La découverte des plaisirs - 1

Je suis en ce moment assis à mon bureau dans ma chambre, seul dans l'appartement que je partage avec un colocataire. Je révise les derniers cours quand soudain j'entends du bruit. Je tends l'oreille et reconnais la voix d'une fille avec celle de mon colocataire.



Je perçois ses rires, et bientôt la porte de sa chambre qui claque. OK, j'ai compris ce qu'il ne va pas tarder à se passer. J'espère qu'il se montrera discret. Seul problème, le mur entre nos deux chambres est fin, ainsi je n'ai pas de mal à percevoir leur conversation. J'entends plusieurs bruits indéchiffrables puis soudain le calme pendant plusieurs secondes jusqu'à ce que mon colocataire vienne briser ce silence.

Oh putain ! C'est trop bon. T'es douée comme suceuse.



Merde, comment puis-je me concentrer sur mes cours alors qu'une fille est en train de sucer mon colocataire dans la pièce d'à côté ?



Je fais tous les efforts possibles pour ignorer la situation.



Oh oui, oh oui... halète-t-il, brisant ainsi une nouvelle fois ma concentration. T'es vraiment la reine de la pipe !



Impossible de me focaliser sur mes cours.



Sans le vouloir, je m'enfonce dans mon fauteuil et commence à imaginer la scène qui se déroule à côté.



Je vois mon colocataire allongé sur le lit, la bite tendue.



La fille lui lèche avec gourmandise le sexe.



Cette image en tête, mon sexe se tend dans mon pantalon. J'essaie de l'ignorer et de retourner à mes cours, sans succès. Le lit grince à côté. Ils doivent être en train de bouger.



Non, pas dans le cul ! fait soudainement la voix de la fille. Je n'aime pas ça.



Allez, s'il te plaît... T'as vraiment un cul divin !



Ta gueule ! Je t'ai dit non.



Mon colocataire ne semble pas plus insister. Bientôt, on entend le lit grincer et on devine facilement le mouvement de va-et-vient qui produit ce grincement.


Oh oui, défonce-moi la chatte ! C'est bon ! hurle la fille.



J'imagine encore la scène ; je vois la fille à quatre pattes en train de se faire prendre en levrette par mon colocataire.



J'imagine ses seins se balancer au rythme des mouvements. Je la vois aussi se mordre les lèvres et grimacer de plaisir.



Merde, il faut que je me sorte cette image malsaine de la tête ! Je ne dois pas me laisser hanter par les sons qui me chantent aux oreilles. Si seulement il était plus discret aussi !



À croire qu'il le fait exprès juste pour m'emmerder, pour me montrer à quel point sa vie sexuelle est riche par rapport à la mienne.



Mon sang bout de plus en plus et mes mains se mettent à trembler. Je suis pris d'un mélange de rage et d'excitation. Le désir m'envahit progressivement.



Cette fois, c'est trop : je baisse les armes ! Je me laisse envahir par les images érotiques.



La fille gémit dans la pièce sans aucun effort de discrétion.



Soudain, le rythme des grincements s'accélère. Elle crie de plus en plus fort et mon cœur se serre.



Moi, je me branle en imaginant la scène. Dans ma tête, c'est moi qui ai remplacé mon colocataire.



C'est dorénavant sous mes assauts que cette fille gémit si fort.



J'imagine le contact de son sexe brûlant sur le mien, le balancement de ses seins sous mes coups de boutoir et sa peau de velours sous mes doigts avides.



Je lui défonce la chatte, lui palpe les seins et lui fesse le cul.



Elle halète de plus en plus bruyamment et m'encourage à la pilonner encore plus fort.



Elle me réclame et m'implore, me convoite et m'appelle.



Sa litanie fait de moi son seul maître.



Il ne me faut pas longtemps pour jouir de ce fantasme.



Je tends l'oreille et les entends jouir à leur tour quelques minutes plus tard.



Ils ont recommencé à baiser trois fois cette nuit-là, et aucune de ces fois je n'ai pu m'empêcher de me branler.



À chaque fois, c'est la même chose : je suis partagé entre la colère de savoir qu'il fait ça juste sous mon nez, et l'excitation de l'entendre faire.



Cette dernière prend toujours le dessus et je me branle frénétiquement en me laissant aller à mon fantasme.



Cette fille brune aux yeux verts a un visage d'ange et un corps à faire bander un eunuque bien que n'ayant pas particulièrement de gros seins et de grosses fesses.



Je l'a connaissais et ne pouvais décrocher mon regard de son magnifique visage et des courbes de son corps.



Je l'avais observé installé à côté d'un mec lors de mon arrivée dans la salle du premier travaux dirigés de cette nouvelle étudiante.



Lors de ce premier TD, je n'ai pas vraiment le choix et dois me chercher une place devant. Il y en a une à côté d'une fille assez mignonne. Je lui demande poliment si je peux m'installer à côté d'elle. Elle acquiesce.
- Je m'appelle Thomas, lui dis-je pour me présenter.
- Et moi Louise, répond-elle timidement.
Eh bien, enchanté, Louise.



Elle ne répond rien de plus pour l'instant. Je l'observe rapidement du coin de l'œil. De longs cheveux bruns lui tombent jusqu'aux épaules.



Elle a un visage doux, des traits fins.



Elle est habillée plutôt classiquement.



On peut voir cependant deux jolies bosses tendre doucement son pull.



Elle vient de remarquer que je la reluquais et son visage s'est empourpré.



Je me retourne discrètement pour jeter un coup d'œil et aperçoit une fille qui est loin d'être aussi sage que ma voisine question habillement.



Elle porte un pantalon moulant et a retiré sa veste pour laisser la place à un débardeur plutôt décolleté.



Elle semble en grande conversation avec son voisin, et rit à ses blagues. Ce dernier ne paraît pas manquer d‘occasions de reluquer ses seins.



De mon côté, je n'ai jamais eu un grand succès avec les filles. Ce n'est pas que je sois moche ; c'est plutôt que je suis timide, alors ça bloque un peu les relations.



La professeure se lève de son bureau.



Elle attire mon attention.



Elle parcourt la salle du regard avec un sourire au coin des lèvres.



Bien, fait-il. Nous allons pouvoir commencer.



La vie suit son cours et la routine s'installe tranquillement. Je me suis fait aussi plusieurs amis, dont Louise. Cette fille est vraiment sympathique. On a discuté plusieurs fois ensemble et on a fini par devenir potes.



Le lendemain à la pause de midi, je me retrouve assis à une table d'extérieur dans la cour de l'école avec Louise. Le ciel est bleu ; un beau soleil, et une légère brise qui évite que l'atmosphère soit étouffante. C'est une agréable journée.



Louise et moi rions à une blague qu'elle vient de faire quand soudain j'entends une voix nous saluer.



Je me retourne et tombe sur une magnifique fille aux formes voluptueuses.



Pris au dépourvu, je bredouille un salut en retour.



Elle a les yeux fixés sur moi ; un regard plutôt pénétrant.



De longs cheveux noirs qui lui tombent en cascade dans le dos et des formes vraiment avantageuses.



Elle me donne chaud et je ne peux m'empêcher de rougir, ce qui semble amener un sourire sur ses lèvres pulpeuses.



En fait, cette fille est une bombe.



Qu'est-ce qu'elle nous veut au juste ?



Je ne comprends pas pourquoi une fille aussi sexy vient nous adresser la parole.



Tu es le colocataire d'Arthur n'est-ce-pas ? me demande-t-elle.



- Son colocataire oui.
- Comment te nommes-tu ?
-Thomas.
- Et toi ? Demande-t-elle en reportant son attention sur Louise, comme si elle venait seulement de se rendre compte de sa présence.
- Moi, c'est Louise.



Bien. Moi, je m'appelle Sarah. Je suis en seconde année avec ton colocataire. Je sais qu'il bien amusé avec une fille de ta classe, une certaine Elodie.



Je voulais juste faire les présentations et vous dire de ne pas hésiter à venir nous voir, mes amis et moi, si vous avez un quelconque problème.
Sarah s'éloigne et je ne peux m'empêcher de mater son cul serré.



J'en bave intérieurement.



Nous reprenons nos cours peu après et finissons la journée dans le calme. Celle du lendemain se déroule aussi calmement jusqu'à une fameuse soirée organisée dans un bar dans la ville. Je reconnais Sarah, la seconde année qui est venue nous parler à Louise et à moi hier.



Elle a un magnifique décolleté qui met en valeur sa poitrine appétissante.



C'est vrai qu'elle est sexy !



Zut, elle vient de s'apercevoir que j'étais en train de la mater.



Elle semble cependant ne pas m'en vouloir puisqu'elle me lance un sourire.



Je reconnais également Élodie. Elle fait vraiment salope dans cette tenue.