Émilie, directrice et traînée de lycée - 17
Donc, durant cette première semaine de vacances, je suis allé tous les jours me faire sauter chez Laurent. Rien de bien original à raconter (pipes, pénétrations, sodomies, éjacs en divers endroits...) à part le fait que pour la première fois depuis des années, y compris depuis que je baisais presque tous les soirs, j'ai passé une nuit entière avec un homme. Je suis repartie dès le lendemain matin mais je dois avouer que passer la nuit dans les bras d'un homme était agréable. Même si celui-ci vous doigte le cul en guise de réveil !

La deuxième semaine fut plus originale car nous sommes allés en « vacances » à Paris, où personne ne risquait de me reconnaître. Là, nous avons testé beaucoup de choses nouvelles, toutes très perverses et essentiellement axées sur mon entrainement anal ! Il serait très long et également « hors sujet » vis-à-vis de mon histoire de vous raconter en détail cette folle semaine, mais je peux en faire un résumé.
J'ai testé pour la première fois un club échangiste dans lequel je me suis fait baisé par un inconnu d'au moins 65 ans pendant que sa bien plus jeune et magnifique femme se faisait défoncer par Laurent, ravi. Ce n'était évidemment pas moi qui avais choisi ce couple mais Laurent. Lui, le vieux et sa femme semblaient tous satisfaits par l'échange... sauf moi qui me suis faite baisée minablement par un fossile !

J'ai aussi connu les joies de l'exhibitionnisme dans un sex-shop où j'ai testé un vibromasseur devant les autres clients, vibro qui m'a ensuite été généreusement offert !

Dans le même sexshop, mais le lendemain, j'ai été invitée par le gérant à descendre au sous-sol pour découvrir les gloryholes ! Pendant une heure, j'ai ainsi sucé toutes les bites qui passaient par les trous aménagés dans la petite pièce.

Après un stade où j'ai trouvé ça particulièrement avilissant, j'ai finis par me prendre au jeu et même y prendre beaucoup de plaisir car, pour la première fois depuis longtemps, je faisais ce que je voulais des bites qui s'offraient à moi. Je suçais celles qui me plaisaient et branlais du bout des doigts celles à l'hygiène douteuse...

Je me suis enfilé aussi quelques queues de beaux calibres pour mon propre plaisir en contrôlant le rythme de la pénétration de A à Z.

Régulièrement, Laurent, resté à l'extérieur de la pièce, me demandait des nouvelles par texto et je lui répondais par quelques photos explicites.

Je n'ai pas pu tenir le compte des queues que j'ai soulagé mais il y en a eu plus d'une dizaine, c'est certain. Je suis ressortie de la pièce sous les applaudissements des derniers clients, du gérant et de Laurent, manifestement fier de moi. J'étais moi-même comblée, au propre comme au figuré car j'avais fait jouir les queues à peu près partout où c'était faisable : dans ma bouche, sur mon visage, sur mes seins, sur mes fesses, dans ma chatte, dans mon cul ou encore tout simplement dans mes mains.


Pas ou peu de goutes n'étaient tombées au sol et j'en étais fière !
J'ai également été offerte par Laurent à des inconnus qui m'ont enculé à la chaine, dans un parking d'un quartier assez glauque.

Pendant toute la soirée, des mecs se sont succédé, m'ont sodomisé, ont jouis dans mon cul (et dans leur préservatif fourni généreusement par Laurent) et sont repartis.

Seul mon cul a été pénétré durant cette soirée, malgré mes supplications pour qu'ils me baisent la chatte et me fassent jouir. Clairement, Laurent voulait que je ne sois qu'un trou et m'a uniquement considéré comme tel.
Nous sommes également allés dans un vieux cinéma porno, comme on en trouve plus qu'à Paris où j'ai commencé par branler Laurent, à sa demande.

Ce petit jeu n'ai pas passé inaperçu et, comme Laurent s'avait sans doute souhaité, des mecs sont venus s'assoir à coté et derrière moi. Je me suis donc faite touchée et doigtée par divers inconnus pendant tout le film.

Puis, trop excité pour en rester là, Laurent m'a entrainé dans les toilettes du cinéma pour me baiser. Et alors qu'il m'enculait sauvagement, nous avons été rejoints par plusieurs mecs de la salle, ceux qui m'avaient touché ou qui avaient assistés à la scène sans pouvoir y participer, qui nous ont regardés en se branlant.

Etre ainsi baisée devant plusieurs inconnus m'excitait terriblement et mes cris de plaisir ne sont pas passés inaperçu dans un cinéma, lieu par définition assez silencieux... Une bonne partie de la salle a fini par nous rejoindre pour nous mater et les toilettes sont vite devenues trop petites pour tout ce monde. Laurent m'a donc entrainé dans la salle principale et là, tous les mecs se sont vidés les couilles sur mon visage dans un bukkake géant !

Soumise à mon maitre et toujours aussi excitée par la situation, je me suis totalement laissée faire et me suis fait recouvrir le visage, éjaculation après éjaculation.

Pour respirer, je devais régulièrement dégager ma bouche et mon nez du sperme qui les recouvrait et avalait au passage de grosses gorgées de foutre.

Mais le flot de s'arrêtait jamais et ces mecs, les uns après les autres, continuaient de me recouvrir, pour mon plus grand plaisir et celui, je l'imaginais, de Laurent.

Inlassablement, ils recouvraient chaque centimètre carré de mon visage, et, inlassablement, je dégageais mon nez et ma bouche pour ne pas étouffer. Alors que j'ouvrais la bouche pour respirer, certains se vidaient directement dedans, m'obligeant à avaler encore et encore leur semence tiède.

Ce bukkake, le premier d'une longue liste pour moi aujourd'hui, a duré je pense une bonne demi-heure car tout le cinéma y est passé ainsi que d'autres mecs, sans doute contactés par le gérant de la salle et spécialement venus pour l'occasion, car il ne me semblait pas qu'il y avait, à la base, autant de monde pour regarder le film... Toujours est-il que mon visage était intégralement recouvert par une épaisse couche de sperme, ainsi qu'une bonne partie de mes cheveux et de ma poitrine.

Je suis sortie de la salle avec un sourire radieux, sous les applaudissements de tous ces inconnus qui venaient de m'humilier d'une manière tout à la fois dégradante et excitante, toujours enduite de foutre et incapable d'ouvrir les yeux. Laurent a absolument tenu à me laisser dans cet état le plus longtemps possible, en fait jusqu'à notre hôtel où j'ai enfin pu me doucher.

Après cette folle soirée, où je n'ai finalement pas pu jouir ni être baisée comme je le voulais, j'ai demandé à Laurent de nous trouver d'autres lieux d'exhibition. Il m'a ainsi défoncée sur un terrain vague devant une dizaine de mec qui regardaient avec plaisir. Dans le public il y avait un couple et j'ai eu ainsi l'occasion de lécher les énormes seins de la femme, une magnifique brune typée maghrébine, pendant que son mari se paluchait.

En fin de semaine, n'ayant pu trouver d'autres occasions de m'humilier ou de m'exhiber, Laurent s'est contenté de m'inscrire à un concours de strip-tease dans une boite de nuit où j'ai montré mes seins, ma chatte et mon cul à une flopée de pervers qui me glissaient des billets et des doigts à divers endroits de mon anatomie. J'ai finalement échoué à la troisième place à l'applaudimètre.

En plus de mon petit chèque de récompense, j'ai eu l'honneur d'être offerte au patron de la boite par Laurent, m'offrant ainsi, et surtout enfin, ma première double pénétration de la semaine !

La veille de repartir chez nous, Laurent m'a fait rencontrer un homme, un black immense dont la queue était gigantesque, car il souhaitait toujours m'entrainer activement au niveau de mon petit cul et l'habituer aux pénétrations multiples et aux gros calibres. Et il est vrai que l'on trouvait plus d'hommes noirs, et pervers, à Paris qu'au fin fond de la cambrousse bretonne où je travaillais ! Cet homme est donc passé à notre hôtel et a reçu comme consigne de ne s'occuper que de mon cul... Ce qu'il a fait avec passion...

... et dans toutes les positions...

... jusqu'à ce que Laurent estime que mon cul était assez dilaté et défoncé pour ce soir et qu'il l'autorise à jouir.

Le lendemain, dans la journée, cet homme rappelait Laurent pour un nouveau rendez-vous avec d'autres amis à lui, tout aussi bien membrés, pour « m'entrainer encore ». Laurent, ravi d'une telle opportunité de dernière minute, a évidemment accepté et a repoussé l'heure de notre voyage retour. Et donc, juste avant de retrouver une vie plus normale, j'ai été prise en gangbang par 5 mecs noirs sur-membrés qui m'ont défoncé comme jamais, faisant passer mes orgies avec Antoine, Florian et Laurent comme de la broutille !

Laurent, lui, n'a pas participé au gangbang, sans doute gêné d'être le moins membré, et de loin, du groupe. Il s'est contenté de me regarder me faire ravager en donnant des instructions aux blacks pour qu'ils me défoncent le cul le plus efficacement possible. Il contrôlait d'ailleurs régulièrement mon « degré d'ouverture » et leur demandait de continuer tant que la taille de mon anus ne lui convenait pas ! Il voulait que je sois ouverte...

... encore plus ouverte...

... toujours plus ouverte...

... ouverte au point où n'importe quoi pourrait rentrer dans mon cul, en particulier 2 bites en même temps, car je savais bien que c'était la double anal ratée de l'autre jour qu'il avait en tête !

D'ailleurs, alors que je montrais à Laurent à quel point mon anus était détruit, les 5 blacks ont proposés d'eux même de tenter une double anale. Mais j'ai été immédiatement terrifiée à l'idée de tenter cela avec de si gros calibres et Laurent lui-même a préféré décliner. Les mecs, comprenant très bien l'objectif de Laurent ont alors proposé d'essayer ça avec des vibromasseurs, de taille beaucoup plus modérées. Et c'est donc avec 2 vibros bien enfoncé dans mon cul par Laurent lui-même que s'est fini ce gangbang...

... après, bien sûr, que les 5 lascars m'aient rempli le gros intestin de leur sperme, les uns après les autres. Nous les avons ensuite chaleureusement remercié pour ce moment et sommes retourné à la voiture de Laurent pour, enfin, quitter Paris. Voyage retour qui fut d'ailleurs assez pénible puisque j'avais très mal au cul et parce que Laurent avait refusé que je passe aux toilettes pour me vidanger le colon. Je suis donc montée dans la voiture avec le cul plein de foutre mais j'ai été évidemment incapable de le retenir indéfiniment, vu mon niveau de dilatation, et j'ai finis pas le relâcher dans ma culotte. J'ai donc baigné dans le sperme durant le trajet retour !

Ah oui, pour finir, sur le chemin et alors que je suppliais Laurent pour qu'il s'arrête afin que je pisse et que je me nettoie l'entrejambe, il n'a accepté qu'à condition que j'aille sucer un routier qui pissait au bord de la chaussée, sur une petite aire d'autoroute. J'ai accepté et j'ai alors découvert que le gout de l'urine, même à l'état de gouttes résiduelles au bout d'un gland, pouvait être bien pire que ce que j'avais déjà gouté jusque-là ! Après que ce gout de pisse soit passé, la pipe est devenue plus agréable, surtout pour lui en réalité. Le routier se laissait tranquillement pomper en râlant de plaisir et a même pris un appel de sa femme pendant que je le pompais et a raccroché en lui disant « je t'aime » alors qu'il jutait dans ma bouche.

Après le départ du routier, soulagé, j'ai pu enfin me nettoyer et faire ainsi en sorte que le reste de chemin soit plus agréable.
Et me voilà donc de retour chez moi après une semaine de soumission et de débauche totale, prête à attaquer un nouveau trimestre de débauche sexuelle.
A suivre...