Amies coquines - 11
d'après https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,secret-charlotte,28351.html
Parmi mon petit cercle universitaire, je flash complètement sur Charlotte. C'est une fille de dix-neuf ans, petite, mince, avec de longs cheveux noirs. Elle est un peu l'outsider de notre groupe. Elle est timide, toujours sérieuse, et ne fait jamais la fête. Elle doit tellement peu souvent sortir de chez elle. Mes amis sont au courant que j'ai le béguin pour elle.

Ce que je lui trouve ? Elle est trop belle et aussi très intelligente. Intelligente pas seulement dans le sens qu'elle s'en sort super bien dans ses études, mais parce qu'elle est cultivée et ouverte d'esprit. Quand on lui parle, on comprend tout de suite que ce n'est pas une cruche qui passe son temps à s'abrutir devant de la téléréalité.

Elle n'est pas superficielle, du genre à s'extasier sur un Bratt Pitt, à ne penser qu'aux prochaines soldes, ni à crier comme une demeurée à la moindre mention d'un certain boys band. Elle est plus mature que son âge. Je voudrais juste pouvoir la dérider un peu, qu'elle se détente et se lâche ; je remarque bien qu'elle garde toujours une certaine distance avec les gens.

Nous nous entendons bien. Peut-être un peu trop. Les filles, je sais comment ça marche. Quand tu les rencontres, ou tu sors avec elle, ou tu deviens amis ; mais une fois que tu es ami, c'est fini, il y a plus moyen de pécho. Craignant que mes chances ne déclinent encore plus avec le temps, je me décide un jour de me lancer et de lui déclarer ma flamme. Je m'attendais à ce qu'elle refuse, mais cela ne rend pas la chose plus facile :
- Je suis désolé David, je t'apprécie beaucoup, mais ce n'est pas possible, me répond-t-elle particulièrement embarrassée.
- Mais pourquoi ?
Pitié, qu'elle ne me dise pas des banalités genre "j'ai peur de perdre un ami" ou des conneries de ce genre.
- Je... Je ne suis pas une fille pour toi, c'est tout.
- Tu ne crois pas que c'est à moi d'en décider ça ?
Non mais, qu'est-ce que c'est que cette réponse !
- Je suis désolée, fait - elle, juste avant de m'abandonner limite en courant.

J'ai le cœur brisé. Mes potes essaient de me remonter le moral en me convainquant de sortir faire de la fête le soir même. Je la revois les jours qui suivent. L'ambiance est tendue, nous sommes tous les deux gênés. Nous nous évitons le plus possible et lorsque nous sommes ensemble, nous parlons très peu. Avec le temps, les choses s'améliorent et redeviennent normale. À vrai dire, même plus que normal. Je me fais peut-être des illusions, mais j'ai vraiment l'impression qu'un truc est en train de naître entre nous.

Quelque chose qui est plus que de la simple complicité entre amis. Plusieurs mois passent ainsi. Mes sentiments ne font que grandir pour elle. Je l'aime, elle me fait envie.

La nuit dans mon lit, je me branle en pensant à elle.

Je me fais gicler en m'imaginant toutes les choses que j'aimerais lui faire. Des choses... impures. Du genre qu'une fille comme elle ne voudrait certainement jamais faire. J'ai honte, c'est mal, je le sais, mais elle me rend dingue.

Quand je commence à m'astiquer vraiment tous les jours, je n'en peux plus. Il faut que je lui parle. Je me dis que les choses ont bien évolué entre nous. Je suis certains que je ne me fais pas des films, qu'il y a quelque chose de réciproque. Je fais alors une deuxième tentative un soir où nous rentrons à moitié bourré d'une soirée, une des seules à laquelle elle n'ait jamais accepté de venir.

- David, ce que tu es lourd ! répond-t-elle à ma déclaration. Je pensais qu'on avait mis tout ça derrière nous.
Sa réaction me fait mal, mais je refuse de m'avouer vaincu :
- Je sens bien qu'il y a un truc entre nous, ne me dis pas que je m'imagine des choses.
- David, je t'aime beaucoup, mais... tu ne me connais pas vraiment. Il y a des choses, si tu savais... cela te ferait peur et tu prendrais des jambes à ton cou. Je ne veux pas que ça arrive, je tiens trop à toi pour ça.
- N'importe quoi ! fais-je énervé qu'elle me fasse finalement le couplet du "je ne veux pas, cela gâcherait notre belle amitié". Tu sais que tu peux tout me dire. Je ne vois pas ce qui pourrait me choquer.
- Je...
Je sens qu'elle hésite.
- Non. Je ne suis pas une fille pour toi, je te l'ai déjà dit. N'essaie pas d'en savoir plus, David, s'il te plait.

Putain de merde. Cette fois, plus que de la tristesse, c'est surtout de la colère que je ressens. Elle me rejette, elle refuse de me parler. Elle ne me fait pas confiance ? J'essaie d'insister pour les tirer le vers du nez. Nous sommes dans la rue, au beau milieu de nulle part. En bon gentleman, je la ramène chez elle en la portant. Je lui prends ses clés pour entrer et l'amène jusqu'à sa chambre. Elle s'écroule sur le lit et s'endort tout de suite. Si j'étais la pire des ordures, je profiterais d'elle, mais je ne suis pas comme ça. J'hésite un instant à l'abandonner, mais je décide de rester. Non pas parce que je suis un type louche ou un pervers, mais au contraire, parce que je veux être un bon ami. Elle est malade, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de la laisser seule. Je ne voudrais pas qu'elle fasse un coma éthylique ou une merde de ce genre.

Le lendemain, elle se réveille avec une sacrée gueule de bois. Elle s'étonne de ma présence, je lui explique ce qui s'est passé. Elle semble avoir oublié une bonne partie de la soirée d'hier, mais bizarrement, pas le moment où je lui ai révélé mes sentiments. Elle me remercie pour ce que j'ai fais pour elle, puis je prends congé quand je sens qu'elle va suffisamment mieux. Chienne de vie.

J'essaie de faire ce qu'elle m'a conseillé et de l'oublier, de passer à autre chose. J'ai rencontré quelqu'un, mais cela n'a pas duré longtemps. C'était bon d'être de nouveau en couple, et surtout de pouvoir enfin rebaiser, mais une fois les couilles bien vidées, il ne restait plus grand chose ; je n'avais pas vraiment de sentiment pour elle. Finalement, c'était surtout une histoire de sexe ; j'ai fini par la larguer. Je suis toujours proche de Charlotte, mais c'est plus une torture qu'autre chose. Je suis jaloux à chaque fois que je vois un homme lui tourner autour. L'idée qu'elle puisse être avec un autre me rend fou. Par chance, elle les envoie tout le temps balader. Néanmoins, je continue à me demander : pourquoi s'obstine-t-elle à repousser tout le monde de cette façon ? Quelle est cette chose qui est censée me faire peur si je l'apprenais ? Je me suis mis à m'imaginer plein de choses. C'est peut-être idiot, mais je veux savoir.

Une fille comme elle ne pouvait pas rester éternellement célibataire. Elle finit par trouver quelqu'un. Putain, ce que je suis écœuré. Qu'est-ce qu'il a de plus que moi ce con ? Pourquoi veut-elle bien de lui et pas de moi ? Quand je le rencontre la première fois, je réalise tout de suite que c'est un vrai connard. Qu'est-ce qu'elle lui trouve, sérieux ? Je ne comprendrais jamais les femmes. Je ronge mon frein en silence et continue de jouer les bons amis, mais cela me tue. Je ne supporte pas l'idée qu'elle puisse se faire toucher par un autre. Qu'il puisse la baiser, profiter de son corps, et pas moi, jamais. Je la veux, tellement.

C'est sans surprise que la découvre quelque mois plus tard complètement en pleurs. L'imbécile l'a plaqué. Je devrais en être heureux, mais je ne le suis pas. Bordel, quand on a une fille comme elle, on ne s'en débarrasse pas comme une merde ! On la câline et on la choie ! J'ai envie de lui casser la gueule, sérieux ! Je la prends dans mes bras pour la réconforter, mais c'est chez Benny, son meilleur ami qu'elle parvient à sécher ses larmes.

Je ne connais pas ce gars-là, je ne l'ai jamais vu, mais de lui aussi, je suis jaloux. Si je ne peux pas sortir avec, j'aurais au moins eu envie d'être la personne dont elle est le plus proche. Je me console en me disant que c'est difficile de rivaliser avec quelqu'un qui la connait depuis plus longtemps que moi.

Le temps défile encore. Nous sommes passés tous les deux en seconde année. J'espérais qu'elle finisse par me confier son secret, mais même après plus d'un an, je remarque qu'elle prend toujours bien soin à marquer une certaine limite entre nous. Je ne parle pas simplement d'une friendzone, on dirait qu'elle a simplement peur d'être proche de quelqu'un. J'ai essayé, j'ai vraiment essayé de l'oublier, mais je n'y arrive pas. Cela tourne presque à l'obsession. Ça serait plus facile de tourner la page si je ne finissais pas découvrir que c'est une grosse conne qui n'en vaut pas la peine, mais plus je la connais, plus je tombe amoureux. Cette fille est juste parfaite. J'ai craqué de nouveau, et j'ai repris mes masturbations en pensant à elle.

Je la veux... c'est viscéral. Est-ce qu'elle sait au moins combien elle me fait souffrir ? De toute façon, c'est mieux comme ça, mieux vaut qu'elle n'en sache rien : qu'est-ce que cela apporterait ? Je veux néanmoins passer une nouvelle étape avec elle. Je tiens à être plus proche, plus intime. Je tente alors de la convaincre de me confier son secret. Elle m'énerve : elle ne lâche rien. Elle ne veut vraiment pas me parler. Depuis le temps qu'on se connait, elle devrait pouvoir me faire confiance, bordel !

"Être un type bien", c'est important pour moi. J'ai toujours essayé d'être gentil, de ne jamais agir comme un connard ; mais parfois, je reste humain, et je fais des conneries en dépassant les bornes, comme quand je décide d'aller voir directement son meilleur ami pour avoir des réponses vu qu'elle n'est pas prête à m'en donner. Je ne connais pas ce "Benny". Il lui a fallu du temps avant même qu'elle me révèle son existence. J'ai dû mener un vrai travail de détective pour avoir des informations sur lui. Première surprise : il travaille dans un sex-shop. Coincée comme elle est, je ne l'imaginais pas côtoyer ce genre de mec. D'un pas assuré, je vais l'aborder et lui avoue d'entrée qui je suis.
- Ah, c'est vous l'ami dont elle parle tout le temps, me dit-il d'un ton sympathique.
Curieux, elle, elle ne me parle presque jamais de lui. Cela me rend jaloux. Je ne sais pas ce qui me prend. Je lui explique tout. Je lui raconte que je sais qu'elle a un secret que je veux savoir. Si ce gars est vraiment son meilleur ami, il doit le savoir, non ? Il me fixe silencieusement dans les yeux en prenant le temps de me jauger, puis il me répond enfin :
- Je comprends votre situation. Si j'étais à votre place, je voudrais savoir moi aussi, mais vous savez aussi bien que moi que ce n'est pas à moi de vous le dire.
J'avais donc raison, il sait.
- Je le sais, mais...
- Mais je sais aussi comment fonctionne Charlotte, me coupe-t-il. Parfois, elle a besoin d'un coup de pouce. Vous tenez vraiment à savoir ?
- Oui, fais-je d'un ton péremptoire.
Il me regarde encore en réfléchissant un instant, puis il semble avoir pris une décision lorsqu'il prend un bout de papier et inscrit quelque chose dessus avant de me le tendre.
- Tenez, dit-il. Venez à cette adresse, demain, à vingt-et-une heure trente.
- Qu'est-ce que cela veut dire ?
- Il y a des choses qu'il est difficile d'expliquer et qu'il est préférable de montrer.
- Merci, fais-je confus.
- Ne dite pas ça. Vous allez me détester après ça. Avant d'essayer de me casser la gueule, rappelez-vous juste que c'était votre décision. Ok ?
Je quitte le sex-shop un peu dépité. Je ne comprends pas ce qu'il a voulu dire par là. Tout ce que je sais, c'est que je suis prêt à tout pour découvrir la vérité. Le jour-J, je me rends alors sur place. Cela doit être une erreur, c'est l'adresse d'un de club privé. J'essaie malgré tout d'entrer, histoire de ne pas avoir fait tout ce chemin pour rien, mais je me fais jeter par le balourd qui monte la garde.
- Laisse-le, Marcus, entends-je soudain. Il est avec moi.

Benny apparait de l'intérieur du bâtiment et me fais signe de le rejoindre. La montagne de muscles me laisse passer. Je fixe ce dernier d'un air de défi avant de pénétrer dans ce repaire secret. Benny me fait traverser un long couloir. Il y a de la musique, mais je comprends tout de suite qu'il ne s'agit pas d'une boite de nuit. Il fait sombre, les murs noirs sont tapissés de tentures de velours rouges. Je n'ai plus de doute quand j'arrive à un bar : je suis dans une espèce de boite à partouse ou un club d'échangiste. Les gens sont à moitié nus, des couples, voire carrément des groupes s'embrassent et se pelotent sans aucune pudeur. Je peux même entendre des cris très explicites provenant de derrière certaines portes. Qu'est-ce que je fous là ? Je n'ai jamais mis les pieds dans ce genre d'endroit, ce n'est pas mon genre. Et surtout, quel est le rapport avec Charlotte ? Qu'est-ce qu'elle y ferait ici ?

- Tu veux toujours savoir ? me demande mon guide.
- Oui.
- Par-là, me dit-il en pointant du doigt l'escalier. Premier étage, troisième porte à droite.
Je ne sais pas par quelle force mystique je ne pas fais demi-tour. Je suis gêné par tout ce qui m'entoure. Toute cette débauche et cette aura de sexe me met mal à l'aise. Je vais à l'étage et traverse un couloir. J'entends du bruit à travers les portes. Il y a des gens en train de baiser là-dedans. Combien sont-ils ? J'arrive devant celle indiquée par Benny. Je m'arrête un instant. J'hésite. Qu'est ce qui m'attends derrière ? Il est trop tard pour faire marche arrière, de toute façon. Je prends une bonne bouffée d'air avant de tourner la poignée. J'entre dans la pièce, le cœur serré, et n'arrive pas à croire ce que j'y vois.

La scène est tout simplement surréaliste. Une fille est en train de se faire prendre par trois mecs devant mes yeux. Elle est allongée sur l'un qui lui baise la chatte, tandis qu'un autre lui bourre le cul, le tout pendant qu'elle suce le dernier. Tout autour d'eux, il y a un cercle d'hommes en train de se branler en les matant. Certains sont à poil, d'autres habillés. Je ne comprends pas ce que je fais là. C'est complètement dingue. Je pensais que ce genre de truc n'arrivait que dans les films pornos, où les gens sont payés, pas dans la vraie vie.

Il me faut un temps pour la reconnaitre, ou plutôt pour l'accepter : cette fille au milieu de tous ces mecs, c'est Charlotte, ma Charlotte. Je suis troublé, j'ai l'impression de rêver. Charlotte est une fille prude et timide. Ce n'est juste pas possible qu'elle soit là, dans cet antre de la perversion, au centre d'une orgie.

Les mecs sont loin d'être doux avec elle. Il la bourre comme une salope. Ils la traitent de pute et de sac à foutre. Elle beugle comme une furie. Pourquoi personne ne fait rien et se contente de regarder ? Ils sont malades où quoi ? Il faut intervenir ! Je fais un pas en avant avec l'intention de casser la gueule à ces connards pour qu'ils la laissent tranquille, quand j'entends sa voix :
- Ouiiiiii ! Encore ! Putain ! Bande de salauds ! Plus fort ! J'adore vos bites !
J'hallucine. Je vais me réveiller, ce n'est juste pas possible. Ces mots ne peuvent pas avoir été prononcés par ma Charlotte. Non, je ne suis pas en train d'assister à un viol. Elle est consentante et prends manifestement son pied. Je ne sais plus où me mettre. J'observe la scène avec les autres, médusé. À un moment, ses yeux se tournent vers moi. Elle me fixe, elle m'a reconnu, c'est certain. Elle m'a vu avec mon regard choqué et scandalisé. Cela ne change rien, elle continue de pomper ce sexe qu'elle a dans la bouche sans se soucier de moi.

La scène se poursuit devant mes yeux. Les mecs se relayent en changeant de trou. Ils se servent d'elle comme d'une chose, tandis qu'elle ne cesse de crier :
- Aaah oui, utilisez-moi les garçons ! Je suis votre garage à bites ! Votre pute ! Je ferais tout ce que vous voudrez, mais pitié, baisez-moi !

Je ne la reconnais pas. Cette fille d'apparence si innocente, se comporter de façon si obscène... Même dans mes rêves les plus pervers, jamais je n'ai osé imaginer.... Je ne comprends pas : c'est la fille de tous mes fantasmes, je suis jaloux à chaque fois qu'un mec approche d'elle. Je la veux pour moi tout seul. Je rêve de son corps et de pouvoir lui faire l'amour, j'ai envie de casser la gueule à ces enculés qui ont à la fois l'audace et la chance de la toucher, et pourtant, j'ai sorti ma bite de mon pantalon et ai commencé à me branler comme tout le monde. Je suis dur. J'ai beau essayé de le nier, quelque part, tout ceci m'excite.

Je ne suis apparemment pas le seul. Certains voyeurs ont déjà giclé un coup dans le vide en voyant la scène. Quelques-uns sont partis, les autres semblent décidés à assister au spectacle jusqu'à bout. Un gars qui n'en peut manifestement n'en peux plus et s'avance vers elle pour se faire sucer. Elle accepte son pénis sans discuter. Si n'importe qui peut participer, je me demande ce que font les autres. Je préfère ne pas me poser trop de question.

Ils la font changer de position. Ils la malmènent, ils la giflent, ils la fessent, ils l'insultent de tous les noms, jamais elle ne se rebelle. Ce n'est pas la Charlotte que je connais, timide mais avec son caractère. Elle se donne entièrement à eux, leur faisant confiance pour lui donner du plaisir en en prenant sur elle. De temps en temps, elle me regarde. Elle ne fait ça avec personne d'autre du public, rien qu'avec moi. Je lis dans son regard à la fois de la provocation et de l'excitation. Comme si cela l'excitait de savoir que j'étais là, en train de la regarder, et de me branler.

Cela dure une éternité. Ils la baisent, ils l'enculent, ils la forcent à les prendre dans sa bouche jusqu'à en manquer d'air. Ils la retournent dans tous les sens comme une vulgaire poupée gonflable. Je n'avais jamais vu une fille se faire traiter comme un tel déchet, et surtout aimer ça. À la fin, ils lui attachent les mains dans le dos et lui ordonne de se mettre à genoux. Ils se branlent devant sa figure, prêt à éjaculer. Les salauds, je les déteste d'être de telles ordures, mais quelque part, je tuerais pour être à leur place pour lui décharger moi aussi mon foutre sur sa belle petite gueule.

- Oh oui ! Oui ! s'extasie-t-elle, complètement en transe. Allez-y ! Souillez-moi de foutre ! Couvrez-moi de sperme ! Giclez-moi dessus !
Elle ouvre grand la bouche en sortant la langue pour souligner son impatience et sa soumission. Cela me donne envie de m'astiquer plus fort. Un premier mec beugle soudainement :
- Aaah ! Oui ! Allez, bon appétit sale chienne !

Il lui envoie son foutre au visage. Les autres suivent les uns après les autres. C'est une véritable douche de sperme. Certaines personnes de l'assemblée viennent se joindre à la fête pour l'arroser. Moi je n'en peux plus de la voir comme ça, le corps littéralement inondé de semence d'hommes qui coule le long de sa peau. Je finis par craquer et à me faire éjaculer dans le vide. Je l'aime trop et je suis trop choqué pour ce qui se passe pour m'avancer et me soulager sur elle comme le font d'autres, mais j'ai tout de même trop besoin d'évacuer du sperme pour me calmer. Mon esprit pervers me fait m'imaginer malgré moi que je lui jouis à la figure et qu'elle accepte mon don avec un sourire de bonheur. Je me sens si sale.

Je me vide bien les couilles, puis, honteux, je rouvre les yeux. C'est terminé. Elle est entourée de bites qui ont fini de juter pour elle. Les sexes encore bandés semblent sourire d'un sourire béat, épuisé. Charlotte elle-même semble heureuse, radieuse. Elle branle quelque- unes de ses queues en train de ramollir en leur faisant des bisous.

- Alors les garçons, ça vous a plu ? J'ai été bonne ?
- Oh oui, Charlotte, tu as été superbe ce soir, répond un grand black.
- J'ai été une bonne salope ?
- La meilleure.

Elle a le visage, les seins, et le ventre maculé de sperme. Elle joue avec en se l'étalant, puis se lèche les doigts pour le gouter. Jamais, au grand jamais, je n'aurais cru Charlotte aussi salope.

Je remets ma bite dans mon pantalon et sors de la pièce, troublé. Je ne sais pas ce que je suis censé ressentir, ce que je ressens en ce moment. Je descends retrouver Benny.
- Alors, tu as tout vu ? me dit-il.
- Oui, j'ai tout vu.
- Voilà, maintenant, tu sais. Tu as envie de me casser la gueule ?
- Non. Je voulais savoir, et tu m'as aidé.
- Tu regrettes ?
- Je ne sais pas.
- Tu veux lui parler ?
- Je... je ne sais pas.
- Viens, je vais vous trouver un coin où vous pourrez discuter en privé, prend-t-il la décision à ma place. Je vais aller la prévenir. J'imagine qu'elle t'a vu.

Il m'emmène dans une chambre vide. Avec un grand lit rond, et des miroirs partout. J'attends environ dix minutes, quand je vois Charlotte débarquer fébrilement, recouverte d'un peignoir, les cheveux mouillés. Elle vient de sortir de la douche. Je préfère la voir comme ça que toujours souillé par tous ces mecs.
- Hey, me salue-t-elle sobrement comme si rien ne s'était passé.
- Hey, fais-je pour lui répondre.
Elle semble calme, bien qu'un peu sonnée. Je la sens étonnement détendue. J'ignore si c'est l'effet du sexe sur elle, où le fait qu'elle se sente mieux en ma présence maintenant que "je sais".
- Tu ne t'es pas enfuit en courant, j'imagine que c'est bon signe.
- Je ne sais pas.
- Je ne voulais pas que tu l'apprennes comme ça.
- C'est Benny qui m'a invité.
- Je me doute. Comment m'aurais-tu trouvée, sinon ?
- Ça n'a pas l'air de t'avoir dérangé.
- Je... Je me suis un peu laissée emportée par la folie du moment. Je suis toujours comme ça quand je... Enfin... bref. Ça m'a excitée que tu sois là. Encore plus quand je t'ai vu te branler pour moi... Ça t'a plu ?
- Je ne sais pas.
- Je t'ai vu pourtant jouir. J'en ai joui rien qu'à le voir.

Je ne dis rien, je ne sais pas quoi dire. Je suis complètement dépité. En s'en rendant compte, elle semble regretter son commentaire.
- J'imagine que je te dois quelques explications, dit-elle pour couper le silence.
- Tu ne me dois rien.
- Si, je te le dois. Tu voulais savoir, non ? Et bien voilà. Je... je ne suis pas normale, David. Sentimentalement, j'ai des besoins... particulier, des besoins honteux, qui feraient que je perdrais tout respect de mon entourage si cela se savait.
- Tu as besoin te faire prendre par plusieurs mecs à la fois ?
- Non, enfin pas vraiment. Je suis une soumise, David. J'ai besoin qu'on... me prenne, qu'on me malmène, qu'on me traite comme une chose, une esclave. Je sais que c'est sale, mais c'est la seule chose qui m'excite.
- Comment c'est possible ? Comment s'est arrivé ?
- Qu'est-ce que tu crois ? Qu'il m'est arrivé un truc horrible quand j'étais petite et que cela m'a brisée à vie ? L'explication est plus simple que ça : je suis comme ça, c'est tout. C'est... mon truc. J'ai toujours été ainsi, il m'a juste fallu du temps pour le comprendre. Quand j'étais adolescente, j'ai toujours été attirée par les vilains garçon. J'ai eu mes premiers rapports sexuels avec de véritables connards, mais je n'ai jamais réussi à prendre mon pied. Au début, je pensais que c'était juste parce que mes ex étaient nuls au lit, puis à force, j'ai fini par croire que je n'aimais simplement pas le sexe que ce n'était pas pour moi.
- Comment en es-tu arrivé là, alors ?
- Et bien, un jour, j'ai rencontré un vrai salaud. Il me traitait comme de la merde, mais il me faisait jouir comme personne. C'est là que j'ai compris. J'aimais ça, me soumettre à un homme, qu'il puisse me faire ce qu'il veut.
- Je ne comprends pas, qu'est ce qui t'excite dans ça ?
- Je ne sais pas comment expliquer ça. Les gouts et les couleurs, tu sais. J'aime.... sentir le désir primal chez un homme, le besoin. Le sentir s'abandonner à ses pulsions animales et m'abandonner avec lui. Cela me donne l'impression d'être quelqu'un d'autre, d'échapper à la réalité. J'aime qu'un homme me fasse sentir que c'est moi qu'il veut, que c'est de moi qu'il a besoin pour se soulager, qu'il est prêt à tout pour ça. Cela me donne envie de me soumettre, de tout faire pour lui donner du plaisir, qu'il aime ça au point de devenir accro.

- Comment ça a fini avec ton connard de copain ?
- Mal. J'ai découvert qu'ils couchaient avec des autres filles dès que j'avais le dos tourné. Je suis peut-être une soumise, mais j'ai des limites. Si je suis avec un homme, je veux qu'il me veuille moi et rien que moi.
- Que s'est-il passé ensuite ?
- Je l'ai largué, je suis partie. J'ai très mal vécu cette séparation. Pas parce que je l'aimais ou que c'était l'homme de ma vie : ce n'était pas le cas, et à vrai dire, on est même pas resté un an ensemble, mais parce que j'ai réalisé ce que j'étais. Je me suis senti sale, honteuse, indigne d'être aimée. Je n'en avais jamais parlé à personne jusqu'alors. J'avais du mal à accepter ce que j'étais, ce que j'aimais. J'ai essayé d'avoir des relations "normale" après cela, mais rien à faire, cela ne me satisfaisait pas. J'ai essayé de pousser certains de mes copains à pimenter nos rapports, à être un peu plus... bestial, mais cela n'a pas marché non plus. Cela les a mis mal à l'aise ; quand cela ne leur a pas fais peur. Ils m'ont fui. Certains m'ont dit des choses... horribles. Que je n'étais pas normale, que je devais me faire soigner, que j'avais un problème. Pendant longtemps, je les ai cru, jusqu'à ce que... je rencontre Benny.

- Comment ça ? Qu'est qui a changé ? Vous êtes sorti ensemble ?
- Non, non. Benny et moi... je sais que ça va te paraitre surprenant, mais on n'a jamais rien fait. Lui, son truc, c'est vraiment le sado-maso. J'aime être dominée, mais là, c'est encore un tout autre niveau. Non. Il m'a simplement appris que... je ne devais pas avoir honte, que je n'étais pas "anormale". Il m'a fait comprendre que j'étais juste différente, avec des besoins différents. Il m'a fait rencontrer des gens "comme moi", des gens différents, avec des gouts... originaux. Ça m'a fait du bien. J'ai enfin pu parler sans tabou, me sentir libre, acceptée. Je sais que j'aurais toujours du mal avec les gens, que la société ne me comprendra jamais, mais au moins, je ne suis pas seule.
- Mais comment es-tu arrivée dans ce club ?
- C'est compliqué... Ou simple, je ne sais pas. C'est Benny qui m'y a introduite. Les propriétaires sont des amis à lui. J'étais reluctance au début, mais il a fini par me convaincre. Ici, je pouvais tester mes limites. Explorer ma sexualité sans honte ni conséquences. Vivre des aventures sans lendemain avec des inconnus qui ne me connaissaient pas. Cela m'a permis de me découvrir moi-même. Cela ne veut pas dire que je suis heureuse comme ça. J'ai évidemment envie de rencontrer quelqu'un et de vivre l'amour, mais au moins, ici, je peux me libérer de mes frustrations sexuelles.

- Ils ne m'avaient pas l'air de t'être si inconnu que ça tout à l'heure.
- Oui, glousse-t-elle. Je suis devenue une habituée ici. Alors à force... Mais... tu comprends maintenant ? Tu comprends pourquoi je ne t'ai rien dit ?
- Oui, tu avais peur que je prenne la fuite, ou que je raconte çà tout le monde et que cela se sache. Mais regarde ! Je suis toujours là ! Je pensais que tu pouvais me faire confiance quand-même !
- Non, ce n'est pas ça. Enfin, pas QUE ça. Bien sûr, au début, j'avais peur que cela t'effraie, mais... Alex... J'ai envie d'un petit-ami, mais j'ai besoin de plus qu'un petit d'ami, j'ai aussi besoin d'un maitre qui me domine et qui m'utilise. Quelqu'un qui n'a pas peur d'être brutale et autoritaire avec moi. Tu es un garçon gentil, et tu me plais beaucoup, vraiment. Mais justement, gentil, tu l'es trop. C'est pour cela ne pourra jamais marcher entre nous. J'ai déjà emprunté cette voie auparavant, je sais comment cela se termine. On s'entendrait bien, mais tu ne pourras jamais me satisfaire sexuellement, et pour moi, le sexe, c'est très important dans la vie d'un couple.
- Je te plais vraiment ?
- Oui, bien sûr.
- J'ai dû mal à te suivre, d'un côté, tu dis que je suis gentil et que je te plais, mais d'un autre, tu sors avec des connards qui te traitent comme de la merde et que tu quittes au bout de deux mois.

En disant ça, je pense évidemment à son crétin d'ex.
- Je sais. Je... C'est compliqué, ok ?! Tu crois que je n'en souffre pas, de ça ? Je ne suis plus une adolescente, je sais que les "vilains garçons" ne pourront jamais me rendre heureuse. Je cherche un homme à la fois dominateur, mais qui m'aimerait et me respecterait. Je sais que c'est contradictoire et impossible à trouver. Pourquoi tu crois que je passe autant de temps dans ce club ? Je... je suis désolée David. Je te l'ai dit, je ne suis pas une fille pour toi, je ne suis pas une fille bien.

J'ai la tête qui tourne et les pensées qui fusent. C'est beaucoup d'information à digérer. Cela explique tellement de choses, comme pourquoi elle ne passe quasi jamais ses soirées avec nous, pourquoi elle est à la fois timide, mais avec du caractère. C'est une nouvelle Charlotte que je découvre ce soir, pourtant, c'est aussi la même. C'est la même fille dont je suis tombé amoureux, et que j'aime toujours. Je l'imaginais douce, pure, innocente. En réalité, c'est une perverse. Cela me choque, mais est-ce un mal ? Au fond, nous sommes tous des pervers, certains ont juste plus de mal à l'accepter. Elle, elle sait l'assumer, et finalement cela la rend encore plus attirante à mes yeux. Je crois que c'est pour ça qu'au lieu de me barrer lorsque je l'ai vue avec ces trois mecs, je me suis branlé.

- Qu'est-ce que tu en sais que je ne pourrais pas te satisfaire ? fais-je soudain après un long moment de silence sur un ton autoritaire.
- David, je...
Je la coupe tout de suite :
- Toi non plus, tu ne me connais pas. Je t'aime, je te veux. Même après tout ce que j'ai vu et tout ce que tu m'as dit. Tu le comprends, ça ?!

- Je... oui, rougit-elle.
- Je te veux, toi, et personne d'autre. Je fantasme sur toi depuis un an. Je me branle comme un fou en pensant à toi. J'ai envie de ton corps, je suis jaloux rien qu'à penser qu'un autre puisse te toucher ou profiter de toi. J'ai vu ces enculés te sauter par tous les trous. Ça m'a rendu malade, malade de ne pas pouvoir être l'un d'entre eux. J'ai pu voir le plaisir qu'ils ont eu à te baiser, le bonheur que c'est de pouvoir te baiser, l'extase quand ils ont éjaculé. Je veux le connaitre moi aussi. Je refuse d'abandonner maintenant que je sais que je te plais vraiment. Tu ne peux pas me dire ça, et me balancer que je suis incapable de te satisfaire avant même d'avoir essayer. Je ne peux pas continuer à vivre et à te côtoyer en faisant semblant de rien, sachant que tu viens ici tout le temps pour te faire prendre comme une chienne quand moi je n'ai pas le droit de tirer mon coup sur toi.
- David...

- Tais-toi ! Demain, tu viens chez moi, à vingt-heure. Je vais te prouver que je suis digne de toi. Je vais te baiser, Charlotte, et je vais te faire jouir plus fort que tous ces salauds réunis. Quand j'en aurais fini avec toi, tu auras l'impression que ce que tu viens de vivre aujourd'hui était de la rigolade. Je vais te faire mienne, et tu deviendras ma pute accro à ma queue.

Je ne lui laisse pas le temps de répondre. Je quitte la pièce en claquant la porte. Je souffle un bon coup. Je réalise en fait que je ne suis pas vraiment en colère. J'avais juste besoin de lui dire ces choses, aussi sales et perverses qu'elles soient. Moi aussi j'en ai marre de jouer les gentils garçons, il est temps d'assumer mon côté pervers. Je suis un animal prêt à tout pour pouvoir la sauter, au moins rien qu'une fois. Demain, je prie qu'elle soit là.

Charlotte, la fille dont je suis amoureux depuis maintenant un an, est-ce qu'elle appelle une "soumise". Cette petite étudiante brune au teint pâle et aux longs cheveux noirs est loin d'être aussi innocente et prude que je le croyais. Elle m'a avoué qu'elle recherchait un "maitre", un homme capable de la dominer et de l'utiliser comme un objet pour sa propre satisfaction. J'ai été choqué lorsque je l'ai appris, mais contrairement à ce qu'elle avait craint, cela ne m'a pas fait peur ni ne m'a fait fuir. Je l'aime et je la veux ; et c'est pour le lui prouver que je l'ai invitée chez moi ce soir, à vingt heures. Non pas pour discuter ou pour une soirée romantique, mais pour la baiser bestialement et la faire mienne à coup de queue.

Un an, un an que je fantasme sur elle, que je me branle en pensant à elle. Ça me rend malade de savoir que pendant tout ce temps, des inconnus ont pu profiter de son corps dans cette boite à partouse. Qu'ils ont pu connaitre ce bonheur et pas moi. Cette bande de salauds ne savent même pas la valeur de ce qu'ils ont souillé. Cette fille est tout simplement géniale.

C'est la journée la plus longue de ma vie. Je ne sais pas si elle viendra. Je ne lui ai pas donné l'occasion de me fournir une véritable réponse à mon invitation et je me suis comporté comme le dernier des connards. Je ne suis pas comme ça en général. Je suis du genre gentil et attentionné. Pas du genre à balancer à une fille "amène-toi ce soir pour que je te baise comme une salope". Je suis pourtant très excité rien qu'à l'idée. Je n'ai pas arrêté de m'imaginer les choses perverses que je lui ferais. J'ai eu du mal à me retenir de me branler toute la journée. Je n'en peux plus. Je n'ai jamais été aussi en manque.

Vingt heures dix. Elle est en retard, ou alors elle ne viendra pas. J'ai peur. Si elle ne se pointe pas, cela voudra dire qu'elle ne veut définitivement pas de moi. Je ne pense pas que je pourrais le supporter. Vingt heure vingt. Je stresse, je tourne en rond dans mon petit studio d'étudiant. Cela se présente mal. J'ai fini de lui trouver des excuses et commence à envisager le pire. Il faut bien que je me rende à l'évidence : c'est fichu, elle ne viendra pas, je me suis faits des films pour rien. Vingt heures vingt-trois. La sonnette retentit. Mon cœur bat la chamade. Est-ce elle ? Si c'est quelqu'un d'autre, je serais capable de lui défoncer la gueule tellement je serais écœuré. Je n'ose pas répondre à l'interphone, j'appuie sur le bouton pour ouvrir la porte du bâtiment. Une minute plus tard, on toque à ma porte. Je pose ma main sur la poignée, prenant une grande respiration. Si c'est elle, je vais devoir assurer. Sinon... peu importe qui c'est, qu'il se casse, je vais avoir besoin d'être seul.

J'ouvre. Mes yeux s'illuminent de bonheur. C'est elle ! C'est ma Charlotte ! Elle est venue ! Je n'arrive pas à y croire. Au fond, j'étais persuadé qu'elle ne viendra pas, je n'avais pas franchement beaucoup d'espoir. Après qu'elle m'ait repoussé deux fois, je lui ai "ordonné" de venir chez moi pour que je puisse la sauter comme un animal. C'était difficile de croire que cette démarche fonctionnerait. Et pourtant, elle est là, devant moi. Elle sait ce qui l'attend. Mieux, elle est venue pour ça, c'est ce qu'il l'a convaincue. Je vais vraiment devoir assurer maintenant. Je me concentre pour me mettre dans mon rôle.

- Tu es en retard, lui fais sur un ton de reproche.
- Je suis désolée, je...
- Je ne veux pas savoir, lui fais- je sèchement en lui coupant la parole. Entre.

Je referme derrière elle. Charlotte... elle est si belle, elle me fait bander au premier regard. Elle a l'air si timide, si innocente. Je suis une des rares personnes à savoir qui se cache réellement derrière cette apparence, j'ai hâte de voir son côté pervers refaire surface.

- Vingt minutes de retard, c'est inacceptable ! Tu sais combien je me suis inquiété ?! Je vais devoir te punir !
- Je suis sincèrement désolée, me fait -elle gênée. Je suis prête à accepter mon châtiment pour me faire pardonner, quel qu'il soit.

Elle ne déconnait pas. Je la sens vraiment soumise. Elle est vraiment venue pour ça.

- Viens, lui fais- je d'un ton autoritaire.
Je m'assieds sur une chaise et lui dis :
- Tu mérites la fessée. Viens ! Vilaine !

Elle s'approche sans un mot et, comme une enfant se sachant coupable, se met en position. Elle se penche perpendiculairement à moi, le torse sur mes jambes et les fesses relevées. Je savoure cet instant, elle est à ma merci. Lentement, je lui caresse les cuisses. Je glisse une de mes mains sous sa jupe. Je l'écarte délicatement. Je n'en reviens pas : elle ne porte rien en dessous. Elle est venue la fouffe à l'air. Quelle cochonne ! Je lui malaxe la chair tendre de son délicieux petit cul, puis je me rappelle pourquoi elle s'est retrouvée dans une telle situation. Je lui donne une bonne claque pour la punir. Elle frémit dans mes bras. C'est incroyable, elle a aimé ça. Je lui en donne une seconde, même réaction. Je commence à me prendre au jeu.

- Quand je te demande à venir à une certaine heure, tu viens à l'heure. Je vais t'enseigner la ponctualité moi !
- Je suis désolée, se morfond-t-elle.

Je continue à lui gifler les fesses comme une gamine mal élevée. Elle en soupire de plaisir. Je suis véritablement en train découvrir ma Charlotte sous un nouveau jour, j'ai envie d'en voir plus. Distrait, je me mets à lui caresser son joli petit trou de cul. Je l'ai vu se faire défoncer par plusieurs mâles hier, j'ai hâte d'en profiter moi-aussi. Je lui enfonce un doigt pour tester sa réaction. Elle réagit positivement. Je ne rêve pas, l'anal est vraiment son truc. Comment ses ex ont été assez cons pour la laisser partir ? J'y enfonce un deuxième et joue avec son anus. Je suis comme un bébé découvrant un nouveau jouet ; elle me laisse la découvrir à mon aise. Je passe ma main sur sa chatte rasée. Mon dieu, ses lèvres sont gonflées d'excitation, je n'avais jamais vu ça. En la pénétrant de mon index, je remarque qu'elle mouille également très fort. C'est moi qui lui fais cet effet-là ? Bon sang, elle m'excite à mort.

Je titille ses deux orifices chacun à leur tour, parfois même en même temps. Je trouve cela amusant, mais au bout d'un moment, j'ai envie de passer aux choses sérieuses :
- Mets-toi à genoux face à moi, lui fais- je d'un ton autoritaire.
Elle m'obéit docilement. Je me relève et défait mon pantalon. J'en sors mon sexe déjà dressé d'impatience.
- Tu vas me sucer, jusqu'à ce que j'en jouisse ou que j'en ai assez. C'est clair ?
- Oui.

Je la gifle. Pas assez fort pour lui faire mal, mais assez pour la surprendre.
- Oui qui ?
Elle me fixe sans comprendre. Je vois qu'elle a besoin d'un peu d'aide :
- On dit "oui maitre" quand on est bien élevée. Alors, tu as compris ?
- Oui, maitre.
- Allez, suce.

Elle attrape ma bite d'une main et me prends en bouche sans tarder. Mon dieu, ça y est. C'est vraiment en train d'arriver. Je me fais sucer par la fille de mes rêves. C'est trop bon. C'est qu'elle ne fait pas semblant en plus, elle me pompe comme une vraie chienne. Elle doit aimer ça autant que moi, sinon plus. Elle se caresse la chatte tendant que ses lèvres coulissent le long de ma verge. Elle bave beaucoup pour me lubrifier. Combien de bites a-t-elle déjà engloutie comme ça ? Je préfère ne pas savoir. Ce soir, elle n'est rien qu'à moi.

- Ouvre grand, je vais te baiser la bouche.
Elle s'exécute sans poser de questions. Je l'attrape par les cheveux et fais du va-et-vient comme si j'étais dans son vagin. Je me fige quelques instants au fond de sa gorge, puis je sors ma queue pour la laisser respirer. J'y suis allé un peu fort, elle a besoin de reprendre de bonne bouffée d'air, elle ne me demande pourtant pas d'arrêter quand j'y retourne une seconde fois. Au bout de la troisième, je la laisse faire à son rythme. Mon dieu, cette fille a vraiment une bouche faite pour la pipe. C'est une vraie déesse.

- Oooh, Charlotte, c'est vraiment trop bon. Continue, ma salope.

Elle gémit à travers ma bite en guise de réponse. Elle me fait du bien ainsi durant de longues minutes, bavant tellement que des filets lui en tombe sur le menton. Elle sort ma queue de son gosier de temps en temps pour me lécher de tout le long et me montrer le travail de sa langue. Elle va jusqu'à jouer avec mes boules pendant qu'elle me branle. C'est le paradis, le septième ciel. On n'a jamais aussi bien pris soin de ma bite.

Je la regarde d'en haut. Charlotte... Cela me fait des frissons de voir cette fille que je côtoie depuis un an et que je croyais prude avec ma queue dans la bouche. Je veux voir plus de son côté pervers, je veux la souiller.

- Lève-toi, et déshabille-toi, lui fais- je.
Elle se redresse et commence à enlever ses vêtements. D'abord, le bas, qui relève sa petite chatte glabre. Ensuite, le haut. Elle retire son pull, puis défait sa chemise à bouton. Elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous. Ses délicieux tétons se dévoilent à mes yeux. Avec son visage d'ange, on dirait presque une gamine. Elle est belle, elle m'excite. Maintenant qu'elle est nue, je la veux plus que jamais.

- Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Vivant dans une chambre d'étudiant, il n'y a qu'une pièce. Deux si on compte la salle de bain avec les toilettes. Le lit n'est qu'à quelques mètres de là où nous sommes. En bonne soumise, elle s'installe comme je le lui ai demandé, se retenant par les avant-bras pour ne pas tomber en avant. Elle me donne une vue splendide sur son cul aux fesses bien rebondies. Je vais me régaler.

Je prends mon temps pour la rendre impatiente. Je me déshabille lentement, je vais chercher quelque chose dans un tiroir, puis que grimpe sur le matelas derrière elle. Elle ne se retourne pas, elle ne dit rien. Elle reste dans sa position à attendre que je veuille bien lui accorder de l'attention. Je savoure l'instant. Ma Charlotte, totalement offerte, prête à faire tout ce que je lui dis.

Je lui écarte les fesses pour l'enculer. Avec ce que j'ai vu hier, je sais que Charlotte est accro, alors je vais me gêner. Putain, je bande comme un âne. Je la prépare, elle gémit quand je la pénètre avec mes doigts. Elle brûle d'anticipation. Une fois que j'en ai terminé, je pointe mon dard vers ton petit trou, et m'y enfonce délicatement.

- Aaaah, oui, gémis-je.
Elle pousse avec moi un soupir de plaisir. Je me loge bien au fond, j'attends de m'habituer un peu à la sensation, puis je démarre mon va-et-vient. Je ne suis pas doux, mais je ne suis pas brutal non plus. Mon rythme est net et régulier. Je lui dilate l'anus pour qu'elle se fasse à ma présence. Je fais monter notre plaisir à tous les deux. J'ai eu une soudaine envie de gicler quand je réalise ce que je suis en train de faire : je suis en train d'enculer Charlotte pour de vrai. L'animal qui est en moi en avait toujours rêvé, mais je n'avais jamais cru que cela pourrait devenir une réalité. Je suis l'homme le plus heureux du monde. Je regarde ma bite disparaitre dans son fion, c'est magnifique. Je ne suis pas un monstre, mais je suis d'une bonne taille, et vu comment elle est petite, j'ai l'impression de creuser un cratère. Je me retire quelques secondes pour contempler son trou béant, puis je retourne en elle en la prenant plus fort.

Je perds les pédales, je deviens dingue. Je ne suis plus moi-même. Je la sodomise sauvagement tant elle m'excite comme un taré. Je ne suis pas un amant qui fait l'amour, je suis une bête qui a besoin de satisfaire ses besoins primaux et qui a besoin d'elle pour y arriver. Je me sers d'elle comme un jouet, mon trou à bite. Je n'avais jamais été un dominant avant, mais en la voyant se laisser faire passivement, je me laisse facilement prendre au jeu. Elle veut qu'on l'utilise, alors je l'utilise. Ça m'excite à mort, même si je me sens un peu coupable : je n'ai pas l'habitude d'agir comme un salaud comme ça. Est-ce qu'elle prend son pied au moins ? C'est important pour moi. Ce jeu n'est amusant que si on en profite ensemble. Je doute, me sentant mal, je lui demande pour me rassurer :
- Tu aimes, salope ? C'est ça que tu voulais, hein ?
- Oh, oui, maitre, j'adore ! Pitié, baisez-moi.

Je frémis. Elle m'a appelé "maitre" spontanément. Ai-je déjà mérité ce titre, ou suis-je en période d'essai ? Il y a un tas de choses qui me passent par la tête, et je ne peux pas garder ça pour moi :
- Putain, Charlotte, je te veux. Je veux te posséder avec ma bite, te conquérir. Je veux que tu m'appartiennes, que tu sois ma Charlotte rien qu'à moi. Je t'utiliserais tous les jours, je te baiserais par tous les trous, je me viderais les couilles sur et en toi.
- Maiiiiiitre, crie-t-elle, comme pour réaffirmer mon statut.
Je lui donne une bonne gifle sur les fesses en continuant de la ravager.
- Je sauterais tout le temps comme la chienne que tu es et je te ferais jouir. Je prendrais soin de toi. Tu seras l'esclave la plus heureuse du monde, nourrie à l'amour et au sperme.
- Ouiii, maiiitre, haaaaa !

Je n'en reviens pas. Elle jouit, elle jouit pour de vrai. Mes mots semblent l'avoir achevé. Elle est incroyable. Je ne m'arrête pas. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je continue de la bourrer pendant qu'elle est perdue dans son plaisir. Elle ne cesse de crier son orgasme qui n'en finit pas. Elle est entrée dans un état second, comme hier lorsqu'elle était entourée de bites.
- Encore ! Encore ! geint-elle.

Je lui donne une nouvelle fessée et lui défonce l'anus. Je n'avais jamais baisé un cul comme ça. Je suis en train de devenir accro, surtout sachant que c'est le sien. Elle avait raison, c'est tellement bon de se laisser aller à ses instincts bestiaux. Je suis un autre homme. J'ai besoin de la dominer tant qu'elle a besoin d'être soumise.

Je la tire par les cheveux pour l'empaler sur mon chibre. Elle commence à gueuler un peu trop fort à mon gout, elle va finir par alerter tous mes voisins. Je la redresse contre mon torse et met ma main devant sa bouche pour atténuer ses sons.
- Tu vas la fermer, oui ? lui fais- je.
Mais cela n'a aucun effet, elle continue de beugler à travers mes doigts. Le mal est déjà fait de toute façon. Je crois que tout le monde doit être au courant que je suis en train de défoncer une grosse chienne dans mon studio. En fait, cela ne me dérange pas, que du contraire, tant qu'on ne m'interrompt pas quand je m'amuse avec mon jouet.

Maintenant que j'ai son corps chaud tout contre moi, je ne résiste pas à l'envie de lui embrasser le cou et de la caresser. Mes mains touchent ses seins pour la première fois. Je lui pince ses magnifiques petits tétons. Je descends plus bas et enfonce deux doigts dans sa chatte. Putain, mais elle mouille vraiment comme une dingue, c'est une véritable fuite d'eau là-dessous, faut appeler un plombier. Son propre jus coule le long de ses cuisses. Elle a des lèvres gonflées comme je n'en avais jamais vu. Je ne pensais pas qu'un vagin pouvait autant dégouliner d'être pris par le cul. Je le lui fouille pendant que je stimule son bouton d'or avec mon pouce. Elle jouit à nouveau en criant comme une folle. Je n'en crois pas mes yeux. Je pensais que ces histoires de filles pouvant enchainer les orgasmes presque simultanément étaient une légende. Je veux en voir plus, beaucoup plus.

Je lui donne mes doigts à sucer pour la faire taire. Elle me goute avidement.
- Allez, bois ton jus et ferme-là, sale chienne.
Je la serre tout contre moi en lui donnant de puissant coup de reins. Je veux qu'elle sente combien je la veux. Elle, et elle seule. Je veux qu'elle sache combien elle m'excite.
- Hmm, Charlotte, je t'aime ma petite salope.
- Ooh, maitre, faites de moi votre pute.
Je la jette violemment contre le lit et lui donne une fessée. Je la prends par les hanches et me remet à la limer comme une brute. Elle a le torse écrasé contre le matelas.
- Ooh, ma petite pute, comme c'est bon de te défoncer le cul.
- Oooh oui , maitre. Pitié, défoncez-le, je vous en prie. Il est à vous ! Encore !
Elle me rend vraiment dingue !

Je sors de son conduit et la retourne. Je veux la voir de face. Instinctivement, elle relève les jambes sur ses épaules et cale ses bras en dessous de ses genoux pour me présenter ses orifices comme une esclave docile. Elle n'a vraiment aucune pudeur ni limite. Je suis fier que ce soit moi qui l'ai mise dans cet état, et que c'est pour moi qu'elle soit aussi soumise. Elle qui ne voulait pas de moi car j'étais "trop gentil". Putain, rien que d'y penser, je vais lui montrer, moi !

Sa chatte baveuse et anormalement gonflée me supplie de la prendre, mais c'est son cul que je veux ce soir. Je m'y insère à nouveau et la bourre comme un animal. Je veux que demain, tous nos amis comprennent ce qu'elle a fait ce soir en la voyant boiter. Et lorsque je l'embrasserais devant tout le monde, qu'ils comprennent que c'est moi qui l'ai enculée comme une chienne.

- Oh maiiiiitre ! Oui ! Oui ! Encore ! Encore ! crie-t-elle. Baisez-moi ! Baisez-moi ! Pitié ! Ne vous arrêtez pas, je vous en suppliiiiiiiiiiiiiie !
Mais c'est pas vrai, elle jouit encore. Cette fille est une machine à jouir.
- Oh ça oui, je vais te baiser, salope. Je suis loin d'en avoir fini avec toi. Je vais tellement t'user que tu ne saurais plus où tu es.
- Oh oui ! Oui !
- Quand j'en aurais terminé, tu ne seras plus qu'une vieille loque incapable de bouger toute maculée de sperme !
- Oh oui ! Je suis votre décharge à foutre, maitre !

Bordel, mais ce n'est pas possible de demander de se faire sauter à un tel niveau. C'est comme si elle avait un grain. Je commence à comprendre ce qu'elle voulait dire quand elle racontait qu'elle avait fait peur à certain de ses ex. Elle est complètement malade ; mais je l'aime comme ça, ma Charlotte. Je comprends qu'elle ait du mal à trouver des hommes pour la satisfaire. Tout le monde n'est pas capable de se lâcher comme ça sexuellement. Moi-même, je ne pensais pas pouvoir, mais elle me rend tellement dingue, c'est la première fois que je ressens ça pour quelqu'un.
- Tu es mon trou à bite, maintenant. Tu m'appartiens ! Compris ?!
- Oui
- Oui qui ! fais-je en la giflant.
- Oui maitre.
- Tu es à moi, rien qu'à moi. Personne d'autre n'aura le droit de te toucher sans mon autorisation. Tu es ma chose, mon jouet, ma poupée gonflable, mon vide couille perso.
- Oui maitre. Où vous voulez, quand vous voulez, par n'importe quel trou. Utilisez-moi !

Sa pose est vraiment trop bande. Les jambes retenues à l'air comme ça, pour s'offrir comme un objet. Je l'attrape par les cuisses et les presses contre son torse pour que son cul se relève encore un peu. Je l'encule jusqu'au raz des couilles. On entend le claquement à chacun de mes allers-retours. Je la fourre brutalement sans me soucier d'elle. De toute façon, je sais qu'elle n'arrête pas de jouir, alors je n'ai pas à m'en faire. Je suis son maitre qui prend ce qu'il veut.

Au bout d'un moment, je lui écarte les jambes. Elle lâche sa propre prise. Je me penche vers elle pour l'embrasser. Elle me rend un chaud baiser avec la langue ; passionné, affamé. Ma bouche a faim de ses seins. Je lui suce les tétons puis les lui mordille. Je les tire avec mes dents. Elle gémit bruyamment. Quand je commence à m'en lasser, je m'allonge sur le lit et lui ordonne :
- Viens, viens me chevaucher de dos. Empale-toi sur ma queue.
- Par quel trou ?
- À ton avis, pauvre conne ?!
Elle se met en place dos à moi et descend lentement en me faisant entrer dans son cul.

- Allez, remue, sale pute, fais- je lui donnant une fessée. Montre-moi combien tu veux ma bite.
- Je la veux, maitre.
- Alors montre-moi !
Elle bondit sur ma bite comme une chienne en manque. Je grogne de bonheur. Elle est en transe, elle me veut dans son cul. Je ne pensais pas qu'une femme puisse autant aimer avoir un gros chibre dans l'anus. Elle a peut-être vraiment un grain, mais mon dieu, bordel, surtout, qu'elle ne se soigne pas !

Je passe une main sur sa chatte et lui caresse les lèvres gonflées. Je la laisse languir un instant avant de m'attaquer à son clitoris.
- Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle.
- Tu aimes, salope ?
- Ouiiiiiiii !
Plus je continue, plus ses mouvements deviennent erratiques, désordonnés. Sa cadence ralentit.
- Hey, ne t'arrête, c'est clair ?! Je ne t'ai pas dit d'y aller moins vite !
- Aaaaaaaah !
- Qu'est ce qui t'arrive ? Tu vas jouir, encore ?
- Ouiiiiiiiii !
- Tu es sûre que tu l'as bien mérité ?!
- Pitié, maitre, ouiiii ! Laissez-moi jouir, je l'ai bien mérité, j'ai été très sage !
- Je n'en suis pas convaincu. Tu veux qu'on parle de ton retard ?
- Pitié ! Je ferais tout ce que vous voudrez !
- Vraiment tout ?
- Ouiii !
- Alors d'accord, tu peux jouir.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Et là revoilà emporter par un nouvel orgasme. Elle en a eu combien depuis le début ? Je n'en reviens pas. Je ne sais plus depuis combien de temps on baise, j'ai perdu la notion du temps, mais cela devient vraiment difficile de me retenir. J'ai bien envie de la rejoindre. J'essaie de jouer les mâles super endurant, mais bordel, j'ai trop besoin de me soulager. J'ai un trop plein de sperme qui ne demande qu'à sortir.

Elle n'en peut plus, je le sens. Elle est complètement sonnée, elle n'arrive plus à remuer du bassin. Si elle croit que je vais la laisser récupérer, elle se trompe. Je pose mes mains sur ses hanches et lui donne moi-même des coups de bite. Elle crie de nouveau alors qu'elle venait à peine de s'arrêter. Mes voisins doivent en avoir marre de l'entendre, je suis étonné que personne ne soit pas déjà venu toquer à ma porte. À moins qu'elle fasse tellement de bruit que je n'ai rien entendu. C'est ça, ou ils se branlent en imaginant être à ma place. En tout cas, je crois que je suis en train de me forger une nouvelle réputation dans mon bâtiment.

Je lui ramone l'anus de toutes mes forces. Elle beugle comme une chienne qu'on égorge à me suppliant de continuer. Je m'essouffle tant il m'est difficile de soutenir le rythme. J'ai juste trop faim de son cul.

- Aaaaaaaaaaah !
- Prends, ma pute ! Prends ! Espèce de salope ! T'aime ça, hein ?
- Ouiiiiiii !

J'ai l'impression qu'elle n'a pas cessé de jouir depuis tout à l'heure. C'est vraiment possible un orgasme aussi long ? J'arrête mes coups de queue que quand je ne trouve plus l'énergie de continuer. Elle a enfin un moment de répits et commence à s'apaiser. Elle s'écroule sur moi. Son souffle est court, ses yeux sont à moitié clos. On dirait qu'elle va s'évanouir. Elle a peut-être eu son compte, mais pas moi. J'ai besoin de me finir.

Je ne lui laisse pas le temps de récupérer que lui ordonne :
- Descends du lit et mets-toi à genoux.
Elle s'exécute mais trop lentement à mon gout, je l'aide pour aller plus vite. Je me branle furieusement devant son visage. Elle sait ce qui va arriver, mais je lui explique quand-même :
- Je vais te souiller et marquer mon territoire sur ta petite gueule, salope !
- Oh oui, maitre, couvrez-moi de votre foutre !

Elle le dit comme si elle le pensait vraiment, en transe. Je m'astique comme un malade pour m'achever. Ça m'a rendu fou de voir tous ces mecs se décharger sur elle hier. Ils m'ont rendu jaloux, je voulais les rejoindre. Je veux prendre ma revanche. Je veux la salir. Détruite l'image de la petite Charlotte gentille de tous les jours pour celle de la grosse pute dégoulinante de ma semence.

- Oh oui, je vais te couvrir si fort que les autres males qui oseront t'approcher sentiront mon odeur et sauront que tu m'appartiens, lui dis-je.
Elle vient me lécher le gland sans se servir de ses mains. Elle descend même jusqu'à mes couilles pour les titiller.
- Je veux votre sperme, maitre, dit-elle le nez dans mes boules. Pitié. Giclez pour moi !
Ce sont plus que de simples phrases dites pour m'exciter. Elle semble vraiment assoiffée de sperme. Elle se comporte comme une petite chienne qui attend impatiemment qu'on la nourrisse. Elle se tortille dans tous les sens, elle ouvre la bouche en sortant la langue, elle gémit comme un animal. Je n'en peux plus de la voir comme ça. Je craque, je sens ma sève monter.

- Oooh, ça y est, ça vient !
- Oui ! Oui !
- Allez, petite pute, prépare-toi à recevoir ta récompense !
- À moi ! À moi !

Je sens que je vais jouir comme un tremblement de terre. J'ai l'impression qu'il y a trop de sperme qui veut sortir en même temps pour un si petit conduit. Mon cœur s'arrête une seconde, puis j'explose enfin. Je lui envoie une énorme giclée de foutre en plein sur la figure. Elle la reçoit en souriant, la gueule grande ouverte, comme une gamine qui viendrait de recevoir son cadeau de noël.

J'expulse d'autres jets tout aussi copieux. Je l'arrose de sperme collant. Elle en a partout sur le visage. Sur le front, sur le nez, les joues, et même dans les cheveux. Je me vide les couilles comme je ne me suis jamais vidé. Je n'ai jamais baisé ni éjaculé aussi fort. J'ai la sensation de découvrir l'orgasme pour la première fois de ma vie. Je me soulage sur elle l'équivalent d'un an de frustration sexuelle. Toutes les fois où je me suis branlé en pensant la sauter. La réalité à dépasser mon imagination. Je décharge tout ce que j'ai sur sa gueule d'ange comme le dernier des enculés jusqu'à ce que je sois à sec. Elle n'a pas fermé les yeux une seconde comme si elle ne voulait ne rien rater du spectacle. Je suis complètement sonné, vanné. Je retrouve la mémoire en la regardant maculé de ma semence. Elle coule de partout. Des filets glissent sur ses seins jusque sur son ventre.

- Oh, maitre, me dit-elle d'un air satisfait.

Plus qu'une déclaration, sa phrase sonne comme une promesse. La promesse d'être ma chienne. Je suis moi-même content de ma prestation. C'était incroyable. J'ai réalisé des choses dont je ne me croyais pas capable, et je ne regrette rien. Quelque chose me dit que ce n'était que le début.

- J'ai été bonne, maitre ? demande-t-elle.
- Parfaite, Charlotte. Parfaite.

Elle semble heureuse de ma réponse.
- Je peux aller prendre une douche maintenant ?
- Pas question. Tu ne te rhabilles même pas. Tu restes comme ça, à poil. Et dès que l'envie me reprend, je te resaute, c'est clair ?
- Oui maitre.
La soirée n'est pas encore terminée.
