Mélanie et les blacks - 1

"Bonjour, je m'appelle Mélanie. Aujourd'hui, je vais m'occuper de vous".


Comme les autres employées de cette enseigne de coiffure d'une zone commerciale de moyenne taille, Mélanie accueillait les clients de manière agréable avec un joli sourire.


Elle poursuivait son travail de manière professionnelle en posant, comme un rituel, deux autres questions :
"Quel est le jour de votre dernier shampoing ? Comment souhaitez-vous que je vous coupe les cheveux aujourd'hui ?"



Ensuite, elle lavait la tête de ses clients ou de ses clientes, réalisait le shampoing en massant délicatement le crâne, avant de commencer la coupe de cheveux.



Pendant la coupe, Mélanie n'hésitait pas à engager la conversation avec les clients et les clientes. Elle gardait toujours son joli sourire et ses doigts délicats effleuraient à peine les cheveux.



Sa tâche achevée, elle conservait son sourire en présentant l'addition et, à l'instar de ses trois autres collègues, elle prenait les coordonnées des clients ou clientes pour les besoins de la carte de fidélité.



Enfin, avant de prendre congé, elle avait toujours un petit mot doux pour ses clients et clientes et leurs souhaitait une bonne fin de journée.



Mélanie, coiffeuse d'environ vingt-cinq années, était un beau petit lot selon l'appellation des garçons. Ses cheveux blonds, ses yeux clairs, son joli fessier bien rebondi, sa poitrine ferme étaient ses atouts.



Depuis quatre mois, elle était de nouveau célibataire après la rupture avec son dernier compagnon. Pourtant, cette jeune blonde avait un regard à faire tomber les hommes. Elle savait que les hommes la regardaient souvent à travers la vitrine du salon, ou se retournaient sur son passage lorsqu'elle se baladait dans la rue.



Parfois, devant le regard insistant des hommes, elle se sentait atrocement gêné. Elle détestait cela mais, elle reconnaissait pourtant que cela était fort agréable.



Les regards nombreux encourageaient en effet Mélanie à prendre soin de sa tenue et de son apparence au quotidien. Dans ce domaine, elle n'avait aucune leçon à recevoir de personnes et était toujours bien présentée.



Ce samedi matin, du début de printemps, Mélanie se préparait tranquillement dans son appartement. Elle savait que la journée serait
bien remplie, à l'instar de tous les samedis où elle travaillait. Elle choisissait donc une tenue correcte et agréable à porter pour sa dernière journée de la semaine avant un repos bien mérité. Elle commença par ajuster une petite culotte blanche.



Elle se contempla dans une glace et fît un léger sourire. Elle se trouva fort désirable et apprécia ses seins.



Mélanie aimait prendre le temps le matin. Elle continua donc à se vêtir de manière sensuel avec un soutien-gorge blanc et des collants. Sa beauté ressortait de plus en plus.



Elle choisit alors un débardeur rouge qui tranchait avec la couleur de ses cheveux. Mais, Mélanie aimait cette couleur, surtout qu'elle avait déjà prévu la suite de sa tenue.



Avant d'enfiler sa jupe, Mélanie ajusta une nouvelle fois ses collants et son débardeur. Elle savait qu'une nouvelle fois, les hommes allaient la regarder.



Elle enfila alors sa jupe en cuir noire. Elle avait un cul d'enfer dans cette jupe. Mais, elle se sentait à l'aise.



En souriant, elle ajusta une nouvelle fois ses collants.



Elle était très belle dans cette tenue qui lui allait parfaitement et correspondait à son caractère.



Elle se pencha alors un petit peu et s'aperçut que l'on pouvait apercevoir une petite partie de sa poitrine. Mais, cela ne gêna pas Mélanie, bien au contraire.



Avant de quitter son appartement, elle se regarda une dernière fois dans la glace. Mais, maintenant, il était l'heure de se rendre au salon de coiffure pour l'ouverture.



Elle se retourna et heureuse se rendit au salon de coiffure pour une longue journée de travail.



Finalement, après sa journée de travail, Mélanie marchait tranquillement dans la rue pour rentrer à son domicile. Il était un peu plus de vingt et une heure car Mélanie aimait flâner dans la zone commerciale. De plus, une de ses collègues payait un petit pot pour fêter son anniversaire. Mélanie avait bu un petit peu d'alcool mais se sentait encore bien. Alors qu'elle remontait doucement une rue, un black l'aborda



"Bonsoir mademoiselle, vous êtes belle comme un rayon de soleil, s'exclama-t-il.



- Vous êtes seule ? questionna-t-il.



- Mademoiselle, vous êtes très jolie, mais vous savez il faut faire attention c'est dangereux, vous devriez être accompagnée» enchaîna-t-il.
- Vous avez de la chance, je suis très gentils avec les belles femmes.
Vous souhaitez peut-être de la compagnie", continua-t-il.



Mélanie continua doucement sa marche, accompagnée par cet homme noir qui ne semblait pas forcément méchant mais collant selon elle.



Sans se douter que son destin allait basculer dans quelques minutes, Mélanie répondait très gentiment avec un petit sourire aux questions de ce black.



Pourtant, alors qu'elle était proche de son appartement, l'homme commença à coller Mélanie.



Elle accéléra le pas mais l'homme accéléra aussi. Mélanie fût stupéfaite et surprise lorsqu'il sortit un sexe d'au moins vingt-cinq centimètres.



Mélanie n'en avait jamais vu d'aussi grosses en vrai.



- Allez, poupée, ça se voit qu'elle te plait. Cela se voit que tu la veux ? s'exclama le black.



Mélanie protesta quelque peu, mais elle ne pouvait rien faire devant cet homme plus fort qu'elle.



C'est alors que deux hommes noirs qui apercevait la scène se rapprochaient. Ils parvinrent sans difficulté à mettre en fuite, l'homme qui menaçait la belle blonde. Ils proposaient très poliment un petit verre dans l'appartement de l'un deux. Pour se remettre de ses émotions, Mélanie accepta l'invitation.



Accompagnée de deux noirs, Mélanie se sentait rassurée. Les deux hommes en profitaient pour donner leurs prénoms à la belle blonde qui les remercia. Les deux blacks, Steve et Moussa arrivèrent près de l'appartement où Mélanie pouvaient se remettre de cette agression. Les deux hommes, toujours très polis contemplaient toutefois Mélanie.



Ils n'en revenaient pas. Ils étaient en compagnie d'une superbe femme blanche, blonde et fine.



Ils regardaient ses seins bien fermes à travers ses vêtements



Ils observaient de loin son cul à damner un saint.



Les deux hommes toujours aimable proposèrent donc un petit verre d'eau à Mélanie. Dix minutes plus tard, alors qu'elle s'apprêtait à prendre congé, un troisième homme fît son apparition dans l'appartement. Mélanie, surprise et de nouveau angoissé reconnu son agresseur qui s'exclama :
- "Bonsoir, je m'appelle Badara et je vais m'occuper de toi ce soir. Depuis quand, n'as-tu pas faire l'amour avec homme ? Quelle est ta position préférée ?"
- Putain, Badara va bien s'amuser cette nuit ! ricanèrent Moussa et Steve.



Mélanie comprit alors qu'elle était tombée dans un piège. Elle allait devoir passer la nuit avec ces trois individus. Elle prit peur en pensant ce qu'il attendait, elle qui n'avait jamais pratiqué l'amour interracial, ni pratiquer l'amour à plusieurs.



Mais, la jeune femme blonde n'était pas au bout de ses surprises. En effet, alors qu'elle croyait que les trois hommes allaient se jeter sur
elle, il n'en fît rien. Badara mit alors de la musique et demanda à Mélanie de se lever pour danser. Mélanie n'avait pas le choix et s'exécuta.



Très vite, les trois blacks l'entourèrent et commencèrent à la tripoter, caressant ses fesses, malaxant ses seins et aventurant même leurs mains vers la chatounette.



Mélanie dansait et éprouvait des difficultés pour contrôler la situation. Pourtant, en voyant les trois jeunes, une bouteille de bière à la main, elle demandait un peu d'alcool à ses trois hôtes qui lui donnèrent de quoi se rafraîchir.



Badara prît Mélanie dans ses bras et lui roula un patin d'enfer.



Ensuite, il toucha une dernière fois les seins de Mélanie à travers le tissu. Mélanie fût surprise mais compris rapidement que les trois jeunes hommes étaient de plus en plus excités.



Badara décida alors de faire apparaître les seins de Mélanie. Il fût subjugué quand les deux globes laiteux aux auréoles roses virent le jour.



"Mate moi ces nibards, de vraies merveilles !, signala-il à ses deux comparses.
Il ne résista pas longtemps et il se mit à téter les mamelons comme un bébé.



Mélanie commençait doucement à se détendre et Moussa et Steve attendaient le tour pour profiter de la belle poitrine. Badara se retira et ordonna alors à ses deux amis de toucher les seins de Mélanie. Ils ne se firent pas prier pour s'exécuter.



Ils léchèrent les seins de Mélanie pendant quelques minutes tout en
caressant son entre- cuisse. Réticente au départ, Mélanie commençait à apprécier le manège des trois lascars qui avaient l'envie de prendre leur temps avec elle.



Jugeant que le manège avait assez duré, Badara, qui regardait la scène, s'exclama :
« Vous avez vu sa bouche ? Elle doit sucer comme une reine!



- Je le pense aussi et en plus avec nos engins, elle va se régaler. Je suis certain qu'elle n'attend que cela. J'ai hâte de la voir inonder de sperme" ajouta Steve.



Badara calma les ardeurs de ses deux comparses mais allongea Mélanie sur le dos. Très vite, Steve et Moussa placèrent leurs impressionnantes queues devant les yeux de la coiffeuse.



Badara avait une vue magnifique sur les seins de Mélanie qui ne voyait plus rien.
- Comme on doit être bien entre les deux ! commenta alors Badara.
Joignant le geste à la parole, il plaça son sexe entre les seins de Mélanie et entreprît une cravate de notaire. Sans même faire un geste de recul, Mélanie laissa la bite tendue de Badara s'introduire dans sa bouche. Elle commença même sans s'en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge.



Badara continua alors à donner ses propres instructions à ses deux acolytes qui obéissaient. Ainsi, il ordonna à Moussa et à Steve de retirer leurs bites des yeux de Mélanie pour que cette dernière profite du spectacle. Moussa et Steve obéissait immédiatement à Badara qui semblait donc être le chef de la bande et retiraient rapidement leurs queues noires des yeux de Mélanie. Mélanie se surprît alors à prendre en main les bites de Moussa et Steve pour les branler et les maintenir en érection.



Pendant quelques minutes, Badara laissa faire Mélanie qui voyait les appendices grossirent à vue d'oeil. Elle avait perdu tous envie de résistance et était maintenant soumise aux moindres désirs des trois hommes.



Moussa et à Steve se retirèrent à quelques mètres pendant que Mélanie continuait la fellation. Mélanie était même déçu et souhaitaient reprendre les deux bites en main et les mettre rapidement en bouche.



Mais Badara lui demanda de patienter gentiment, expliquant que Moussa et Steve auraient droit aussi à leur récompense plus tard.



Dès lors, Mélanie avala fermement alors l'appendice de Badara qui releva lui-même les cheveux blonds qui masquaient le spectacle pour pouvoir en profiter. Il en profitait aussi pour imprimer le rythme.



La bouche menue de Mélanie eut du mal à engloutir la totalité du pénis
rugueux de Badara.



Sa langue eut du mal à se mouvoir, plaquée entre le maxillaire inférieur et le pénis remplissant sa bouche.



Durant une éternité, la tête de Mélanie fit des va -et- viens, guidée par Badara qui lui tenait toujours les cheveux dans sa main.



« Putain comme elle est trop bonne, sa langue m'entoure la bite, oh je sens que celle là elle sera pas trop dure à dresser, on va vite en faire une bonne petite pute » s'exclama Badara.



En effet, Mélanie s'appliquait pour satisfaire Badara. De temps en temps, elle passait même délicatement une main sur le pénis. Le jeune homme pensait même que Mélanie allait opposer une résistance plus grande. Mais, il s'était trompé car Mélanie, craintive, avait décidé d'être docile pour ne pas subir un plus grand outrage.



Mélanie le sentait venir mais elle n'avait pas envie que Badara jouisse dans sa bouche. Mais, Badara plaqua la tête de la sa proie bonde contre son pubis.



Mélanie croyait s'étouffer par la longueur du pénis au fond de sa gorge.



La première giclée, lourde et puissante se déversa directement au fond de la gorge de Mélanie.



La seconde lui tapissa le palais.



Le reste inonda sa langue.



Une fois achevé, Badara maintint sa pression pour que la tête de Mélanie reste en position. Son pénis, à peine dégonflé bouchait toujours l'orifice buccal de la femme blonde.




Mélanie devait avaler la semence du black. Elle le fît finalement non sans mal.



Satisfait, Badara saisit le bras de Mélanie et reprit son souffle durant de longues minutes.



"Ranime-le, je vais te sauter", cria Badara.



Mélanie obtempérait et repris le sexe noir en bouche. Il ne tarda pas à bander à nouveau.



Mélanie se relevait quand il fut au maximum à en faire mal.



Badara s'exclama alors :

"Allez, ma belle, maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu vas ramasser!"



Pendant que Mélanie se déshabillait complètement, Badara s'astiquait pour maintenir son érection au maximum.



Mélanie devenait de plus en plus inquiète devant la grosseur du pénis.



Badara poussa Mélanie en arrière en se positionnant sur son corps dénudé, la forçant à s'allonger sur le sofa.



Elle allait pour la première fois se faire enfiler par un noir.



Presque sans effort, Badara s'enfonça dans le vagin. Mélanie ne pût retenir un gémissement de douleur. Elle n'était pas préparée à le recevoir.



"Détends toi, tu vas aimer" la rassura Badara.



Il opéra un va-et-vient avec ses hanches, explorant largement l'appareil génital de Mélanie.



Le corps de la jeune fille commença à se réveiller et répondit petit à
petit au coït sous les assauts de Badara. Un feu commença à consumer le ventre de la jeune blonde accueillant de mieux en mieux ce pénis qui l'envahit, l'ouvrait.



Un houlement anima ses hanches, accompagnant les propres coups de reins Badara qui fît monter le plaisir dans le corps de Mélanie qui se détendît alors.



Elle cherchait son souffle et gémit sans pouvoir se retenir, le plaisir montant crescendo. Elle pétrissait les fesses de Badara. Son fessier était dur et musclé.



Badara avait accéléré le rythme de sa pénétration et donnait de profonds coups de boutoir dans la chatte de Mélanie, ce qui la faisait gémir de plus en plus fort.



Alors que la jeune femme était en bonne voie pour un orgasme, Badara se retira :
- « Tourne-toi, bébé, je veux te prendre en levrette »



Mélanie se mit à quatre pattes et tendit ses fesses vers le sexe triomphalement érigé de Badara qui replongea aussitôt dans le vagin de la jeune femme.



Badara se projeta d'un coup dans mon ouverture béante. Malgré sa brutalité, Badara coulissa comme un piston trop huilé dans la chatte de Mélanie.



Mélanie commença à crier et Badara lui parla :
- Tu es bonne !



Mélanie continua à crier et Badara accéléra la cadence.



Badara, tout en pistonnant Mélanie, introduit un doigt dans l'anus de Mélanie. Au bout de quelques minutes, il sentait l'orgasme arriver.



"Je vais t'arroser la chatte. Comme ça, tu porteras au plus profond de ton être mon empreinte, annonça Badara.
- Non, ne jouis pas dans mon ventre, implora Mélanie.



- Trop tard !C'est trop bon ! C'est trop bon !" hurla Badara.



Badara inonda et remplit longuement la chatte de Mélanie. La puissance de Badara la balaya. Ses lourds jets de sperme furent autant de salves qui firent abdiquer les dernières résistances de Mélanie, lui arrachant quelques miettes de plaisir supplémentaires.



Elle était en nage malgré la fraicheur de cette nuit printanière. Elle n'était plus qu'un animal craintif à la merci de trois hommes. Badara venait de l'ensemencer avec l'assurance d'un lion dévorant sa proie. Elle était sa victime.



Il se retira tout aussi brusquement de Mélanie qui était exténuée.



Mais Badara n'en avait pas finit avec Mélanie. Trente minutes plus tard, il releva le bassin et d'un coup de rein puissant força mon ouverture serrée.



Badara, sans coup férir, lui défonça le petit trou.



Vierge du petit trou, Mélanie n'avait plus le courage de crier. Elle se mordit les lèvres pour étouffer le cri de douleur.



Badara lui laboura longuement l'anus et Mélanie était comme une proie soumise.



Pour atténuer ses souffrances, Mélanie suivait la cadence des coups de reins de Badara, la soumettant du même coup à cette humiliation suprême.



Mélanie souffrait mais commença à simuler un plaisir avec des petits gémissements.



Badara triompha et d''une résistance hors du commun, il sodomisa Mélanie
durant presque une heure.



L'anus de Mélanie ne méritait plus l'appellation de 'petit trou' : ce n'était plus qu'une plaie béante qui s'écartait encore et encore sous les va- et- viens du long pénis.



Les corps de Mélanie et Badara ne faisaient plus qu'un depuis longtemps.



Mélanie fût fauchée plusieurs fois par des orgasmes tout aussi durs et intenses les uns les autres.



Satisfait, Badara inonda à gros bouillons les entrailles de Mélanie.



Badara se retira et porta Mélanie comme un trophée. La jeune femme n'avait
plus la force de protester.



Pourtant, conscient d'en avoir trop fait et se rallongea auprès de Mélanie. Il se mit à caresser la tête de la jeune blonde.



Il l'embrassa sur sa bouche langoureusement. Mélanie lui rendis le baiser,
baveux, tendre.



Mélanie somnola à côté de Badara. Mais, deux heures plus tard, tel un serpent, elle goba de nouveau entre ses lèvres,le morceau mou de chair
qui l'avait sodomisée quelques heures plus tôt.



Badara ne se réveilla pas ou fit mine mais sa massue se redressa au fur et à mesure que la langue de la coiffeuse coulissait le long.



Lorsque Mélanie le sentit proche, elle voulut s'écarter mais un étau serra son cou, m'obligeant à garder la position tandis que Badara donna des coups de reins sévères dans le vide, écrasant son visage contre son pubis.



Piégée, Mélanie eût un haut-le- coeur avec l'arrondi qui écrasait sa luette mais réussit à ne pas vomir.



Badara attira le visage de Mélanie à son niveau en tirant ses cheveux blonds.



La bite de Badara agité de soubresauts cracha un sperme lourd, épais directement au fond de la gorge Mélanie.



"Mélanie, tu es bonne ! Tu seras ma reine, tu veux bien. Ici c'est moi le chef, alors celle qui sera ma femme aura le même respect que moi", annonça-t-il.



Mélanie sursauta en attendant ses mots. Elle n'imaginait pas être comme cela. Traitée comme une poupée gonflable par cet homme black. Traitée comme la dernière des salopes, en recherche de belle bite black.



Badara, certain de sa puissance et de son emprise sur Mélanie, rentra ses coordonnées téléphoniques sur le smartphone de la coiffeuse. En dédicace, il inséra même une image de sa belle bite noire dans la bouche de Mélanie qu'il avait prise pendant la première fellation.



En souvenir, il entra dans son smartphone, le numéro de Mélanie, pour garder le contact, en souvenir de cette soirée où il avait possédé la jeune blonde. Une soirée qui en appelait certainement d'autres.



Pendant un mois, Badara venait en conquérant à la fin de la journée de travail de Mélanie, sûr d'avoir rendu accro à sa grosse bite cette superbe fille.



En général, à peine entré dans son appartement, il sortait sa grosse bite pour se faire sucer par Mélanie. Elle était à genou et Badara lui fourrait sa pine dans la bouche.



Badara adorait la bouche de Mélanie qui, de plus, suçait divinement bien.



Elle administrait de sublimes fellations. Léchage de la hampe, gobage de testicules et gorge profonde, tout l'éventail de la parfaite fellatrice y passait.



Mélanie avait découvert qu'elle adorait le goût du sperme et Badara ne se privait pas de lui faire boire le sien directement à la source !



Mélanie était ainsi souvent souillée mais avait pris l'habitude des giclées de Badara.



Badara l'observait alors quelques instants avec le fruit de sa semence. Il dominait réellement Mélanie.



Puis un moment de repos passé, Mélanie se rendait dans la salle de bain pour se nettoyer. Badara qui reprenait des forces pendant ce moment entraînait ensuite Mélanie dans la chambre pour la baiser comme la petite chienne qu'elle était devenue.



Toutes les positions y passaient. Badara avait un petit faible pour la levrette, position dans laquelle, il avait la sensation de dominer cette belle pouliche blanche, comme il l'appelait parfois.



Evidemment, le black ne se privait pas pour au minimum une fois par semaine, honorer le petit trou de Mélanie, qui acceptait la sentence sans broncher.



Il s'essayait également à la position cavalier où il prenait un malin plaisir à diriger sa bite au coeur de la fleur de Mélanie. Elle poussait alors son bassin vers le pubis. Sa bite disparassait alors sans le ventre de la femme blonde qui allait finalement prendre son orgasme.



Après l'avoir pilonnée et avoir joui dans tous ses orifices, Badara était satisfait, laissant Mélanie étendue, épuisée, les trous pleins de sperme.



Mélanie, qui acceptait sa nouvelle condition, se disait que tout de même, Badara l'utilisait un peu comme une poupée gonflable ou un vide couilles.



Pourtant, elle devait se rendre à l'évidence quand Badara donna une formule magique pour montrer sa force : 2x diamètre x longueur x 3,14. Depuis un mois, elle prenait 452 cm3 à chaque pénétration du black. Elle était devenu accro à sa grosse bite et Badara le devinait de plus en plus.



Il allait pouvoir après ce premier mois à apprivoiser Mélanie, à la deuxième partie du plan pour le plus grand plaisir de Steve et Moussa qui devenaient de plus en plus pressant avec Badara.