Je sens tout ton corps frissonner...

Texte publié par Maryaline sur Lisastory le 7 mars 2013



Tu passes la porte de ma chambre, je te trouve superbe et très sexy.




Tu t'allonges sur le lit et je t'observe...




Tu m'excites et tu le devines à la bosse de mon caleçon.




Je vois dans tes yeux cette lueur et ce regard coquin.




Je m'approche et t'embrasse, surprise, tu te laisses faire.




Je commence à te caresser et je sens ton excitation monter.

D'initiative, tu abaisses ton haut en me défiant du regard, tes seins et tes tétons se dressent.




Je ne peux résister à les lécher, à les sucer et même à les pincer fermement.




Je sens tout ton corps frissonner à chaque coup de langue.
Je caresse l'intérieur de tes cuisses et remonte vers la fourche de tes jambes et j'effleure ton string puis l'écarte doucement.




Tu gémis en te cambrant.




Je sens au travers du tissu diaphane l'humidité de ton excitation.
J'écarte lentement ton string avec les dents et hume la douce odeur de ton minou en émoi.




Tu t'allonges sur le lit et t'offres à moi, les jambes écartées.
J'enfouis ma tête entre tes cuisses.

Par de petits coups de langues je joue avec ton bouton d'amour qui durcit sous ma caresse.




Tu remues les hanches, tu en veux plus.
Ma langue devient plus inquisitrice et tu ondules de plus belle en laissant échapper des miaulements de chatte.

Sous cette caresse, tu pousses de petits cris étouffés, ce qui m'excite encore plus fort.




Tu me stoppes et, devant mon érection, tu te penches et commences une savante fellation.

Tu commences par donner des petits coups de langue sur mon gland pour ensuite le gober tout entier dans ta bouche.




Tu passes ta langue sur mon gland.
Tu l'enroules autour pour ensuite l'aspirer de nouveau en faisant un va et viens de tes lèvres sur ma hampe.




Trop excité, je ne veux pas venir dans ta bouche.
Je t'allonge, les cuisses écartées et frotte frénétiquement mon sexe tendu sur ton minou avant de le placer devant l'entrée de ta source que je pénètre lentement te faisant pâmer de plaisir.




J'accélère le rythme et tu cries de plus en plus fort.




Nous gémissons de concert et l'excitation est à son comble.




Maintenant, la douceur fait place à une furie bestiale.
Je te laboure la chatte et tu en redemandes.




Je donne encore quelques coups de reins avec ardeur et me retire pour jouir sur ta bouche et tes seins.




Tu me rejoins dans ma jouissance et nous nous enlaçons dans un fougueux baiser.