L'été dernier, Simon m'a proposée un petit jeu. Il me choisit une petite robe sexy et m'accompagna dans le métro. Vers dix-huit heure, c'est l'heure de pointe sur la ligne 5 direction Bobigny. La rame est bondée au point qu'on ne voit plus que des têtes. Les gens sont tous collés les uns aux autres et la chaleur moite du métro rend le voyage pénible. Heureusement, grâce à la robe que m'avait choisie Simon, le retour du travail allait être moins difficile pour certains d'entre eux. Une petite robe unie à fines bretelles avec un large décolleté et tellement courte que j'ai hésité un certain temps afin de savoir si j'allais mettre ou non un string. Mais devant la chaleur et avec la force de l'habitude, j'ai décidé de ne rien mettre.



Juste avant l'heure de pointe, nous sommes entrés dans un wagon presque vide, Simon restant debout au milieu accroché à une barre, moi assise sur un des strapontins à côté de la porte. En quelques stations, le wagon se remplissait et je surprenais déjà des regards appuyés qui m'étaient destinés. Il faut dire que j'avais tout de la salope : mon large décolleté dévoilait une bonne partie de mes seins et, ma robe étant légèrement retroussée de par ma position assise, il me suffisait de décroiser les jambes pour montrer à tout le monde que je n'avais pas de culotte. Simon était ravi. Devant son sourire engageant, je décidai de tester mon public. Je fis mine de vouloir détacher la boucle de ma chaussure pour me masser la cheville. Je comptais une bonne demi-douzaine de mecs qui écarquillait les yeux pour plonger dans mon décolleté où mes seins jouaient librement. Après une bonne minute de spectacle, je me redressai et remarquai quelques bosses parmi les pantalons de ces messieurs non équipés de jeans (les jeans ont ce défaut de ne pas se déformer sous la pression d'une érection). Simon se décala de la foule pour me montrer que, lui aussi, il bandait.



Je décidai de passer au cran du dessus et je repris mon manège du massage de cheville... en décroisant les jambes. Ma poitrine ballottant dans le décolleté, les cuisses suffisamment écartées pour révéler mon sexe nu, j'avais là des arguments de choix pour monopoliser l'attention de tous les hommes qui m'avaient dans leur champ de vision. je levai juste assez les yeux pour voir au-dessous de leur ceinture et je pus observer un des pantalons se déformer à vue d'oeil.



Puis arriva une station importante avec un échange de foule. La plupart des hommes présents ne sortirent pas et une vingtaine de personnes attendait devant la porte pour entrer. Je me suis donc levée pour rejoindre Simon au milieu, m'accrochant à une barre pendant que les portes s'ouvraient. L'homme qui bandait beaucoup vint se mettre derrière moi alors que la foule se déversait dans le wagon. Je fus cernée rapidement à ne plus pouvoir bouger. Tout autour de moi : des hommes. Je sentis l'érection du type contre mes fesses. Afin de l'exciter davantage, je fis d'incroyables efforts pour me retourner et lui offrir une vue imprenable sur ma poitrine. Dans la manoeuvre, j'avais senti que ma robe était remontée mais je ne me rendais pas compte à quel point. Toujours est-il que le type me regardait droit dans les yeux, béat, sans oser plonger dans le décolleté. Je dus lui faire un large sourire engageant pour qu'il daigne enfin baisser les yeux et se rincer l'oeil. Mes tétons pointaient d'excitation à travers le tissu, la sueur perlait légèrement dans le sillon de mes seins et leur galbe était accentué par une respiration haletante que je maîtrisais de moins en moins.



Simon choisit ce moment pour allumer son walkman et le mettre suffisamment fort pour couvrir ma respiration bruyante. Nouvelle station. Peu de gens descendirent, quelques-uns montèrent. On se tassa un peu plus. Le type devant moi ne décrochait plus de mes seins, mais il n'était pas le seul : tous mes voisins immédiats, que des mâles, en faisaient autant. Parmi les hommes à proximité, je pense que seuls deux ou trois avaient profité de l'exhibition de mon minou nu avant la cohue qui m'avait fait lever.

Ce qui suivit, je ne m'y attendais pas vraiment. Une main vint se plaquer sur mon sexe moite. Ma robe était donc plus relevée que je ne l'imaginais. L'homme devant moi releva la tête et ma regarda droit dans les yeux pour juger ma réaction. Je lui souris, il me sourit. Et je sentis un doigt se glisser entre les lèvres de ma chatte gonflées par l'excitation. Il ne bougea d'abord pas, le doigt immobile, profitant juste des vibrations du métro.



Mais le train ralentit et s'arrêta entre deux stations. On nous annonça un incident technique et que l'on s'efforçait de réparer la panne dans les plus brefs délais. Mon bienfaiteur commença donc à imprimer un léger mouvement en accentuant son passage sur mon clitoris. C'était divin ! Puis, il voulut m'explorer plus en profondeur et son doigt me pénétra de tout son long, noyé dans ma mouille. Son majeur allait et venait en moi lorsque je sentis une main me frôler les fesses puis se rétracter. Après un instant, la main timide revint se poser sur mes fesses nues. Au bout de quelques secondes, la main s'activa, me caressant et me malaxant les fesses.



L'homme devant moi continuant de me masturber sagement, tandis que la main de mon amant arrière s'éclipsait à nouveau. Sa nouvelle attaque fut osée : je sentis des doigts fouiller entre mes fesses jusqu'à trouver mon anus. Puis un doigt me pénétra et entama un va et vient régulier dans mon cul. Sentir ces deux doigts au fond de moi, au milieu de cette foule qui ignorait tout de ce qu'il se passait, fut absolument délicieux. Je pense que chacun de mes amants avait dû sentir le doigt de l'autre car ils se synchronisèrent et continuèrent ainsi jusqu'à la monté d'un orgasme, que je fis le plus discret possible. Les deux hommes avaient compris à mes soubresauts légers que j'avais joui et ils retirèrent leurs doigts. Je sentais ma mouille me couler le long des cuisses.

Le train se remit en branle. Simon avait l'air satisfait. Avait-il deviné ce qu'il m'était arrivé ? A la station suivante, il me fit signe de sortir. C'est seulement une fois sur le quai que je me suis rendu compte que ma robe était encore un peu retroussée et que j'offrais aux regards ma chatte et mon cul nus.



Simon rigola alors que je me rajustais en hâte. Nous sommes passés sur le quai d'en face pour rentrer à la maison. Le métro dans ce sens, était presque désert et nous étions quasiment seuls dans le wagon. Simon me donna un mouchoir et, assise sur un strapontin, je commençais à m'essuyer les cuisses couvertes de mouille. Alors que je me redressais, je remarquai au fond du wagon un jeune homme qui me matait. Il était caché par un siège et je ne voyais que son buste et son coude qui marquait un rythme comme s'il écoutait de la musique. Mais il n'avait pas de walkman. Un regard dans la vitre sur le côté et je découvris dans le reflet qu'il se masturbait ouvertement en me regardant. Simon me fit lever et nous allâmes nous asseoir en face de lui. Il s'arrêta, stupéfait. Simon releva ma robe et commença à me taquiner la moule. Le type reprit sa branlette. L'autre main de Simon fit glisser les bretelles de ma robe pour me dégager les seins et lui offrir en spectacle.



Le jeune homme accéléra le rythme. Soudain, alors que l'on venait de quitter une station, il ferma les yeux et contracta sa main sur son membre palpitant. Je me suis levée d'un bond et me suis mise entre ses cuisses, la bouche ouverte. Il comprit aussitôt et dirigea sa queue vers ma bouche. La première salve fut maladroite et me fouetta la joue. Les suivantes vinrent gentiment s'écraser sur ma langue.



La tempête passée, j'avalai le tout et je lui nettoyai méthodiquement le gland avec ma langue. Sitôt le train arrivé en station, il se leva et sortit en se rajustant sans même dire en mot. J'étais un peu déçue de ce manque de reconnaissance.

Lorsque je demandai à Simon un autre mouchoir pour m'essuyer la joue, il me répondit en souriant : "Laisse, ça te va très bien. Tu te laveras dès qu'on sera à la maison et après je m'occuperais de toi."