A l'écoute - 02
Après la première mission de test de la veille, je me lève le matin et mets mes boucles d'oreille en me demandant si je vais avoir une mission dès aujourd'hui. Pendant que je prends mon petit déjeuné, j'entends la voix métallique me parler :
# Ta première mission commencera ce matin. Ne t'encombre pas avec un soutif.
Je m'habille donc en conséquence, choisissant un petit débardeur léger que je passe à même mes seins.

En me voyant m'habiller ainsi, Paul me sourit :
- Ils vont être contents tes collègues de boulot ce matin !
Je n'ose pas lui dire que je vais avoir une première mission et que c'est la raison de ma tenue. Je me lève et passe devant lui alors qu'il reste béat en admirant mes mamelons qui pointent à travers le tissu de mon petit débardeur.

Arrivée au boulot, je trouve une note de Fabrice sur mon bureau m'indiquant qu'il passera me chercher en début d'après-midi. Je passe ma matinée à trier et classer les dossiers que je dois transmettre à André et Jérémy qui vont prendre la main sur mes anciennes attributions. Le repas à la cantine est un peu gênant car beaucoup de mecs louchent sur mes seins visiblement libres de tout soutien-gorge. Fabrice passe comme convenu me chercher dans mon bureau.
- Salut Ninon.
- Bonjour. On va où ?
- On a de la chance, notre client loge en ville et son hôtel est sur la place principale. On ne va pas perdre de temps en déplacement.
Fabrice ne fait aucun commentaire sur ma tenue mais je vois ses yeux régulièrement posés sur mes seins. Une fois garés près de la grande place, on sort et Fabrice me dit :
- Tu es prête ?
- Je pense oui...
Je souris mais j'étais quand même passablement stressée.

Fabrice s'éloigne. Dans l'oreillette, je l'entends me parler :
# J'espère que tu n'as pas mis de soutien-gorge comme convenu...
Le salaud, il sait parfaitement que j'ai joué le jeu puisqu'il n'a pas arrêté de reluquer ma poitrine à chaque fois qu'on s'arrêtait à un feu. Je le vois se retourner :
# Montre-moi.
Il veut voir si je suis capable de m'exhiber en public. Je n'ai pas le choix. Je tire sur le décolleté pour dégager mes seins en m'assurant qu'il n'y a pas trop de monde aux alentours pour en profiter.

# Parfait. A bientôt.
Je me rajuste en me demandant ce que signifie ce "à bientôt". Fabrice sort de mon champ de vision. Je l'ai perdu. Puis, j'entends à nouveau la voix métallique.
# Bonjour Ninon. Tu as de très beaux seins. Par contre, j'ai prévu pour toi une autre tenue. Nous allons nous en occuper tout de suite. Avance-toi vers l'escalier qui se trouve juste derrière les voitures garés, sur ta droite.
Fabrice a passé la main à notre client. Je vais jusqu'à l'escalier, sans doute pour être mieux vue de mon nouvel interlocuteur.
# Bien, maintenant retire ton débardeur.
Impossible de lui dire que je ne souhaite pas m'exhiber sur une place publique. En même temps, je suis un peu cachée entre les deux voitures. Je m'exécute en espérant que les instructions suivantes viendront vite.

Quelques personnes s'arrêtent pour me regarder. La voix continue :
# Retire aussi le bas : jupe et culotte.
Pas le choix, je fais glisser ma jupe en entrainant en même temps ma culotte. Je me retrouve toute nue au milieu de la rue, entourée de quelques badauds intéressés.
#Bien, tu es très belle et obéissante.
J'attends la suite avec impatience.

# Au bas de l'escalier, il y a un sac dans lequel tu vas trouver une petit robe.
Je me précipite vers le sac et sors la petite robe. Elle n'a rien de provocante et est même plutôt de bon goût. Je range rapidement mes vêtements dans le sac et utilise la petite robe pour me cacher des regards intéressés de quelques passants.

Voyant qu'il y a trop de passage sur le trottoir, je décide de me glisser entre les deux voitures pour enfiler la robe. Aussitôt, le voix retentit :
# Non, pas entre les voitures. Je ne te vois pas.
Je cherche du regard qui peut être mon mystérieux interlocuteur mais impossible de le distinguer au milieu des promeneurs.

Je retourne donc sur le trottoir. Les gens me regardent bizarrement. Les femmes pensent que je suis complètement folle et m'adresse des regards de pitiés. Les hommes le pensent peut-être aussi mais je sens sur mes parties intimes des regards appuyés et plutôt lubriques. J'enfile la robe en ignorant leur présence.

Dès que j'ai mis les bretelles et enfin caché ma poitrine, ma tenue déjà plus sage attire nettement moins l'attention et je me sens beaucoup mieux.
# Bien, tu vas maintenant t'approcher du groupe qui discute sur ta gauche.
Je remarque effectivement quelques personnes, hommes et femmes, qui discutent non loin de moi. Je les rejoins en finissant de bien ajuster la petite robe. En m'approchant, je sens comme un souffle dans l'oreille, de plus en plus présent.

Un gars, proche du groupe, se retourne et me sourit. Il me prend par la main et me dit :
- Viens.
C'est curieux car j'entends exactement en même temps la voix métallique. J'ai donc trouvé celui qui m'a offert cette petite robe. Me voyant hésiter, il me prend par la main pour que je le suive. Tout en marchant, il me regarde :
- Cette robe te va encore mieux que je ne l'imaginais.

Il me fait entrer dans un hôtel qui donne sur la place. Je sais bien ce que cela signifie. Nous montons dans sa chambre. Il sort le téléphone de la poche de sa chemise et appuie sur un bouton. Le léger souffle que j'entendais s'arrête alors. La voix métallique est éteinte. Le gars me sourit :
- Je prends une douche. Mets-toi à l'aise.
Au moins, il ne me saute pas dessus. Je sens quand même son regard appuyé sur mon décolleté et cela m'amuse.

Il ferme la porte de la salle de bain et j'entends l'eau couler. Je me demande qui peut bien être mon client. S'il s'était déshabillé dans la pièce, j'aurais pu fouiller ses poches dans l'espoir de trouver une pièce d'identité. Je ne vois aucune valise, aucun vêtement, aucun effet personnel dans la chambre. L'a-t-il loué uniquement pour pouvoir me baiser ? Sa douche est rapide. Quand il sort de la salle de bain, il a entouré une serviette autour de sa taille. Son torse est musclé et cela me chauffe l'entrejambe. Il sent mon trouble et en profite :
- Moi aussi j'aimerai voir ton torse...
Je peux difficilement lui refuser cela. Je tire sur le décolleté pour dégager mes seins.

Il reste de longues secondes à détailler ma poitrine. Son regard semble concentré mais ne montre aucune émotion. Pourtant, je remarque que peu à peu une bosse se forme sous la serviette et commence à la soulever de plus en plus. Aucun doute que la vue de mes seins le fait bander. Il remarque mes regards curieux vers son entrejambe et ouvre sa serviette pour exhiber son érection.

Sa queue est vraiment superbe et me fait très envie. Un instant, j'oublie que l'oreillette ne fonctionne plus et que je n'ai pas à attendre d'instruction. Comme je reste les yeux fixés sur son sexe, il rigole et finit par dire :
- Cela semble te fasciner. Tu veux la sucer ?
- Oui... réponds-je timidement.
Je m'agenouille et saisit la base de l'imposante tige pour me la glisser dans la bouche.

Sa queue est délicieuse à sucer et m'excite vraiment. J'espère qu'il ne va pas se contenter de décharger dans ma bouche et qu'il va me faire l'amour. Je ne montre pas trop d'entrain à la fellation dans l'espoir qu'il me propose rapidement autre chose. Après quelques minutes, il me dit après un profond soupir de contentement :
- Lève-toi et retire la robe.
Je commence à être habituée à ne pas discuter les ordres. Je me lève et laisse donc la petite robe glisser à mes pieds.

Il me regarde de haut en bas, détaillant chaque partie de mon corps.
- Tu es très belle. Viens t'appuyer au dossier du canapé.
Comme je recule, il accompagne mon mouvement vers le canapé en me faisant pivoter, voulant manifestement plutôt profiter de mon cul. Quand je suis appuyée sur le dossier, il me soulève une jambe pour l'appuyer sur l'accoudoir. Je sens aussitôt son gland puissant appuyer contre ma fente humide. Il donne un petit coup de reins et je gémis en sentant aussitôt son sexe commencer à me pénétrer.

Alors que je suis toujours appuyée au canapé, il me soulève la cuisse pour me faire pivoter, voulant de toute évidence profiter de la vue sur mes seins tressautant à chacun de ses assauts. Il est gros en moi et ses pénétrations me donnent beaucoup de plaisir. Je sens l'orgasme monter. Je le vois sourire equand il se rend compte que je suis en train de jouir. Je gémis puissamment tandis que le plaisir m'envahit.

Il continue à aller et venir en moi sans me laisser de répits, faisant prolonger mon orgasme. Quand il sent que je ne tiens plus sur mes jambes, il se retire et me laisse me mettre à genoux. Je le vois s'astiquer le manche vigoureusement juste devant mon visage. Quand il se met à râler, machinalement, j'ouvre la bouche et tire la langue dans l'attente qu'il éjacule. Le sperme ne tarde pas à jaillir et les premières giclées, trop sous pression, vont trop loin et s'écrasent dans mon cou et sur ma poitrine. Les derniers jets sont mieux dirigés dans ma bouche.

Il se recule et me félicite :
- Bravo ! Tu pourras dire à tes clients que leur principe d'oreillette est vraiment génial !
Je n'ose pas lui dire que je bosse dans l'entreprise et que je ne suis pas une call-girl. Il s'approche et me tend la petite robe.
Je me relève et m'amuse à jouer la prude en me cachant les seins :
- Je prendrais bien une douche avant de me rhabiller.

- Ce n'est pas terminé. Enfile la robe.
- Mais je vais empester le sperme !
- Ne t'inquiète pas, j'ai une solution.
Je ne discute pas et je remets la robe dont le décolleté se colle au sperme encore frais. Ce n'est pas très agréable et surtout j'ai peur que les gens que l'on croise ne sente l'odeur forte.

Arrivés au milieu d'une place d'un centre d'affaires, mon client me lâche la main et me désigne une fontaine dont les jets sont disposés sur l'esplanade, le sol formant une large cuvette pour réceptionner l'eau :
- Va te doucher là-bas.
Comme je commence à retirer la boucle d'oreille, il me dit :
- On m'a dit qu'elle ne craignait pas l'eau. On va bien voir.
Je vais m'installer sous le jet. Ma robe devient aussitôt transparente et quelques badauds s'arrêtent pour profiter du spectacle.

Dans l'oreille, j'entends la voix métallique de mon client reprendre :
# Parfait. Lave-toi bien.
L'eau est fraiche et me fais beaucoup de bien. Je suis bien obligée de me mouiller complètement pour faire disparaître le sperme. Je me frotte donc à travers le tissu de la robe sans faire attention que les bretelles ont glissé de mes épaules.

# Lave-toi aussi les seins.
C'est en entendant la voix que je prends conscience que la robe, avec le poids de l'eau, glisse peu à peu et qu'un de mes seins est dévoilé. Je me couvre pudiquement. La voix reprend :
# Retire la robe.
Déjà que je suis indécente, je ne me vois pas retirer la robe en publique au milieu d'une place aussi fréquentée.

Me sentant hésiter, il argumente :
# Tu ne vas pas pouvoir garder cette robe mouillée. D'autres vêtements t'attendent dès que tu auras retiré cette robe.
Je n'ai donc pas le choix, mais j'y vais progressivement, remontant la robe sur mon ventre pour exhiber ma moule à mon client voyeur.

# Mmmm, oui. Tu es docile. C'est parfait.
Il me voit, mais moi je ne le vois plus. Pourtant, il doit forcément être dans mon champ de vision puisqu'il commente mes gestes. Je fais ensuite glisser les bretelles pour dévoiler mes seins.

# Tu es même plus efficace que je ne l'aurais cru.
Je commence à faire glisser la robe sur ma taille, libérant mes bras des bretelles et repoussant le tissu trempé sur mes hanches. La robe sur les cuisses, les seins et le sexe nu, je suis à nouveau sollicitée par mon client :
# Dirige-toi vers la rue derrière-toi.

Supposant qu'il s'y trouve et m'attend avec d'autres vêtements, je me dépêche d'aller dans cette rue.
# C'est parfait, tu peux terminer de retirer la robe.
La robe tombe au sol. Je suis nue et mouillée au milieu de la rue où il y a moins de monde que sur la place mais quand même un peu de passage.

# Tu as une ruelle sur ta droite. Vas-y.
La ruelle est étroite et, fort heureusement, il n'y a personne. Je m'y engage en espérant voir le sac avec mes vêtements mais la ruelle est très encombrée et je ne vois rien. Sans doute mon client va-t-il m'y rejoindre avec le sac. Je crois qu'il s'agit de lui quand je sens un souffle sur mon épaule. Mais les mains qui me poussent contre une rambarde protégeant l'accès à un sous-sol ne sont pas celles de mon client. Je suis bloquée contre la rambarde et le nouveau venu me pelote allégrement.

Le gars me lève une jambe sur la rambarde et s'accroupit derrière moi. Je le sens aussitôt glisser sa langue sur ma fente pour me sucer la moule. Est-ce que ça fait partie de ce qu'attend mon client ou est-ce un opportuniste ? Dans le doute, je le laisse faire, d'autant que ce cunnilingus est loin d'être déplaisant.

La gars est doué, je me mets vite à gémir. Je lui demande quand même :
- Vous avez le sac ?
Il ne répond pas mais il se lève et se libère, exhibant un sexe fameux que je ne peux refuser. Sans me demander mon avis, il profite de ma position sur la rambarde pour me planter sa queue dans la fente.

C'est délicieux de se faire baiser ainsi en pleine rue, une première pour moi ! Je sens qu'il va me donner un bel orgasme. Mais malheureusement, le gars n'est pas très endurant et lui aussi doit être surexcité par la situation. En moins d'une minute, il jouit en moi, sans me laisser le temps d'atteindre l'orgasme. Dès qu'il a fini, il se retire. Je sens sa semence couler sur mes cuisses.

Le gars se rajuste et sort de la ruelle. Frustrée, je lui crie :
- Et le sac ?
Le gars se retourne avec un air surpris :
- Quel sac ?
Comme il disparaît, je comprends que j'ai eu à faire à un opportuniste. Derrière une poubelle, je vois le fameux sac avec ma jupe en jeans et un débardeur qui n'est pas celui que j'avais en arrivant. Mon client apparait alors au bout de la ruelle alors que je termine d'enfiler le top marron.

Il a désactivé l'oreillette :
- Tu en as mis du temps pour trouver ce sac.
Je ne réponds pas, un peu honteuse de m'être laissée faire par un inconnu qui n'avait rien à voir avec ma mission. Me voyant terminer de me rhabiller, il me dit :
- Oui, j'ai pris la liberté de t'offrir un nouveau top que je trouve plus élégant que celui que tu avais.
- Et la culotte ?
Je soulève la jupe pour lui montrer que l'absence de la culotte ne m'a pas échappé.

- Je la garde en souvenir.
Mon client m'amène à sa voiture et, sans un mot, me propose de me raccompagner. J'accepte mais je lui demande de me laisser au bout de ma rue de façon à ce qu'il ne sache pas exactement où j'habite. Il me faut cinq minutes pour rejoindre la maison. Durant le trajet, j'entends la voix métallique reprendre :
# Bravo Ninon. Le client semble ravi de sa journée. A demain.
Je devine qu'il s'agit de Fabrice. Je me retourne mais ne vois personne. Quelle est la portée des ondes de ce machin ?
Quand je rentre à la maison, Paul m'attend. Il sourit en voyant ma nouvelle tenue :
- D'où ça vient, ça ? C'est nouveau ?
- Oui, ça vaut le débardeur blanc, non ?

- C'est très sexy, effectivement !
Il vient me rejoindre et m'enlace :
- Alors, tu as eu le temps de faire des emplettes ?
- Non, c'est le cadeau d'un collègue.
- Et qu'est-ce que tu as fait pour mériter ce cadeau ?
- Rien qui ne soit pas dans mes attributions...
Je ne lui mentais pas vraiment mais je ne pouvais pas lui raconter en détails en quoi constituaient mes nouvelles attributions au sein de l'entreprise.

Comme je m'assois dans le canapé du salon, ma jupe remonte un peu et il remarque que je n'ai pas de culotte :
- Mais, tu avais une culotte ce matin ! Qu'est-ce qui s'est passé ?
Je ne peux pas lui raconter, je tente donc de détourner son attention :
- J'ai eu trop chaud, aujourd'hui.
Ecartant largement les cuisses, je me mets à me caresser devant lui pour l'exciter et lui faire perdre l'envie de me poser d'autres questions.

Comme il reste béat, j'en profite pour le chauffer encore plus :
- J'ai eu une dure journée... J'ai besoin d'un câlin.
Je soulève mon débardeur pour dégager mes seins. Puis je retire ma jupe et reprends ma masturbation.

- Bon sang tu es chaude, ce soir !
- Oui, j'ai pensé à toi toute la journée.
Paul ne réfléchit plus. Il se déshabille en un quart de seconde et exhibe son sexe déjà bien bandé. Il me rejoint sur le canapé et me soulève pour m'assoir sur l'accoudoir. J'écarte les cuisses. D'un coup de reins assuré, il guide son sexe en moi.

Je pousse un profond gémissement quand il fait entrer son gland entre mes lèvres.
- Bon sang, ce que tu es mouillée !
Il me pénètre d'un seul coup presque jusqu'à la garde. Je n'ose lui dire qu'un inconnu m'a baisé moins d'une heure auparavant et que cela explique que le passage soit si facile. Tout en me pénétrant, nous nous embrassons.

- Que tu es belle !
Je le vois admirer mes seins, gonflés par le désir et mes mamelons tendus par l'excitation. Il les caresse avant de me reprendre aux hanches pour continuer à me faire l'amour. Je sens l'orgasme monter. Je ferme les yeux. Le plaisir m'envahit toute entière. Je perds toute notion de temps et d'espace pendant un moment indéterminée.

Quand je reprend connaissance, je suis affalée dans le canapé. J'ai dû glisser, mais Paul me fait toujours l'amour. Je le vois qui se contracte soudain. Il va venir. Je le sens se répandre en moi, son sperme chaud envahit mon vagin. Il se retire avant d'avoir terminé et se masturbe pour laisser les derniers jets s'écouler sur ma moule encore béante.

Il se redresse, à bout de souffle :
- Il me fait un sacré effet ton nouveau petit haut !
- Moi, je crois surtout que c'est parce que je n'avais pas de culotte...
- Tu as sans doute raison... En tout cas, je trouve ça génial qu'on fasse l'amour en rentrant du boulot.
- Oui, ça fait un bien fou.
Je m'affale dans le canapé en regardant mon entrejambe maculée par le sperme de mon mari.

Paul me regarde amoureusement. J'ai un peu honte de ne pas lui raconter vraiment ma journée mais en même temps, je trouve très excitant d'avoir ce petit jardin secret. Je me demande ce que les prochaines missions vont me réserver...