L'avocate

D'après [https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,morgane-patronne,34368.html]

Elle attire forcément le regard des hommes avec de belles rondeurs et des courbes douces, dans ses hanches et le dos qui englobent une paire de fesses sublimes. Quand elle passe à côté de moi, dans sa jupe en cuir noire moulante, je ne peux détacher mon regard de sa croupe qui ondule devant mes yeux.



Mon imagination s'affole et mon sexe ne peut rester en place calmement dans mon slip. Evidemment que je désire cette femme, habillé impeccablement, avec des vêtements qui moulent parfaitement son corps tonique. Quand elle se retourne, je remarque le peu de maquillage juste pour ses yeux d'un bleu profond et des lunettes sexy qui pourraient faire sauter mes boutons de braguette si elle me fixait trop longtemps.



La regardant s'éloigner vers sa voiture, j'admire son cul étroitement moulé par sa jupe qui s'incruste même entre ses fesses rebondies. Vachement sexy sur ses hauts talons qui mettent en valeur les muscles galbés de ses mollets, et sa démarche chaloupée qui fait danser son cul d'une manière délicatement féminine, comme le balancier d'une pendule à chaque pas.



Cette avocate qui m'intimidait un peu au début est devenue rapidement un fantasme pour moi, une déesse inaccessible, que je peux simplement admirer de loin.



Lorsque je vais dans son bureau à l'occasion de nos différents entretiens, je regarde la façon dont ses vêtements collent à ses belles courbes.



J'admire ses jambes quand elle les croise en pivotant sur sa chaise.



Quand elle enlève sa veste, j'admire ses petits seins, mais des seins bien ronds, bien fermes qui tendent son chemisier.



Une après-midi, lors d'un entretien, je tourne légèrement la tête et j'ai une vue incroyablement belle. Elle est penchée en arrière sur sa chaise avec ses mains derrière sa tête, regardant le plafond. Moi, ma tête au repos sur ma main, je regarde ses cuisses. Elle ne doit pas aimer se faire bronzer car sa peau est toujours blanche et crémeuse.



Sa jupe juste au-dessus du genou me permet de voir qu'aujourd'hui elle ne porte pas de collants. Je ne peux voir plus haut, mais comme elle s'étire encore, sa jupe remonte plus haut sur ses cuisses.



C'est peut-être mon imagination, mais j'ai comme l'impression qu'elle le fait exprès. Je peux voir maintenant ses cuisses, et mon sexe à un sursaut.



Elle respire profondément par le nez, et les yeux fermés, elle se détend. Après quelques instants, elle bâille et s'étire de nouveau. Cette fois, elle écarte ses jambes encore plus largement et j'ai une vue très claire de son slip blanc. Il est lisse, soyeux et presque transparent, bien tiré
sur la courbe bombée de son pubis.



Mon cœur s'affole dans ma poitrine et j'ai une envie folle de faire courir ma langue sur ses belles jambes jusqu'à ce slip brillant.



Soudainement, elle me sort de mon fantasme pour le passage au tribunal du lendemain :
- Bon, Monsieur , il est temps de rentrer chez soi pour passer une bonne nuit et être en forme demain.



Le lendemain en sortant du tribunal, l'avocate me dit.
- Nous avons gagné !
- Merci madame, c'est surtout vous qui avez été incroyable.
- Non, Monsieur, dit-elle en saisissant mon bras.



- Appelez-moi Marie, me dit-elle en me serrant dans les bras.



Son étreinte me fait frissonner d'autant que nous restons enlacés un moment et je me délecte dans cet enlacement, appréciant cette douce sensation de son corps pressé contre le mien.



J'ai vraiment l'impression que tous les deux nous voulons coller nos corps l'un contre l'autre, mais elle me repousse doucement en disant qu'elle a réservé un hôtel.



Nous sommes arrivés au restaurant de l'hôtel et avons eu de la chance d'obtenir une table malgré l'affluence en cette fin de semaine. Marie me regarde avec ses magnifiques yeux bleus.



Elle commande même du champagne que nous boirons pour le dîner.



Nous trinquons à notre réussite et quant à la fin du repas, je verse les dernières gouttes dans son verre, elle me dit :
- Pourquoi ne pas prendre une autre bouteille de champagne et continuer de célébrer notre succès dans ma chambre.



Très bonne idée, répondis-je, tout heureux de l'accompagner dans sa chambre.



Arrivés dans sa chambre, elle balance ses hauts talons et jette sa veste de tailleur sur le sol. Elle dégrafe le haut de son chemisier et tombe sur son lit. Nous avons plaisanté sur tout et sur rien, tout en se resservant des coupes de champagne. Couchée sur le lit, sa tête posée sur sa main, elle me sourit pendant que nous parlons. Elle est magnifique, sa jupe un peu remontée sur ses cuisses, son chemisier entrebâillé me permettant de voir une partie de seins. Je meurs d'envie de me jeter sur elle pour l'étreindre et l'embrasser, mais je n'ose pas.



Elle me regarde fixement et me dit.

- Ça va Antoine. Moi je crois que j'ai un peu trop bu de champagne...
- Moi aussi... Marie. Je vais vous laisser.



Je suis près de la porte, elle se lève et vient vers moi.
- Vous devez être fatigué Antoine...,
- Oooh, non... je suis très loin d'être fatigué... et...
Je ne sais quoi dire et je pose ma main sur son bras. Elle réagit en respirant fortement à mon contact. Elle se rapproche de moi et pose sa main sur la porte pour m'empêcher de l'ouvrir. Elle est tellement près de moi que je peux sentir son parfum envoûtant et la chaleur qui émane d'elle. Elle me fixe de ses yeux brillants comme pour refuser de rompre le contact avec les miens. Je laisse tomber ma main de son bras à sa taille, juste à l'endroit où sa chemise est rentrée dans sa jupe. Encore une fois, elle respire rapidement tout en léchant sa lèvre supérieure.



- Merci, Marie, pour aujourd'hui... pour tout ? Vous êtes tellement ... tellement... belle... sexy... que... je ne voudrais pas...
Oh Antoine...



Sa respiration est devenue lourde, et je peux presque entendre son cœur battre rapidement. Tout comme le mien qui tape dans ma poitrine.


- Antoine. Je vois bien à quoi tu penses. Tu me désires et ... bon sang... j'aime ça. C'est agréable d'être désirée. Et ça m'excite...



En entendant ses mots, je me décide à agir, quoi qu'il puisse m'en coûter.
Avec ma main toujours sur sa taille, je saisi la ceinture de sa jupe et je la tire vers moi. De mon autre main, je passe mes doigts, derrière son oreille, dans ses cheveux, et j'attire sa bouche sur la mienne, pour l'embrasser avec passion. Après un bref moment de surprise, elle gémit dans ma bouche en enroulant ses bras autour de mon dos, me tirant contre elle. Elle ouvre la bouche et pousse sa langue agressive dans la mienne. Sa langue a un agréable goût fruité de champagne. Ma main glisse sur ses fesses et je peux enfin presser cette chair féminine qui, comme je le pressentais, est ferme sous ma main.



Tout à coup, je me rends compte de ce que je fais car ma queue durcit instantanément et cherche à se redresser dans mon slip. Je suis entrain d'embrasser mon avocate et sa langue fouille adroitement chaque pouce de ma bouche. Je lui palpe de nouveau son cul en la poussant doucement, mais fermement, sur la porte fermée, la clouant sur elle, nos bouches verrouillées dans un ardant baiser.



Je ne pense plus qu'à une seule chose. Je veux cette femme superbe et désirable. Je veux découvrir chaque parcelle de son corps, chaque détail de sa peau dans les recoins les plus intimes.



Je veux la baiser pour lui donner du plaisir.



Soudainement elle arrête de m'embrasser.

- Oh mon Dieu, Antoine !Que fait-on ?

Je m'attends à ce qu'elle me dise d'arrêter mais au lieu de ça, elle plante ses ongles dans mon dos et reprend sauvagement ma bouche. Nos langues se caressent puis elle se met à sucer ma langue comme si elle me faisait une fellation. Lorsqu'elle se détache de moi je reprends ma respiration et je lui dis :
- Je ne sais plus ce que je fais... mais j'attends ce moment depuis si longtemps... très longtemps. Vous... tu me rends fou, Marie.
- Tu cachais bien ton jeu, Antoine
- Par respect, madame.
- Ce soir, c'est Marie et je suis à toi. Prends-moi maintenant !



Elle est penchée en arrière contre la porte avec ses jambes largement écartées. Elle respire vite en me regardant avec un air de défi. Sa poitrine se soulève à chaque respiration et ses tétons dressés se dessinent et pointent outrageusement sous son chemisier légèrement transparent.



Sans un mot, je fais glisser mes doigts entre les boutons de son chemisier pour le tirer hors de sa jupe. Puis, violemment, je fais valser les boutons dans toute la pièce.

- Oooohh, putain ! ouiiiii ! Crie-t-elle.

Je glisse son chemisier sur le bas de ses épaules et j'admire son corps. Je pensais que ses seins étaient petits mais j'ai eu tort. Ses seins sont comme deux pamplemousses, bien ronds, et je distingue un peu ses aréoles au contour sombre qui entourent ses tétons tous durs qui déforment le fin tissu de son soutien-gorge.



Je me penche vers elle pour l'embrasser entre ses seins, pour sentir sa peau douce et parfumée, et je remonte jusqu'à son cou. Elle commence à gémir légèrement quand j'embrasse et lèche sa nuque, ses lobes d'oreilles, et le haut de son dos. Je prends mon temps et je laisse courir ma langue sur son épaule, sur son bras, pour embrasser la chair tendre au creux de son coude.



Puis je m'agenouille devant elle et j'embrasse légèrement son ventre. Il est impeccable, tout comme son cul qu'il me tarde de voir. Je tourne plusieurs fois autour de son nombril avec ma langue, avant de plonger dedans.

-Huuummm... comme c'est gentil, roucoule-t-elle quand je sonde le charmant creux de son nombril et que mes mains passent sous sa jupe pour palper son cul.
Mes mains serrent ses fesses nues sous la jupe car elle doit porter un string. Son cul est chaud et lisse et mes doigts s'enfoncent dans sa chair molle. J'ai envie de retirer son slip avec mes dents, comme je l'ai souvent rêvé, mais je me retiens.



Me relevant, je lui retire son soutien-gorge. Ses seins sont parfaits, accrochés haut sur son torse. Ses mamelons grumeleux, brun clair, entourent de beaux tétons roses et durs. Ma bouche tombe sur son sein droit et je lèche son aréole qui frissonne. Marie se laisse faire, la tête appuyée contre la porte, sans rien dire. Après plusieurs coups de langue encerclant ses tétons je ne peux attendre plus longtemps, et j'aspire dans ma bouche ce merveilleux bouton de chair pour le titiller avec ma langue.



Immédiatement Marie glapit de plaisir.

- AAAaaahh, ouiiiiiii ! Bouffe mes seins !

Ma bouche va d'un sein à l'autre. Je suce, je grignote et je pince ses tétons entre mes deux doigts et mes dents. Elle gémit presque sans arrêt. Je la fais languir car je veux la rendre folle de désir pour moi.



Enfin, je fais tomber sa jupe et j'ai sous mes yeux un petit triangle noir et soyeux, attaché avec une chaînette en soie, qui recouvre sa chatte.

- Tu es une déesse, Marie.
- Merci, mais je vais te faire des choses qu'une déesse ne te fera jamais. Des choses très cochonnes et perverses.
- D'accord, mais pas avant que je t'en fasse.

Je me mets à genoux devant elle et je la saisis par ses hanches. Je lève mes yeux pour les plonger dans les siens, sa chatte à quelques centimètres de mon visage. Elle halète et dit.

- Oui Antoine. Montre-moi tes talents. Je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi, gémit-elle.



Je me penche un peu plus bas et j'embrasse doucement et plusieurs fois l'intérieur de sa cuisse. Elle lève sa jambe et la pose sur mon épaule m'offrant ainsi toute son intimité. Je respire profondément pour sentir l'odeur musquée dégagée par la moiteur de son sexe. Je continue d'embrasser sa cuisse et je m'arrête à un centimètre de son sexe encore caché par son string. Elle laisse échapper un grognement de plaisir mais aussi de déception. Je veux exciter à mort cette femme qui m'a fait tant fantasmer. Je mords doucement dans la chair blanche, douce et crémeuse de sa cuisse et levant mes yeux vers elle je lui murmure.



- Marie, tu as envie que j'embrasse ta chatte ?



Elle fléchit sur sa jambe qui la supporte et dit simplement.

- Oui...
- Non, Marie. Je veux te l'entendre dire.



Sans la quitter des yeux, mon visage face à son pubis, je la défis. Dans son regard et son sourire lubrique je sens un instant d'hésitation mais elle cède à ma demande.


- Antoine.. s'il te plaît... embrasse ma chatte.



Perversement je commence à l'embrasser à travers la soie de son string en sentant ses poils hérissés me piquer légèrement au travers le tissu délicat.



Puis, écartant d'un doigt le bord du string, j'embrasse le haut de ses grandes lèvres intimes avant de passer ma langue sur cette chair épaisse qui tremble sous ma bouche.



- Ooooohhhhhhhh, gémit-elle.



De nouveau je la fixe des yeux et je lui dis.

- Marie, tu veux que je lèche ta chatte ?

Sans hésitation, presque en criant, elle répond.

- Putain ! Antoine ! Lèche-moi ! Bouffe ma chatte ! Tu me rends folle !

En une seconde son string trempé tombe au sol et je le ramasse pour le renifler avant de le jeter au loin. J'ai sous mes yeux sa chatte magnifique. Ses poils pubiens noir frisés sont coupés assez court et forment un rectangle comme une piste d'atterrissage qui s'arrête juste au-dessus du bourgeon qui cache son clito. Je replace sa cuisse sur mon épaule et maintenant j'ai son vagin grand ouvert devant moi. Ses grandes lèvres brunes entourent ses nymphes rose tendre qui ressortent légèrement. Avec mes deux pouces, j'écarte ses grandes lèvres et ses petites lèvres roses suivent le mouvement libérant un épais jus de chatte.



- OOOOoooooohhhh, Antoine ! Dévore-moi !

Je commence à lécher avidement et profondément ses lèvres de chatte pour prendre une gorgée de jus à chaque coup de langue. La source semble inépuisable et sa cyprine claire est sirupeuse, légèrement salée, d'une saveur unique. Je n'ai jamais connu une chatte aussi trempée que la sienne. J'ai vraiment l'impression qu'une source coule constamment du plus profond de son vagin.



Je m'arrête un instant pour la regarder.

- Marie... ta chatte est sublime.
- Ooohh, mais je suis vraiment trop humide.
Bien sûr que non, je savoure chaque goutte de ta fontaine d'amour. J'adore ce nectar et je veux n'en perdre une seule goutte.



J'ouvre largement ma bouche pour prendre entièrement sa vulve et lécher le plus possible de chair à chaque coup de langue. Marie gémit de plus en plus fort et ses genoux fléchissent. Je libère sa chatte de ma bouche, repousse sa jambe de mon épaule, et je l'entraîne vers le lit.



Elle s'allonge sur le lit, écarte ses jambes comme la pire des salopes et elle me temps ses bras.

- Viens Antoine. Baise-moi.

Je la prendrai bien tout de suite mais en regardant sa chatte aux lèvres déployées, j'ai encore envie de la bouffer.



- Oui ma belle salope, je vais te tringler. Mais j'ai encore soif !

Je replonge entre ses cuisses pour passer ma langue dans sa fente ouverte et remonter jusqu'à son clito. Je répète plusieurs fois cette léchouille en prenant ses fesses dans mes mains pour la soulever du lit et l'entendre gémir de plaisir à chaque coup de langue sur son clito en érection. Je lape le jus qui sort de son vagin mais une partie coule le long du sillon de ses fesses. Ses gémissements sont devenus un long râle.



Je lâche son cul et je pousse ses genoux sur sa poitrine. Elle obéit volontiers en attrapant le dessous de ses genoux pour tenir ses jambes et écarter ses cuisses autant qu'elle le peut. J'ai maintenant sous mes yeux, sa chatte et son trou du cul qui est mouillé par son jus de chatte. Je suis avec ma langue le filet de cyprine qui coule de sa chatte jusqu'à ce que j'arrive aux plis si délicats de son trou du cul brun foncé. Je fais tourner ma langue autour de cet œillet humide et je l'entends gémir.



Lorsque je pose ma langue sur le creux de son adorable petit trou pour recueillir la petite flaque de cyprine brillante, je l'entends pousser un petit cri de plaisir, mais aussi d'incrédulité quand je tourne de nouveau autour plusieurs fois avant de pousser le bout de ma langue à l'intérieur. J'ai la tête qui tourne un peu car je viens de réaliser un autre de mes fantasmes que jamais, dans mes rêves les plus fous, j'ai imaginé faire à ma patronne. Mais ce n'est plus un rêve, je lèche le trou du cul de Marie avec son beau corps qui frémit sous ma langue. Elle répète plusieurs fois mon prénom en gémissant.



- Ooohhh mon Dieu, Antoine, ooohhh... Antoine, ooohhh oui... ouiiiiii... mon Dieu... Antoine.

Je retire ma bouche de son cul et je la regarde.

- Whaooo ! Antoine! C'est super bon ! Je n'en reviens pas que tu as fait ça !
- Tu as aimé, Marie ?
- Oh putain ouiiii ! C'est incroyable comme sensation.
- Alors je suis bien content de l'avoir fait si tu prends du plaisir à satisfaire mes fantasmes.
- Sale pervers. T'as pas honte de faire ça à ton avocate ?
- Pas du tout ! J'ai adoré et ce n'est pas fini, chère avocate.



Sans rien ajouter, je descends une nouvelle fois sur son vagin et je pousse profondément ma langue dedans pour lécher ses parois intérieures. Maintenant j'ai envie de l'entendre jouir. Je pose ma bouche sur son clitoris et je l'embrasse doucement plusieurs fois avant de le lécher. Rapidement je l'entends geindre de nouveau en murmurant mon prénom. J'augmente la fréquence et l'intensité de mes coups de langue et je sens sa main qui glisse sous mon nez pour, avec deux de ses doigts, écarter ses lèvres vaginales pour me permettre un meilleur accès.



Je glisse mon majeur et mon index dans sa chatte, en haut de son vagin inondé, jusqu'à ce que je trouve un point sensible et qu'elle sursaute et frissonne en se tortillant. Je la caresse doucement avec mes doigts avec le même rythme que je lèche son clito. Mon autre main englobe son sein et je pince son téton tout dur. L'effet est instantané. Tout son corps tremble puis se tend. Ses jambes serrent ma tête et elle écrase sa chatte sur ma bouche. J'aspire son clitoris et je sens ses muscles vaginaux qui se resserrent avant qu'éclate son orgasme, que les spasmes de sa jouissance fassent trembler tout son corps et qu'elle laisse échapper un long cri de jouissance.



- AAAAAaaaaaahhhhhhh... OUIIIIIiiiiiiiiiiii...

Sachant, qu'il ne faut pas exercer trop de stimulations sur son clitoris maintenant engorgé de sang et hypersensible, je lèche légèrement son clito, tout doucement, pour entretenir sa jouissance, jusqu'à ce que ses convulsions diminuent et que lentement elle se calme. Lorsqu'elle se laisse aller sur le lit en soupirant, je retire mes doigts lentement de sa chatte et je me couche à côté d'elle. Elle se redresse et elle m'embrasse passionnément. Puis elle passe sa langue autour de ma bouche et sur mes lèvres pour déguster son jus de chatte qui les recouvre. Elle prend aussi ma main pour lécher mes doigts trempés de son nectar. Je deviens fou en la regardant sucer avidement mes doigts enfoncés dans sa bouche avant de plonger de nouveau sa langue parfumée dans la mienne. Après un long baiser, elle me repousse et elle me dit :
- Antoine...Antoine, c'est incroyable. C'est la première fois que l'on me bouffe la chatte comme ça pour me faire jouir. Le formidable plaisir que ça peut procurer.
- Tu n'es pas sérieuse...



- Oohh, si ! Tous les hommes n'apprécient pas de déguster une chatte comme tu l'as fait.
- Les pauvres ! Ils ne savent pas ce qu'ils perdent car ta chatte est vraiment succulente.



- Merci Antoine. Tu es doué pour les cunnis. Mais regarde, je suis nue et tu es encore habillé ! A moi de m'occuper de toi !
Je fais ce qu'elle me demande. Elle rampe vers moi sur le lit, la croupe ondulante comme une petite chatte en chaleur, avec un petit sourire sur son visage qui en dit long !



Marie semble apprécier ce qu'elle voit et une de ses mains caresse mon sexe en pleine érection. Je n'ai pas une grosse bite comme dans certaines vidéos du Net cependant elle semble impressionnée.



Elle passe sa main dessous pour prendre mes couilles dans sa paume et en souriant, elle me dit :

- Belle bite, Antoine. Oui, elle me plaît bien...



Elle me branle légèrement et levant ses beaux yeux vers moi, avec un sourire malicieux, elle me dit.

- Alors Antoine... tu veux que je suce ta belle bite ?
- Marie... j'en rêve !



Elle enveloppe ses doigts sur la base de ma bite, se penche pour mettre mon gland devant sa bouche, et elle l'embrasse à plusieurs reprises. Du pré sperme scintille sur ses lèvres qui lèchent toute la longueur de mon sexe. Quand elle arrive en bas, juste au-dessus de mon scrotum, elle l'embrasse avant de caresser de sa langue le dessous de ma bite. En m'entendant gémir, elle relève sa tête, sourit, puis elle ouvre sa bouche pour gober mon gland.



Je geins plus fort sous le plaisir qu'elle me donne quand elle suce le bout de ma bite tout en utilisant sa langue pour encercler et masser mon gland. Puis, lentement, elle commence à prendre ma queue de plus en plus dans sa bouche. Pendant que mon pénis s'enfonce lentement comme si elle l'aspirait, sa langue tapote le dessous de ma bite. Je me suis déjà fait sucer la queue plusieurs fois, mais jamais je n'ai ressenti les sensations que Marie me procure. Elle me regarde, et malgré mon sexe qui remplit sa bouche, je peux quand même voir un petit sourire sur les côtés de ses lèvres.



Ma queue va de plus en plus profondément dans sa bouche, jusqu'à ce que je sente mon gland buter sur sa gorge. Elle retire sa main de la base de ma bite, prend une profonde inspiration par le nez, et elle enfourne complètement mon sexe dans sa bouche avec mon gland dans sa gorge et ses lèvres sur mon scrotum.



Elle a maintenant ma bite tout entière dans sa bouche et dans sa gorge. Elle laisse échapper un long gémissement de satisfaction qui vibre tout du long de ma queue et contre mes couilles. Je gémis de plus en plus fort car mon corps est traversé par des petites décharges électriques lorsqu'elle attrape mon cul avec ses deux mains pour me tirer vers elle et me forcer à aller encore plus loin dans sa gorge.



Je n'arrive plus à me contrôler et je gueule.

- OOOoohhhh, Putain ! Marie ! Tu suces beaucoup mieux qu'une pute !

Heureusement qu'elle a mon sexe dans sa bouche car je me rends compte que je viens de la traiter comme une pute ramassée dans la rue près de l'hôtel. Elle laisse ma queue glisser hors de sa gorge, mais elle continue d'aspirer mon gland en me souriant.



Ouf... elle n'a pas fait attention... ou ça ne la gêne pas. Elle referme ses yeux et reprend sa turlute avec ardeur. Sa bouche se déplace rapidement, d'avant en arrière sur mon gland prisonnier de ses lèvres rouges, avant de prendre encore ma bite profondément dans sa gorge et refaire le chemin en sens inverse en léchant merveilleusement ma queue. Elle recommence son manège plusieurs fois avec une de ses mains sur mon cul et l'autre qui enserre mes couilles. La sensation est incroyable.



Je gémis en disant son nom.

- Marie, oooohhhh, Marie... Marie ouiiiiiii...



Je sens que je ne vais pas résister bien longtemps si je ne l'arrête pas. Je prends son visage entre mes mains et je le repousse doucement de ma queue. Dès qu'elle s'échappe de sa bouche, je me penche pour l'embrasser sauvagement en poussant ma langue qu'elle masse comme elle suçait ma queue. Baiser voluptueux où nos langues se flagellent ou se caressent un moment avant que je m'échappe de ses lèvres gourmandes.

- Marie, nous devons faire l'amour. J'ai tellement envie de toi.
- Ouiiii, Antoine, baise-moi maintenant.



Je prends sa tête dans mes mains, savourant sa réponse crue, mais claire. Elle ne veut pas faire l'amour elle veut se faire baiser. Son regard dégage une lubricité que je n'aurai jamais soupçonnée chez l'avocate. Presque brutalement, je la pousse sur le lit.



- Oooh, putain ! Oui ! Je vais te baiser !
- C'est ça que tu as envie... Tu veux baiser ton avocate, minaude-t-elle en reculant vers la tête de lit, loin de moi.
Je rampe sur le lit pour la suivre, comme un tigre traque sa proie.
- Tu sais ce que je vais te faire ? Ce que je veux ?
- Oh oui, tu veux posséder mon corps... tu veux t'enfoncer dans ma chatte...
- Ouiiii, je veux sentir avec mon sexe ta chatte qui est si délicieuse.
Elle s'allonge sur le dos et écarte ses jambes. Je glisse entre elles et je commence par embrasser ses cuisses.
- OOOOooohhh, Antoine, tu veux faire ça maintenant ? Tu veux mettre ta bite dans ma délicieuse chatte ? C'est bien ce que tu as dit, Antoine ?
Je sens bien qu'elle joue avec moi, qu'elle essaye de reprendre une certaine autorité sur moi. Ça ne me dérange pas du tout car elle est tellement sexy en faisant cela. Elle a dû ressentir une certaine vulnérabilité quand je l'ai fait jouir avec ma langue et mes mains et qu'elle a eu un terrible orgasme. Maintenant elle veut réaffirmer son autorité voir une certaine domination. C'est une avocate et je serais même son esclave si c'est son bon plaisir. Ma tête entre ses superbes cuisses, à quelques centimètres de son sexe, je lève mes yeux pour la regarder et lui dire.
- Oui, avocate votre sexe est une putain de chatte délicieuse.
Mes yeux quittent les siens brillants de désir et ma bouche se pose sur sa chatte humide. Je pousse ma langue aussi loin que je peux dans son vagin et son jus commence immédiatement à affluer dans sa grotte d'amour. Je la lèche vigoureusement pendant quelques instants, mais son sexe trempé et gonflé est déjà plus que prêt à se faire baiser. J'embrasse sa chatte une dernière fois et je remonte sur son corps en faisant courir ma langue sur son ventre, sur ses seins, jusqu'à son cou.



Mais elle attrape ma figure avec ses deux mains pour m'embrasser et lécher son jus. Puis en enroulant ses jambes autour de moi, sans serrer mon corps, ses yeux plongent dans les miens et elle me dit d'une voix douce, très douce, mais volontaire,
- Prends-moi, Antoine.
Je bouge mes hanches à plusieurs reprises pour frotter ma bite entre ses lèvres vaginales pour bien la mouiller avec son jus, avant de placer mon gland chaud et lisse entre ses grandes lèvres, et pousser doucement mon sexe dans sa chatte brûlante. Tous les deux, nous retenons notre souffle, anticipant avec impatience, cette union merveilleuse de nos deux sexes. Je sens ma queue séparer ses petites lèvres intérieures qui glissent doucement sur mon gland pour m'offrir l'ouverture de son vagin. Mes yeux dans les siens, je sais que je vais réaliser mon fantasme que je croyais impossible de vivre un jour. Baiser mon avocate, baiser Marie.



Sans rompre notre contact visuel, je pousse mes hanches doucement vers l'avant, et je force l'ouverture de sa chatte pour glisser lentement dans le ventre de ma patronne, centimètre par centimètre. Marie reprend sa respiration qu'elle a bloquée pendant ma pénétration et elle gémit en même temps que moi.
- OOOOooohh, Ouiiiiiiii, Antoine...
- Marie ! Ooohhhhh, mon Dieu...



Mon sexe est complètement englouti par sa chatte brûlante et je savoure quelques secondes cet instant unique qui hantait mes rêves érotiques. Je me retire lentement sans sortir de son sexe et je repousse ma queue dans cette gaine si douce, si chaude. Marie gémit de nouveau en prononçant mon prénom et ses mains se crispent sur ma taille.Tout en commençant à la baiser à coups de bite longs et profonds, du bout de mon gland à la base de mon pénis d'une dureté jamais atteinte avant ce jour, je mets mes deux mains sur ses seins pour les presser et les repousser vers le haut.



Elle enroule ses mains autour de mon cou quand j'augmente le rythme de mes coups de queue pour s'en servir d'ancrage et bouger ses hanches afin de s'emmancher le plus loin possible à chacune de mes poussées, dans un claquement humide. Je la pilonne maintenant comme un marteau-piqueur avec l'unique pensée que je baise cette putain de femme, mon avocate, que j'ai désirée pendant des mois.



Marie se lâche totalement et elle me dit des choses qu'elle n'imaginait sûrement pas me dire, ou dire un jour à un homme.

- Ouiii, Antoine, plus fort ! Ouiiii, bien à fond ! Putain qu'elle est bonne ta queue. Pourquoi on n'a pas fait ça plus tôt ! T'as une grosse bite qui remplit bien ma chatte mon salaud ! OOOoohhh, je te sens bien !



Jusqu'à maintenant je me passais bien de commentaires pendant un rapport sexuel, mais avec Marie c'est très différent. Tout d'abord, je sens que ça vient du cœur... ou de son ventre qui se crispe sans arrêt suivant les mouvements de mon pénis. Mais ce qui m'excite le plus c'est la différence de son comportement entre son langage professionnel et la Marie sexuellement active qui se trouve sous moi.



Elle n'a jamais dit, ou fait quoi que ce soit, qui aurait pu me révéler qu'elle avait un côté salope qui cachait une lubricité latente prête à exploser. Toutes ses pensées font que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps et je retire ma queue inopinément du sexe avide de Marie.



Je veux garder le contrôle mais Marie s'écrie.

- Ooooh, Non ! Ne te retire pas ! Reviens dans mon con ! Baise-moi encore !

Avec un sourire vicieux je lui réponds :
- Désolé Marie, tu n'es plus mon avocate. C'est moi qui commande maintenant
Surprise une fraction de seconde, elle sourit et d'une voix soumise elle dit :
- OK, patron, qu'est-ce que vous voulez me faire ensuite ?
Sur cette question, elle redresse ses jambes, tire sur ses genoux pour bien écarter ses cuisses et présenter sa jolie chatte grande ouverte devant mes yeux. De toute évidence, elle est à l'aise dans ce jeu érotique. Je prends une profonde inspiration pour sentir le parfum aphrodisiaque de sa cyprine avant de lui dire.
- C'est le moment de monter sur ton étalon, Madame.
Elle a une sorte de roucoulement de gorge en se glissant sur le côté pendant que je m'allonge sur le dos, ma bite en l'air. En se mettant en position de cavalière, elle me surprend en tombant sur moi pour prendre ma bite dans sa bouche pour la sucer sauvagement. Elle la ressort bien baveuse, se positionne au-dessus d'elle et elle s'empale lentement dessus. Une douce chaleur, maintenant familière, entoure et absorbe toute ma bite.



- Baise-toi sur ma queue, Marie.
Elle ne perd pas une seconde pour m'obéir et ses hanches pivotent dans un petit mouvement circulaire à chaque descente de son cul. Tous ses muscles, abdominaux, fessiers et vaginaux, sont en action chaque fois qu'elle rebondit sur ma queue en gémissant. Maintenant c'est moi qui m'exprime crûment.



- Putain ! Ta chatte est bonne ! T'es une belle salope quand tu te baises sur moi. Ooooohh, t'es une sacrée chaudasse avec une chatte étroite. Ooohh, ouiiiiii, plus fort, Marie... Aaaahh, c'est dingue !



Mes mots doivent augmenter son excitation car elle s'agite encore plus sur mon sexe, en équilibre sur ses deux mains écartées, ses seins balayant ma bouche suivant ses coups de reins sauvages. Par instants je peux saisir un de ses longs tétons entre mes dents pour la faire grogner comme un animal pris au piège. Brusquement, elle se cambre et elle se penche en arrière le plus loin qu'elle le peut. Mes mains, agrippées sur ses seins tendus vers le plafond, je la maintiens dans cette position et ma bite enfouie jusqu'à la garde subit sa furie sexuelle. Elle est tordue et malmenée par ses soubresauts et ses coups de reins.



Je sens que ma salope d'avocate approche d'un nouvel orgasme. Mais avant qu'elle ne se laisse aller à sa jouissance, elle se redresse brusquement, laissant ma bite glisser hors de sa chatte comme sur un toboggan ruisselant. Elle me regarde fixement, le cœur battant et la respiration lourde, et sans un mot, elle se retourne pour se mettre à quatre pattes, ses jambes largement écartées, pour me présenter son sexe. Elle reste dans cette position et tourne sa tête pour me regarder en respirant fortement. Moi je ne vois que sa chatte ouverte qui se contracte à chaque expiration tout comme son anneau anal qui frissonne aussi. Ayant parfaitement compris ce qu'elle désire, je m'agenouille derrière elle pour la prendre en levrette.



Comme pour m'assurer que sa chatte est toujours prête à recevoir ma queue gonflée, je caresse sa chatte avec ma main et j'introduis deux doigts dedans. Elle gémit doucement sous mes doigts qui la fouillent et qui ressortent trempés de son jus de chatte. Ma bite remplace mes doigts et je l'empale d'un seul coup !



- Ouiiii, Antoine ! Comme ça ! Bien à fond ! Défonce ma chatte !



Son vagin est brûlant, parfaitement lubrifié avec son jus, et ma bite peut aller et venir doucement dans son sexe. Je ne peux pas garder ce rythme lent pendant très longtemps avec la vue de ses fesses qui ondulent à chaque pénétration et ses muscles vaginaux qui serrent ma queue pour mieux la sentir. Je m'agrippe à ses hanches pour baiser ma patronne de plus en plus vite et de plus en plus fort.



Elle ne gémit plus elle crie :

- Oh mon Dieu, tu me baises Antoine ! OUI ! AAAAAaaahhhh ! Putain qu'elle salope je suis ! Tu me baises comme une catin !



Sous mes furieux coups de bite nous gémissons de concert. Mon pubis claque sur son cul quand je lui défonce sa chatte et je vais jouir si je continue comme ça. Bien enfoncé dans son vagin, je passe ma main droite sous elle et je caresse son clitoris du bout de mes doigts avec un mouvement circulaire.
- Oooohhhh, ouiii, putain... Antoine... que c'est bon !
- Ouiii, Marie. Mais je vais bientôt jouir.
- Attends-moi Antoine. Moi aussi !



Tous les muscles de son corps sont contractés et elle me donne des coups de cul avant de mettre sa main sous la mienne, sur son clito, pour le frotter rageusement. Ma main qui ne s'occupe plus de son clito passe sur sa tête pour la tirer par ses cheveux. Elle se cambre et en tirant plus fort ses cheveux, ma bite s'enfonce encore plus profondément dans sa chatte qui se resserre dessus.
- OOOhh, Marie... Marie...
- Ouiiiii, je vais jouir Antoine... Attends... Attends..., m'implore-t-elle.



Je résiste malgré la douleur qui monte dans mes couilles au bord de l'explosion. Quelques secondes angoissantes et enfin Marie crie :
- OUIIIIIII, OUIIIII ! Ooooh mon Dieu... Je vais... ooohhh, jouis avec moi Antoine, rempli moi ! Jute en moi !



Je lui donne deux coups de queue bien profondément et je laisse mon orgasme exploser dans sa chatte. Nous jouissons ensemble et nos cris ne sont que jurons et insanités pendant que je continue de la baiser doucement en envoyant une giclée de sperme à chaque fois que je suis au fin fond de sa chatte qui se spasme sur ma queue qui tressaute. Son orgasme n'en finit pas et elle s'effondre sur son ventre. Je tombe avec elle et nos sexes continuent de s'étreindre, à ne plus faire qu'un, dans un léger mouvement circulaire de nos bassins.



Mon sperme continue lentement de s'écouler dans son vagin en feu. Je suis toujours écroulé sur elle et ma queue au fond de sa chatte se détend doucement pendant que j'embrasse son cou et ses épaules. Elle retire sa main sous elle et elle caresse mes lèvres avec ses doigts. Je les embrasse et je lèche ses doigts. Mon sperme épais recouvre ses doigts et je me délecte de son goût parfumé de cyprine plus liquide. Mon sexe finit par ressortir de sa chatte et je reprends mon souffle allongé sur le dos à côté d'elle. Marie se penche vers moi et elle m'embrasse longuement avant de reposer sa tête dans le creux de mon épaule, avec son bras sur ma poitrine.



- Bonne nuit, Antoine, toutes mes félicitations, c'est hallucinant le plaisir que tu m'as procuré. Mais je suis épuisée, je n'ai plus de force.
Tout le plaisir était pour moi, chère madame, très chère avocate.



J'embrasse son front en sueur, pose mon bras autour de ses épaules pour la serrer contre moi. Moi aussi je suis épuisé par cette baisse incroyable et je m'endors immédiatement. Quand je me réveille, le soleil est déjà bien levé et je regarde l'heure sur ma montre posée sur la table de nuit.



Je regarde Marie et je me demande si elle regrette ce qui s'est passé hier soir. Mes craintes s'envolent instantanément quand elle m'embrasse et qu'elle me dit.

- Tu sais... hier soir... c'était incroyable... mais...

Je pose un doigt sur ses lèvres pour l'arrêter de parler

- Oohh, ouiiii, impensable pour moi et... magique. Ne t'inquiète pas Marie, je serais discret.



Elle me sourit :
- Je sais que je peux te faire confiance, Antoine.
- Tu crois que tu as commis une erreur ?
- Oh mon Dieu, Antoine, non, je ne le pense pas et je ne regrette rien. Je vais t'avouer que j'ai fini par fantasmer sur toi quand je voyais que tu me dévorais des yeux.
- Oui, tu peux le dire ! Je te désirais comme un fou !
Je la fixe profondément dans ses yeux et je l'attire vers moi pour l'embrasser passionnément. Je vis avec ce merveilleux souvenir ou j'ai baisé mon avocate, ma déesse inaccessible, Marie, une amante exceptionnelle.