Vies de profs - 2 : La rentrée de Nicolas
D'après [http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/philo-troublante-lyceenne-sujet_21220_1.htm]
Âgé de 28 ans, Nicolas enseigne depuis deux ans l'amour de la sagesse au lycée à des terminales. C'est donc la troisième année qui commence pour lui, et comme à chaque rentrée, c'est le gros coup de stress ! Il a toujours peur de buter sur un mot le premier jour ou pire, se ramasser devant la classe en trébuchant. Il passe une quasi-nuit blanche et attends avec une certaine hâte le lendemain soir pour pouvoir décompresser, avec Maria-Helena, qui est pour ainsi dire sa « compagne charnelle ».

Pourtant, à l'heure du retour au lycée, il stresse un petit peu. Au réveil, il passe un peu de temps à s'habiller : une chemise et une veste classe, afin de montrer une belle apparence.

Pour le premier cours avec sa nouvelle classe de Terminale, il essaie de surprendre un peu son auditoire en le faisant s'étonner sur le monde dans lequel on vit. La philosophie commence par l'étonnement, c'est l'idée de base de ce premier cours, idée qui d'ailleurs a été largement véhiculée par les illustres Platon et Aristote. En même temps, son job ne consiste pas à apporter quelque chose à l'histoire de la philosophie, mais à transmettre son savoir en la matière, en essayant évidemment de le faire de façon claire et dynamique.

Car, Nicolas a beau être professeur et avoir une dizaine d'années de plus que ses élèves, cela ne l'empêche pas d'être un homme à part entière, et de trouver certaines d'entre elles plus que désirables. C'était déjà le cas les années précédentes, et cela semble bien parti pour cette nouvelle année.

La séduction va dans les deux sens, car Nicolas a son petit succès avec la gente féminine, sa condition d'enseignant, de surcroît dans une matière aussi mystérieuse que prestigieuse, accentue ledit succès. Évidemment ça ne va pas plus loin : il ne concrétise rien. Evidemment, certaines filles lui font vaguement fait du gringue, il ne répond pas à leurs avances : c'est un jeu plus que dangereux !

Pour revenir aux demoiselles de cette nouvelle « cuvée », plusieurs d'entre elles sont assez séduisantes, environ trois ou quatre, mais il y en a surtout une qui sort du lot. Nicolas essaie de ne pas trop appuyer ses regards pour ce premier cours, mais ce qu'il peut voir subrepticement lui plaît plutôt bien : une jolie brune, taille moyenne, jolie de visage, et plus que bien roulée pour ne rien gâcher. Et comme en plus la belle a l'air de s'habiller plutôt serrée, le professeur peut se faire une idée assez précise à ce sujet.

Son décolleté notamment s'avère franchement alléchant. En faisant l'appel, Nicolas apprend que la fille en question s'appelle Marion.

Nicolas espère quand même qu'elle ne va pas trop le troubler cette année car il risque d'avoir du mal à donner ses cours ! Finalement les deux heures se passent plutôt bien, la classe dans son ensemble a l'air plutôt sympathique, et a semblé attentive à ce premier cours.

Après une petite sieste régénératrice l'après-midi, Nicolas invite comme prévu Maria-Helena pour la nuit à son domicile. Cela lui fait en tout cas un bien fou de la revoir : « physiquement », les deux s'entendent à merveille, sans engagement, sans sentiments amoureux, simplement un savant mélange de désir, d'affection et de respect. La retrouver après cette première journée chargée d'émotion lui fait bien plaisir.

La voilà donc qui sonne : Nicolas ouvre et lui fais la bise, histoire de démarrer en douceur. Il a le plaisir de voir que Maria Helena a opté pour une de ces robes dont elle a le secret, qui met divinement en valeur ses formes voluptueuses...

Cette fois-ci Nicolas n'essaie en rien de masquer la fascination que lui inspire la vue de son décolleté provocant.

Il invite, une main sur la taille, la belle à s'installer sur le canapé, et lui sert un verre. Comme elle me questionne au sujet de la rentrée, il lui raconte la première journée, et lui exprime son besoin, après tant de stress, de décompresser.

Elle lui répond avec un air taquin qu'elle ne voit pas du tout où il souhaite en venir.

Les mains de Nicolas vont vite à la recherche des seins de Maria Helena, seins qu'ils apprécient tant. Il libère un sein de sa robe pour pouvoir le dévorer comme il se doit, ce qui inspire quelques gémissements qui ne refroidissent pas franchement l'ardeur du jeune homme. Il enlève maintenant sa robe, qui commence à devenir de trop, et la belle lui ôte son polo et s'attaque à la fermeture éclair de son jean pour pouvoir prendre en bouche ce qui s'y cache.

Comme d'habitude, vu sa dextérité en la matière, c'est un régal : l'engin de Nicolas se sent tellement bien dans sa bouche.

La belle continue les festivités en lui prodiguant une branlette espagnole.

Il faut dire que Maria Helena a vraiment le matériel pour, et comme elle s'en sert à merveille, rien de surprenant à ce que la queue en feu de Nicolas se sente comme un poisson dans l'eau, en captivité entre les deux seins majestueux.

Voyant que Nicolas est déjà proche de la « conclusion », Maria Helena vient s'empaler sur l'engin qui sent la sauce monter de plus en plus.

Alors qu'ils se dévorent la langue de plus en plus, au rythme des différents gémissements respectifs et des coups de queue toujours plus intenses, Nicolas finit par jouir en elle, pour un moment d'extase partagée mémorable.

Les deux jeunes gens restent en place quelques instants, se regardent, avant de se rouler une mini-pelle emplie de tendresse.

Maria Helena prend ensuite la parole :

« -Au fait Nicolas, j'ai une mauvaise nouvelle.
- Ah mince, quoi donc ?
- Je quitte la France demain.
- Quoi ? T'es sérieuse ?
- Oui, j'ai trouvé un job en Espagne.
- Je suppose que c'est une bonne nouvelle, mais bon... En plus tu me dis ça de but en blanc.
- De but quoi ?
- En espagnol, ça doit être « de gol in blanco ». Plus sérieusement, c'est quand même un peu soudain !
- Moi aussi je viens d'apprendre la nouvelle. Et si je n'accepte pas, je m'en voudrai plus tard.
- Ok je comprends. Je suis content pour toi. Mais tu vas me manquer ! On s'amusait bien tous les deux. En plus avec tout le stress que je vais accumuler, je vais faire comment pour décompresser moi ?

- Tu vas trouver d'autres filles, Nicolas. Tu ne vas pas avoir de mal à en trouver, surtout pour ce type de relation. Et peut-être aussi que tu vas rencontrer une fille de façon plus sérieuse ?
- Arrête on en a déjà parlé, je ne veux pas de relation sérieuse.
- Tout le monde veut, Nicolas, même toi.
- Bon en tout cas, si je comprends bien, le temps nous est compté. Alors ne perdons pas une minute et profitons-en ! »

Et c'est ce qu'ils ont fait en faisant l'amour plusieurs fois cette nuit-là.

