Les découvertes de Eve - 3

Eve se retrouve dans ce train de nuit qui démarre enfin, elle est seule dans le compartiment, tranquille. Elle porte une minijupe et en dessous des bas et une minuscule petite culotte blanche. Elle sait qu'on peut la voir si elle desserre un peu les jambes ou si elle fais un mouvement.



Eve est l'archétype de la jolie femme BCBG, séduisante, blonde, yeux bleus, bien faite. Elle plait aux hommes. Elle le sait, ils lui disent, ils lui font bien comprendre aussi.



Elle se maudit d'être habillée de façon aussi courte et sexy.



Un groupe de cinq types ouvre soudain la porte. Ils sont gigantesques, énormes et bruyants, vulgaires, ils parlent fort, ils gesticulent. Deux s'installent à coté d'elle, les trois autres en face. Eve n'est pas à l'aise se sentant observée. Elle a peur de se faire violer. Elle n'arrive même pas à l'imaginer.



Soudain l'un d'eux crie :
"Ecarte tes cuisses, salope "



A ce moment le type à coté d'elle, lui passe son bras droit autour du cou et commence à lui peloter la poitrine de sa main gauche. Eve ne porte pas de soutien gorge et il s'en aperçoit.



Il lui soulève son chandail et libère ses seins qu'il se met à palper durement.



En même temps, celui d'en face se penche et lui écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. Elle a les seins à l'air et la jupe remontée haut.



Ils l'insultent :
"Oh la salope ! quelle pute, regarde un peu ce morceau, pouffiasse, t'as vu comme elle est sapée la pute, elle demande que ça, cette vicieuse, elle va pas être déçue.



L'homme a sa droite lui met directement la main sur la vulve. Il écarte le slip et plonge un doigt dans la fente. Eve hurle. Ils lui fouillent le sexe tous les deux.



Désespérée, Eve sent qu'elle mouille malgré elle. Les hommes la placent au milieu du compartiment. Ils lui troussent sa minijupe jusqu'à la taille et elle a toujours le chandail relevé avec ses seins nus à l'air. Elle imagine leur désir et l'excitation qu'elle provoque avec le spectacle offert.



Ainsi troussée, en petite culotte à demi écartée, ses jarretelles et ses bas, sa vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et ses seins fièrement dressés aux pointes déjà durcis qui dansent à chaque mouvement.



L'un d'eux lui arrache la culotte ; ils la scrutent, l'auscultent, ils la touchent, la palpent, la tripotent, lui pelotent les seins, le ventre, les fesses.



Elle a des mains partout, des doigts sortent, entrent, la fouillent, lui pénètrent le vagin, l'anus.



Ils ont tous sortis leur membre. Ils sont énormes, longs épais, aux glands luisants, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts.



Eve est résignée, soumise, ouverte, consentante. Elle attends l'inéluctable. Elle attends qu'ils la baisent, qu'ils l'emmanchent, qu'ils la bourrent, qu'ils la défoncent.



Elle attend qu'ils la possèdent.



Elle s'imagine les subissants. Elle frissonne... d'impatience. Elle sait qu'elle envie qu'ils la pénètrent.



Elle a envie de ces bites monstrueuses dans son sexe.



Elle a envie qu'ils jouissent en elle, qui, qu'ils l'inondent de leur foutre.



Elle sent qu'elle va jouir de leurs attouchements. Elle est devenue une femelle en chaleur au bord de l'orgasme.



Elle murmure :
- Prenez-moi, baisez-moi.



Le premier la soulève en la basculant sur lui. Il la force. Son membre est trop gros mais les lèvres grasses de la liqueur s'ouvrent, s'écartent. Il la pénètre au plus profond , jusqu'au fond



Eve crie mais de plaisir ; ses muqueuses sont envahies, écartées. Son clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite.



Son vagin est rempli, plein de cette virilité dure, bousculé, malmené. Il lui martyrise l'utérus, la cognant délicieusement en s'enfonçant tout au fond.



Eve regarde incrédule ce sexe démesuré qui rentre en elle, qui va et vient dans son intimité.



Elle est baisée comme jamais. Elle jouit, elle jouit fort, puissamment, violemment. Elle jouit de cette hampe qui continue de la pilonner sans ménagement.



Toute cette jouissance lui fait oublier les autres. Ils sont là attendant impatiemment leur tour. Elle sent que quelqu'un lu écarte les fesses et lui lèche l'anus.



Elle sent qu'il place son énorme gland à l'entrée de l' anus.



Eve ne veut pas. Il la force. Il lui fait mal, la pousse.



Il la déchire, il entre le bout. Elle jouit tellement de celui qui la baise qu'elle facilite involontairement l'introduction. Il rentre petit à petit un peu plus.



Elle hurle de douleur, avec un grand coup de rein. Il s'est enfoncé jusqu'à la garde. Il l'encule.



Eve a toute la longueur de la queue dans le rectum. Elle n'ose imaginer jusqu'où il va. Son anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais la bite est rentrée en elle.



Eve est prise en sandwich.



La douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur.



L'homme synchronise ses mouvements sur celui qui lui ramone le con.



L'esprit de la jeune femme chavire. Elle se voit de l'extérieur. Elle se voit entre ses deux hommes qui la possèdent si profondément. Cette double pénétration lui procure un orgasme démentiel. Elle crie, elle gueule, l'enculage doublé du baisage lui procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées.



C'est incroyablement bon. Les orgasmes se succèdent.



Le premier éjacule longuement. Il se vide, il se déverse en puissantes giclées.



Il se retire mais un autre arrive immédiatement et le remplace. Eve est prise à nouveau. Sa chatte et son cul sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, il rentre tout seul.



Elle souhaite que çela ne s'arrête jamais.



Elle est devenue une pute et elle aime.



Elle jouit.



Eve entend un homme qui gueule qu'il ne peut plus attendre, qu'il faut qu'il la fourre, sinon ça partira tout seul.



Il monte sur la banquette, lui tire les cheveux pour amener la tête près de lui. Il lui présente sa queue devant le visage et ordonne à Eve de le sucer.



Elle le prend dans sa bouche mais il s'enfonce brusquement dans la gorge comme s'il s'agissait d'un vagin et il décharge immédiatement une quantité énorme de foutre.



Eve en a partout.



II lui dit d'avaler. Elle avale. Elle engloutit tout son sperme et elle jouit encore et encore.



Celui qui l'encule explose à son tour et en met plein les intestins.



Elle est bourrée de partout, une usine à foutre. Il se retire tout de suite remplacé par un autre qui la sodomise à son tour. Eve n'a pas de répit. Elle croit qu'elle va s'évanouir de plaisir. Ils la prennent, devant, derrière, dans la bouche.



Ils entrent. Ils sortent. Ils la baisent. Ils lui défoncent le cul. Ils jouissent, éjaculent, déchargent, giclent, à trois, à deux, seuls.Ils abusent d'elle comme ils veulent. Eve est haletante, comblée, épanouie, rassasiée, épuisée. Elle a le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche meurtrie, le corps poisseux parcouru d'incessantes ondes de plaisirs.



Elle est ainsi besognée, sans interruption, pendant plus deux heures et demi. Sa minijupe et son chandail sont déchirés et maculés de sperme gluant. Eve en a partout. Elle est pleine. Le sperme coule de son sexe et de son cul sur ses jambes. Eve en a dans la bouche, dans l'estomac, sur le visage, dans les cheveux, sur le corps. Mais, Eve a trop joui et elle sait qu'elle fera tout pour que ça recommence, surtout quand l'un des jeunes, lui dit :
- le coiffeur avait raison, tu es bonne !