La découverte des plaisirs - 2

Sarah se décale sur la banquette et me fait signe de m'asseoir à côté d'elle. Je m'exécute. On est plutôt serré et je sens sa jambe collée le long de la mienne. Son parfum, plutôt très agréable, me monte aussi aux narines. J'ai soudain très chaud.



D'un coup, une main se pose sur ma cuisse et me fait revenir à la réalité.



Je sursaute et me tourne vers Sarah qui me sourit.



- Lève-toi, me dit-elle.

Je m'exécute. Elle se lève, me prend la main et m'emmène vers le bar.



Sarah me fait signe d'attendre dans un coin. Elle se penche vers le serveur pour commander des boissons. J'ai une vue parfaite sur son cul moulé et j'en profite tant que je le peux.



Visiblement, elle porte un string en dessous ; on en devine assez facilement la forme.



Elle revient et me tend une bière :
- Tiens  !



On s'assoit tous les deux à une petite table et elle commence à m'interroger sur ma vie. On parle de tout et de rien, si bien que je finis ma bière, puis une autre sans m'en apercevoir. Cette fille semble vraiment parfaite ; non seulement elle est très sexy, mais en plus elle est sympathique. C'est elle qui dirige la conversation, si bien que je n'ai pas vraiment à m'embêter pour savoir quoi dire. Vraiment très difficile de résister à son charme.



Elle me propose ensuite de venir sur la piste de danse, probablement pour me changer les idées.



Comme je suis légèrement bourré, j'accepte et commence à me lever. Sur la piste de danse, Sarah bouge comme une déesse. Son corps ondule parfaitement au rythme de la musique. Je me sens pataud à côté d'elle. Il y a pas mal de monde sur la piste de danse ; et du coup, il y a peu d'espace, ce qui fait que nous sommes très proches l'un de l'autre, si bien que je sens encore son parfum envoûtant.



Je vois plusieurs mecs qui lui matent le cul et je me dis que j'ai bien de la chance de danser avec une fille comme elle.



Pour ma part, je profite tant que je peux de sa magnifique poitrine qui se balance en cadence. Soudain elle s'approche doucement de moi, presque à me coller, et me dit à l'oreille :

- Dis donc, tu ne serais pas en train de mater les seins, par hasard ?



Merde, pris en flagrant délit ! Il me semblait m'être montré plus discret que ça.



- Désolé, je ne le ferai plus.
- Ça va, je te pardonne pour ce soir. Tu sais, ça ne me dérange pas plus que ça ; c'est même plutôt flatteur.



Elle s'approche encore de moi jusqu'à frotter sa poitrine contre mon torse. Elle ondule sensuellement le long de mon corps et laisse ses mains flatter ses courbes. Divine tentation !



Puis soudain elle recule d'un mètre et se laisse emporter par une danse envoûtante tout en se moquant de la tête que j'affiche. Je reste scotché quelques secondes, le temps que les informations arrivent à mon cerveau. Vient-elle vraiment de se frotter contre moi ? Merde, je commence à me sentir serré dans le pantalon.



Avec un regard aguicheur, elle me fait signe du doigt d'approcher ; mais quand je le fais, elle recule encore. Elle joue avec moi, et je dois dire que ça m'excite beaucoup. Je suis comme hypnotisé ; elle m'a en son pouvoir. Elle pourrait me mener n'importe où : je la suivrais sans réfléchir.

Elle recommence le manège plusieurs fois, jusqu'au moment où elle se retrouve bloquée par le mur. C'est ma chance. Je m'approche d'elle, prêt à la plaquer contre le mur ; elle me saute dessus et m'embrasse. Je sens sa langue chaude s'engouffrer dans ma bouche et caresser la mienne.



Mes mains se posent sur ses hanches et remontent en direction de sa poitrine.



Elle m'attrape les bras et me repousse violemment avec un sourire narquois.



Elle vient vers moi, me dit qu'elle doit y aller et me laisse un bisou sur la joue.



- Au revoir !

Je la regarde alors sortir avec les autres quand soudain je prends conscience de ce qu'il vient de se passer : j'ai roulé une pelle à l'une des filles les plus bandantes de la soirée.



Ça fait déjà plusieurs jours depuis la soirée et je n'ai pas réussi à reparler avec Sarah. Je l'ai croisée plusieurs fois et ai tenté d'engager la conversation ; mais à part un salut de sa part, je n'ai pas eu droit à grand-chose. Je commence à me demander si elle ne s'est pas moquée de moi à la soirée.



Je l'ai encore aperçue cet après-midi à la pause ; elle discutait avec Elodie.



Pourtant, un nouvel après-midi, je tombe sur Sarah.



Salut ! me lance-t-elle, joviale. Comment vas-tu ? Ça se passe bien, les cours ?



J'aurais préféré qu'elle commence la conversation sur autre chose que ces questions banales.



- Bien, fais-je sur un ton évasif.
- Je vois ! Dis, je suis désolée si j'ai pas été trop présente dernièrement, mais je suis pas mal occupée . Mais pour me rattraper, j'aimerais t'inviter ce soir chez moi. J'ai organisé une petite soirée. Tu veux bien venir ?
- Euh, oui ; pourquoi pas ? Ça peut être sympa ! fais-je, surpris.



-OK. À ce soir alors, dit-elle en me donnant un bout de papier avec une adresse dessus. Tu ne vas pas être déçu...



Une soirée chez Sarah ! Je ne sais pas pourquoi, mais l'excitation grimpe d'un coup en moi. Enfin si, je sais pourquoi : j'ai beaucoup d'espoirs, après ce qu'il s'est passé lors de précédente soirée.



Je fais mon apparition dans l'appartement de Sarah. Celle-ci m'accueille et me fait la bise.



Elle m'indique ensuite un canapé où m'asseoir, m'apporte une bière, puis s'en va rejoindre un autre groupe d'élèves. Je me retrouve donc installé sur le canapé. Je me sens soudain mal à l'aise. Je ne connais pas grand-monde ici et je viens de comprendre que Sarah sera pas mal occupée avec tous ses invités et n'aura donc pas beaucoup de temps à me consacrer. Je regrette presque d'être venu quand une fille vient s'asseoir à mes côtés.



- Salut ; moi, c'est Aliénor, fait-elle en me tendant la main.



- Moi, c'est Thomas, lui réponds-je en lui serrant nerveusement la main.



Peu de temps après, Sarah me ressert une autre bière.
- Alors, t'as fait connaissance avec Thomas ? demande-t-elle à Aliénor.
- Tout à fait. C'est vrai qu'il est mignon, lui répond-elle.
- Mouais, t'as vu !

Les deux filles parlent de moi comme si je n'étais pas là. Le compliment est flatteur, mais ça me met plutôt mal à l'aise. Soudain, Aliénor se lève rejoindre un groupe.



Alors, comment tu la trouves, Aliénor ? me demande Sarah.



- Ça va, elle est plutôt sympa.
- Et physiquement, elle te plaît ?


- Euh... oui, elle est plutôt jolie, dis-je.



Et sur ces mots, elle me dépose plusieurs baisers dans le cou et place sa main sur ma cuisse gauche. Ce contact me fait aussitôt frissonner.
- Je vois qu'on commence à bien s'amuser, fait la voix d'Aliénor qui vient de faire son retour et reprend sa place précédente à mes côtés. J'vous dérange ?
- Absolument pas ! dit Sarah dans un grand sourire, sans enlever sa main de ma cuisse gauche. N'est-ce pas, Thomas ?
- Euh non, bredouillé-je.

En fait si, quand même, les choses commençaient à devenir intéressantes. Mais je n'ose dire le contraire.
- Dis donc, Aliénor, lui lance Sarah, tu savais que notre petit Thomas te trouve plutôt jolie ?



- Non, c'est vrai ? fait-elle d'un air faussement surpris. Il a dit ça ?
- Ouais ; il a même dit que tu étais très sexy et que t'avais un cul à faire bander les morts.



Mais je n'ai jamais dit ça, bon sang ! Je m'apprête à protester quand la bouche d'Aliénor vient se coller à la mienne et me roule une pelle d'enfer.



Sa main se pose sur ma cuisse droite et commence à la caresser. Cette fois c'est bon, je bande comme un fou !



- J'aime quand on me complimente comme cela, me fait-elle avec un regard aguicheur.



Et puis sa main remonte le long de ma cuisse et vient flatter mon entrejambe.



- Je ne sais pas si je ferais bander un mort ; mais visiblement, je te fais beaucoup d'effet.



Sarah me tourne la tête et me roule à son tour une pelle qui n'a rien à envier à la précédente. Ces filles sont vraiment des bombes !



- Attends, laisse-moi voir ça, Aliénor ! demande Sarah en venant à son tour me mettre la main au panier. Ah ouais, quand même... Hum, ça m'a l'air intéressant tout ça,... Allez, viens, me lance-t-elle en me prenant la main ; il faut qu'on discute un peu plus tranquillement.



Elle m'emmène en direction de sa chambre. Cette fois c'est bon ! Je veux baiser avec elle.



Je suis très excité.



Les hormones ayant pris le dessus, je ne réfléchis plus à ce que je fais et saute sur Sarah, l'embrasse maladroitement tout en lui pelotant le cul.



Mais elle finit par me repousser doucement.

- Alors, si c'est un couple tout beau tout propre que tu veux, on peut d'ores et déjà arrêter l'aventure ici. Par contre, si la situation te convient, je peux te dire que tu ne le regretteras pas.



- Je crois que je m'y ferai. Oui, ça me va.



- Bonne réponse. Affaire réglée ; on peut passer aux choses sérieuses.
- Déshabille-toi maintenant, ordonne-t-elle sans transition.



Je lui obéis donc sous son regard attentif. Elle ne peut pas s'empêcher de sourire en me voyant me dépêtrer maladroitement de mes affaires. Je me retrouve bientôt nu, debout devant elle. Elle m'examine comme on examinerait un morceau de viande à la boucherie.

- Bon. Maintenant, allonge-toi, le dos sur le lit ; et sans poser de question, ce coup-ci.
- Ce soir, tu n'auras à t'occuper de rien, commence-t-elle à s'expliquer.

Je suis donc maintenant allongé sur le dos, complètement nu et le sexe tendu.



Sarah m'offre un spectacle fascinant. Elle s'est mise debout sur le lit et a entamé un lent et sensuel strip-tease. Doucement, sa petite veste glisse, puis c'est au tour de son haut de disparaître, me laissant la vision d'une magnifique poitrine recouverte d'un soutien-gorge noir à dentelles.



Ses mains caressent lentement son corps pour accompagner le spectacle. Elle se retourne et dandine son petit cul au rythme d'une musique imaginaire.



Ses mains font descendre de quelques centimètres sa jupe, me laissant découvrir la naissance d'un tanga noir, lui aussi à dentelles ; puis d'un coup elle remet sa jupe en place pour me cacher ce dernier trésor. Le show est vraiment captivant. Finalement, la jupe chute et je la découvre en sous-vêtements. Le soutien-gorge vole à son tour, libérant ses seins.



Le tanga le suit de peu, après une descente des plus érotiques le long de ses jambes.



Elle sourit de se découvrir ainsi.



Elle est visiblement très fière de l'effet qu'elle me fait.



Quel spectacle !



Elle rit, s'agenouille et commence à me branler doucement d'une main. Le contact me fait frémir.



J'ai dit que tu n'avais rien à faire ce soir, alors, reste tranquille.



Elle s'accroupit et m'embrasse dans le cou tout en frottant sa magnifique poitrine sur mon torse. Sa bouche migre ensuite sur mon buste, puis descend de plus en plus bas vers mon sexe. Va-t-elle oser ? Oui ! Elle me l'embouche d'un coup.



Je manque de tout décharger mais j'arrive à me retenir.



Elle me lèche, me suce et s'en régale tandis que sa main me masse les bourses.



Mon Dieu, on ne m'avait jamais fait ça avant... C'est divin !



Bon, on va arrêter ça là ! Je tiens à en profiter aussi.



Quelques baisers plus tard, elle est installée à califourchon au-dessus de mon bassin. Elle s'amuse à frotter sa vulve le long de mon sexe.



Je sens sa mouille couler. Je n'en peux plus, j'ai envie de la pénétrer.



Je lui demande, la supplie presque, mais elle se contente de sourire. Elle s'amuse ainsi un certain temps de faire durer le supplice.



Puis enfin, comble du bonheur, elle s'empale finalement sur mon sexe en laissant échapper un gémissement.



Elle reste ainsi plantée sur moi quelques secondes sans rien faire, l'air rêveur, se contentant sûrement d'apprécier cette grosseur qui lui a envahi le vagin.



Elle se lance ensuite dans une série d'oscillations.



C'est sensationnel !



Je savoure ma chance de baiser avec une telle fille.



Surprenante, étonnante, charmante, ravissante, excitante, bandante ; ma nouvelle amante est vraiment ahurissante !



Elle coulisse sur ma bite et m'offre un plaisir comme je n'en ai jamais connu.



D'un regard coquin, elle surveille la moindre de mes réactions et sourit dès que je lâche une grimace de plaisir. Ses mains voyagent le long de mon torse et de mon ventre en laissant sur leur passage de fines griffures.



Nous baisons maintenant à un rythme effréné ; je donne tout ce que je peux.



Je me sens sur le point de partir.



J'essaie de me retenir encore un peu, mais la pression est trop forte.



Alors j'abandonne la partie et me laisse aller.



J'ai l'impression de sentir ma bite exploser tandis que je me libère dans le vagin de ma Sarah en poussant un cri de joie.



J'ai l'impression que je n'ai jamais expulsé autant de sperme, tellement mon orgasme est fort.



Sarah laisse retomber doucement la pression puis se baisse pour m'embrasser la bouche et dans le cou.



J'espère que tu as aimé, me murmurent-elle à l'oreille.



Évidemment, lui réponds-je. C'était... waouh !



Tant mieux, fait-elle en lâchant un petit rire.


Comment penser le contraire ? J'ai baisé une bombe.