Émilie, directrice et traînée de lycée - 12



Après un début de gangbang riche et intense et afin de clore cette petite pause bien agréable, je sors de ma chambre en lingerie sexy.

Je défile devant eux tandis qu'ils se branlent en buvant leurs boissons et en faisant des commentaires plus que déplacés sur leur directrice. Moi-même je bois de grandes gorgées de mon Perrier et fais malencontreusement tomber quelques gouttes entre mes seins... Quelle maladroite !

Je continue tranquillement mon show et me retourne pour leur montrer mes fesses. Je me penche ensuite en avant et leur expose mon anus et ma chatte, à peine masqués par la ficelle de mon string qui doit faire moins de 1 cm de large...



Cette vision semble leur plaire car ils finissent leurs sodas et se redressent pour se branler un peu plus fort et pour s'approcher de moi. De mon côté, je sens l'excitation remonter rapidement en moi et accélère un peu mon petit jeu.

Je finis également ma boisson et baisse doucement mon string, le cul toujours très tendu vers eux.



Je passe alors un doigt sur mon sexe et mon anus et constate avec un certain soulagement qu'ils ont repris une allure et un tonus à peu près normal. Je sais pertinemment qu'ils vont rapidement être à nouveau défoncés mais je suis quand même heureuse de constater qu'ils s'en remettent bien...

Je m'agenouille au sol et relève une jambe sur le rebord de mon lit. Dans cette position déjà très exposée, j'en rajoute en écartant mes fesses. Puis, décidée à ce que l'on reprenne nos ébats, je demande aux garçons :

- Prêts à me faire ma fête, messieurs ? Vous vous sentez à la hauteur ??



Cette petite provocation ne manque pas de les amuser et ils se jettent alors sur moi sans pitié. Le deuxième round de mon tout premier gangbang pouvait commencer !

Pour être tout à fait honnête, c'est plutôt moi que me suis jetée sur eux car, alors qu'ils s'approchaient de moi, je me suis immédiatement mise à genoux pour sucer mes trois chéris.



Je m'applique d'abord à les sucer du mieux que je peux, en essayant vraiment de maximiser leur plaisir, à tous les trois. Du coup, lorsque j'en suce un, je me concentre autant pour le pomper efficacement que pour branler les deux autres qui attendent. J'essaie également de passer souvent de l'un à l'autre pour qu'il n'y ai pas de jaloux. Mais ces changements de queue incessants finissent par me faire perdre tout contrôle.

Rapidement, j'essaie de prendre deux queues dans ma bouche en même temps, tout en essayant de lécher la troisième. Je crache sur leur glands, je les mords, je les enfonce dans mon gosier... Bref, je me comporte en furie !



Les garçons aussi commencent à devenir sérieusement chauds et, alors que je les suce depuis quelques instants, chacun commence à agir avec moi selon son propre caractère. Ainsi, je sens Laurent devenir plus dominateur dans la fellation et commencer à diriger le rythme et la profondeur de la pénétration, alors que Florian, mateur, prend du recul pour nous observer et Antoine, plus timide, attend sagement son tour.



Laurent me prend par la tête et commence à me baiser littéralement la bouche en essayant évidement de m'enfoncer sa queue le plus loin possible. Je lutte un peu car sa grosse bite provoque un réflexe vomitif très désagréable. Mais il me travaille avec application avec pour objectif de ma la mettre entièrement.
Le traitement qu'il m'impose provoque des bruits de gorge assez affreux et produit de longues trainées de bave et de glaire qui viennent souiller le sol de ma chambre alors qu'il me libère pour me laisser respirer.



Il me dirige ensuite la tête vers Antoine en exigeant que je lui fasse la même gorge profonde. Mais lui n'a pas besoin de me forcer en me prenant par les cheveux. Son sexe plus modeste pénètre en effet facilement mon gosier et je me permets de le prendre complètement en bouche, ce que je n'arrivais encore pas à faire avec Laurent et Florian.



Je prends un réel plaisir à m'empaler le gosier sur sa queue, tout comme Antoine vu les râles de plaisir qu'il émet. Mais Laurent veut sa part et me chope à nouveau par les cheveux pour me faire gober ses couilles



Durant de longs instants, c'est Laurent qui dirige les opérations et me fait aller d'une queue à l'autre sans me consulter le moins du monde. Lorsque je suis empalée sur le sexe d'Antoine, tout se passe assez facilement même si de longs fils de glaire viennent salir encore un peu plus ma chambre.



Par contre, avec Laurent, c'est autre chose. Son énorme queue progresse difficilement dans ma bouche et il lui faut me maintenir la tête et me contraindre car la fellation est assez pénible et éprouvante pour moi. Mais malgré la gêne et la nausée, j'essaie de faire de mon mieux. Je suis autant motivée par l'envie de lui faire plaisir que par la performance que cela représenterait pour moi. Mais je dois avouer que j'aime également le côté domination et soumission de cette pipe. Je me rendais doucement compte que j'adorais être malmenée, contrainte, dominée et aussi humiliée...




Pendant que les 2 lascars me matraquent la bouche, Florian, qui était sorti de mon radar depuis un moment, fait son retour. Mais pas autour de ma bouche comme je m'y attendais. Non, je sens ses doigts se poser sur mon sexe et commencer à me masturber doucement.



Ses doigts sont habiles et me procurent immédiatement un délicieux plaisir qui vient contraster la sensation d'étouffement que provoque le membre de Laurent dans ma gorge. Il me masturbe et me doigte avec beaucoup de délicatesse, puis commence à embrasser mes fesses et mes cuisses.

Ses baisers se concentrent de plus en plus entre mes fesses et sur mon sexe et se transforment en pure cunnilingus. Pour plus de confort, il s'assoit sous moi, entre mes jambes et me dévore le sexe et les fesses que je tends en arrière alors, qu'en haut, le matraquage de gosier continue.



Plus que continuer, il progresse et aboutit, enfin à ce que Laurent cherchait : m'enfoncer entièrement son sexe dans la bouche ! Sa queue est en effet empalée en moi tandis que ma langue caresse ses couilles et que mon nez est plongé dans ses poils pubiens.



Mais alors que je suis au bord de l'évanouissement faute d'oxygène, il me libère enfin. Je m'éloigne alors de sa queue même si, à nouveau, de longs fils de glaire me relient encore à elle. Ma poitrine commence à être dans un état lamentable, souillé de bave, de salive, de sueur. Tout comme le sol de ma chambre, d'ailleurs.



Épuisée, j'insiste pour reprendre une fellation plus classique, à l'intensité plus faible. Je veux aussi, et surtout, reposer mon gosier et profiter des merveilleux coups de langues de Florian, toujours placé entre les cuisses. Laurent et Antoine acceptent de me laisser diriger la pipe tandis que je sens à nouveau les doigts de Florian fouiller en moi. D'une main il me doigte énergiquement par derrière et de l'autre, par devant, il me caresse le clito. Ce double effet (kiss-cool) est divin !



Puis de 3 doigts, il passe à 4... Je sens alors qu'il les enfonce plus difficilement et que cela étire plus mon sexe. Cela reste toujours agréable mais je devine très bien que ce pervers ne va pas en rester là et qu'il veut absolument m'élargir. Il se place d'ailleurs face à moi pour opérer puis me fait carrément m'allonger sur mon lit, lui restant agenouillé au sol. Les deux autres le laissent faire et délaissent ma bouche pour se contenter de regarder.



Je le sens et le vois faire tourner sa main pour enduire ses doigts de mouille et faciliter leur intromission. Il va et vient pour m'élargir, m'étirer et les enfonce entièrement, jusqu'à la paume de la main. Je continue de donner quelques baisers et coups de langues sur les deux queues qui m'entourent mais, clairement, il est en train de se passer quelque chose au niveau de ma chatte qui mérite de la concentration de ma part

Alors que je pensais que ma chatte approchait de la rupture, Il tente d'introduire son pouce à l'intérieur, alors que ses quatre autres doigts y sont déjà. Je ne réagis d'abord pas, espérant qu'il n'irait pas trop loin.



Mais il continue avec les enfoncer, à faire pivoter ses cinq doit ainsi réunis pour détendre mes sphincter. Il rentre presque la totalité de ses doigts, jusqu'à la partie la plus large de sa main.



La pression et la douleur s'accentuant, je délaisse les sexes des autres et dit à Florian :

- Tu joues à quoi là ?? Arrête ça, tu vas me faire mal !
- Madame, ma main est déjà presque entièrement dedans sans que vous n'aillez rien dit...
- Oui, mais je sens que le plus dur reste à venir ! Arrête tout de suite !

Et alors que je sentais la main de Florian se retirer, Laurent intervient :

- Continue ! On va t'aider...

Antoine et Laurent qui m'entouraient, se saisissent chacun d'une jambe, me les lèvent et les écartent en grand.

- Eh, les gars ?? Vous êtes sourds ? J'ai dit non !! Je ne peux pas !
- Et moi je dis qu'il faut d'abord essayer... répondit Laurent. Laissez-nous faire...

Florian reprend aussitôt son entreprise et tente de faire progresser sa main dans ma chatte.

- Non... Je vous dis que.... OOOhhhhhh putain... ça fait..... AAAAAAAAAHHHHHH !!!!!!
- VOILAAAAAA !!!



Antoine venait d'enfoncer son poing dans mon sexe déclenchant un « voilà » de victoire de ses camarades et un « AAAHHHHH » surprise de ma part. Je dis surprise et pas douleur car, il faut l'admettre, sa main avait glissé en moi assez doucement, m'avait certes étirée mais sans vraiment me faire mal.

Quelle incroyable sensation que de sentir une main, un poing entièrement logé sans ma chatte. Ses doigts se pliaient et dépliaient en moi en jouant avec les parois les plus profondes de mon vagins, la haut rien ou presque n'était encore allé. Il faisait entrer et sortir son poing avec une grande facilité et me procurait un plaisir d'un genre nouveau. De ma main, j'accompagne son travail en me caressant le clito.



Florian continue son « fist fucking » (j'ai appris le terme ensuite, sur internet) pendant quelques instants puis, la sensation devant un peu pénible, se retire à ma demande. Les garçons semblaient vraiment impressionnés par la souplesse de mon sexe, mais pas autant que moi qui, décidément, découvrait un corps plein de possibilités !

Florian termina le fist par une séance de léchage qui me fit oublier la légère douleur. A ma grande surprise, il ne lui a fallu que 2 min de léchouilles pour me faire jouir, l'orgasme étant plus près que je ne l'imaginais durant cette séquence assez brutale.



Ma jouissance marque alors la fin de ces « préliminaires » et le top départ de la deuxième manche car, derrière moi, Laurent en profite pour me sodomiser directement en me disant :

- C'est pour votre bien, votre chatte doit être un peu sensible...

Ce n'est pas faux, mais à la manière dont il me ramone le fion, celui-ci allait bientôt être aussi douloureux ! Il me défonce, laisse sa place à Antoine et Florian qui tapent dedans avec la même ardeur mais s'égarent aussi un peu dans ma chatte et évidement, ma bouche lorsqu'ils attendent leur tour. Et à nouveau Laurent prend la place et m'encule puissamment. Je voudrais dire que c'était violent, douloureux, que j'ai souffert... Mais à la vérité, j'ai pris un pied d'enfer à être baisée comme une chienne, comme un objet.



Alors que Laurent est dans mon cul depuis un moment, il se penche vers moi, me chope les seins et me relève vers lui. Le fait de me redresser ainsi change progressivement l'orientation de mon bassin et la sensation que me procure la sodomie.



C'est plus intense, mais plus jouissif également... Je suis maintenant presque entièrement redressée, le cul à peine tendu vers l'arrière, et Laurent peut du coup m'embrasser le cou et me mordiller le lobe de l'oreille tout en me ramonant le fion. Antoine et Florian, en face de moi, profitent de mon corps ainsi exposé : ils m'embrassent, jouent avec mes seins en les léchant, les palpant, les mordant, ils caressent mon sexe, branle mon clito... Bref, ils s'occupent de moi comme d'une princesse.



Soudain, il m'attrape les jambes par le dessous des genoux et me soulève comme un fétu de paille. Il m'encule ainsi suspendue et laisse mon sexe totalement exposé, en libre accès. Florian ne se prive d'ailleurs pas d'y introduire sa queue d'un seul coup, dans un mouvement ample. Je suis donc prise en sandwich, maintenue en l'air par mes deux colosses d'amants qui me matraquent en rythme.



Mais cette position devient vite inconfortable pour Laurent qui porte à lui tout-seul mon poids. Il m'entraine donc avec lui en arrière, me séparant au passage de la queue de Florian, s'allonge sur le dos et m'écarte les jambes, le tout en restant enfoncé dans mon cul. Dans cette position de « cowboy inversé », il a bien plus facile pour me limer le cul, ce qu'il fait d'ailleurs immédiatement, comme un sauvage.



Après avoir laissé leur pion en chef se défouler en moi, Florian et Antoine reviennent à la charge. Antoine, qui ne m'avait pas pénétré depuis un moment vient remplir ma chatte avec son sexe pendant que Florian s'occupe de ma bouche.



C'est, cette fois-ci, entre ma chatte et ma bouche que se succèdent les bites, mon cul étant en permanence occupé par Laurent, coincé sous moi. Antoine, après m'avoir baisé avec une énergie que je ne lui connaissais pas, laisse sa place dans ma chatte à Florian et s'approche pour me faire lécher sa queue imbibée de mouille, ce qui est bien plus agréable au gout que lorsque que ça sort de mon fion... Les doubles se succèdent pour mon plus grand bonheur et celui de mes chers amants. Nous prenons, ensemble, un pied d'enfer et j'ai à nouveau un orgasme pendant cette nouvelle partie. Je soupçonne également les garçons de n'être pas loin de cracher la purée et de profiter de mes fellations maladroites pour faire redescendre la pression.

Rapidement, Laurent exprime sa volonté de bouger car la position lui est inconfortable. Je me réempale donc sur Florian en cowboy « classique » pendant que Laurent et Antoine s'occupent de mes fesses. Les corps s'emmêlent avec une fluidité étonnante pour passer d'une position à l'autre. Il n'y a pas d'hésitations, de quack ou de malaises... On dirait que nous faisons ça ensemble depuis des années tellement nous semblons nous connaître par cœur. Je suis tellement excitée que je prends les devants, que je les invite à s'échanger leur place, que je me lubrifie moi-même l'anus pour qu'ils m'enculent. Je mouille tellement que chaque pénétration n'est que plaisir sans la moindre douleur. C'est le paradis !



Alors que Laurent me sodomise puissamment et que je roule une longue et savoureuse pelle à Florian, je le sens se retirer de mon anus mais rester derrière moi, sans laisser sa place. Je l'entends cracher, et je me dis alors qu'il souhaite me lubrifier un peu car il est vrai qu'après autant d'allers-retours, ça commence à chauffer un peu ! Mais au lieu de retourner dans mon fion béant, il introduit son gland dans mon sexe, là même où Florian me lime déjà !!



Mon dieu, il veut me tuer ou quoi ??? me dis-je alors en sentant la pression s'accentuer. Deux sexes dans le même trou, il doit être fou !! Je me retourne alors vivement :

- Arrête-ça tout de suite !! T'es dingue ??
- Fais-moi confiance, me répond-il avec un ton voulant plutôt dire « ferme ta gueule »...

Florian, sentant évidement ce qui se passe dans le trou qu'il occupe déjà caresse alors mon visage et mon coup puis me dit :

- Ne vous inquiétez-pas, Madame Bourgeois, ça va passer, vous êtes hyper ouverte... Et vous vous êtes pris un poing entier dedans il y a peu !
- Oui... mais... tentais-je alors.

C'est alors Antoine qui m'interrompt en m'embrassant passionnément puis en me renfonçant sa queue dans la bouche, laissant ainsi Laurent opérer tranquillement. Son sexe glisse tranquillement en moi tandis que j'ai les yeux grands ouverts d'inquiétude.



Mon vagin est durement étiré mais, bizarrement, je ne ressens pas de douleur, au contraire... Le sexe de Laurent presqu'à fond qui croise et chevauche celui de Florian ; les deux membres qui vont et viennent tantôt ensemble, tantôt de manière décalée... Tout cela me procure en réalité un plaisir particulier, intense mais un plaisir quand même ! Les garçons sentent d'ailleurs que je me détends, que mes gémissements reprennent de manière non feinte et ils en profitent donc pour me pénétrer franchement, à fond.



Alors que ma première sodomie il y a quelques années fût un échec total, ma première double pénétration vaginale, même avec deux gros calibres, est au contraire une réussite, un bonheur, une expérience incroyable. Comme pour la double « classique », personne n'est laissé de côté et Laurent laisse bientôt sa place à Antoine qui observait depuis le début la scène. Son sexe, plus petit, rentre sans problème, étire moins mes muscles vaginaux et la double n'en est que plus jouissive encore. Je voudrais d'ailleurs crier de plaisir mais, je vous le rappelle, nous sommes dans un internat ! Certes, ma chambre est à l'écart, au fond d'un couloir, assez loin des premières chambres mais, à cette heure silencieuse de la nuit, le moindre « Oh oui comme ça c'est bon » un peu trop fort à toute les chances d'être entendu... Je me contente donc de gémir, de soupirer, de couiner, de refréner mes orgasmes en embrassant celui en face de moi ou en enfonçant sa queue dans ma bouche.



Revenons à l'action. J'ai actuellement deux bites dans ma chatte, une autre dans ma bouche. Et j'aime ça. J'en jouis, même. D'autant qu'ils ne sont pas violents, au contraire, ils attentionnés : à un moment, Laurent et Florian se retirent, libèrent donc mon sexe pour un instant pour contempler son état d'ouverture et me lécher goulument le clito. Cette pause salvatrice et jouissive me refait mouiller abondamment et la double reprend ensuite de plus belle.

Alors que Florian m'embrasse, j'entends Laurent dire à Antoine :

- Viens par-là toi !

Antoine passe alors par-dessus ma tête et se place dans mon dos, si bien que je ne vois pas ce qu'il fait, d'autant que Florian, dessous, me maintien la tête vers lui et m'embrasse. J'entends juste « mets-toi là », « non, comme ça plutôt »... Des phrases qui m'inquiètent un peu, je dois l'avouer !



Puis, soudain, je comprends. Je sens en effet un gland pénétrer mon anus, je le précise, EN PLUS des deux sexes occupant mon vagin. Je suis choquée, apeurée, déstabilisée... mais encore terriblement excitée. Je perds mes mots et ne sais comment réagir à cette tentative de triple pénétration...



- Oh mon dieu... Vous êtes fous, putain ?!? Je suis pas une actrice porno, ou une poupée gonflable !! Je... Oh putain.... Je vais crever....

N'écoutant pas mes plaintes, Antoine s'enfonce lentement mais surement dans mon cul, créant une forte pression sur mon vagin bien rempli, mes muscles et ma peau distendus. A cheval sur moi, le cul collé au ventre de Laurent, la tête est à quelques centimètres de mon oreille. Il me chuchote :

- On essaie... mais si vous avez vraiment mal, dites-le moi, je me retire tout de suite.

Comme c'est chou de sa part alors qu'il est en train de me déchirer le cul... Enfoncé en moi, il essaie de faire de timides allers-retours, tout comme les deux autres dans mon sexe. Mais tout est tellement serré (3 bites pour 2 trous...) que c'est à la fois difficile et douloureux. Ils insistent encore un peu, m'obligeant à respirer très fort, à serrer les dents et à me concentrer pour ne pas crier tant cela est intense. Ils trouvent tout de même un semblant de rythme et arrivent à me pénétrer à peu près normalement. Les deux sexes dans mon vagin allaient et venaient doucement en décalé tandis que celui dans mon cul ne rentrait que lorsqu'il y avait un peu de place en dessous... Imaginez la sensation pour moi ! Sentir des masses très dures aller et venir en moi, appuyer sur mes muscles et mes parois dans tous les sens...



Je n'en revenais pas de vivre un moment pareil, aussi intense. Une chose que je pensais réservée aux actrices, et encore, une minorité d'entre elles ! Dire que j'y ai pris un grand plaisir serait mentir. Mais c'était une expérience extraordinaire, d'une intensité rare. Comme un exploit sportif qui fait souffrir mais qui vous remplit quand même de satisfaction...

Cette triple pénétration ne dure finalement que quelques instants mais qui me paressent carrément longs (la relativité version Youporn). Mais je tiens le coup et c'est finalement eux qui cèdent, le frottement du cul écarté d'Antoine contre Laurent commençant sérieusement à indisposer celui-ci ! Et oui, n'est pas acteur porno qui veut...

Me voici enfin délivrée et vide de sexes. Je me sens totalement épuisée, dilatée, endolorie par tant de nouveautés, asséchée et assommée par trop d'orgasmes. Je m'étale sur le lit et tente de reprendre ma respiration. Puis, sentant que je n'aurais pas la force de continuer, ni l'envie d'ailleurs, je demande aux garçons qui commençaient à m'aborder à nouveau :

- J'en peux plus... Vous m'avez vidé, défoncé, mes salauds. On arrête là... Finissez-vous sur moi... Où vous voulez !

Les garçons ne protestent même pas, sans doute contents de ne pas à avoir à écourter la séance eux-mêmes car ils sont à deux doigts de craquer... Le premier à venir est Florian, rapidement suivi par les autres. Les jets de spermes s'abattent partout : Florian se répand sur mon sexe et mon ventre, Laurent sur ma poitrine et Antoine, décidément le plus pervers, sur mon visage et ma bouche, ouverte à sa demande. Je suis littéralement recouverte de foutre frais...



Les garçons se dispersent alors pour boire, se nettoyer un peu, ou commencer de se rhabiller. Ils commentent cette incroyable partie de sexe, me félicitent pour mes performances, se félicitent entre eux pour avoir tenu aussi longtemps et m'avoir fait jouir autant. Moi, je suis dans ma bulle, en train d'étaler le sperme sur mon corps et de lécher mes doigts en repensant au plaisir inimaginable que je venais de ressentir. J'avais le sourire malgré des orifices endoloris. J'étais fier de moi malgré mon état si dégradant. J'avais hâte de recommencer malgré ma fatigue.



Sortant un peu de mes pensées, j'entends une petite phrase innocente prononcée à voix basse : « il faudra qu'on essaie la double anale, la prochaine fois ! ». Ils sont sérieux ou c'est juste pour me faire peur ??

A suivre...