Mutation - épisode 14


Dès le lendemain de mon évasion, je reçus un SMS de Rudy :
"Sylvie, je suis désolé de la tournure qu'ont pris les choses. Franchement je ne pensais pas que Manon irait aussi loin. Je veux m'excuser de vive voix. Accepteriez-vous qu'on se voit en tête à tête dans un bar ?"
Je sentis beaucoup de sincérité dans ce message de Rudy et, malgré ce qu'il m'avait fait subir, j'eus pitié de lui et acceptai son invitation. L'après-midi même je me rendis dans le bar que m'avait indiqué Rudy. Il semblait ravi de me voir et accueilli avec un grand sourire la petite robe fuchsia que j'avais choisie.



Une fois installés, nous commençâmes à discuter et Rudy se confondit en excuse :
- Vraiment, Sylvie, je suis désolé de ce que nous vous avons fait subir. Manon était comme folle avec cette histoire de cyprine...
- Vous n'avez pas fait grand-chose pour l'en dissuader.
- J'étais, comme elle, obnubilé par la résolution de mon problème. Mais après votre évasion, j'ai compris que votre cyprine n'était pas à l'origine de mes érections.
- Si vous m'aviez écoutée...
J'étais partagée entre la colère et la pitié mais je sentais à la voix de Rudy qu'il était sincère.



Il continua :
- Ecoutez, je veux me faire pardonner. Vous buvez quelque chose ?
- Heu, une grenadine, s'il vous plaît.
Rudy se leva et alla chercher la commande au bar. Je surpris un étrange sourire entendu sur le visage du patron. Quand Rudy revint avec les verres, il me tendit ma grenadine. Un peu suspicieuse, je sentis le verre avant d'avaler une gorgée. Cela ne semblait pas sentir l'alcool et j'en bus une gorgée en toute confiance.



En sentant le liquide passer dans ma gorge, je compris que j'avais été dupée : la grenadine contenait du rhume et je vis au sourire de Rudy que ce n'était pas un accident. Ainsi, il avait compris. Je posais mon verre :
- Vous avez donc deviné ?
- Oui... Et je peux vous dire que ça marche déjà !
- Vous bandez ?
Rudy se leva et je vis la bosse magistrale qui déformait son pantalon. Cela me fit mouiller instantanément et j'eus aussitôt envie qu'il me prenne. Je me levais et l'entrainais dans les toilettes du bar. Dès que la porte fut fermée, je relevai ma petite robe pour lui offrir ma croupe, libre de toute culotte.



Rudy se libéra et exhiba un sexe magnifiquement tendu qu'il admira avec fierté :
- Génial !
Il semblait d'autant plus satisfait en voyant le regard ébahi que je lançais à son érection. Me soulevant une cuisse, il guida son sexe dressé dans ma fente humide.



Il m'arracha très vite de profonds gémissements alors qu'il glissait lentement en moi :
- Oh Sylvie ! Quel pied !
- Taisez-vous et baisez-moi !
C'était un vrai bonheur de sentir sa longue tige aller et venir en moi.



Rapidement, il m'arracha un orgasme et je dus me mordre les lèvres pour en pas crier et révéler à l'ensemble de la clientèle du bar ce que nous faisions. Rudy ne résista pas beaucoup plus longtemps et, quand il s'immobilisa, je compris qu'il allait éjaculer. Je sentis son sperme chaud envahir mon ventre et, tandis qu'il se répandait en moi, il se retirait lentement, de sorte que, quand son gland se glissa hors de ma fente, celle-ci laissa aussitôt s'échapper plusieurs filets de sperme qui commencèrent à dégouliner le long de mes cuisses.



Rudy bandait encore beaucoup. Le rhume, je le sentais, faisait encore beaucoup effet. Pourtant, Rudy se rajusta, tant bien que mal avant de me dire :
- Quel bonheur de vous avoir rencontré, Sylvie !
- C'est un plaisir partagé, Rudy. Surtout quand votre femme n'est pas dans le coin.
- Oh, vous savez, là, elle dort.
- Elle dort ?
- Oui. Quand j'ai soupçonné que c'était l'alcool qui vous permettait d'avoir cet effet sur moi, j'ai fait boire Manon plus que de raison en espérant que le phénomène fonctionne aussi avec elle.
- Mais là, vous bandez encore.
- Oui ce n'est pas grave. Pour vous remercier, je veux vous emmener voir un concert de rap. Est-ce que ça vous tente ?
Même si le rap est loin d'être mon style de musique, cela faisait longtemps que je n'avais pas été à un concert et j'acceptai sa proposition avec plaisir. Quelques dizaines de minutes plus tard, je me trémoussais face à la scène où évoluait six noirs dans une petite boîte du centre-ville. Ce n'est qu'en voyant les regards de quelques garçons autour de moi que je pris conscience que je faisais peut-être une bêtise. L'alcool semblait faire encore effet et des garçons se rapprochaient dangereusement de moi. Rudy s'amusait même à se frotter contre moi pour que ma robe remonte et je tardai un peu à me rendre compte qu'il m'avait mise cul nu au milieu de cette foule.



Plusieurs gars m'entouraient et commencèrent à me tripoter à travers ma robe. Des mains glissèrent le long de mes cuisses et remontèrent ma robe au passage. Sur la scène les blacks me regardaient avec envie mais restaient concentrés sur leur musique. J'adorai sentir ces caresses et, fermant les yeux de plaisir, je ne fis rien pour arrêter les mains baladeuses qui se faisaient de plus en plus nombreuses. Je me rendis à peine compte que ma robe était retroussée sur ma taille. Je poussais de profonds gémissements de plaisir quand je sentis un doigt se glisser dans ma fente et un pouce tourner autour de mon clitoris.



Je ne savais même pas si les mains de Rudy faisaient partie des mains qui parcouraient mon corps. Quelqu'un fit glisser les bretelles de ma robe et on me dégagea la poitrine. Je m'attendais à ce qu'on termine de me l'enlever et que je me retrouve totalement nue au milieu de tous ces mecs en rut. C'est alors que j'entendis la voix de Rudy :
- Viens, ça va dégénérer !
Il m'attrapa par le poignet et m'extirpa du groupe et de toutes ces mains baladeuses. Une fois arrivée à la porte, je pris conscience de ma tenue et je commençai par tirer sur ma robe pour cacher mon entrejambe avant que Rudy n'ouvre la porte pour sortir.



Heureusement, il n'y avait personne à l'extérieur quand nous sortîmes et je pus prendre le temps de rajuster ma robe. Rudy se confondit en excuse :
- Désolé... je ne pensais pas que l'alcool faisait encore effet...
- Moi aussi, j'avais oublié. Partons avant qu'ils ne viennent me chercher.
Rudy eut un sourire triste en regardant son entrejambe :
- Non, je crois que c'était la fin. L'alcool n'a plus d'effet... Ils vont tous se calmer rapidement.
- Dommage, j'ai bien aimé le concert. J'écoute peu de rap et là, j'avoue avoir bien aimé. Ce groupe a une belle énergie.
- Je les connais. Si tu veux, je peux te faire les rencontrer après le concert.
- Oh oui, ce serait chouette !
Rudy passa quelques minutes à pianoter sur son téléphone, échangeant des SMS. Au bout d'une vingtaine de minutes, il rangea son téléphone :
- C'est bon, ils viennent de terminer leur concert. On peut les rejoindre dans l'appartement au-dessus de la salle.
Comme l'alcool n'a plus d'effet, je suis Rudy volontiers pour rencontrer ces gars. Une fois dans l'appartement, les gars sont assis à boire et me regardent avec intérêt. Je suis un peu intimidée car je prends conscience que ma robe est quand même très sexy et surtout que je suis la seule fille présente.



Un des gars se leva et tendit un verre à Rudy et un autre à moi. Je déclinai et il sembla se vexer :
- C'est pas très poli de refuser un verre !
- Je supporte mal l'alcool. Mais je vous remercie.
- Une jeune fille polie ferait la bise aux gens qui l'accueillent.
Je ne voyais pas d'objection à cela. Je fis la bise au gars. Les autres se levèrent alors pour que je leur fasse la bise. Le second m'enlaça très familièrement et m'embrassa sur la bouche.



Les suivants, bien sûr, l'imitèrent. C'est en sentant l'érection du sixième gars contre ma hanche que je pris conscience de la situation. Tous ces gars venaient de boire de l'alcool et je venais de les embrasser sans me méfier. Le dernier gars vit mon regard paniqué et dit :
- Faut pas avoir peur. On ne va pas vous manger. Et vous aviez l'air moins farouche pendant le concert quand ces gars vous tripotaient et vous foutaient à poil.
Je ne savais pas quoi répondre. Les gars m'entouraient et, comme pendant le concert, plusieurs mains se mirent à me caresser à travers ma robe, certaines osant se glisser dessous.



Rudy observait, amusé. Il avait compris ce qui se passait et ne semblait pas avoir envie de me venir en aide cette fois-ci. Un des gars dit :
- Putain, les gars ! Elle me donne une trique d'enfer, la petite ! Regardez un peu !
Sans la moindre pudeur, le gars quitta ses fringues et exhiba son érection.



J'étais fascinée par cette queue et aussi complètement conquises par toutes ces mains qui me caressaient doucement. Le gars à poil s'assit et dit à ses copains :
- Je crois qu'elle a un peu chaud... Virez-lui sa robe.
Il se mit à se masturber en regardant ses amis se rapprocher de moi.



Les gars agrippèrent le bas de la robe et la firent remonter sur ma taille. Quand mon sexe et mes fesses furent dévoilés, les gars en profitèrent pour ma tripoter. On malaxa mes fesses, on écarta les lèvres de ma chatte, on me mit des doigts dans la moule et un gars s'autorisa même à me mettre un doigt dans le cul. Je gémissais de plaisir sous le regard ravi de Rudy. Puis la robe remonta encore et on la passa par-dessus ma tête. Plusieurs mains abandonnèrent mes fesses et ma chatte pour venir me peloter les seins et me pincer les mamelons.



Un gars s'écarta et retira ses vêtements. Il affichait une superbe érection. Quand il revint pour me caresser à nouveau, un autre se recula pour se mettre nu à son tour. Chacun leur tour, ils se mettaient à poil mais je ne fus en permanence sollicitée par des caresses intimes, comme si les gars voulaient s'assurer que je n'allais pas m'enfuir.



Le gars assis prit la parole :
- Ecartez-vous, les gars.
Je fus surprise de voir que les gars obéirent aussitôt sans la moindre objection. Le gars, qui semblait donc être leur chef, s'adressa à moi :
- Approche. Comment tu t'appelles ?
- Sylvie.
- Sylvie, tu aimes les rappeurs ?
- Pas plus que d'autres musiciens...
- Oui, mais on est des noirs ! Et comme tu peux le constater, la taille de nos bites n'est pas une légende urbaine...
- C'est clair !
J'étais un peu intimidée, surtout ne sachant pas quelle était la suite du programme.



Le chef se tourna vers le plus jeune des six :
- Prépare-la moi.
Deux gars me poussèrent contre un mur. L'un d'eux souleva ma cheville et me cala le pied sur la poignée de la porte. Ainsi offerte, croupe tendue, le jeune black n'eut aucune difficulté à à me prendre en levrette. C'était un vrai délice et je me mis aussitôt à gémir.



Alors que je sentais le plaisir monter, il y eut un claquement de doigts. Le jeune black se dégagea, me laissant un peu frustrée de cette interruption. Deux autres gars, en érection me prirent par les bras pour me guider jusqu'au chef. Ils me tournèrent et je me sentis soudain soulevée, comme une plume entre leurs mains puissantes. On me fit m'empaler sur l'énorme queue du chef. J'hurlais aussitôt de plaisir tant il me remplissait bien.



Après m'avoir donné un orgasme, le chef s'arrêta et se racla la gorge :
- Hum, je crois qu'elle n'avait pas besoin d'être préparée. Elle a déjà joui... On va essayer autre chose.
Je le sentis me soulever par les fesses et il se dégagea de ma moule. Son sexe restait parfaitement dressé et je compris ce qui allait suivre quand il positionna mon anus sur son gros gland. Me laissant retomber, il donna un coup de reins puissant pour accompagner la pénétration. Il était énorme et j'hurlais à la fois de douleur et de plaisir.



Malgré mes cris, le chef, sous moi, gardait un calme olympien tandis qu'il me sodomisait tranquillement. Après m'avoir donné un second orgasme, il s'adressa à ses amis :
- Les gars, je crois qu'il reste de la place, non ?
Si j'imaginais bien que j'allais devoir faire jouir ces six gars, je n'avais pas envisagé que ce puisse être plusieurs en même temps. Le jeune vint me pénétrer la moule et commença à me baiser. C'était un vrai délice de sentir ces deux grosses queues bouger en moi. Je criais de plaisir mais mes cris furent interrompus par une grosse queue noire qu'on me fourra dans la bouche.



Quand il vit que j'étais à nouveau en train de jouir, le jeune noir me baisait avec tant d'entrain que cela dégagea la queue du chef de mon cul. Le chef ne sembla pas s'en formaliser et, au lieu de reprendre position, il se souleva pour m'allonger à côté de lui sur le canapé. Je sentis alors le jeune black se mettre à éjaculer, inondant mon ventre de sa semence chaude. Il se retira avant d'avoir terminé pour me beurrer la moule de son sperme épais. Je crus que le gars je suçais allais jouir dans ma bouche en voyant cela mais il parvint à se contrôler.



Il y eut à nouveau un claquement de doigt. Le gars que je suçais s'écarta, m'abandonnant seule sur le canapé, dans un état de semi-transe après les trois orgasmes successifs que je venais de subir. J'entendis la voix du chef dire :
- Laissez-là reprendre son souffle. La soirée est loin d'être terminée et il faut ménager la petite si on veut en profiter longtemps. Je suis déjà surpris qu'elle tienne si bien le choc.
Je remerciai mentalement le chef de cette pause opportune, alors que, transpirante, je reprenais mon souffle et mes esprits.



Après quelques minutes, je me redressai. Tout le monde était encore là, nus et en érection, à l'exception de Rudy qui gardait encore ses vêtements. Le chef était assis, cuisses écartées et sexe gonflé :
- Je vois que ça va mieux. Si tu veux tu peux venir me sucer un peu.



Son sexe me semblait moins impressionnant que je ne l'avais imaginé quand il me sodomisait. Je vins m'asseoir à côté de lui et je plongeai ma bouche sur sa tige. La surprise fut de taille. Sous l'action de mes lèvres et de ma langue, son sexe se mit à grossir et à se tendre, emplissant complètement ma bouche. C'était bien là l'énorme queue qui avait visité mon cul et je me décrochais presque la mâchoire pour pouvoir continuer à le sucer.



J'eus soudain une peur panique que le chef n'éjacule dans ma bouche sans me prévenir et, vu la taille de ses couilles, qu'il m'étouffe d'une terrible quantité de sperme. Pourtant, il me releva la tête pour me redresser et me dit :
- Tu es douée. Ce n'est pas facile.
Puis se tournant vers un autre gars, il dit :
- Au suivant !
Le gars me fit mettre debout et, me relevant une jambe avec son bras, il fourra son énorme sexe dans ma moule.



Bien qu'il n'ait pas les dimensions colossales de celle cde son chef, la bite de ce gars me faisait terriblement du bien. Je crus que j'allais jouir mais le gars s'interrompit et, toujours empalé en moi, m'emmena au canapé où il s'assit pour que je continue à le chevaucher. J'entendis alors le chef dire :
- Allez, vous autre. La petite a l'air de s'ennuyer.



Trois gars s'approchèrent alors et vinrent me donner leur queue à sucer. Le premier que je suçais me demanda :
- Alors, tu aimes sucer des bites de rappeurs ?
Il emplissait bien ma bouche et je devais bien avouer que j'étais folle de désir de voir toutes ces magnifiques colonnes de chair que je pouvais sucer autant que je voulais.



J'essayais d'alterner autant que possible entre les trois gars, branlant ces magnifiques queues pour les garder bien rigides, même si cela était sans doute inutile puisque ces sexes restaient dressés grâce à l'alchimie de mes hormones liées à l'alcool. Je sentis soudain un gland assez conséquent commencer à faire pression contre mon anus.



Me retournant, je vis que c'était le chef et je tentai de l'arrêter :
- Ooooh, s'il vous plaît, non. Vous êtes trop gros.
- Mais ma queue est déjà passée dans ton petit trou, ma belle !
- Oui... Oooooh... Mais le gars qui me baise cette fois-ci en a une plus grosse et vous allez me déchirer.



- Mais non. Ne t'inquiète pas. Tu vas adorer.
Il força et commença à faire entrer sa colonne de chair dans mon trou du cul. Je criais. Le gars sous moi, arrêta de bouger. Lui aussi devait se sentir à l'étroit avec l'énorme queue qui se pressait près de la sienne. Lentement, le chef fit progresser la pénétration jusqu'à faire entrer presque toute sa queue. Alors, il commença à coulisser en moi. Celui qui me baisait reprit aussi ses mouvements et il ne me fallut moins de deux minutes pour avoir un nouvel orgasme, m'obligeant à abandonner temporairement le sexe que je suçais.



Curieusement, le chef se retira, laissant sa place :
- La route est tracée. Qui veut prendre la suite ?
J'étais à peine remise de mon orgasme que je sentis un nouveau sexe s'introduire dans mon petit trou qui commençait à ne plus être si petit que ça.



Le nouveau gars qui me sodomisait étant moins bien membré que son chef, je pus me calmer de mon orgasme et reprendre ma fellation. Comme le chef, le gars n'éjacula pas dans mon cul. Avant d'atteindre le point de non-retour, il se retira, laissant la place à un autre. Et je crois que chacun vint à tour de rôle visiter mon cul, mais sans y jouir, ce qui m'étonnait plutôt.



Pourtant celui qui m'avait baisée, la première fois que le chef m'enculait, s'était bien laissé jouir en moi. Je me fis d'ailleurs la réflexion que c'était le seul à avoir joui et qu'il faisait partie de ceux qui, en bonne forme, venait visiter mon cul. Rudy, assis dans un fauteuil, me regardait me faire prendre par tous ces mecs, semblant se réjouir de mes orgasmes successifs. J'étais prise en sandwich par deux gars quand le chef claqua à nouveau des doigts.



Les gars se retirèrent et le chef, toujours avec une érection colossale, s'approcha de moi :
- Mets-toi à genoux. Tu vas avoir ce que tu veux. Tu l'as bien mérité.
Les cinq autres noirs vinrent m'entourer en masturbant leurs gros engins. Vu la taille de leurs couilles, je me disais que ça allait être une vraie douche !



Je suçais ceux qui me présentaient leur queue. Je masturbais les autres autant que possible. Je caressais les couilles de ceux qui voulaient se masturber eux-mêmes. Je sentais que certains étaient prêts d'atteindre le point de non-retour mais ils se retenaient pourtant, comme s'ils attendaient l'autorisation de leur chef.



Celui-ci, qui se masturbait face à moi, à quelques mètres, émis un grognement :
- Allez-y les gars.
Presque dans la seconde qui suivie, un des gars se mit à gicler. Une partie de son sperme jaillit dans ma bouche béante mais d'autres jets, trop puissants, éclaboussèrent ma poitrine ou s'écrasèrent sur ma cuisse. Un orgasme monta et je me mis à gémir. Je sentais qu'un second était prêt à venir. Attendant les dernières gouttes du premier, je massais les couilles du second pour le stimuler.



La surprise fut de taille car le gars se mit à éjaculer avant que je ne tourne la tête vers lui, m'envoyant sur le front, dans les cheveux et sur la poitrine une incroyable quantité de foutre. Et avant qu'il ne termine, je sentis d'autres jets m'atteindre. Les trois autres gars giclaient en même temps et je sentais le sperme gicler dans mes cheveux, dans mon cou, sur mon visage, sur mes bras et mes cuisses.



Plus qu'une douche, c'était un véritable déluge ! Un puissant orgasme me gagna qui me fit hurler de plaisir. Rudy n'en croyait pas ses yeux et les autres gars non plus. Il faut dire que ce doit être assez exceptionnel de rencontrer une fille qui jouit quand elle reçoit une éjaculation faciale. C'est effectivement mon péché mignon et je dois avouer que j'étais bien servi cette fois-ci. Quand mon orgasme s'effaça et que je pus reprendre mon souffle, je vis que ce n'étais pas terminé. Le chef n'avait pas encore éjaculé. Il semblait avoir attendu que je lève les yeux sur lui. Aussitôt, son sperme se mit à jaillir. Il était pourtant à presque deux mètres de moi mais sa semence m'atteignait assez précisément au visage, sans discontinuer. Je pense qu'il y eu près d'une dizaine de giclée. Je sentais le sperme chaud et gluant couler partout sur mon corps et un terrible orgasme me gagna alors que le chef s'approchait pour que ses derniers jets, moins puissants, m'atteignent avec la même précision que les précédents.



Quand je rouvris les yeux, Rudy se tenait devant moi avec une serviette. Il y avait du sperme plein la moquette et ça empestait à plein nez. Un des gars entreprit d'ouvrir les fenêtres en grand sans se soucier que le voisinage puisse nous voir. Rudy commença à m'essuyer le visage :
- J'espère que vous ne m'en voulez pas...
- Vous plaisantez !? J'ai pris un pied comme jamais ! Mais pourquoi n'avez-vous pas participé ?
- J'ai déjà eu ce que je voulais et cette petite rencontre était ma façon de vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi et également pour m'excuser de ce que je vous ai fait subir. Vous voulez prendre une douche ?
- Oui et après je vais rentrer...
Mais la douche était déjà prise par le chef et d'autres attendaient leur tour. Je laissai donc Rudy essuyer le sperme autant que possible et je remis ma robe pour rentre à la maison et me doucher chez moi. Avec l'odeur que je laissais derrière moi, je ne trainai pas en chemin et rentrai au plus vite. Sitôt ma douche prise, je m'effondrai, nue sur mon lit et, épuisée, m'endormis.