même son ordinateur pour lui montrer quelques bribes des vidéos qu'il avait faites de nous. Caroline semblait s'effondrer à chaque nouvelle révélation et à chaque extrait de vidéo. Elle semblait perdue et éclata soudain en sanglots.
- Pourquoi suis-je tombée amoureuse d'un obsédé sexuel ?...

CHLOE
Voir Caroline dans cet état nous a émues, mais je pensais qu'elle serait aussi plus coopérative pour s'associer à notre vengeance.
Lisa passa son bras sur son épaule, caressa ses cheveux, et j'enlaçai sa taille.
- Il ne faut pas te mettre dans des états pareils pour un homme, lui dit Lisa à mi-voix. Il ne le mérite pas.
- Je sais, répondit Caroline, entre deux sanglots, mais je suis amoureuse, et je croyais que c'était réciproque.
Nous ne répondîmes rien sur les sentiments de David. Nous croyions à sa sincérité, mais le doute de Caroline pouvait servir nos plans. Nous l'avons cajolée et prise dans nos bras, pendant que ses pleurs redoublaient.
- Ne te laisse pas aller, ma chérie, tu es si belle, lui murmurai-je à l'oreille. Une fille comme toi, rien ne lui résiste.
- Vous êtes si gentilles. Je vous connais à peine, mais vous cherchez à me consoler.
Et après un silence, Caroline ajouta avec un pâle sourire :
- Vous aussi, vous êtes très belles. Vous devez avoir plein de succès, attirer les caresses.
Elle se blottit contre nous, et nos gestes devenaient un peu plus intimes. J'appuyai ma poitrine contre le buste de Caroline, et elle devait se rendre compte que je ne portais pas de soutif, pendant que la main de Lisa se posait sur les fesses de la jolie blonde.
Je devinais le trouble de Caroline. Elle nous embrassa sur les joues pour nous remercier, mais sa bouche s'égara.

Elle se posa d'abord sur mes lèvres, et Caroline tourna la tête, affolée par son abandon, mais elle rencontra alors la bouche de Lisa, qui lui offrit sa langue.
Caroline s'écarta de Lisa, mais j'en profitai pour baisser le haut de son débardeur.

Elle non plus ne portait pas de soutien-gorge, et ses seins étaient ronds er fermes, avec des aréoles claires.
- Qu'est-ce que tu fais ? me demanda-t-elle en rougissant.
- Laisse-toi aller, Caroline, tu verras, tu te sentiras mieux et plus heureuse.
Nous avons commencé à la caresser, sa poitrine nue, le reste de son corps à travers ses vêtements. Petit à petit, elle s'est détendue, et s'est prise au jeu. Quand elle prit l'initiative de découvrir les seins de Lisa, je fis glisser la jupe et le bustier de Caroline, qui ne manifestait plus aucune réticence.

Nous continuions à nous caresser, de plus en plus fiévreusement, et à nous embrasser à pleine bouche. Petit à petit, nos fringues disparaissaient, sans que je me rappelle aujourd'hui qui déshabillait qui. J'étais la seule à avoir encore mon string.
- Je ne sais plus où j'en suis, je n'ai jamais fait ça avec des filles, confessa Caroline.
- Ma pauvre chérie, tu ne sais pas ce que tu perds, laisse-nous t'initier, répondit Lisa. Et d'abord, on va enlever le string de Chloé.
J'emmenai les deux filles dans ma chambre, et m'agenouillai sur mon lit. Elles s'installèrent de chaque côté, et se mirent à baisser l'élastique.

J'étais nue également, pour mon plus grand plaisir, et nous avons allongé Caroline entre nous.
LISA
Chloé s'était mise derrière Caroline et lui caressait les épaules. Bien vite, ses mains s'égarèrent sur les seins de notre invitée. Je me mis alors à quatre pattes entre les cuisses Caroline, et je les écartai lentement. Elle me laissa faire, autorisation muette à ce que j'accède à son sexe. Je plongeai mon visage entre ses cuisses et commençai à lécher sa fente.

Caroline tressauta au moment où ma langue entra en contact avec les lèvres de sa moule. Je commençai par simplement laisser la pointe de ma langue sur sa fente, sans tenter de m'immiscer, ni d'atteindre son clitoris. D'abord gênée et tendue, je la sentis peu à peu se relâcher. Ma langue pouvait enfin partir explorer sa fente et je sentais qu'elle commençait à mouiller.

Chloé bougea, souhaitant manifestement que nous échangions nos places pour qu'elle puisse, elle aussi, goûter à la liqueur de Caroline. Je me décalai sur le côté pour caresser et embrasser les seins de Caroline, tandis que Chloé venait s'installer entre ses cuisses écartées en grand pour lui déguster la moule. Caroline se mit à gémir.

Caroline semblait comblée. Ce début d'expérience saphique était prometteur. Caroline sentait monter le plaisir et semblait vouloir que Chloé lui donne un orgasme de cette manière. Elle appuya sur la tête de Chloé :
- Je t'en prie, glisse ta langue dans ma fente.

Chloé ne demandait pas mieux et elle satisfit à son attente. Caroline ne mit pas longtemps à jouir. Elle eut un orgasme rapide mais assez intense. Elle avait le souffle court et j'attendis qu'elle se soit remise pour lui proposer de nous donner elle aussi du plaisir.
- Maintenant, tu vas essayer toi aussi de nous faire jouir, d'accord ?
- Mais, je n'ai aucune expérience !
- Ne t'inquiète pas, nous allons te guider, lui répondit Chloé.
Chloé me fit signe et je m'allongeai à mon tour. Chloé vint se mettre entre mes cuisses et commença à lécher la moule. Je fis signe à Caroline de s'approcher :
- Embrasse-moi, Caroline.

Ses lèvres étaient douces et je la sentais beaucoup moins hésitante qu'avant. Je lui demandai :
- Tu n'as pas envie d'un soixante-neuf ?
- J'ai déjà fait avec des hommes, mais jamais avec des filles...
- Allonge-toi, je vais te montrer.

Je plongeai ma bouche sur la moule humide de Caroline. Elle eut un petit gémissement mais, l'instant d'après, je sentis sa langue commencer à se glisser entre les lèvres de ma chatte. Pendant que nous nous léchions mutuellement, Chloé se caressait en nous regardant. Caroline était plus douée que je ne l'aurais cru et après quelques minutes je sentis monter l'orgasme. Je fis alors tournoyer rapidement ma langue autour de son clitoris et je parvins à la faire jouir presque en même temps que moi. Quand je refis surface, je vis que Chloé avait l'air frustré, même si elle avait sûrement trouvé du plaisir à jouer la voyeuse et à se branler le clito.
CHLOE
Ces deux petites cochonnes m'avaient excitée à mort. J'avais envie d'être caressée, léchée, pénétrée, qu'on me fasse jouir.
- Soyez sympa, les filles, j'ai envie que vous vous occupiez aussi de mon minou, suppliai-je.
Lisa s'allongea, et je vins sur elle en 69. Je plongeai ma tête entre les cuisses largement ouvertes de ma douce complice, et ma bouche partit à l'exploration de sa fente. J'adorais cette chatte épilée avec soin, et qui semblait faite pour l'amour. J'écartelai ses petites lèvres, pour découvrir l'entrée de sa grotte, suintante de mouille, et ma langue commença à titiller son clito gonflé.

J'entendis le petit cri de Lisa, lorsque j'atteignis son point le plus sensible, mais elle me rendait déjà mon cunni avec la même ardeur. Je sentis que Caroline avait rejoint Lisa entre mes fesses, et j'avais du mal à distinguer à laquelle des deux appartenaient les langues qui me fouillaient.

Il y eut un bruit de porte. Je savais ce que cela signifiait mais je ne voulais pas inquiéter les filles. Lisa continuait à me sucer la moule mais Caroline se redressa.
- C'était quoi, ça ? s'inquiéta-t-elle.

- Un courant d'air... répondis-je
J'entendis Lisa conseiller Caroline.
- Chloé adore qu'on lèche sa rosette. Attends, je vais te montrer comment on fait.
Caroline se redressa un peu pour permettre à Lisa de faire aller et venir sa langue de ma fente à mon anus.

Je poussai un long gémissement de plaisir et, tout en suçant le petit bouton de Lisa, je glissai mes doigts dans sa grotte et dans son petit trou. Elle ne s'attendait pas à une telle attaque de ma part et marqua un temps d'arrêt dans le cunni qu'elle me faisait.

Lisa feula à son tour. Elle se concentra sur mon clito, et la langue de Caroline se glissa entre mes fesses D'abord timide, elle s'enhardit, et je la sentais tourner autour de ma rondelle, pointer dans mon petit cul. C'était délicieux, et je savais que je ne résisterai pas longtemps au plaisir qui montait en moi.

Lisa commença soudain à m'enfoncer plusieurs doigts dans mon sexe trempé. Elle me connaissait trop bien ! Elle se déchaîna, et je roulai sur le côté, secouée de spasmes. Elle se jeta sur moi, la main enfoncée dans ma chatte, et commença à mordiller les pointes de mes seins qui dardaient. Et je jouis, en hurlant, je jouis pendant de longues secondes.

Il me fallut un moment pour recouvrer mes esprits, mais une voix masculine me sortit de mon état second.
- Bravo ! ma Chloé. Je vois que tu ne t'ennuies pas, avec tes copines.
C'était Nicolas, mon mec. Nous ne vivons pas ensemble, car il est marié, mais nous sommes très complices pour tout ce qui touche au sexe.
Il nous matait, le sourire aux lèvres, et avait glissé une main dans son pantalon.

Caroline avait eu un mouvement de panique, mais elle se calma, en constatant que Nico ne me faisait pas de scène, et ne se précipitait sur elle pour la violer.
- Rassurez-vous, je ne veux pas gâcher votre trio torride. Mais si Lisa et ta copine sont d'accord, j'aimerais rester en spectateur.
Je présentai Caroline à Nicolas, et je ne laissai pas à notre jolie blonde le temps de répondre.
- Bien sûr, tu peux rester. On connait ton penchant pour le voyeurisme !
- Chloé, pourquoi ne proposes-tu pas à tes copines quelques uns de tes godes ? proposa Nicolas.
- Oui, super ! Tu as raison, à trois, ça va être génial, renchéris-je.
J'ouvris mon armoire, et j'en sortis une grande boîte contenant plein de sextoys : des godes simples, doubles, des godes ceintures...
Je vis une expression d'inquiétude sur le visage de Caroline.
- Attends, on va te faire découvrir toutes les façons de s'en servir, dis-je, pour la rassurer.
- Puisque ce sont tes godes, à toi l'honneur de la première démonstration, me répondit Lisa, qui ne détestait pas jouer les dominatrices de temps en temps. Mets-toi à genoux.
LISA
Chloé s'agenouilla, amusée de m'obéir. Je choisis un gode de taille conséquente que je présentai à l'entrée de sa chatte. Caroline s'était approchée juste à côté et semblait très intéressée par cette démonstration. Je commençai à faire pénétrer le jouet dans la fente encore trempée de Chloé. Caroline avança la main pour appuyer sur l'extrémité du gode afin de m'aider à le faire rentrer. Je limitais la progression de la pénétration pour qu'elle soit la plus lente possible et j'embrassai les fesses de Chloé pour montrer à Caroline qu'il ne fallait pas se presser.

Caroline sembla comprendre. Elle embrassa aussi les fesses de Chloé, et accompagna du bout des doigts les mouvements du gode. C'était le moment de la laisser prendre le contrôle.
- Je te laisse faire, à toi de jouer.
Caroline prit la base du gode et continua à le faire pénétrer lentement, tout en regardant Nicolas.

Nicolas se masturbait sans la moindre pudeur. Caroline, fascinée, lui demanda :
- Tu ne crois pas qu'elle préfèrerait que ce soit toi plutôt qu'un gode ?
- Moi, j'adore la regarder prendre du plaisir avec son gode.

Caroline n'insista pas et reprit les mouvements du gode dans la fente de Chloé.
CHLOE
Les maladresses et les scrupules de Caroline avaient finalement un côté excitant, mais je devinais qu'elle prenait goût à ce jeu sexuel, car les mouvements du gode dans ma chatte étaient de moins en moins hésitants. Des soupirs de la jolie blonde accompagnaient maintenant mes gémissements.

- Oh, oui, Caroline, criai-je, Ouiiii ! Je jouis, oh je jouis !!
Mes cris décuplaient l'excitation de Caroline, qui pistonnait ma chatte avec une sorte de rage. Elle-même gémissait maintenant, au bord de l'orgasme.
Et c'est Lisa qui reprit l'initiative, en lui confisquant le gode.
- A ton tour de te faire pénétrer, Caroline, lança-t-elle.
Sans se faire prier, Caroline prit ma place, et offrit son cul et sa chatte.

Je choisis un gros gode rose, et je l'enfonçais dans la fente dégoulinante de cyprine. Caroline poussa un long cri plaintif, mais continua à m'offrir sa moule.
- Oui, Chloé, c'est bon ! Continue, ça me fait du bien...
Lisa nous rejoignit, et embrassa Caroline sur la bouche. Leurs langues se cherchaient, pendant que j'enfonçais le sextoy encore plus profondément.

Caroline poussait des cris de plaisir, ondulant des hanches pour se faire pénétrer toujours plus loin dans sa grotte. A ses réactions, je devinai que j'avais trouvé son point G, et elle finit par jouir bruyamment.
Lisa était fascinée par Nicolas qui se masturbait en nous regardant.

Elle s'allongea sur le dos et écarta les cuisses :
- Nicolas, tu ne veux pas nous rejoindre ?

L'invitation était explicite, mais je ne voulais pas que Nicolas interfère dans notre projet de vengeance. Je la pris dans mes bras pour caresser sa chatte.
- Non Lisa, ça reste entre filles !

Caroline s'approcha, et je la laissai embrasser Lisa. Pendant ce temps-là, je m'installai entre ses cuisses pour la branler et lui lécher le clito.

LISA
J'étais un peu vexée par la réaction de Chloé mais je comprenais aussi qu'elle ne veuille pas partager Nicolas. Les filles s'occupaient heureusement bien de moi et je n'y pensai bientôt plus du tout. Chloé ne comptait de toute façon pas en rester là ! Elle sortit un gode double, et l'introduisit dans ma chatte toute trempée. Puis elle se mit à quatre pattes entre mes cuisses et lécha l'autre extrémité du gode pour la lubrifier. Caroline et Nicolas semblaient admiratifs de la croupe de Chloé. J'invitai Caroline à en profiter :
- Caroline, occupe-toi de son cul, pendant qu'elle prépare cet engin.
Maintenant débarrassée de ses tabous, Caroline léché la fente de Chloé, et glissa même un doigt dans son petit trou.

Puis, Chloé se redressa et annonça :
- Maintenant, je crois que vous êtes assez excitées toutes les deux. Laisse-moi te guider, Caroline.
Elle fit s'agenouiller la jolie blonde entre mes jambes écartées et Caroline vint d'elle-même s'empaler sur le double-gode planté dans ma fente.

Caroline semblait adorer et gémissait sans retenue : je voyais son cul onduler en même temps qu'elle montait et descendait sur le gode, me donnant par ses mouvements sauvages un plaisir inattendu. Mes gémissements vinrent rapidement accompagner ceux de la jolie blonde.

Caroline tournait régulièrement la tête pour regarder Nicolas qui se masturbait toujours, en la regardant avec intérêt. J'imagine que, d'où il était, il pouvait profiter de la vue des seins de caroline qui devaient se balancer au gré de ses mouvements. Moi aussi cela me mettait dans tous mes états de voir qu'un mec se branlait pendant nos ébats entre filles.

Je sentais que j'allais bientôt jouir. Chloé du le sentir aussi car elle se pencha sur moi et se mit à me sucer un mamelon. Caroline se déchaînait et je l'entendis jouir en criant tandis que mon propre orgasme était en train de m'envahir.

Engloutie sous une vague de plaisir, je perdis toute notion d'espace et de temps. Quand je me réveillais, probablement seulement quelques secondes après, Caroline avait retiré le double gode et se remettait elle aussi de son orgasme. Comme moi, Chloé semblait rassurée sur le tempérament de notre nouvelle copine.
CHLOE
Voir Lisa et Caroline se faire jouir avec ce gode m'avait excitée, et en même temps frustrée. Il me restait encore de quoi me satisfaire, et nous procurer quelques orgasmes !
- Il nous reste à te faire découvrir ceci ! dis-je à Caroline, en sortant un gode ceinture.
- Qu'est-ce que c'est ? demanda-t-elle innocemment.
- Une fille attache la ceinture autour de sa taille, expliqua Lisa, comme s'il s'agissait d'un string. Dans cette position, le gode est comme le sexe d'un homme, et celle qui le porte peut baiser une autre fille.
- Ce n'est pas douloureux, avec un engin de cette taille ? s'inquiéta Caroline.
- Non, bien au contraire ! répondis-je en riant. Lisa et moi avons une expérience certaine de la chose, crois-moi... Allez, essaie-le avec Lisa.
Caroline se leva, et j'attachai le gode ceinture autour de sa taille, pendant que Lisa s'installait en levrette.

J'étais allée chercher une caméra pour filmer la scène, en imaginant la tête de David quand il découvrirait cette vidéo !
Sa douce Caroline, les joues en feu, le regard brillant, guida le gode vers la fente de Lisa, qui suivait du regard l'arrivée de l'énorme queue synthétique.

Caroline commença à enfoncer l'engin doucement, timidement dans la grotte de Lisa, qui l'encouragea.
- Oui, vas-y Caroline ! Baise-moi, défonce-moi ! N'aie pas peur, j'ai envie que tu me laboures la moule !
Ce fut comme un coup de fouet, et Caroline, d'un grand mouvement de hanche, planta le sextoy dans le minou affamé de Lisa, qui poussa un cri de surprise et de plaisir.
Caroline se révélait très douée. Elle allait et venait dans Lisa, à grands coups de reins, et ne craignait plus maintenant d'exprimer ses sensations.
- Tu aimes ça, Lisa ? C'est ce que tu voulais ?... Oh, ce que ça m'excite de te faire l'amour avec cet engin !
Elle pistonnait Lisa comme un mec, et elle accompagnait ses gémissements de petits cris d'excitation.

Et Lisa jouit de nouveau, pendant que je continuais de filmer, et Nico de se branler.

Caroline se retira, toute essoufflée, mais je ne lui laissai pas le temps de penser à autre chose.
- A toi de te faire défoncer la chatte, Caroline, décidai-je.
Je récupérai le gode ceinture, et l'attachai autour de ma taille. Lisa empoigna Caroline, tétanisée, et l'obligea à s'allonger sur le dos. Elle lui écarta les cuisses, et lécha son clito dardé.

J'attendis que Caroline se détendit et commence à soupirer pour planter le gode dans sa chatte.

D'abord surprise, Caroline ne savait plus où elle en était. Au fur et à mesure que mes assauts gagnaient en violence, les cris de Caroline grimpaient dans les aigus. Bientôt, ce furent de véritables hurlements.
- Aaaah ! Je vais jouir !... Oooh, oui ! Oui !!!! Je jouis !
J'étais, moi aussi, incroyablement excitée. J'échangeai un regard avec Lisa, nous nous fîmes de petits signes, et je sortis le gode luisant de cyprine de la chatte de Caroline.
- Caroline, je t'en prie, vient me lécher, fais-moi jouir aussi !
LISA
Caroline, encore sous le coup de ce nouvel orgasme, ne savait peut-être plus vraiment ce qu'elle faisait et obéissait sans opposer la moindre résistance. Elle vint entre les cuisses de Chloé pour lui lécher la moule sans se rendre compte que j'étais en train d'enfiler le gode-ceinture.

Elle poussa un petit cri de surprise quand j'engageai cette bite en plastique dans sa moule pour la prendre en levrette. Elle interrompit son cunnilingus à Chloé tandis que je commençai à aller et venir en elle pour la baiser. Elle se mit à gémir et ferma les yeux quelques instants pour profiter de cette pénétration inattendue. Mais Chloé ne voulait pas être en reste et elle attrapa la nuque de Caroline pour la ramener entre ses cuisses. Entre deux gémissements, Caroline reprit à lécher le clito et la fente de Chloé.

Profitant de l'état de Caroline, Chloé se leva et sortit un deuxième gode- ceinture. Je compris ce qu'elle voulait faire et je me retirai de Caroline, la laissant quelques instants à quatre pattes sans trop savoir quoi faire. Je m'allongeai sur le dos à côté d'elle et lui fit signe de venir s'empaler sur moi. Docile, Caroline s'exécuta et vint me chevaucher en s'enfonçant toute la longueur du gode dans la chatte. Chloé vint s'installer derrière elle et commença à lui branler l'anus avec son majeur. Après avoir bien préparé son petit trou, Chloé enfonça le gode dans son cul.

Caroline commença à se plaindre, mais très vite le plaisir prit le dessus, et elle attint de nouveau l'orgasme.
CHLOE
Je retirai lentement le gode du petit trou de Caroline, qui frissonnait encore de plaisir, et Lisa aida la jolie blonde, épuisée, à se relever. Sur le moment, je ne remarquai pas que Lisa ne dégrafait pas sa ceinture, mais je réalisai ce qu'elle avait en tête quand je l'entendis proposer :
- Pour remercier Chloé de nous avoir prêté ses jouets, on va la prendre en sandwich à son tour.
Un fourmillement familier parcourut mes reins et ma chatte, et mon sourire valait toutes les réponses. Lisa tendit mon gode ceinture à Caroline, qui le mit en place et le fixa autour de sa taille. Je la regardai faire avec une excitation croissante.
Elle s'allongea sur le dos, et je vins la chevaucher.

Je goûtais la lente progression de cet engin dans ma chatte, et je le sentais s'enfoncer en moi de plus en plus profondément. Lorsque mes fesses rencontrèrent le haut des cuisses de Caroline, je marquai une pause, puis je me soulevai en appui sur mes bras de quelques centimètres.
J'attendais l'assaut de Lisa, et je me cambrai pour lui offrir mes fesses.

Le gode, lubrifié par la sève de Caroline trouva facilement son chemin dans mon anus.
Lisa était une véritable experte, et le pieu de résine se mit à coulisser dans mon petit cul. Elle variait le rythme de ses coups de reins et la profondeur de cette pénétration, en se fiant à mes cris, et Caroline parvint à synchroniser les mouvements de ses hanches, pour baiser ma chatte comme un amant aurait su le faire.
C'était génial, et lorsque je sentis l'orgasme monter, je ne fis rien pour me retenir.
- Oh oui, oui ! Je jouiiiis ! Je vous aime toutes les deux... Ooooh, comme c'est bon !
Savoir que Nicolas nous regardait décuplait mon plaisir. Lui aussi n'en pouvait plus. Il jouit presque en même temps, éjacula, et un long jet de sperme alla s'écraser par terre loin devant lui.

LISA
Nous libérâmes Chloé qui était terrassée par le plaisir que lui avait donné cette double pénétration. Nous la laissâmes à quatre pattes avec la moule dégoulinante de cyprine. Si j'avais été à la place de Nicolas, j'aurais attendu pour jouir et je serais venu décharger dans cette magnifique croupe. Encore excitée, je me penchai derrière elle pour lui lécher la moule et l'anus. Caroline, intéressée, vint me rejoindre tandis que Chloé se remettait à gémir.

Nicolas ne débandait pas, même s'il avait joui. Il alla s'assoir et nous remercia :
- Les filles, c'était un spectacle incroyable ! Je vous remercie de m'avoir permis d'assister à ça.
Tout en nous parlant, il continuait de se masturber pour entretenir son érection alors que du sperme s'écoulait encore de son sexe tendu.

Chloé, à bout de force, se laissa retomber sur le côté. Caroline vint l'enlacer :
- Merci, Chloé et Lisa de m'avoir fait découvrir tant de nouveaux plaisirs pour moi !
- C'était un plaisir partagé, répondit Chloé en souriant.
Je vins les rejoindre et me mis à quatre pattes pour poser ma tête sur le ventre de Chloé :
- Et on peut sans doute te faire découvrir encore d'autres horizons, Caroline, si tu es partante.
- Oh, ce serait merveilleux. Mais... serait-il possible que vous ne disiez rien de tout cela à David ?
- Il a bien des secrets pour toi. Je ne vois pas ce que tu aurais à te reprocher.

Nicolas se leva et annonça qu'il allait prendre une douche. Chloé nous repoussa alors et se leva aussi :
- Attends un peu mon chéri. Je voudrais te remercier d'avoir su rester regarder sans intervenir.
Elle alla le rejoindre et s'agenouilla entre devant lui. Elle tandis la langue et commença à lui lécher les couilles et le sexe pour le nettoyer du sperme.

Nicolas bandait toujours incroyablement. Je pense que si on lui avait proposé une petite partie avec trois filles, il aurait été d'attaque et aurait peut-être été capable de nous faire jouir toutes les trois. Je me levais à mon tour, fascinée par la toilette de chat que lui prodiguait Chloé.

Nicolas ne semblait pas insensible à mes charmes car il me regardait également avec intérêt pendant que sa copine était en train de le sucer. Je ne pus m'empêcher de proposer mon aide :
- Chloé, je peux te donner un coup de main ?
Chloé s'arrêta et me sourit :
- Tu veux plutôt dire un coup de langue, non ?
Elle se releva et vint me rejoindre avec un sourire coquin :
- Tiens, si tu veux goûter...
Elle m'embrassa alors à pleine bouche pour partager avec moi le sperme de son mec.

Quand Chloé me laissa, j'étais encore dans un état second, à la fois par l'ardeur de son baiser et par le fait que je venais de déguster un peu du jus de son mec. Je me tournai vers Nicolas pour lui dire :
- Nicolas, ton sperme est délicieux
Puis, très excitée, je demandai à Chloé :
- On pourra peut-être se revoir, non ?

Chloé voyait très bien ce que je voulais et répondit doucement mais fermement :
- Ce n'est pas prévu pour le moment, mais si tu veux tu peux aller lui dire au revoir.
Ce n'était pas exactement ce que j'attendais comme réponse, mais il fallait déjà se contenter de cela. Je rejoignis Nicolas qui avait suivi notre échange avec intérêt et m'attendait en souriant. Tandis que nos lèvres se mêlaient, je ne me gênais pas pour empoigner son sexe et le branler un peu tout en lui caressant les couilles. Nicolas ne se contenta pas non plus de m'embrasser et s'amusa à me caresser un mamelon tendu.

Chloé semblait plutôt amusée par notre petit manège, et elle finit par dire avec humour :
- Allez Nico, ta douche va refroidir...
Il me laissa et partit effectivement prendre une douche. Nous commençâmes à nous rhabiller. Caroline semblait toujours dans un état d'extase dû aux multiples découvertes sexuelles qu'elle venait de faire. Chloé et moi nous amusions à la caresser pour ralentir le rhabillage.

Quand nous fûmes enfin dans une tenue plus décente, Caroline nous dit :
- Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier pour tout ça ! Quand je pense que ce salaud de David tenait secret ce qu'il vous avait fait subir.
- Ne sois pas trop dur avec lui, répondis-je. S'il a fait ça, c'est surtout parce qu'il tient à toi et qu'il est probablement très amoureux.
- Je le suis aussi... Mais, vous ne lui en voulez pas de vous avoir fait ça ?
- Si, bien sûr, répondit Chloé, mais on va préparer notre vengeance...
- Si vous ne lui faites pas quelque chose de trop vache, je veux bien vous donner un coup de main.
Chloé me regarda et nous échangeâmes un sourire complice. Cette fois-ci, notre vengeance était en bonne voie.