Lisa story et les fantasmes - 6

Marie se préparait pour sortir, ce soir elle allait au restaurant avec ses collègues. Benoit, son mari, une fois de plus était en déplacement, en effet, avec son travail de consultant en informatique, il réalisait souvent des missions assez longues chez des clients dans toute la France. Marie avait finie par s'accommoder de cette situation, et c'est souvent qu'elle sortait avec ses collègues Chloé et Lisa . Elles travaillent toutes les trois au service comptabilité d'un groupe français d'agro-alimentaire et ont à peu près le même âge.



Lisa a la trentaine, vit en concubinage avec Simon.



Brune, plutôt grande est élancée, 1m75 pour 58 kg.



Elle a un corps à faire tomber les hommes et rendre jalouse les autres femmes.



Elle s'habille souvent classique mais chic, tailleurs cintrés, pantalons en toile près du corps.



Ces sorties hebdomadaires lui permettent un peu de s'échapper du train-train quotidien.



Elle est jolie et sensuelle.



Chloé a un peu moins que la trentaine, elle est encore célibataire, elle est également brune et un peu plus petite que Florence mais avec des formes plus généreuses.



Elle se contente pour l'instant de papillonner ici et là, parfois avec des hommes noirs.



Il lui arrive parfois de raconter ses aventures à ses collègues, ce qui a souvent pour effet de gêner la prude Marie et au contraire d'émoustiller Lisa.



Marie quant à elle va bientôt avoir 26 ans.



Elle mesure cent soixante cinq centimètres.



Elle est blonde assez mince et avec une jolie petite poitrine.



Avec son mari Benoit, ils n'ont pas encore d'enfants.



Marie ne sent pas encore prête pour assumer le rôle de mère, de plus les fréquents déplacements ce Benoit ne l'incitent pas non plus à franchir le pas.

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Marie finissait donc se préparer pour sa sortie du jeudi soir, on était en plein mois de septembre, il faisait encore assez doux.



Elle avait choisi de mettre une petite jupe bleue assez légère.



Elle lui arrivait au dessus du genou.



Elle portait aussi un haut bleu.



Elle portait également un joli petit string noir.



Elle avait longuement hésité entre un collant et une paire de bas.



Elle avait finalement opté pour les bas.



Ce soir elle avait envie de se sentir belle et désirable.



Une fois au restaurant, elles passèrent, comme d'habitude, la soirée à refaire le monde. Tout le monde y passa, les hommes, le boulot, les collègues, mais une fois de plus, leur chef de service occupa une place de choix parmi ces discussions. Il devait avoir une quarantaine d'années, petit, un peu enrobé avec un physique banal. Mais c'est surtout son regard et ses attitudes qui dérangeaient les filles, il était notamment très tactile.



Quand il allait voir une de ses collaboratrices, il ne pouvait s'empêcher de la toucher.



C'était souvent innocent, comme une main sur l'épaule, mais c'était systématique.



Il avait également tendance à reluquer les jambes de ces dames.



Surtout quand celles ci portaient des jupes.



Le directeur aimait que les femmes portent des jupes.



Il souhaitait qu'elles mettent leurs atouts en valeur.



Souvent son regard avait une fâcheuse tendance à plonger dans les décolletés.



Ses collaboratrices et notamment Marie, étaient désirables.



Au restaurant, Lisa apostropha Marie :
" Dis donc Marie, t'es es toute pimpante ce soir.



Ce n'est pas souvent qu'on te voit en jupe.



- Oh merci du compliment.



Mais c'est sur que ce n'est pas au travail que tu me verras avec une jupe, sauf quand notre directeur, Monsieur Albert est en congés ou en déplacement.



Et puis ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie de me faire belle.



Chloé continua la discussion :
- Monsieur Albert, quel gros dégueulasse celui là, l'autre jour en faisant le point sur les impayés, il est venu à coté de moi et comme d'habitude, il n'a pas pu s'empêcher de mettre la main sur l'épaule.



- Vous comprenez pourquoi je me mets rarement en jupe quand il est là.



Avec ses mains baladeuses et son regard vicelard;



Cela ne me tente pas vraiment.



Chloé reprit :
- Moi aussi j'ai bien vu son petit manège, mais moi, je fais tout le provoquer.



Lisa continua :
- Et bien dis donc tu n'as pas froid aux yeux toi. Moi je ne m'y risquerai pas, mais tu fais quoi pour l'allumer ?



- Et bien souvent quand je suis en jupe, je mets une paire de bas.



Et je sais que dès que je recule ma chaise d'un mètre il a une vue imparable sur ses jambes.



Je lui donne la matière à regarder.



Marie était stupéfaite :
- Mais tu es folle, il va croire que tu le dragues.
- Mais ne t'inquiètes pas, je fais ça de manière discrète, je lui fais croire que c'est involontaire.



En fait j'ai une technique, je recule ma chaise d'un bon mètre, je me tourne un peu sur la droite et je me penche pour faire sembler de chercher quelque chose dans mon sac qui est à terre.



Quand je fais ça, ma jupe a tendance à remonter;



Il peut alors constater que je porte des bas.



Parfois, il voit même la couleur de ma culotte.



Cela ne dure que 5-6 secondes, mais je suis certain qu'il en prend plein les yeux.



Lisa reprit :
- Et bien dis donc, je ne vais plus jamais oser prendre quelque chose dans mon sac.



Chloé conclua :
- En plus quand je lui fais le coup, il devient tout rouge et peu de temps après il quitte son bureau pour aller aux toilettes.



Je suis sur qu'il va soulager en se faisant une petite branlette."



Sur ce commentaire, les trois jeunes filles éclatèrent de rire, la soirée se poursuivit et au moment de quitter le restaurant pour aller prendre un verre dans un pub juste à coté, Lisa leur fit faux bond.



" Pour le dernier verre, ce sera sans moi les filles.



Je suis fatiguée.



Je ne me sens pas très bien.



Marie aussi signifia à ses deux copines :
- Bon bah tant pis, et puis moi aussi je suis un peu fatiguée.



Je crois que je vais rentrer également, tu ne nous en veux pas Chloé ?



- Non ce n'est pas grave, vous pouvez rentrer. Comme ça en plus vous ne me ferez pas concurrence ce soir.



Je vais essayer de me dégotter un mec pour la soirée.



Marie reprit :
- Décidément, tu es incorrigible



Lisa aussi y alla de son commentaire :
- Bon et bien amuses toi bien.



Je compte sur toi pour nous dire si la pèche a été bonne".



Sur ce, Lisa et Marie rentrèrent respectivement chez elles.



Tandis que Chloé les quittait pour se mettre en chasse.



La chasse avait été bonne pour Chloé qui était tombé sur votre narrateur.



Cette fille était assez mignonne.



Plutôt mince



Un joli petit cul.



Une petite poitrine.



Après quelques minutes, nous sommes arrivés chez elle. Après avoir ranger la voiture dans le garage, nous sommes rentrés dans la maison. Elle était somptueuse.



Les meubles étaient très classes.



Nous nous sommes rendus dans sa chambre.



Elle était joliment rangée et aménagée.



Elle a commencé à se déshabiller.



Elle a défait un à un les boutons de son chemisier.



Elle se découvrait maintenant en dessous devant moi.



Celui ci laissaient deviner la pointe de ses seins.



Sa culotte très échancrée confirma l'esthétisme de ses fesses que laissaient déjà entrevoir ses jupes ajustées.



Sans montrer la moindre gêne, elle a enlevé son soutien gorge.



Elle découvrait une poitrine qui, bien que petite, était très bien
dessinée.



Ses seins semblaient fermes avec les pointes qui se dressaient de façon légèrement arrogante. Elle enleva alors sa jupe.



Le spectacle auquel j'assistais ne me laissait pas indifférent. Il provoqua un début d'érection.



Elle enleva alors le dernier rempart de sa pudeur en faisant glisser sensuellement sa culotte à ses pieds.



Cette fille était réellement canon.



Ses fesses se confirmaient être superbes quant à son pubis, il laissait apparaître des lèvres dégagées et magnifiquement bien dessinées. Elle devait se raser de façon à ne laisser qu'un minimum de poils sur son pubis.



J'ai alors enlevé mon pull. Je continuais tout aussi lentement à défaire les boutons de ma chemise. Elle me regardait maintenant attentivement sans faire semblant de détourner son regard. J'étais torse nu. Je retirais mes chaussures, puis je m'attaquais au bouton de mon jean. Je fis donc glisser mon slip le long de mes jambes lui laissant découvrir ma queue molle ainsi que mes fesses. Elle trouvait mes fesses bien faites.



Je la sentais intrigué. Elle prit ma queue en main et commença une masturbation lente et agréable.



Ma bite prit immédiatement sa taille maximum.



Elle me donnait un plaisir fou avec ses caresses douces mais énergique à la fois. Ses longs doigts entourés entièrement ma queue.



Elle se mit à genou devant moi et prit ma queue dans sa bouche. Elle entama une magistrale fellation.



Comme à mon habitude, je serais pas long à venir, ce dont je l'ai informé :
"Tu devrais t'arrêter car je ne résisterai pas encore longtemps à ce que tu me fais.



- Je te l'ai dit, j'ai l'intention de finir ce que j'ai commencé. Je n'ai pas pour habitude d'exciter un mec et de le laisser en rade.



Je ne suis pas une salope.



Elle a alors repris de plus belle.



Ce qui devait arriver, arriva, ! Je l'ai gratifié de cinq à six giclées de sperme dont l'abondance a semblé la surprendre dans un premier temps.



Elle a malgré tout avalé la totalité sans en laisser tomber une goutte.



Elle me surprit encore :

- Je n'aurais jamais cru que tu me laisserais éjaculer dans ta bouche et qu'en plus tu avalerais tout.
- Je le fais systématiquement. J'adore le sperme et je trouve dommage de le laisser perdre.



- M'autorises tu à te rendre la pareille.
- J'y compte bien.
Elle s'est alors installée sur son lit et a écarté largement les jambes de sorte que je puisse avoir accès à son sexe.



J'ai aussitôt placé ma bouche au niveau de ses lèvres.



J'ai commencé à lui lécher le sexe passant ma langue autour, sur ses lèvres puis sur le clitoris qui commençait à pointer.



Je me suis alors consacrer à lui, le léchant abondamment, le suçant.



Du liquide commençait à s'échapper de manière abondante de son sexe.



Son goût était très agréable.



Je sentais à sa respiration s'accélérer de plus en plus signifiant que son plaisir était intense.



Elle se contracta resserrant les cuisses sur mon visage presque violemment atteignant l'orgasme.



Pour me signifier son plaisir, elle s'est mise à passer sa main dans mes
cheveux avec douceur.



Elle a prit alors ma main m'attirant vers elle. Nous étions maintenant couchés tous les deux l'un à côté de l'autre. Elle me serra dans les bras et nos lèvres se sont jointes.



Nous sommes partis dans un baiser langoureux mêlant nos langues.



J'ai alors rapproché mon bassin du sien plaçant ainsi mon pénis redevenu dur à l'entrée de sa caverne.



Avec deux doigts, elle a prit mon sexe et l'a conduit dans son vagin encore tout lubrifié.



Je suis parti dans des mouvements de va et vient lents et amples faisant presque sortir ma queue de sa chatte à chaque mouvement de recul.



Quelle joie ! Quel plaisir ! Visiblement pour elle aussi.



Je ne souhaitais pas qu'elle ait l'orgasme tout de suite.



Je me suis donc retiré et je lui ai proposé de la prendre en levrette.



Elle accepta immédiatement. Elle se plaça à quatre pattes devant moi. Je me suis alors placé derrière elle approchant ma queue de son sexe tout ouvert.



Je repris immédiatement mes mouvements de va et vient.



Comme tout à l'heure, elle se crispa serrant au maximum son sexe sur ma bite.



Elle parvint à nouveau à l'orgasme.



Elle s'écroula sur le ventre visiblement fatiguée par ce nouvel assaut.



Je me suis alors allongé à côté d'elle également à plat ventre. Tout en lui déposant des petits baisers sur les épaules et sur le dos, je lui caressais les fesses. Ma main s'approchait de plus en plus de l'objet de mes convoitises à savoir sa rosette.



Insérant ma main entre ses cuisses, je lubrifiais mes doigts en profitant des sécrétions qui coulaient encore de son vagin. J'ai alors placé un doigt à l'entrée de son anus.



Elle s'est crispée immédiatement. J'ai insisté un peu mais en douceur. Elle m'a laissé faire. J'ai introduit lentement mon majeur dans son petit trou. Elle y prenait visiblement du plaisir puisqu'elle avançait légèrement ses fesses pour forcer la pénétration. Je l'ai massé comme cela pendant quelques minutes, passant de un à deux doigts.



J'ai alors avancé mon bassin de ses fesses positionnant ma queue contre son anus.



Je lui ai alors demandé de se mettre à califourchon sur ma tête de façon à ce que je puisse attendre son anus. Je me suis mis à lécher abondamment sa rosette.



Ses gémissements montraient qu'elle prenait visiblement un grand plaisir. Il en était de même pour moi.



Sa caverne s'ouvrait lentement sous mes assauts. Je faisais pénétrer ma langue dans son petit trou. Le goût était plutôt agréable. Son plaisir semblait s'accroître à en croire les soupirs qui s'échappaient de sa bouche. J'y déposais toute la salive possible de façon à lubrifier au maximum son anus.



Je lui ai alors demandé de venir s'asseoir sur ma queue après qu'elle y ait déposé, elle aussi une bonne quantité de salive. Elle s'est donc placée face à moi, à écarter ses fesses de ses deux mains et est venue s'installer lentement sur mon membre en érection que je tenais fermement de ma main.



C'est sans mal qu'elle est descendue sur ma queue jusqu'à pénétration totale.



Elle m'a dit que le bonheur était intense et qu'elle n'aurait jamais cru 'on pouvait ressentir un tel plaisir avec une pénétration anale.



Elle s'est alors agitée dans d'amples et lents mouvements de va et vient sur ma bite.



Après quelques minutes, j'ai eu envie de changer de position. Je lui ai demandé de se lever et de venir s'allonger sur le lit à ma place. Elle s'est positionnée au bord du lit. J'ai alors pris ses jambes que j'ai relevées pour les placer sur son ventre, me permettant ainsi d'avoir un large accès à son petit trou.



Je l'ai de nouveau sodomisée pendant quelques minutes avant de me retirer lorsque j'ai senti l'éjaculation proche.



Reprenant ma queue en main, je lui ai expédié cinq à six giclées de sperme qui ont atterri sur son visage, sur ses seins, sur son ventre puis sur son pubis.



Elle s'est alors massée les seins puis le clitoris étalant ainsi ma semence et la faisant pénétrer dans son vagin.



Nous n'allions pas nous arrêter en si bon chemin.



J'ai approché mon sexe toujours en érection de son vagin largement ouvert.



Je l'ai pénétré d'un seul coup reprenant des va et vient vigoureux.



Le plaisir renaissait chez elle comme pour moi.



Je n'aurai peut être plus jamais l'occasion de faire l'amour avec une aussi jolie fille, il fallait que j'en profite.



Nous avons à nouveau échangé nos positions. Je me suis donc allongé sur le
lit et elle est venue s'asseoir sur moi faisant pénétrer ma queue dans son
vagin.



Nous avons poursuivi pendant près d'un quart d'heure ne nous lassant ni l'un ni l'autre. Son orgasme est arrivé presque soudainement la conduisant cette fois encore à se contracter sur mon sexe déclenchant mon propre orgasme.



J'ai lâché encore de nombreux jets mais cette fond au fond de son vagin.



Elle s'est écroulée sur moi



Je crois que j'avais passé des moments que j'aurai du mal à oublier.