David et les femmes - 6
Carole, sur le plan strictement physique, sensuel et sexuel, disposait d'arguments.

David ne se doutait pas encore qu'elle aurait un sacré caractère.

Il était encore bien loin d'imaginer les surprises à venir.

Ainsi, Carole et David étaient assis cote à cote sur le canapé. Elle portait une petite robe en jean et un petit chemisier rose pour cacher sa très jolie poitrine.

Elle laissait largement admirer ses longues jambes.

David faisait mine de s'intéresser à l'émission de télévision mais, en réalité, il sentait la chaleur et la douceur de sa peau contre sa jambe.

Il sentait de temps en temps le visage de Carole se tourner vers lui, observer ses réactions.

Il ne se privait pas pour mater ses jambes, sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration.

L'esprit de David vagabondait et il avait une folle envie de se jeter sur elle, de la prendre dans ses bras, de la câliner, de la caresser, de l'embrasser, de fouiller sa bouche de sa langue, de sentir son corps épouser le sien.

Il commençait à bander.

Il se tournait vers Carole et aperçut son visage. Elle avait les yeux brillants en regardant la bosse dans le pantalon de David.

David sourit et contre toute attente, Carole posa sa main doucement sur la bosse.

David n'en pouvait plus et posa alors ses mains sur la poitrine.

Il plongeait son regard dans celui de Carole.

"Je crois que nous allons faire des bêtises".

- Faisons des bêtises, répondit-elle.

Elle offrit ses lèvres fines.

La main de Carole s'était déjà faufilée dans le pantalon.

Elle enroula doucement ses doigts fins et agiles autour du membre tendu à se rompre.

Carole se mit lentement à le masser, serrant puis desserrant tour à tour son étreinte autour de la hampe.

Elle accéléra son mouvement de va et vient sur le sexe tendu et se laissa glisser sur le canapé pour venir se placer entre les cuisses ouvertes.

David appréciait le sourire de son adorable visage d'ange.

Elle jouait adroitement avec les testicules dans l'une de ses mains tandis que l'autre allait et venait sur le membre, décalottant puis recouvrant le gland gorgé de sang.

David caressait les cheveux de Carole.

Elle approcha son visage et David sentit le souffle chaud sur le bout de sa verge.

Elle passa sa langue sur ses lèvres avec un air gourmand en fixant David du regard.

Elle titilla du bout de sa langue fine et pointue le gland pourpre.

Elle entreprit de gober le gland puis de lécher la queue de haut en bas et de bas en haut en l'enduisant de sa salive chaude avec une adresse remarquable.

Puis elle se mit à le pomper avec vigueur l'engloutissant, creusant ses joues, aspirant le membre entièrement dans sa bouche.

Avec un tel traitement, David ne pût résister plus longtemps et quand elle sentit l'éjaculation inévitable, elle se mit à le branler fermement, avec une assurance incroyable.

Elle reçut les jets de sperme épais sur son visage, dans ses cheveux.

David grognait de plaisir.

Carole s'amusait à lécher le sexe et à faire disparaître toute trace de semence.

Voir son foutre répandu ainsi sur son visage épanoui rendait fou David.

Après cette mise en bouche, David se sentait complètement vidé mais tellement heureux.

A peine remis de ses émotions, David se cale dans le fond du canapé et attire la jolie Carole dans ses bras.

Elle est adorable, douce, câline, elle se laisse aller et son corps souple vient épouser parfaitement le corps de David.

Elle tourne le dos à David et les bras du jeune homme font le tour de sa poitrine.

Ses mains viennent tout naturellement emprisonner ses deux magnifiques seins.

Il les caresse doucement, fiévreusement.

Ses mamelons durcissent.

David dépose de doux baisers dans le cou de Carole.

Une des mains de David quitte son sein et descend lentement sur son ventre qui palpite.

David poursuit sur sa cuisse relevée et atteint le bas de sa robe qu'il fait remonter sur ses cuisses.

Il la caresse délicatement.

Les doigts effleurent cette peau douce et tiède.

Ils remontent maintenant sur sa cuisse, à l'intérieur et parviennent enfin au creux de l'aine.

Il sent la dentelle très fine de son petit string. Ses doigts courent dessus.

David passe le bout de son doigt sur sa vulve trempée, adroitement.

Il la caresse, son doigt écarte délicatement ses petites lèvres et il sent son fruit défendu s'ouvrir sous sa légère pression, elle semble couler, s'épancher.

Il pince très doucement ce petit clito qui se gonfle instantanément.

Le majeur de David glisse en elle, elle gémit, il la branle doucement.

Il la doigte maintenant de deux doigts et chaque va et vient excite davantage son petit bourgeon.

David sent l'orgasme venir, sourd, violent, dévastateur, ravageur. Le corps de Carole est secoué de spasmes, ses gémissements deviennent des cris difficilement contenus, elle est tétanisée par la violence de l'orgasme qui la terrasse et qui, aussi soudainement qu'il est venu, s'évanouit, laissant son corps pantelant, repu, inondé de bonheur.

Carole tourne son visage vers David, plante ses yeux dans les siens et l'implore de recommencer aussi souvent qu'elle lui demandera.

David caressait doucement Carole pour l'apaiser.

Carole était rayonnante, son joli petit minois resplendissait de bonheur.

Elle chuchota à David de venir la prendre tout de suite et s'étendit sur le dos, offerte, les cuisses ouvertes.

Carole souriait

Carole était heureuse

Carole était satisfaite.

Elle voulait se faire prendre.

David vint se placer sur elle, ses jambes entre les siennes et son membre déjà en érection se posa sur sa vulve.

Il trouva facilement le chemin de la petite chatte trempée et en donnant de petits coups de reins de plus en plus loin, son sexe pénétra doucement en elle.

C'était hallucinant de douceur, de moiteur.

Elle ruisselait de cyprine et sous les coups de buttoirs de plus en plus puissants, elle s'offrait sans aucune retenue.

Prêt à jouir, David se dégageait de la chatte trempée juste à temps.

Carole prit le pénis dans sa bouche pour le faire gicler sur son ventre plat.

David était une nouvelle fois comblée.

Mais, il n'était pas au bout de ses surprises dans sa vie sexuelle.