David et les femmes - 8

Pendant, plus d'un an, David entretenait une relation sexuelle avec Carole.



Carole, lui avait même présenté quelques copines.



Parfois, il avait l'occasion de faire du shopping avec quelques unes.



Certaines étaient très coquines et parfois elles racontaient leurs expériences sexuelles lors des soirées.



David n'assistaient pas à ses soirées entre filles.



Mais, il savait que les soirées étaient parfois chaudes.



David apprit dès lors malgré lui, une aventure qui était arrivée à Marie.



Une aventure extrêmement inhabituelle qui plongeait Marie dans un trouble coupable à chaque fois qu'elle narrait l'histoire à ses copines



Marie était une fille superbe : elle possédait un corps de rêve.



Elle rayonnait en quelque sorte, et il émanait du moindre de ses gestes une troublante sensualité.



Elle dégageait un érotisme torride.



C'était une grande brune sculpturale avec des yeux très foncés, bruns.



Elle était mince, mais était nantie d'une superbe poitrine ferme et souple, plutôt volumineuse.



Elle avait une peau satinée, agréablement bronzée, des cuisses musclées couvertes d'un fin duvet doré qui, sous la lumière indirecte du soleil, rendait le cuivré de sa peau plus soyeux, plus velouté.



Tout son corps pulpeux respirait la santé, la joie de vivre.



Marie savait à quel point elle était belle et n'était que trop consciente de l'effet qu'elle produisait sur les hommes.



En réalité, elle était folle de son corps.



Elle avait juste vingt-cinq ans et, un peu narcissique, ne pouvait se voir dans un miroir sans ressentir aussitôt un trouble étrange.



Ce jour là, après une journée de travail, Marie rentrait chez elle fatiguée, la pauvre biche.



La journée avait été longue et fastidieuse.



Elle alla aussitôt dans sa chambre.



Après un moment de réflexion, elle s'immobilisa en s'apercevant dans la glace.



Sa longue chevelure toute ébouriffée, en soutien, l'air un rien paumé, le visage las.



Elle se vit, la bouche entrouverte.



Elle sentit soudain sa gorge s'assécher



Sa respiration se fit haletante.



Elle s'admira, fière de sa beauté resplendissante et de ses formes pulpeuses.



Elle pivota légèrement à droite puis à gauche pour se présenter sous différents angles.



Elle se cambra, rentre son ventre et pointa ses seins vers le miroir.



Elle disposa ses mains de part et d'autre de sa poitrine



Elle sentit la chaleur lui monter au visage et vit ses joues s'empourprer, ce qui accroissait encore son trouble.



Elle vit ses ailes de nez qui se mettaient à frémir.



Elle sentait qu'elle commençait à mouiller et fût prise soudain d'une envie impérieuse, irrésistible, de se caresser, là, tout de suite.



Elle décida pourtant de ne pas se toucher immédiatement.



Elle savait à quel point l'attente faisait monter son excitation.



Elle entreprît donc d'enlever sa jupe, mais s'obligea à le faire très lentement.



Elle fît glisser le vêtement le long de ses hanches, centimètre par centimètre, tout en se délectant du spectacle de ses superbes cuisses qui
se révélaient à son regard avide.



La jupe finit par choir à ses pieds.



Elle enjamba alors le vêtement.



Elle retira alors le chemisier.



Elle était vêtue, d'un string, de bas et de son soutien.



Un grand miroir saisissait son image.



Marie s'arrêta nette, les cheveux ébouriffés, haletante, le visage rouge d'excitation.



Elle s'approcha lentement du miroir et se mordilla les lèvres.



Elle sentait ses seins ne gonfler et les bouts se durcir.



Ses seins se gonflaient de plus en plus.



Ses hanches se mettaient à ondoyer, une chaleur suave se répandait en elle à partir de son bas ventre.



Elle réprima un petit cri.



Elle passa ses mains derrière son buste pour dégrafer son soutien-gorge, et ce mouvement fît saillir encore sa poitrine.



Elle stoppa un instant son mouvement afin de se délecter du spectacle de ses deux seins attendant impatiemment d'être libérés.



Elle relâcha et les deux globes bondirent vers l'avant, se dandinant légèrement.



Les deux aréoles bistres, très larges, dardaient vers Marie qui manquait de jouir sur place.



Les yeux chavirés, elle contempla son corps superbe, émue, bouleversée, haletante.



Elle s'étira de tout son long, faisant jouer tous ses muscles, ondoyant sous l'effet d'une excitation majeure.



Sa main gauche se plaqua soudain sur son ventre, pendant que sa main droite enfermait brutalement un sein qu'elle se mettait à pétrir frénétiquement en gémissant de plaisir.



Déjà, elle était au bord de l'orgasme.



Ses doigts effleuraient sa chatte détrempée.



Son pubis pointait vers l'avant, en un appel sauvage.



Éperdue, elle se laissa tomber sur le lit tout proche et aussitôt se roula sur le couvre-lit telle une chatte en chaleur.



N'y tenant plus, elle fit prestement glisser son string sur ses cuisses qu'elle caressa lentement et longuement au retour du mouvement.



Elle reprît alors l'exploration de sa chatte.



Elle continua l'exploration de ses seins.



Elle passa un doigt habile sur son clitoris turgescent.



Elle sentait le liquide ruisseler entre ses fesses.



Elle contenait son orgasme à grand peine.



Redressant la tête un instant, elle apercevait, renvoyée par le miroir, l'image de son corps alangui.



Elle rentra brusquement son ventre, en proie à un spasme violent.



Elle écrasa ses seins et se mît à les peloter vigoureusement en décrivant de grands mouvements circulaires. Soudain, elle poussa un cri sauvage et se mît à jouir éperdument, longuement tout en enfonçant ses doigts sur les
bouts de ses seins.



Tout son corps resta ainsi cabré, suspendu, pendant un temps indéfini.



Marie se cambra.



Elle se calma un court instant.



Elle se regarda à nouveau dans le miroir.



Encore toute frissonnante, Marie, loin d'être calmée, imagina à présent un phallus tout gonflé de désir, brandi, rigide et frémissant de désir.



Au bord de l'éjaculation, il parcourait son ventre.



Il flagellait sa poitrine.



Il s'enfonçait dans la tiédeur de ses seins.



Il se présentait devant ses lèvres avides de sucer.



Il continuait devant ses lèvres avides de mordre.



Marie savait qu'en rapprochant ses épaules, ses seins emprisonneront la verge et la coinceront.



Le mouvement accompagnant l'idée, elle écrasa ses seins entre ses bras.



Elle se mît à malaxer son opulente poitrine, la triturant dans tous les sens en poussant des petits cris de plaisir.



Elle "voyait" l'homme.



Elle « voyait » véritablement le phallus écarlate qui allait et venait entre ses seins.



Elle fixait le bout turgescent qui s'approchait et s'éloignait de son visage.



Elle éprouvait une envie folle de lécher le méat qui la visait, de faire disparaître le membre entier dans sa bouche grande ouverte.



Le phallus grandissait et elle le prenait dans ses mains.



L'homme lui faisait également prendre du plaisir en léchant son minou trempé.



Il la pénétrait ensuite en levrette.



Sa langue s'affolait dans sa bouche et elle avalait le sperme abondant.



Elle sentait monter à nouveau l'orgasme, plus fort plus vite que la première fois.



Elle allait jouir.



Eh oui : Marie était folle de son corps.



Elle adorait ses seins à qui elle accordait les soins les plus attentifs.



Son corps superbe, musclé et souple, aux formes parfaites.



Elle savait le mettre en valeur avec ses dessous sexy.



Elle savait que les hommes appréciaient.



Elle sentait son ventre exploser à nouveau en une jouissance sismique en imaginant un homme fou de désir.



Elle se mît à hurler et se roula sur le lit.



Sa main pénétrait toujours plus loin dans sa tendre grotte bouillante et ruisselante.



Elle s'apaisa enfin et demeura pantelante, les yeux révulsés, s'abandonnant à une douce et voluptueuse rêverie.



Après cette séance de masturbation solitaire, Marie se décida à sortir pour satisfaire son besoin sexuel.



Le gode ne lui suffisait pas.



Le gode ne lui suffisait plus.



Elle voulait un homme ce soir.



Elle voulait sucer un beau pénis.



Elle voulait se faire prendre.



Elle se prépara en conséquence.



Elle ajusta des dessous sexy affriolants.



Elle n'hésita pas à enfiler un porte- jarretelle.



Elle mit un chemisier noire.



Elle enfila une robe élégante.



Elle se trouvait très attirante.



Elle se regarda une dernière fois dans la glace.



Il ne lui restait plus qu'à partir.



Elle se rendit dans un bar branché de la ville.



La salle était remplie.



Une sensation étrange démangeait le cou de Marie qui se sentait observée, épiée.



Elle se retournait pour vérifier si ses sens ne l'avaient pas trompé.



C'est alors qu'elle vit un homme qui la dévorait littéralement des yeux.



Il s'agissait d'un jeune homme à l'allure athlétique et dont les yeux perçaient les siens d'une manière insoutenable.



Comme un automate, sans réfléchir, Marie lui adressa un sourire.



Ce court instant l'avait remplie d'une bouffée de chaleur.



L'impression d'être observée ne cessa pas pour Marie.



Elle regardait souvent à la dérobée si l'homme continuait à l'épier.



Marie ne pouvait s'empêcher de fixer l'homme en souriant.



Les yeux de l'homme la hantaient.



Son esprit ne pouvait s'en détacher.



Une sensation de moiteur l'oppressait.



Honteusement, elle ressentait une chaleur accrue dans son sexe.



Elle ne tentait même pas de lutter contre ces pensées.



Elle commençait à sentir sa culotte humectée de cyprine.



Marie se dirigeait vers les toilettes et aperçut l'homme qui l'observait.



Marie s'arrêtait et ouvrit la bouche, mais aucun son ne sortait de sa gorge.



Elle sentait son coeur battre à un rythme infernal.



L'homme la fixait droit dans les yeux.



L'état de Marie étant plus qu'un aveu, il lui montra d'un signe de tête la porte des toilettes.



Marie s'y engouffrait en courant à moitié.



Il la suivit et referma la porte derrière elle.



Marie n'eût pas le temps de se retourner. L'homme lui roula une pelle comme elle n'en avait jamais connue : longe, dévastatrice, profonde.



Marie reprenait son souffle à la suite de ce baiser.



Marie aperçut l'homme défaire la fermeture éclair de son jean pour en sortir un sexe en pleine érection. Il était visiblement très excité et bandait comme un taureau !



La taille de son sexe était grosse.



Hypnotisée par cet engin, Marie tombait à genou devant lui.



L'homme parla d'un ton sans équivoque :
- « Allez, suce moi ! »



Marie prenait la queue dans ses mains.



Elle la contemplait, paralysée par l'instant.



L'homme prenait la tête de Marie



Il grognait d'énervement.



- « Allez ! Vas-y ! T'attends quoi ?! »



L'odeur qui envahit les narines de Marie était particulièrement forte et augmenta encore mon excitation.



Tout en massant délicatement la bite, elle approchait sa bouche de le gland.



La langue de Marie parcourait les bourses, puis remontait le long de sa verge.



Puis, après lui avoir fait un beau sourire, elle l'introduisit dans sa bouche.



Elle palpait chaque centimètre.



Le prépuce était agréable à sucer.



Elle laissait aller le manche de l'engin entre ses lèvres délicates, donnant des coups de langue sur le gland.



Elle entendait les grognements de plaisir.



Elle ne pensait qu'à l'engin qu'elle avait en bouche.



Il allait et venait.



Elle sentait la bite se gonfler dans sa bouche.



D'un coup, le sperme s'échappa du pénis.



Elle avalait avec peine les saccades de foutre les unes après les autres.



Des vagues de plaisir envahissait son corps.



Ayant péniblement dégluti, elle lui léchait goulûment le membre afin de le nettoyer des traces de foutre restantes.



Elle était fascinée de manière hypnotique par la grosseur du membre.



Marie était toute rouge, l'inconvenance de la situation étant à son comble !



L'homme lui repoussa la tête et se laissa tomber le dos contre le mur en gémissant, visiblement foudroyé par la puissance de son orgasme.



Marie l'entendit derrière elle :

- « Allez, viens, on va continuer ça chez moi».



Un frisson parcourut Marie.



Mais, comme envoûtée, elle se retourna et balbutia.



- « Je m'..m'appelle Marie".



Ils sortirent.



Le goût de la queue et du sperme emplissaient encore la bouche de Marie.



Le goût l'enivraient.



Dans la voiture l'homme parla :

- « Hé ! Tu sais que t'es mega bonne, toi ?"



Il mettait sa main sur les cuisses de Marie et les palpa.



Il remonta vers la chatte et Marie écartait les cuisses sans même y penser.



Mais, Marie voulait réellement aller jusqu'au bout de l'aventure et du plaisir de son propre gré.



Elle savait qu'elle ne serait pas déçue.



Elle mît alors sa main sur le sexe de l'homme.



Elle pouvait le sentir au travers du jean.



Elle passait sa paume langoureusement dessus.



Enfin, ils arrivèrent à destination.



Marie n'était pas très rassurée même si son désir de pousser la jouissance jusqu'à son extrémité était le plus fort.



Ils se garèrent.



En sortant de la voiture, l'homme lui donnant de petites claques contre les fesses pour la faire avancer plus vite.



Il ouvrit et la fit passer dans l'appartement.



Il alluma la chaîne hifi et ordonna à Marie :



- « Maintenant, tu strippes ! ».



L'homme s'installa dans un fauteuil pour profiter du spectacle.



Marie commençait donc à onduler devant lui en se caressant les pieds



Elle se caressait les cuisses.



Elle ôta sa veste.



Elle se caressa ses seins.



Elle enleva sa robe.



Elle était en sous-vêtements.



Marie était maintenant complètement nue.



Elle en profitait pour se masturber et exciter son clitoris en écartant les jambes dans une posture indécente, mais tellement électrisante.



L'homme vint immédiatement se coller contre elle.



Il passa ses mains sous les fesses de Marie et entreprît de la lever à hauteur de son sexe.



Marie s'accrochait à son cou.



Elle sentait le gland fourrager contre sa vulve pour trouver l'entrée.



D'un coup, il enfonça fougueusement son membre en elle, la faisant pousser un cri tenant autant du plaisir que de la surprise.



Malgré sa taille du pénis, elle avait émis tellement de cyprine qu'il entra en elle sans problème.



Il commença à la ramoner profondément.



Jamais les lèvres de la chatte de Marie n'avaient à ce point été écartelées.



Le plaisir éprouvé dépassait de loin tout ce que Marie avait connu jusque là.



L'homme la tenait toujours par les fesses et la faisait faire de petits sauts pour amplifier encore plus le va et vient de sa bite en elle.



Jamais la chatte n'avait servi d'écrin à un membre pareil.



Sous les coups de boutoir, Marie sentait monter en elle un puissant orgasme.



Les parois de son vagin se contractèrent en cadence avec force sur la verge de l'homme.



Ce fut pour lui le coup de grâce et il déversa de puissants jets de foutre
chaud dans la chatte de Marie.



Elle cria sauvagement en renversant ma tête en arrière.



- « Il y a encore un trou avec lequel je n'ai pas fait connaissance » expliqua l'homme en passant une main sur les fesses de Marie.



Elle savait à ce qui l'attendait.



Elle se mît à quatre pattes en relevant la croupe afin de lui présenter son anus en offrande.



Il se positionna derrière.



Il approcha son visage de des fesses de Marie.



Sa langue parcourut l'anus de bas en haut.



L'onde de choc que provoqua cette caresse en elle lui ôta toutes forces.



Instinctivement, elle écartait encore plus les cuisses afin de lui faciliter l'accès à son trou.



Sa langue fit avec précision le tour de son rectum avant de s'y enfoncer par petits coups vicieux.



Soudain, un liquide gluant envahissait la raie des fesses de Marie.



L'homme avait craché sur son anus afin de le lubrifier et étalait sa salive avec ses doigts.



Le moment fatidique était arrivé.



Elle sentait le gland à l'entrée de son petit trou.



Il l'empala centimètre par centimètre sur son membre.



L'oeillet de Marie s'ouvrit avec peine.



Elle n'avait jamais été emplie de cette manière de ce côté-là et la douleur se mêlait à un plaisir intense.



Une fois qu'il eut rentré sa queue de toute sa longueur, il se mit à la pilonner avec véhémence.



- « T'es si étroite !! Oh oui, t'es trop bonne ! »



Marie ne pouvait rien répondre, à part des ahanements de plaisir.



L'homme la besognait comme un possédé.



Le va et vient de son sexe en la plus profonde intimité de Marie était la chose la plus excitante qui lui était jamais arrivée !



Elle criait quand soudainement le sexe de l'homme enfla dans son cul.



L'homme gicla.



Il sortit son membre après quelques mouvements destinés à lui vider complètement les bourses.



Marie était heureuse.



- « Et maintenant, on joue à la fée du logis, Marie".



Il lui mit la tête à hauteur de son sexe.



Sans me faire prier, et sans même penser qu'il venait droit de son cul, Marie le prît dans la bouche en fermant les yeux.



Elle léchait consciencieusement s'attardant particulièrement sur le gland.



En rentrant chez elle, Marie prît un bain pour se calmer.



En racontant cette histoire à ses copines, Marie mouillait et se masturbait.



Mais, elle n'était pas la seule.



Car, en rentrant de la soirée et en racontant, l'histoire à David, Carole était en transe.



David savait que la soirée n'était pas terminée.



Carole allait lui offrir un nouveau moment de bonheur.



Elle savait y faire.



Il allait en profiter.



David serait comblé.



Malheureusement, les études de David et l'éloignement ne contentait plus Carole qui trouva un homme pour la satisfaire.



Carole était heureuse.



Sexuellement, elle était libérée.



Son amant devait en profiter.



Carole était une experte.



L'homme avait dû s'en apercevoir.



Quand David rentrait chez ses parents, il s'imaginait Carole en extase.



Mais, il devait oublier Carole qui l'avait remplacé.



Cependant, il regardait encore des photographies de sa voisine dans des positions indécentes.



Cela le réconfortait un peu.



Elle était belle.



Radieuse.



Eblouissante.



Jolie.



Mais, David s'en voulait.



Il aurait voulu la garder.



Elle était de plus en plus rayonnante.



Finalement, après quelques mois de solitude, David se reprît en main avec une camarade de faculté, prénommée Eve.