Queue à volonté (3/3)
Une fois la voiture fermée, il me désigna le café en question. C'était un peu vieillot et il y avait essentiellement des hommes du troisième âge mais aussi un petit groupe d'étudiants. Je lui en fis la remarque à voix basse :
- Hey, il n'y a pas que des vieux croulants ici...
- La fac de médecine est à côté.
Nous nous installâmes à une table et nous passâmes commande de deux pressions. Nous fûmes servis aussitôt et, par jeu, je m'amusais à faire tomber sous la table son sous-bock sous la table. Bien sûr, dès qu'il se pencha pour le récupérer, j'écartai les cuisses pour qu'il puisse admirer ma moule.

Il se redressa, ravi :
- Tu as encore envie ?
- J'ai toujours envie, mais ne t'inquiète pas, je peux me débrouiller toute seule.
Il se pencha à nouveau sous la table et put découvrir que je me fourrais un doigt dans la chatte.

Quand il se redressa, il me murmura :
- Lisa, tu me fais bander comme un taureau !
- Tu me montreras tout à l'heure. Là il y a trop de monde...
- Tu veux qu'on aille dans les toilettes ?
- Non, laisse ta queue se reposer un peu.
- Ok, j'ai une idée.
Très vif d'esprit, il attrapa une petite boîte de cure-dents sur la table à côté de nous et la renversa volontairement sous ma chaise. L'instant d'après, il était sous la table, entre mes cuisses écartées.

Quelques clients me regardaient de travers. Je tentais de garder mon calme malgré les doigts de mon amant qui jouaient avec ma moule :
- Ce que tu peux être maladroit... Tu veux de l'aide pour les ramasser ?
- Je pense que ça ira, merci.
Il me fourra un doigt dans la fente et commença à me masturber.

Il me fallait une sacrée concentration pour ne pas gémir de plaisir. Je sirotais mas bière pour essayer de paraître la plus naturelle possible. Une jeune fille passa derrière moi et se rendit compte qu'il y avait un homme entre mes cuisses. Elle ouvrit de grands yeux et partit retrouver ses amis a qui elle dut raconter ce qu'elle avait vu. Quelques regards se tournaient plus régulièrement vers moi. C'était encore plus difficile de garder mon calme quand mon amant se mit à me lécher le clitoris.

Je sentais que j'allais avoir un orgasme mais il ne fallait pas car il m'aurait été impossible de l'avoir sans que toute la salle du bar ne le remarque. Je repoussai donc gentiment la tête de mon amant. Mais celui-ci ne voulait pas m'abandonner comme ça et entreprit de me fourrer deux doigts dans la chatte pour tenter de me faire jouir.

Je reculai ma chaise :
- Arrête, je crois que ça suffit.
- Tu n'aimes pas ?
- Si mais là on est trop exposé et si je jouis en public, je t'assure qu'on va avoir des ennuis.
Je me relevai et tirai sur ma robe. Il n'échappa pas à mon jeune guide que mes tétons pointaient beaucoup à travers le tissu de ma petite robe.

Il se releva, abandonnant les cure-dents à leur triste sort et m'emmena au fond de la salle :
- Viens ! Ici, on sera plus tranquille.
La table était effectivement dans un coin discret et je tournai le dos à l'ensemble des clients. Considérant la nouvelle situation, je tirai sur le décolleté de ma robe pour dégager ma poitrine nue, qu'il était le seul à pouvoir voir.

- Tu as raison, on est mieux à cette table.
- Avec ce que tu me montres, je ne vais pas dire le contraire...
- Montre-moi, toi aussi. Tu es caché par la table.
Il recula un peu sa chaise et ouvrit sa braguette laissant sortir son long sexe gonflé et parfaitement raide.

- Mmmmm, j'ai très envie de te sucer...
- Je suis pas contre mais là ce ne serait pas discret, même ici.
- Hors de question de faire ça dans les chiottes. Ce ne serait pas romantique du tout...
- Alors ça me semble compromis.
- Dommage, j'aurais bien voulu que tu éjacules sur mes seins...
Je tendis ma poitrine vers lui pour le stimuler.

Cela eut un effet presque immédiat et il eut une idée :
- Pousse ta chaise le long du mur, je veux regarder des trucs sur ce calendrier au-dessus de toi.
Je ne comprenais pas trop sa stratégie mais il semblait savoir ce qu'il faisait. Quand je me fus décalée, il vint se tenir debout à côté de moi et soulevait tranquillement les pages du calendrier comme s'il cherchait quelque chose. Je compris alors qu'ainsi personne ne pouvait nous voir depuis la salle. J'entrepris donc d'ouvrir son pantalon pour extraie sa queue.

Il me mit en garde :
- Attention à ce que mon pantalon ne tombe pas. On se ferait repérer...
Je regardais derrière moi. Seuls nous regardaient quelques curieux et la table des jeunes qui avaient repérés pendant le cunnilingus. La queue fièrement dressée, il me la tendit :
- Tiens, fais-toi plaisir.

Je la saisis et me penchai dessus pour lui lécher le gland. Il frémit mais garda un calme royal. Il me dit :
- Dépêche-toi car, dès que j'ai trouvé le jour de la Sainte Lisa, je me rassois.
Fort heureusement pour moi, il commença par le mois de janvier et n'eus pas tout de suite l'idée de considérer qu'il s'agissait d'un diminutif.

Je pus le mener au bord de l'éjaculation. Troublé, il me demanda :
- J'ai pas trouvé... Lisa, c'est le diminutif d'Elisabeth, c'est ça ?
Je me redressai et lui fis un grand sourire. Je me mis à le branler lentement au-dessus de mes seins nus tandis qu'il tentait de parcourir à nouveau tout le calendrier.

- Pas en janvier, pas en février...
- Tu aurais peut-être dû commencer par la fin...
- Pas en mars, pas en avril...
Avant qu'il n'atteigne le mois de novembre, il se contracta. Je le laissai éjaculer tranquillement, le sperme commençant à couler sur mes seins.

Mais il abandonna le calendrier, ne s'intéressant plus du tout à la date de ma fête et il prit son sexe en main pour en serrer la base. Je fus étonnée par ce geste :
- Tu sais, tu peux continuer à éjaculer sur mes seins, j'irai me laver aux toilettes après...
Mais ce n'était pas la raison de son geste. Il relâcha la pression d'un coup et m'envoya au visage une puissante giclée de sperme.

Cela m'excita terriblement qu'il ose faire cela en public mais du coup il m'était impossible de me retourner pour voir si quelqu'un avait remarqué ce qu'il s'était passé, vu que j'avais du sperme plein le visage. Je me penchais donc juste sur sa grosse queue pour le sucer et le nettoyer.

Quand il remballa son sexe, je lui dis :
- Début novembre...
Il souleva quelques pages du calendrier et vérifia. Satisfait, il revint s'asseoir en face de moi. Il regarda la salle derrière moi et me dit :
- Bon apparemment, personne n'a rien remarqué.
- Sauf que je ne peux pas traverser la salle comme ça pour aller aux toilettes...
Il considéra d'abord le sperme que j'avais sur les seins.

- Je vais demander des serviettes en papier au bar.
- Non, laisse, je vais me débrouiller.
Il hallucina en me voyant faire une toilette de chat. J'essuyais méticuleusement le sperme avec les doigts que je me léchais au fur et à mesure, me nettoyant ainsi le visage puis les seins.

Une fois terminé, je remis de l'ordre dans ma tenue :
- Alors ? Est-ce que ça se voit ?
- Pas trop, non. Je suis impressionné.
- Mais je vais quand même aller me passer un peu d'eau parce que ça colle un peu tout ça.

J'allais aux toilettes, côté femme et refermai la porte et mis le verrou. Pour ne pas risquer de mouiller ma robe, je me dis qu'il allait être tout aussi rapide que je la retire pour me passer un peu d'eau sur le visage et la poitrine sans m'éclabousser. J'étais ainsi nue quand la porte s'ouvrit malgré le verrou que je pensais avoir mis. Heureusement, c'était mon bel étalon qui semblait ravi de me trouver en tenue d'Eve.

Il entra, referma la porte et remit le verrou. Il se déshabilla :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Devine...
Il bandait encore terriblement et je ne pus le repousser quand il vint caller sa queue tendue entre mes fesses et qu'il me pelota les seins. Je tournai la tête pour qu'il m'embrasse.

Quand nos lèvres se séparèrent, il me dit d'un air triste :
- J'ai certainement les couilles vides, mais ça ne m'empêchera pas de jouir...
- Et moi je suis certaine que tu as encore de la ressource.
Je me mis à genoux devant lui et pris son sexe énorme dans ma bouche pour lui faire une nouvelle fellation.

Je ne mis pas tellement longtemps à parvenir à le faire jouir. Quand il fut mûr, il sortit de ma bouche et s'astiqua le manche vigoureusement. Il était si occupé qu'il ne vit pas qu'une jeune fille venait d'entrouvrir la porte malgré le verrou, visiblement défectueux. Mon amant éjacula sur mes seins, orientant chaque jet, un coup à droite, un coup à gauche. La fille semblait fascinée et je lui souris pour la mettre à l'aise.

Alors qu'un ultime jet de sperme vint s'écraser sur mon menton, je fis signe d'entrer à la demoiselle :
- Venez, nous avons terminé.
Elle entra rapidement et referma la porte, puis s'exclama :
- Oh putain ! Je ne t'avais pas reconnu !
- Agathe ?
De toute évidence, mon amant et cette blonde sexy se connaissaient.

Elle ne semblait pas du tout gênée par la situation et semblait surtout en profiter pour se rincer l'œil, fascinée par l'énorme queue que je venais de faire jouir :
- Tu... c'est ta copine ?
Je fis la réponse :
- Non, je suis Lisa.

- Ah ? Et vous baisez dans les chiottes des bars ?
- Nous nous connaissons via un site web coquin et il m'a proposé de disposer de sa queue comme je le voulais pendant une journée. Je pense l'avoir fait éjaculer une dizaine de fois !
Elle semblait dubitative :
- Je ne pense pas que ce soit possible.
- Et pourtant...
Je regardais avec admiration mon partenaire qui semblait ne pas vouloir débander.

Agathe s'agaça, comme si elle était jalouse :
- Je demande à voir !
- Ok, tu habites dans le coin ?
- Heu... oui, à deux rues d'ici...
- Parfait, je termine de nettoyer notre bête de foire et on vient te faire la démonstration à domicile.
Je terminai de sucer la longue tige pour qu'elle soit parfaitement propre et prête à resservir.

Nous sortîmes et traversâmes le parc qui faisait face à l'hôpital. Agathe semblait assez excitée et cela intéressa notre cobaye au plus haut point car la demoiselle ne portait pas de soutien-gorge et ses mamelons pointaient terriblement sous son petit débardeur blanc. Je pense qu'elle avait senti les regards appuyés de son ami sur ses seins et qu'elle se plaçait toujours à côté de lui de manière à lui permettre d'en profiter.

Arrivée dans la cage d'escalier de l'appartement d'Agathe, je me retrouvai avec son cul devant moi. Sa courte jupe me révélait une petite culotte blanche que je m'appliquai à lui retirer quand nous arrivâmes devant sa porte. La coquine me laissa faire. Avec ce petit manège et surtout la perspective que deux filles s'occupent maintenant de lui, notre ami tenait une forme olympique quand on entra dans l'appartement d'Agathe. A peine avais-je refermé la porte qu'elle s'était autorisée à déboutonner le pantalon du jeune homme et masturbait le colosse. Lui, n'avait pas perdu le nord et avait soulevé sa jupe pour lui caresser les fesses.

Agathe admirait :
- C'est vrai que tu bandes terriblement... Tu as pris un truc ?
- Quoi ?
- Genre viagra ?
- Bien sûr que non ! Mais Lisa sait y faire pour me faire bander.
Pendant qu'elle le branlait, il retira sa chemise puis s'attaqua au débardeur de la jeune fille pour exposer ses seins nus.

Agathe se pencha et commença à lécher le gland tendu. Pendant qu'elle opérait, je vins derrière elle pour lui retirer sa jupe :
- Je ne sais pas trop jusqu'à quel point tu veux tester notre ami, mais je te conseille de ne pas garder de vêtements pour éviter de les tâcher. Quand il éjacule, ça peut sacrément gicler !
Cela ne sembla pas émouvoir Agathe qui continuait à lécher le gland en faisant tourner sa langue comme autour d'une glace.

Se redressant, elle me dit :
- Et toi ? Tu ne te mets pas à poil, Lisa ?
- Tu veux que je participe ?
- Tu as de l'expérience, semble-t-il...

- Tu ne sembles pas vraiment être une débutante.
- Ok.
Notre homme retira son pantalon et affichait toujours sa formidable érection.

Agathe le repoussa jusqu'au canapé :
- Allonge-toi...
Quand il fut allongé, le sexe dressé vers le plafond, Agathe vint s'agenouiller entre ses cuisses et commença à le masturber lentement en le regardant droit dans les yeux.

Je ne m'étais pas trompée en disant qu'elle n'était pas une débutante car en moins de deux minutes, masturbant le membre turgescent à deux mains, elle parvint à le faire éjaculer :
- C'est prodigieux ! Tu as joui il y a vingt minutes dans le café et tu peux remettre ça déjà ?
Il ne répondit pas, terrassé par le plaisir de se faire masturber par sa jolie copine de fac sur laquelle il fantasmait sans doute depuis longtemps.

Le sperme épais coulait sur les doigts de la jeune fille. Elle se mit aussitôt à se lécher et à avaler sa semence. Et moi qui croyais que j'étais une salope ! Puis, voyant qu'il restait encore beaucoup de sperme sur le gland de son amant, elle se pencha et le lécha tout doucement du bout de la langue, prenant un temps infini pour lui faire sa toilette.

Elle continuait à lui masser les couilles et à le masturber :
- Sans repos, je ne pense pas que tu sois capable de remettre ça. Mais comme Lisa semble dire que tu es un étalon exceptionnel, je te laisse le bénéfice du doute et je suis prête à tenter l'expérience. Elle semblait vraiment très douée en masturbation et quand elle perçu qu'il était prêt, elle avança sa bouche contre le gland et reçu quelques giclées de sperme.

Elle avala consciencieusement avant de se tourner vers moi :
- Tu as raison. Il est increvable !
- Et je pense qu'il a encore de la ressource.
- C'est impossible ! Il a pris un truc !
- Je t'assure que non.
Déjà Agathe commençait une fellation incroyable sur la queue de son camarade de fac.

Lui ne disait rien, profitant des attentions de la jolie blonde. Après une ou deux minutes, Agathe sembla s'impatienter :
- Lisa, ça ne vient pas, tu me donnes un coup de main ?
- Merci, je te laisse profiter.
- Tu es sûre ?

- Certaine. Je veux que tu te rendes compte des capacités exceptionnelles de cette belle queue.
- Ok. Comme tu veux.
Voyant que je tenais à ce qu'elle continue seule, elle n'insista pas et reprit sa fellation.

Quelques minutes après, notre amant se tendit et grogna significativement. Agathe, toujours à genoux devant lui, arrêta sa fellation et tendit le visage vers lui. Sans que personne ne touche au sexe palpitant, le sperme se mit à jaillir et plusieurs giclées vinrent éclabousser le visage de la jeune fille.

Quand il eut terminé, Agathe rouvrit les yeux difficilement à cause du sperme qui avait atteint sa paupière :
- Tu es incroyable ! Si j'avais su...
Je rigolai :
- Tu viens de découvrir l'homme de ta vie, Agathe.
- Heu... par contre j'ai déjà un copain...

- Oh, ce n'est pas grave ça. Tu n'as qu'à le considérer comme un fantastique sex-friend que tu peux avoir quand tu veux !
- Et s'il est capable de bander aussi longtemps que tu le dis et qu'il éjacule aussi souvent, ça me laisse rêveuse sur tout ce que je peux lui faire faire !
Agathe s'essuya le bord des lèvres avec son majeur et le suça d'une manière provoquante.

Je me tournai vers notre ami :
- Tu vois, je crois que tu ne vas pas avoir besoin de moi pour continuer à mettre ta bite à l'épreuve !
- Lisa, tu seras toujours la bienvenue quand tu voudras jouer avec ma queue.
- Et quand je voudrais goûter à ton sperme, je sais que je pourrais le trouver à deux endroits.
- Deux ?
- Oui, entre tes cuisses et sur le visage d'Agathe.
Je rejoignis la jolie blonde pour lui lécher tout le sperme qu'elle avait au visage.

Du coup, notre ami ne débandait toujours pas. Mais il était tard pour moi et j'avais un peu de route à faire pour rentrer chez moi. J'étais satisfaite car je savais que je laissais cette grosse queue entre de bonnes mains et que bien du plaisir l'attendait encore avec la belle Agathe.