David et les femmes - 7

Nous étions au mois de novembre.



L'aventure avec Carole durait depuis déjà trois mois.



David était chez lui, quand son téléphone portable sonna.



Il aperçut le numéro de sa voisine.



David décrocha et parla à sa voisine qui se caressait.



Après quelques minutes, Carole avouait être très excitée.



Elle était seule chez elle et voulait entendre le son de la voix de David.



Carole se caressait plus fort au bout du fil.



David le savait rien qu'à entendre son souffle plus court.



Carole décrivait ses caresses.



Ses doigts qui massaient ses seins gonflés de désir.



Ses doigts dans la bouche



Ses doigt qui touchaient son pubis soigneusement taillé.



David fermait les yeux et imaginait Carole



Il l'imaginait très perverse.



Les doigts qui pénétraient et s'introduisaient dans son vagin trempé ou peut-être dans son anus.



Les doigts qui la fouillaient avidement.



Sans s'en rendre compte, David sentait sa verge durcir en s'imaginant les caresses.



Il la voyait presque



Il entendait la voix douce de Carole



Elle suppliait David.



Elle voulait baiser et utilisait son gode.



Elle voulait se faire prendre.



Elle voulait se faire posséder.



Carole criait.



Carole gémissait au bout du fil.



Elle se laissait aller à l'orgasme.



David l'entendait râler.



Il l'entendait crier.



Il l'entendait jouir.



Il l'entendait et la sentait s'écrouler.



Quel moment merveilleux, troublant, intense.



Enthousiaste et très excité, David se rendait alors chez sa jolie voisine.



Elle l'attendait.



Elle avait des dessous sexy.



Même très sexy.



David voyait alors la robe rose qu'elle portait avant la séance de masturbation.



Elle devait être ravissante dans cette tenue.



Elle devait lui aller à merveille.



David avait savouré cette séance de caresses par téléphone.



Carole vient aussitôt se blottir dans les bras du jeune homme qui s'enroulent autour de sa taille fine.



Elle donne aussitôt ses lèvres sur lesquelles David dépose un baiser brûlant.



Immédiatement, le membre de David se tend dans son jean étroit.



Adroitement, Carole s'écarte un peu et d'une main experte, elle défait la ceinture du pantalon et le déboutonne. Elle commence à le lêcher.



Elle prend énormément de plaisir.



Elle s'applique.



Elle regarde David droit dans les yeux.



Elle le fixe de plus en plus.



Carole retire le pantalon de David et leurs corps assoiffés de désir s'enlacent, s'étreignent, se cherchent et se trouvent.



Ils sont heureux.



Caole ondule frémissante.



Elle se cambre.



Le sexe de David est tendu à se rompre.



Il le fait aller et venir imperceptiblement entre les fesses de Carole pleines et chaudes.



Carole le rend complètement fou.



Il sent sa vulve gonflée comme un fruit trop mûr, prêt à exploser.



Il effleure délicatement les lèvres fines.



Il sent la moiteur de sa petite chatte au bout de ses doigts.



Il écarte fébrilement les lèvres et les doigts sont comme aspirés, absorbés, engloutis dans cet antre doux et chaud.



C'est divin, elle est trempée, inondée de liqueur légèrement visqueuse.



N'y tenant plus, il la fait tourner sur elle-même.



Il s'agenouille devant elle pour boire à cette source merveilleuse.



Il approche ses lèvres.



Il sent ses poils duveteux caresser le bout de mon nez.



Des effluves divines viennent taquiner ses narines et sa langue se lance à l'assaut de cet abricot juteux et odorant.



Un délice.



David remonte lentement et pétris fermement les fesses de Carole.



Il s'aventurent dans le sillon qui les sépare.



Il la dévore à pleine bouche.



Il la boit.



Elle laisse échapper de petits gémissements qui l'encouragent.



Les yeux mutins de Carole brillent d'une étrange lueur.



Elle semble épuisée mais ses doigts viennent prendre possession de la verge de David.



Elle sucent David avec force.



Elle prend son temps.



Soudain, Carole se penche en avant en écartant les jambes.



Ses mains viennent en appui et tournant son joli minois vers David, elle l'invite avec des mots crus à venir la baiser ainsi, la prendre.



Sa position ne laisse aucun doute sur l'étendue de son désir.



C'est un appel !



C'est un cri !



Saisissant sa queue d'une main, David la guide vers sa vulve trempée.



David enfonce sa queue sans difficulté.



Les mains de David viennent se poser sur les hanches de Carole.



Il la saisit.



Il l'agrippe.



D'un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, il baise encore une fois sa voisine.



Le bas ventre de David cogne de plus en plus fort contre les fesses fermes de Carole.



Il sent le plaisir monter.



Elle ondule, s'offre à David.



Elle crie de la baiser encore plus fort.



David agrippe à pleine main ses cheveux doux.



Elle se cambre encore davantage.



Dans un dernier coup de rein, David explose au fond de cette chatte brûlante.



Le corps de Carole, pris de spasmes incontrôlables, s'agite dans tous les sens.



David sent les traits de foutre gicler et s'écraser au fond d'ellle.



Carole gémit de bonheur.



David s'écroule sur elle, repu, vidé.



Il est toujours fiché au fond de son corps gracile.



Après cette étreinte passionnée, Carole et David sont épuisés, vidés, mais tellement heureux.



Pourtant, Carole en veut plus et elle prie David.



« Oh, David, je t'en prie, baise moi de partout, prends mon cul en feu, remplis le, inonde le de ta semence ».



Fatigué, David ne se fait pas prier.



Il s'approche et présente son gland sur son petit trou du cul.



Il la pénètre doucement, voluptueusement, presque religieusement.



Il coulisse en elle, de plus en plus loin, de plus en plus profond, de plus en plus vite.



Il encule cette créature de rêve, sa voisine.



Il est fou de bonheur.



Carole hurle de plaisir.



David ne se retient pas.



Cette soirée restera gravée dans la mémoire de David.



Chaque fois que c'était possible, il retrouvait sa voisine avec le même plaisir, le même bonheur, le même désir charnel, presque bestial.



Cette aventure dura quasiment pendant un an et demi pour le plus grand bonheur de David.



Caroline était vraiment coquine.



Elle était de plus en plus épanouie.



Elle était de plus en plus heureuse.



Le bonheur se voyait aussi sur le visage de David qui aimait retrouver sa voisine qui avait beaucoup d'idées pour rendre son jeune voisin heureux.