Les cambrioleurs 13. Le supplice de Luc
- Où se trouve la boîte ?
Luc reprend ses esprits et ouvre les yeux. Il est dans un hangar. Il se lève péniblement. Viviane, la femme à qui il avait volé la machine de Christofari se tient devant lui et semble s'impatienter. A côté d'elle, se tient Minotaure, le mercenaire. Luc ne comprend rien à la situation dans laquelle il se trouve puisque la dernière chose dont il se souvient c'est d'être en train de faire l'amour à Oriane. Viviane s'agace :
- Parle ! Où est la boîte ?!

- Je... Je ne comprends pas. On ne l'a plus. C'est Minotaure qui l'avait.
Le mercenaire sourit et dit calmement :
- Pffff. Ce n'est pas avec des manœuvres aussi grossières que tu nous feras croire ça. Tu penses que je serais revenu voir ma patronne si j'avais encore la boîte ? Réfléchis...
- Mais je ne sais pas où est cette putain de boîte !
- Ok. Ta femme m'a humiliée devant mes hommes. Alors, en compensation, je vais moi aussi profiter de toi.
Luc la voit commencer à déboutonner son minishort en jeans.

- Heu, vous... Vous me torturez en vous mettant à poil ?
Viviane commence à baisser le short.
- Attends de voir. D'abord, je veux prendre du plaisir. Tu en prendras aussi. Mais tout ne te plaira pas.

Luc se demande ce qu'elle a en tête mais sachant qu'elle est capable de faire appel à des mercenaires, il se doute que ses menaces ne sont pas à prendre à la légère. Luc demande quand même :
- Et si je refuse ?
- Ahah ! Si tu refuses, on va te couper la bite et les couilles. Ce sera ta petite Oriane qui sera déçue. Mais après ce sera son tour d'être torturée jusqu'à ce qu'elle révèle où vous avez planqué ma boîte.

- Vous pouvez nous faire ce que vous voudrez, on ne pourra pas vous dire où elle est puisque c'est Minotaure qui l'a.
Minotaure soupire :
- Ne te fatigue pas. Ma patronne me paie très bien et je n'ai aucun intérêt à la trahir.
- Il ment !
Sans avoir terminé de retirer son short, Viviane commence à relever son top sur ses seins.
- Ah oui ? Et qui dois-je croire : l'homme qui est menacé par une arme ou celui que je paie grassement ?

- Mais c'est lui qui vous l'avait volée dans le hangar !
- Il m'a expliqué. Il a essayé de la mettre en sécurité car ta femme l'avait utilisé pour me nuire. Après votre fuite, il est revenu aussitôt me voir pour raconter comment Oriane l'a assommé pour lui reprendre la boîte.
- Mais c'est faux ! Il a toujours eu la boîte !
- Ne te fatigue pas. Ta version ne tient pas debout.
Viviane termine de retirer son top et son short, apparaissant intégralement nue.

Relevant la tête vers Luc, elle lui demande :
- Je te plais ?
- Pour une frappa-dingue dans votre genre, vous êtes plutôt bien foutue.
- Ne sois pas mal aimable. Mais tant mieux si je t'excite un peu car je vais solliciter ta queue comme elle ne l'aura jamais été.

Viviane s'approche alors de Luc :
- Montre-moi ça.
Elle lui déboutonne son pantalon et l'abaisse pour libérer le sexe déjà bien gonflé de Luc, excité d'être déshabillé par cette femme très sexy. Viviane recule d'un pas pour observer.

- Bien ! Tu bandes déjà un peu.
- Je pense à Oriane.
- Menteur.
- Pas du tout. Votre vue me donne plutôt la nausée.
- Ne joue pas à ce jeu avec moi ou on pourrait passer à l'étape de la castration bien plus rapidement !

Viviane se rapproche :
- Et ce serait dommage de couper un si bel engin, non ?
- Laissez-moi !!!
- Non. Je vais m'occuper de toi. Là tu me repousses. Dans quelques minutes, tu me supplieras de continuer et, plus tard, tu m'imploreras d'arrêter.
La femme saisit le sexe dans sa main pour commencer à le masturber.

Luc se recule. Viviane rigole :
- Tu crois vraiment que tu es crédible ? Tu veux montrer à quel point tu es fidèle à Oriane, c'est ça ? C'est très honorable, mais tu es un homme et ta bite n'a que faire de ta fidélité... Regarde-moi. Ne suis-je pas désirable ?
Luc regarde le corps magnifique de Viviane et ne peut effectivement que reconnaître qu'il a très envie d'elle.

Il se défend malgré tout :
- Je ne suis pas qu'une bite !
- Mais bien sûr. Tu as aussi un cœur...
- Ce qui vous fait défaut.
- Tu crois que tes sarcasmes me touchent ? Voyons voir qui de ta bite ou de ton cœur commande à ce cerveau.
Viviane se tourne et écarte ses fesses pour exposer sa moule au jeune homme.

Cette vision magnifique fait se dresser immédiatement le sexe de Luc pour la plus grande satisfaction de Viviane :
- Tu vois ? Ton cœur ne contrôle rien. Tes yeux sont directement connectés à ta bite et celle-ci a réagi en conséquence.
- Je bande sous la menace d'une arme.
Viviane s'énerve de sa mauvaise foi :
- Alors, je t'ordonne de ne plus bander.
Luc sourit en voyant qu'il est parvenu à l'énerver.

- Arrête de sourire bêtement. Tu sais que j'ai raison. D'ailleurs regarde...
Elle saisit le sexe turgescent et le masturbe jusqu'à ce qu'une petite goutte de liquide pré-séminal en sorte.
- Tu vois ! Regarde ton plaisir qui arrive. Ta stupide fidélité n'y pourra rien.

Luc ne répond pas et lutte pour se montrer aussi désintéressé que possible, mais son combat n'échappe pas à sa tortionnaire qui s'agenouille devant lui :
- C'est difficile de résister, n'est-ce pas. Tu n'es qu'un homme. Quoi que tu penses, c'est ta bite qui décide et là elle veut jouir, comme n'importe quelle bite.
Elle prend alors le sexe de Luc entre ses seins et entreprend de lui faire une cravate de notaire.

Luc commence à gémir. Viviane se tourne alors vers Minotaure :
- Vous êtes si faibles, vous, les hommes. Toi aussi, tu bandes ?
- Carrément oui.
Viviane, tout en regardant le mercenaire, penche la tête et se met à lécher le bout du gland de Luc à chaque fois qu'il est à portée de bouche. Elle se dit que son homme de main prendrait volontiers la place de leur otage.

Luc voit bien qu'il succombe. Son plaisir monte. Viviane redresse la tête et l'encourage :
- Bien, lâche-toi ! Donne-moi ton sperme.
Le jeune homme ne veut plus résister. Il se dit qu'en lui donnant ce qu'elle veut, elle le laissera tranquille. IL s'abandonne donc au plaisir et laisse sa semence monter jusqu'à gicler sur les seins de la femme.

Viviane regarde ses seins, satisfaite :
- Bravo. Tu as bien mérité un peu de repos.
Luc se laisse tomber sur une chaise, épuisé davantage par la résistance qu'il a tenté d'opposer à la femme que par son éjaculation.

A peine a-t-il repris son souffle que Viviane vient le rejoindre et lui place ses seins plein de sperme sous le nez :
- Lèche !
- Mais c'est mon sperme. Essuyez avec une serviette.
- Ah oui ? Alors les femmes doivent avaler votre sperme mais toi ça te répugne ?
Voyant qu'il n'a pas le choix, Luc se met à lécher son propre sperme sur les seins de Viviane.

Une fois la toilette effectuée, Viviane se relève :
- Tu vois, je savais que tout ne te plairait pas. D'ailleurs, tu débandes déjà.
- Vous avez eu ce que vous vouliez, alors laissez-moi maintenant.
- Oh, petit chéri. Il croit que c'est déjà terminé ?

Comme Luc semble ne pas comprendre, elle s'assoit en face de lui et écarte les cuisses :
- Tu vas bander encore. Et éjaculer. Et lécher. Et bander encore. Tu n'arrêteras que quand je l'aurais décidé ou si tu consens à te souvenir de l'endroit où tu as caché ma petite boîte...

Luc ne résiste pas et en voyant la jolie chatte humide de Viviane et son sexe se redresse presque aussitôt pour la plus grande satisfaction de la femme :
- Ah ! Vois comme tu es faible !
- Ce n'est pas une faiblesse, c'est instinctif. Si ma queue avait une volonté propre, elle viendrait certainement plonger entre vos cuisses. Mais, comme vous le constater, même si elle se dresse, je suis toujours assis ici.

- Quel dommage !
Viviane s'étend sur sa chaise et commence à se caresser la fente. La mouille fait luire de plus en plus sa chatte et Luc ne peut s'empêcher de regarder, fasciné. La femme enfonce un puis deux doigts dans sa moule. Elle commence à se masturber, exprimant le plaisir qu'elle se donne par des gémissements de plus en plus puissants.

Luc réfrène son envie de se lever pour la rejoindre, par détermination mais aussi à cause de la menace de l'arme de Minotaure. Un coup d'œil au mercenaire lui fait se rendre compte que celui-ci est aussi fasciné que lui par l'action de sa maîtresse. Quand elle atteint l'orgasme, Luc bande à tout rompre.

Il se dit que c'est peut-être le moment d'essayer de désarmer Minotaure mais, alors qu'il commence à se relever, le mercenaire tourne la tête vers lui, l'arme dirigé vers sa tête. Comme il lui fait signe de se rasseoir, Luc obéit. Encore essoufflée de son orgasme, Viviane vient s'agenouiller entre ses cuisses et entreprend de le masturber :
- Tu vois, elle est à nouveau mûre, prête à donner encore.

Le jeune homme se dit qu'il est inutile de résister. Il se détend et laisse faire Viviane qui se rend compte qu'il ne s'oppose pas à ce qu'elle lui inflige :
- Tu as compris que c'était pour ton bien ?
Luc ne répond pas, se concentrant sur son plaisir. Soudain, le sperme monte et se met à jaillir, inondant la poitrine de la femme, penchée sur lui.

Viviane est ravie :
- Voilà ! Et de deux...
Elle se lève et s'assoit sur les genoux de son otage :
- Maintenant, tu vas lécher à nouveau pour ta punition.
Même si cela le dégoûte au plus haut point, Luc sait qu'il n'a pas vraiment le choix. Il s'applique donc à lécher et avaler le sperme que sa tortionnaire vient de faire gicler sur ses seins.

Une fois la poitrine à nouveau nettoyée, la femme se relève :
- Mets-toi debout. Cette fois-ci pas de repos.
Avant que Luc n'ait le temps de débander, Viviane s'agenouille devant lui et le prend en bouche pour lui faire une fellation.

Au début, Luc se dit qu'elle va avoir du mal à le faire éjaculer à nouveau en si peu de temps :
- Vous n'y arriverez pas...
C'est Minotaure qui lui répond :
- Ahaha ! C'est bien mal la connaître !
Et Luc est bien forcé de constater que sa tortionnaire lui administre une des plus belles pipes de sa vie.

En moins de temps qu'il ne l'aurait cru, il sent ses couilles se contracter et la sève monter dans sa tige. Viviane l'a sentie, elle aussi. Elle arrête de le pomper et, le sexe au fond de sa bouche, posé sur sa langue, elle laisse la chaude semence envahir sa bouche par petits jets saccadés.

Quand l'éjaculation est terminée, la bouche pleine, elle regarde Luc en lui souriant de manière sadique. Elle se penche alors sur son sexe en le masturbant un peu pour en extraire les dernières gouttes. Mais, en entrouvrant la bouche, elle laisse échapper une partie du sperme qu'elle a en bouche, celui s'écoulant sur sa main.

Aussitôt, Viviane abandonne le sexe de Luc et porte la main au-dessus de sa bouche pour lécher sa main et reprendre le sperme perdu. Elle se relève ensuite, la bouche pleine, et tourne la tête vers Luc lui présentant sa bouche. Luc pense qu'elle a avalé tout son sperme et veut l'embrasser mais, dès que ses lèvres s'ouvrent sur les siennes, un flot de sperme chaud vient envahir sa bouche. Luc ne s'y attendait pas et cela le dégoûte un peu mais, n'ayant pas le choix, à nouveau, il avale au fur et à mesure sa propre semence.

Viviane s'écarte et s'essuie la bouche d'un revers de la main :
- Je vois à ta tête que tu n'apprécies pas beaucoup cette partie de mon petit jeu.
- Disons que je ne suis pas habitué...
La femme brune se met alors à quatre pattes par terre, cuisses écartées :
- Il te fait bander, mon cul, hein ?

Luc n'ose pas répondre mais le fait est qu'il ne débande pas malgré son éjaculation toute récente. Viviane rigole :
- Toujours à brandir l'étendard de ta fidélité à la con ? Tant pis pour toi... Minotaure, baise-moi.
Le mercenaire n'hésite pas une seule seconde et se débarrasse de son pantalon. Il en extrait une impressionnante érection qu'il semble soulagé de pouvoir enfin sortir. Tenant toujours l'otage en joue, il vient se positionner derrière Viviane et fait pénétrer son gros dard dans la moule trempée de mouille.

Viviane se met à gémir. Luc se demande si Minotaure est réellement concentré sur lui pour lui tirer dessus en cas de tentative de fuite. Il préfère ne pas essayer de le savoir et reste à observer. Après quelques minutes, Viviane est prise par les convulsions de l'orgasme et elle peine à articuler son ordre à Minotaure :
- Ne... Ne jouis pas... pas en moi !
A peine la phrase est-elle arrivée au cerveau du mercenaire qu'il se retire au dernier moment et laisse son sperme épais gicler contre la moule et les cuisses de sa patronne.

Minotaure se recule vivement en disant :
- Moi, vous ne me ferez pas lécher !
Reprenant son souffle, Viviane, sans changer de position, lui répond :
- Tu n'es pas otage, que je sache...
Puis elle se tourne vers Luc qui, horrifié, vient de comprendre ce qu'elle insinue :
- Luc, tu as le choix : soit tu me dis où se trouve la boite, soit tu viens me nettoyer la moule avec ta langue.
Luc est dégoûter mais, ne sachant pas où se trouve la boîte, il demande pitié :
- S'il vous plaît... Pas ça...
- C'est ça ou on te tranche la bite...
Luc se soumet et vient s'agenouiller derrière sa tortionnaire pour plonger son visage entre ses fesses.

Il tente d'en prendre le moins possible en l'étalant avec sa langue tout autour de la moule de Viviane. Celle-ci se met à gémir :
- Quelle conne de ne pas avoir commencé par là ! Tu suces drôlement bien les moules... Ooooooh.... Peut-être que Minotaure aimerait que tu le suces après ?
Le mercenaire se recule, opposé à cette idée :
- Non, non, c'est bon !
Luc se relève et s'apprête à cracher mais Viviane l'arrête :
- Non ! Si tu craches, je t'oblige à sucer Minotaure jusqu'à ce qu'il éjacule encore. Avale.
A la limite de la nausée, Luc avale la semence du mercenaire. Celui-ci ricane en le voyant faire puis s'adresse à sa patronne :
- Il est têtu ! Vous n'en tirerez rien. Laissez-moi essayer de récupérer la boîte en m'occupant de la fille.
- D'accord... Tu as le champ libre. Fais ce que tu veux de cette salope.
Luc se demande comment ils vont pouvoir se sortir de ce guet-apen.