Inès aime les grosses queues - 5
Le lendemain soir, Inès était en état d'extase absolue. Allongée sur le ventre, elle se faisait prendre par derrière par un Aurélien plus en forme que jamais. La bestialité de leur accouplement atteignait des sommets. Inès ne s'était pas préoccupée du fait que leurs ébats manquaient de plus en plus de tendresse, car elle jouissait de plus en plus vite, de plus en plus fort et de plus en plus souvent.

Elle était en train de tordre les draps dans ses poings alors qu'Aurélien la clouait au lit rien qu'avec ses coups de rein. Ce dernier avait une vision biblique du cul bien charnu d'Inès qui tremblait au rythme de la baise.

Il sentait sa bite bien enserrée au fond de la chatte dégoulinante et chaude de sa belle amante. Soudain, dans sa frénésie endiablée, il perdit le contrôle de son corps et sortit son gros membre du vagin pour immédiatement le planter dans le cul d'Inès, d'un coup et jusqu'au bout!!!
- AAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!

Elle poussa un cri de douleur si strident que les murs en tremblèrent. Cependant, une lueur folle dans les yeux, Aurélien reprit ses va-et-vient, cette fois-ci dans l'anus d'Inès, comme si elle l'y avait autorisé.

- AAAAAAAHHHHHH!!! ARRETE!!! MAIS ARRETE!!!hurla Inès de toutes ses forces.

Elle n'aurait pas pu décrire la douleur perçante qu'elle ressentait dans son anus. Il la ramonait sans ménagement, et sans lubrification! Inès était passé en un instant d'un état de grâce à un état de souffrances. Elle voulut crier de nouveau mais Aurélien lui tenait la gorge comme il en avait parfois l'habitude. L'homme avait laissé place à l'animal. Il a perdu la tête -- pensa Inès. Affaiblie, sans défense, sans même pouvoir lui communiquer quoi que ce soit, Inès n'avait d'autre choix que de se laisser faire. C'était un viol pur et dur. Sous les coups de massue, elle tentait de penser à autre chose, à quelque chose de moins horrible, mais elle ne le pouvait pas. Elle était prise au piège. Elle se mit à pleurer.

Pour une raison qu'elle ignorait, son anus se mettait cependant à ressentir du plaisir malgré la détresse psychologique qu'elle subissait. En une trentaine de seconde, elle subit un orgasme d'une puissance inouïe. Son cul se resserrait autour de la grosse bite qui la violait, et elle jouit ainsi en continu.

Aurélien, toujours pris dans sa folie sexuelle, avait relâché son emprise, mais Inès ne pouvait toujours pas prononcer le moindre mot tant elle était victime d'émotions et de sensations toutes plus contradictoires les unes que les autres. Pourquoi venait-elle de jouir alors qu'elle se faisait défoncer le cul contre son gré?

Aurélien, de son côté, éjacula tout le sperme qu'il avait au fin fond du cul somptueux de la jeune femme dévastée.

Il resta ainsi quelques secondes qui semblèrent une éternité. Il était aplati contre le dos d'Inès. Soudain, comme s'il se réveillait d'un cauchemar, il sursauta en réalisant ce qu'il venait de faire subir à sa partenaire. Il la libéra en bafouillant d'un air choqué. Immédiatement, elle se leva, se rhabilla en trombe tout en sanglotant, hurla quelque chose d'incompréhensible à l'intention d'Aurélien, claqua la porte et partit en courant. Lorsqu'elle rentra le soir, elle alla directement se coucher en pleurant à chaudes larmes.

La semaine suivante fut un calvaire pour Inès. Elle arrivait à peine à dormir. Aurélien, de son côté, s'en voulait terriblement. Depuis le mois dernier particulièrement, les ébats amoureux avec Inès étaient devenus de plus en plus sauvages pour finalement culminer dimanche soir, quand il péta complètement les plombs. Il n'arrivait pas lui non plus à dormir. Il tenta d'appeler Inès toute la semaine pour s'excuser et la supplier de l'écouter mais elle ne décrocha jamais. Il était désespéré.

A sa grande surprise, il reçut un SMS le vendredi matin de la part d'Inès. Elle lui disait de venir la voir le soir-même pour mettre les choses au clair et lui laisser une dernière chance de s'exprimer.
Aurélien se pointa donc avec une petite mine dans l'appartement. Inès lui ouvrit et l'invita à venir dans sa chambre. Elle prit deux chaises et les plaça l'une en face de l'autre à deux mètres de distance. Ils s'assirent et mirent quelques secondes à démarrer la conversation, gênés.

- Je... Je suis tellement désolé pour ce que j'ai fait... Je n'imagine pas à quel point ça a dû être insupportable pour toi... Si tu peux un jour me pardonner, même si ça te prend du temps, sache que je suis terriblement navré, commença Aurélien, honteux. Inès le fixait droit dans les yeux d'un regard de fer.

- Je n'en attendais pas moins, déclara-t-elle d'un ton rigide. Mais j'aimerais comprendre comment tu as pu en arriver là. D'où te viens cette bestialité? D'où te viens cette violence? »
- Je crois qu'il est temps que je t'en dise plus sur mon passé, souffla Aurélien d'un air mystérieux. Lentement, il sortit une cigarette et l'alluma...
- J'avais 8 ans à l'époque. Je vivais dans un vieil appartement avec mon père et ma mère dans le 94. C'était pas beau tous les jours... Mon père avait des habitudes pas très saines. Quand il rentrait tard le soir, complètement torché, il battait souvent ma mère, qui s'interposait toujours pour me protéger. Alors un soir, alors qu'il y allait encore plus fort que d'habitude, je suis intervenu au milieu de l'action. J'ai pris une mandale qui m'a envoyé balader contre un morceau de verre par terre.
Aurélien s'arrêta un instant, comme pour réprimer un souvenir douloureux. Il passait son doigt contre sa joue. C'est comme ça qu'il a eu sa cicatrice! -- pensa Inès. Elle ressentit d'un coup une vague d'empathie pour le jeune homme. Il avait visiblement traversé des épreuves très dures. Elle en avait presque oublié qu'il l'avait agressé il y a moins d'une semaine. Elle était fascinée par son récit. Aurélien se reprit très vite et poursuivit son histoire.

- Peu de temps après cet incident, mon père est mort d'une crise cardiaque. Ça nous a beaucoup soulagé, moi et ma mère. J'ai vécu heureux jusqu'à mes 14 ans. Mais le destin est cruel... Ma mère est morte cette année-là d'un cancer éclair. On m'a mis dans un orphelinat. Certains établissements sont bien, mais celui dans lequel j'étais était vraiment violent. Finalement, j'ai découvert que mon père m'avait appris quelque chose. J'ai réussi à me défendre contre les plus grands qui brimaient les plus jeunes. Celui qui me cherchait avait de bonnes chances de finir à l'infirmerie... Evidemment, ça m'a coûté quelques allers-retours chez la directrice. C'était une sadique de 40 ans. Mais bien foutue quand même. C'est avec elle que j'ai eu mes premières expériences sexuelles à 15 ans.

Elle aimait se taper des jeunes, et j'étais déjà bien grand et développé à l'époque. A tous les niveaux. Elle aimait les trucs violents, et j'y avait droit à chaque fois que je me retrouvais dans son bureau. J'acceptais de la baiser parce que je découvrais tout juste mes pulsions et ça faisait du bien.

En plus, ça m'évitait d'être renvoyé pour mauvaise conduite. Elle me demandait de l'étrangler, de l'étouffer, de la claquer...

J'ai construit toute ma sexualité sur ces bases malsaines. Donc pour répondre à ta question, je pense que c'est de là que vient la violence qui est en moi. Les gènes, l'enfance et l'adolescence.

Je reconnais que j'ai dépassé les bornes. Rien n'excuse ce que j'ai fait. Si seulement tu pouvais me laisser une deuxième chance, je te promets que ça ne se reproduira plus jamais...

Inès était sciée. L'homme qu'elle avait en face d'elle était bien plus profond et tourmenté qu'elle avait pu l'imaginer. Son histoire en disait long sur la construction de sa personnalité. Elle comprenait à présent. Elle était entrée, l'espace d'un moment, en communion avec Aurélien. Mais elle ne pouvait pas se remettre avec lui. Elle ne croyait pas qu'elle pourrait le revoir sans repenser à ce qu'il avait fait.

- Je te comprends. Je ne te pardonne pas encore. Mais je te comprends. Tu as été honnête avec moi. Je ne porterai pas plainte. » dit-elle solennellement. Elle sentit alors une envie soudaine et quasi-insoutenable de céder et de lui faire l'amour sur-le-champ. Mais elle resta forte.

- Je ne veux plus te voir. C'est fini entre nous. Je te souhaite une bonne continuation.
Aurélien perçut sur son visage que cela lui faisait de la peine, comme si elle regrettait déjà ce qu'elle était en train de dire. Il accepta cependant sa décision silencieusement. Elle le reconduit à la porte et s'échangèrent un dernier regard avant que l'homme à la cicatrice ne tourne les talons. Le soir-même, dans son lit, sans comprendre pourquoi, Inès se masturba frénétiquement en repensant à l'histoire d'Aurélien.

Elle jouit avec puissance. Malgré sa propre incompréhension de ces pulsions, Inès s'endormit calmement pour la première fois de la semaine.

Les semaines passèrent et Inès avait décidément du mal à se remettre de sa séparation brutale avec Aurélien. L'homme l'avait marquée émotionnellement et physiquement. Emotionnellement, parce qu'Inès était passée par toutes les sensations. Toute cette histoire semblait irréelle tant elle était folle. Elle avait été amoureuse et enjouée, puis trahie et violée. Elle avait été effondrée, et ensuite laissée seule entre le chagrin, la mélancolie et le regret. Mais elle avait à moitié pardonné Aurélien après avoir entendu les épreuves qu'il avait traversées.

Physiquement, parce qu'Inès ressentait un véritable manque sexuel. Après avoir passé des jours entiers à se faire ramoner par la gigantesque bite d'Aurélien, elle avait arrêté net toute relation sexuelle. Et son corps le faisait savoir. Il réclamait de se faire remplir. L'envie était telle qu'Inès se surprenait parfois à pleurnicher toute seule quand sa chatte exigeait de se faire fourrer. Sa tristesse venait du fait qu'elle savait qu'Aurélien la comblait. Elle ne se l'avouait pas sciemment, mais au fond d'elle, elle savait que leurs ébats sexuels lui manquaient terriblement. Qui sait où il était maintenant? Cloîtré chez lui, aussi triste qu'elle? Ou peut-être avait-il tourné la page et trouvé une autre copine? Inès songea à l'appeler, mais chassa cette idée de sa tête. Elle ne pouvait retourner auprès de lui. Pas après ce qu'il lui avait fait.

Elle sentait toujours un désir sexuel qui ne quittait désormais plus le creux de son ventre. Elle attrapa un sweat et sortit de l'appartement. Elle inspira un grand coup. Tout se mélangeait dans sa tête. Ces aventures émotionnelles devenaient décidément de plus en plus folles. Elle décida d'aller rendre visite à Laura et monta les marches de l'immeuble. Elle croisa un homme qui descendait, et qui sentait étrangement le parfum de Laura... Elle sonna et la brune vint lui ouvrir. Elles se racontèrent tous leurs petits secrets.

Laura raconta à Inès son aventure avec Julio, le bel espagnol qu'elle avait rencontré à la salle de gym. Sans rentrer dans le détail, elle lui fit bien comprendre que son nouvel amant était clairement doté. Inès était ravie que Laura ait enfin trouvé quelqu'un de taille. Et un peu jalouse aussi.

- C'est donc Julio que je viens de croiser dans l'escalier! s'exclama Inès qui avait remarqué les draps du lit en pagaille. Ils ont dû bien s'amuser cette nuit -- pensa-t-elle.

- Je vais me trouver un nouvel amant. J'ai vraiment besoin de sexe...répondit Inès. Elle se sentait rassurée d'avoir une amie à qui elle ne cachait pas même ses plus intimes envies.

- Si un jour tu as besoin d'une femme, je serais ravie de te rendre service! s'écria Laura, se rappelant le plan à trois qu'elles avaient fait avec Aurélien.

- Je garderai ça en tête! rétorqua Inès en riant. Elle embrassa brièvement la belle brune sur la bouche, et bondit joyeusement en direction de la porte. Elle se retourna une dernière fois.

- Je suis sur le marché. Et je trouverai une belle bite sur laquelle m'empaler! jura-t-elle.

Quelques jours plus tard, était-il 22h? 23? Minuit? Inès ne le savait plus. Mais elle s'en fichait. Elle dansait en donnant toute son énergie, boostée par la musique assourdissante et pourtant entraînante qui faisait presque trembler les murs. Elle ne faisait plus la différence entre la réalité et le rêve. Elle se sentait simplement emportée dans un élan collectif d'abandon joyeux et de danse endiablée. La quantité non négligeable d'alcool qu'elle avait consommée l'avait aidée à se donner pleinement au moment présent. Dans la lumière ocre qui fendait l'obscurité du sous-sol, Inès dansait.

Tout avait commencé dans l'après-midi. Alors qu'elle faisait des achats pour s'habiller sexy, elle était tombée sur un panneau dans la rue, où chacun pouvait coller ses affiches. Une grande affiche rouge avait attiré son attention. C'était une invitation à une conférence ouverte à tous, sur des sujets de société et sur l'éventualité d'une révolution populaire. Inès s'apprêtait à s'éloigner quand elle aperçut une affiche beaucoup plus petite, dans le coin de l'immense panneau. Elle était mal collée et n'attirait pas l'œil. Inès se rapprocha pour lire. Il s'agissait de l'annonce d'une underground party, une de ces fêtes dans les quartiers populaires, qui utilisaient des sous-sols ou des immeubles abandonnés. Des jeunes s'y retrouvaient pour des soirées de débauche sur de la musique électronique. L'alcool et la drogue étaient toujours au rendez-vous, et il était vrai que certaines personnes pas très nettes fréquentaient ce genre de fêtes secrètes. Inès se demanda pourquoi il y avait une affiche pour un tel évènement qui était souvent clandestin et réservé à une poignée de chanceux qui en avaient eu vent par le bouche à oreille. Elle décida de tenter une nouvelle expérience et retint l'adresse.

Le soir, Inès arriva sur place à l'heure de pointe. Cette fête semblait plus officielle qu'une underground party telle qu'Inès l'imaginait. Il y avait en effet deux vigiles et... l'entrée était payante! Inès n'avait pas prévu cela et n'avait pas d'argent sur elle. L'entrée coûtait d'ailleurs les yeux de la tête, du fait de l'alcool à volonté servi à l'intérieur. L'établissement était assez délabré mais aménagé spécialement pour accueillir ce genre de fêtes. Inès ne fit pas la queue et s'éclipsa discrètement dans l'allée qui longeait le bâtiment. Vérifiant que personne ne la voyait, elle escalada habilement une petite barrière. Elle pouvait à présent entendre la musique à mesure qu'elle se rapprochait du bâtiment par le côté, s'assurant toujours de ne pas être aperçue. Une fenêtre était entrouverte au premier étage. Sans un bruit, Inès grimpa sur un container, prit appui sur un creux dans le mur et s'accrocha au rebord de la fenêtre. Une traction plus tard, elle était à l'intérieur.

Les organisateurs sont encore amateurs -- pensa Inès, fière de son coup. Le bâtiment était froid, sombre et désert à cet étage. On voyait la charpente sur laquelle pesait le poids des années en plus de celui du toit. Inès descendit au sous-sol avec une furtivité féline. La fête battait son plein. La salle immense était pleine à craquer ; il devait y avoir au moins 250 personnes. Des couples étaient déjà en formation, s'embrassant sans pudeur. Chacun bougeait au rythme de la musique, pris dans une frénésie partagée. Inès se joignit aux fêtards, buvant et dansant pendant des heures, pelotant et embrassant des inconnus, garçons et filles, et les perdant de vue aussi vite qu'elle les avait rencontrés.

Alors que ceux qui n'étaient pas ivres-morts sur le sol commençaient à repartir chez eux, Inès commença à fatiguer. Elle remarqua alors pour la première fois de la soirée une sorte de carré VIP de fortune, constitué de deux canapés et d'une table basse, sur laquelle régnait un désordre sans nom. Les quelques personnes assises sur les canapés étaient plus calmes que le reste des fêtards. Inès se demanda s'ils étaient sous l'emprise d'une substance illégale, ou s'ils ne prenaient au contraire pas part à la fête. La vision d'Inès était troublée par l'alcool qui venait de lui monter à la tête. Elle s'approcha d'eux et demanda qu'on lui fasse une place. Elle prit soin de mettre en avant sa poitrine en se penchant en avant, ce qui augmentait souvent ses chances d'obtenir ce qu'elle voulait. Un grand homme approuva de la tête. Elle se reposa un moment puis reprit ses esprits.

Elle écarquilla les yeux afin de prendre conscience de ce qui l'entourait. Elle se tourna et détailla l'homme qui l'avait autorisée à s'asseoir. Sa peau était noire, d'un noir profond et fascinant. Il était grand et ses muscles se dessinaient parfaitement à travers son débardeur blanc, qui lui donnait un air décontracté. Il portait un simple jogging. Pas du tout habillé pour une soirée. Malgré tout, il dégageait une certaine assurance. Ses cheveux étaient rasés très court, sa mâchoire était carrée mais cependant gracieuse. Inès ne parvint pas à distinguer ses yeux. L'homme la regarda un instant.

Ils ne se parlaient qu'en gestes, amusés par leur propre silence. Inès vint effleurer l'épaule du grand noir. Celui-ci, en retour, lui caressa le bras l'espace d'une seconde. Puis Inès lui fit du pied. Il lui chatouilla le ventre pour répliquer. . Les gestes se firent plus intrusifs, les caresses plus prononcées. Bien vite, ils passèrent des parties chatouilleuses aux parties érogènes. Sans trop savoir comment, Inès se retrouva assise sur les genoux du bel homme, lui caressant sensuellement le torse. Elle s'arrêta soudainement. Inès eu probablement son dernier instant de lucidité de la nuit. Elle devait décider si elle continuait, car elle savait qu'elle ne pourrait plus s'arrêter une fois passé le point de non-retour. Allait-elle se donner à ce parfait inconnu?

Elle n'eut même pas le temps de formuler la réponse dans sa tête. Le manque au creux de son ventre avait décidé à sa place. Elle fondit sur les lèvres du bel homme et l'embrassa à pleine bouche. Il ne sembla pas surpris, et il lui rendit son baiser avec insistance. Il posa ses mains sur ses fesses rondes et se mit à les malaxer sans ménagement. Entre deux baisers torrides, il plongeait sa tête entre les seins rebondis de la belle blonde.

La respiration d'Inès se fit de plus en plus saccadée. Elle tâta les muscles saillants du grand noir, impressionnée par sa masculinité. Elle sentit son intimité s'humidifier. Elle remarqua alors une énorme bosse dans le jogging de l'inconnu. Touchant le membre viril du bout des doigts, elle lâcha un soupir d'excitation. L'homme lui malaxait à présent les obus sans faire dans le détail. Mais ce n'était pas de la maladresse. C'était une bestialité assumée qui décuplait le bouillonnement intérieur d'Inès. Ils remarquèrent soudain qu'ils étaient toujours en présence des autres personnes assises dans les canapés, certains drogués, certains endormis. Malgré leur inattention, Inès ne voulait pas aller plus loin devant un tel public. L'inconnu sembla comprendre son trouble. Il se levèrent et le bel homme prit la main d'Inès pour la conduire vers une porte au fond du sous-sol.

Ils entrèrent dans ce qui était une petite pièce avec quelques équipements de musique et un large matelas posé à même le sol. Le grand noir referma le loquet afin de ne pas être dérangé. De l'intérieur, on entendait moins le bruit étourdissant de la musique électro. Inès, toujours aussi bouillante, enleva en vitesse ses vêtements avant de se jeter sur son amant du jour. Ce dernier se laissa faire alors qu'Inès le débarrassa de son débardeur, révélant sa musculature puissante. Le bel adonis prit soin de retirer lui-même son jogging, exposant à Inès une turgescence absolument monstrueuse qui semblait vouloir faire exploser son caleçon. La blonde en resta figée. L'homme retira ensuite son caleçon, révélant un énorme pieu.

Le sexe, aux dimensions ahurissantes, était en érection totale à la vue du corps nu d'Inès. Cette dernière entrouvrit la bouche et faillit baver. Le membre viril qu'elle avait sous les yeux était le plus épais qu'elle avait jamais vu. Elle s'en saisit et remarqua qu'elle ne pouvait en faire le tour avec sa main. En longueur, le grand noir n'était pas non plus en reste. Digne d'un acteur porno -- pensa Inès. Elle réalisa soudain qu'elle était sur le point de faire l'amour à un noir pour la première fois. Il confirmait l'idée répandue selon laquelle les noirs sont mieux dotés que les blancs. L'idée de coller sa peau blanche contre la peau noire du bel homme l'excitait terriblement. L'exotisme du tableau la rendait folle de désir. Elle s'allongea sur le matelas, soumise au charisme viril du grand noir. Elle ne connaissait même pas son nom...

- Comment tu t'appelles? demanda-t-elle.
Ce furent les premiers mots qu'il échangèrent.
- Idrissa, répondit-il simplement avec un léger accent.
- Idrissa., répéta-t-elle.
Elle ouvrit grand les cuisses.
- Je m'appelle Inès. Maintenant, baise-moi, Idrissa.
Ces présentations semblèrent suffire à son amant qui bondit sur le lit et présenta son organe interminable à l'entrée de son vagin.
- Comme tu peux le voir, elle est assez grosse. Respire bien, ça va faire mal, dit-il, une lueur d'excitation dans les yeux.

Inès était mouillée comme jamais. Elle sentit une sensation d'étirement et de brûlure quand la verge monstrueuse pénétra sa chatte. Elle laissa échapper un cri strident et se mit à respirer très fort. Idrissa s'était arrêté. Il lui laissa le temps de s'en remettre, puis poussa sa bite un peu plus loin. A nouveau, Inès couina. La douleur se faisait de plus en plus vive à mesure qu'il s'enfonçait.

- OOOHHHH!!! Tu me défonces! OOOHHHH!!! lâcha-t-elle.

- Tiens bon. Tu vas bientôt jouir comme une dingue sur ma queue, la rassura Idrissa.

Il entama des va-et-vient sans même être allé au fond du vagin dilaté. Il étirait les parois de la chatte d'Inès et celle-ci sentit soudainement un plaisir extrême et diffus. Idrissa le remarqua et accéléra son mouvement, allant à chaque fois un peu plus loin. Le vagin sembla s'adapter au chibre surdéveloppé et Inès sentit ses muscles se tendre. En moins de trente secondes, elle fut prise d'un orgasme indescriptible.

- HHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNNN!!!OOOOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!! hurla-t-elle.

Son vagin était en feu. Ses muscles se contractaient frénétiquement, plongeant son esprit dans un monde abstrait fait de plaisir et de tension absolus. Ses yeux avaient roulé vers le haut. Le canon noir planté en elle tapait contre sa matrice et faisait exploser son système nerveux. Elle jouit en continu pendant une bonne minute, se retournant dans tous les sens, tandis que le grand noir avait pris un rythme de croisière et la pilonnait à présent sans merci. Les mâchoires serrées, il regardait se tordre d'exaltation cette petite blanche en chaleur qui s'était soumise à lui.

Reprenant ses esprits, Inès embrassa violemment son amant, comme pour le remercier de lui avoir offert cette jouissance dont elle avait tant besoin. Elle était à présent comblée, au sens figuré comme au sens propre. Elle aimait se sentir petite et faible sous ce corps masculin et dominateur. Dans la lumière ocre de cette cave, elle avait trouvé un bonheur inattendu. Elle regardait avec délectation la peau noire du bel adonis venir frotter sa peau blanche, provoquant un contraste des plus sexy. Il y avait quelque chose de plaisant à se donner à une personne d'une autre race. Elle venait de se découvrir un nouveau fétiche : l'interracial.

Le noir décida de changer de position, mettant Inès à quatre pattes en la soulevant comme si elle ne pesait qu'un gramme. La blonde se soumit non sans en éprouver une certaine joie. Ce fut une levrette d'anthologie. Idrissa renfonça sa poutre impressionnante dans l'intimité d'Inès et se mit à la pourfendre avec des coups de rein d'une rare violence. Le ravissement de se faire ramoner ainsi la chatte revint en force, et la voix de la belle blonde partit dans les aigus. Son partenaire, en plus de la pistonner copieusement, lui claquait les fesses et lui pressait les seins. Elle était stimulée de toutes parts et se rendit compte qu'elle approchait à nouveau de l'orgasme.

- Oui! OUI! Prends-moi la chatte! Fais de moi ta chienne!! cria-t-elle.
- Humpf! HAN! T'aimes encaisser ma grosse bite, HEIN? T'es une sacrée chienne de blanche.

Apparemment, Idrissa aimait aussi la différence de couleur de peau. Ils s'excitaient l'un l'autre avec des mots crus.

- OOUUIII!!! OOOUUUIIII!!! Je ne suis qu'une chienne blanche! J'adore ta grosse bite de noir! J'ADORE!!! JE NE PEUX PAS M'EN PASSER!!!

- HAN!!! HHAANNN!!! OUI, BELLE BLANCHE!!! T'ADORES MA BITE DE NOIR!!! T'ADORES MA BITE DE NÈGRE!!! DIS-LE!!!
-J'ADORE TON ENORME BITE DE NÈGRE!!! » gueula Inès.

À ce moment précis, la jouissance l'emporta. Elle se raidit, s'empalant encore plus profondément sur la colonne de chair noire qui lui en faisait voir de toutes les couleurs. Ses semaines de frustration furent oubliées, et elle perdit presque connaissance alors que tous ses membres se liquéfiaient sous le coup de l'euphorie ultime. Aucun son ne sortit de sa bouche tant le bonheur était au-delà du réel. Idrissa, devant ce spectacle de félicité, engouffra une dernière fois son calibre surdimensionné dans la fente de son amante et jouit à gros bouillons avant de s'écrouler sur elle.

Ils restèrent ainsi entremêlés de longues minutes, dans un état de semi-conscience, profitant de chaque instant. Ils ne voulaient pas bouger. Rester ici, près du corps de l'autre, leur suffisait. Inès ouvrit les yeux lentement, aperçut une dernière fois le visage harmonieux de l'homme qui lui avait apporté tant de contentement, puis s'endormit paisiblement dans ses bras musclés.

Inès se réveilla avec un mal de tête. Elle regarda autour d'elle. Elle se souvint peu à peu d'où elle était. L'underground party. Elle avait trop bu pour se remémorer les détails, mais elle se rappelait de la partie de jambes en l'air mémorable qu'elle avait fait avec ce bel homme noir qui dormait encore à ses côtés. Comment aurait-elle pu oublier à quel point son engin gigantesque l'avait éclatée? Une sensation de chaude satisfaction dans son bas-ventre le lui rappelait d'ailleurs agréablement...

Inès réveilla son amant d'une nuit. Après qu'il ait retrouvé ses esprits, elle lui parla d'un air séducteur et souriant.
- Tu m'as gérée hier soir... Je le sens encore., dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.
- Et encore, j'étais à moitié dans les vapes., répondit-il avec un sourire.
Elle trouvait Idrissa d'autant plus attirant qu'il avait l'air un peu rebelle.
- Je te laisse mon numéro? demanda-t-elle timidement. J'ai envie de revivre ça...
Elle ne cachait aucunement son ravissement. Idrissa approuva de la tête. Après leur échange de numéros, les deux jeunes s'étreignirent et Idrissa en profita pour palper le beau fessier d'Inès de ses grosses mains noires. Inès quitta la pièce qui se trouvait tout au fond du sous-sol. Elle découvrit que beaucoup des fêtards étaient restés dormir ici, incapables de rentrer chez eux. Certains étaient avachis sur les canapés, les moins chanceux étaient étalés à même le sol. Inès évita les tessons de bouteilles brisées et sortit du bâtiment.

Elle était heureuse d'avoir trouvé un partenaire cette nuit-là. Enfin, son appétit sexuel avait été satisfait, pour la première fois depuis des semaines. Et quelle bite! Elle en parlerait sûrement à Laura à l'occasion. Le fait qu'Idrissa était noir était d'autant plus excitant. Inès marchait dans les rues de Paris, plus souriante que jamais.

Après être rentrée, Inès se coucha pour faire une petite sieste. Il lui manquait beaucoup d'heures de sommeil. Dans son rêve, Inès offrit son intimité à Idrissa pour qu'il la lèche.
Ils s'allongèrent nus sur le lit et Idrissa entama un cunnilingus avec enthousiasme. Inès sentit sa chatte s'humidifier au contact de la langue qui frottait rapidement contre son clitoris. Idrissa n'aurait pas pu être plus ravi. Avoir à nouveau accès à la chatte blanche le rendait heureux. Il redoublait d'attention, prenant au sérieux la satisfaction d'Inès. Il s'appliquait à la tâche, décrivant des cercles avec sa langue qui firent se cambrer la belle blonde de délectation.

Bien vite, Inès sentit l'orgasme monter en elle. La pression des coups de
langue se fit de plus en plus grande, et elle explosa dans une jouissance délicieuse. Ses convulsions ne stoppèrent pas Idrissa qui renforça au contraire ses assauts sur le bouton de la jeune femme. Les cris d'Inès l'encouragèrent à se donner à fond. Il fallut de longues minutes à Inès pour redescendre du septième ciel. Son corps était alors engourdi par tant de félicité.

Elle remercia chaleureusement Idrissa qui s'était déplacé chez elle en venant l'embrasser amoureusement sur les lèvres. Ce soir-là, Inès se sentait enfin en paix avec sa sexualité avec la silhouette massive d'un grand noir. Ce gigantesque tas de muscles semblait faire la largeur de la porte.

- Un noir de chez moi, du Sénégal, il ne se laisse pas faire. Il prend sa grosse bite, et il fait vite comprendre à la meuf en question que c'est lui le patron. Surtout si c'est une femme blanche qui n'est pas habituée à encaisser ce genre de gourdin. Bref, un homme sait ce qu'il veut, et il le prend.

Pour illustrer une nouvelle fois ses paroles, Idrissa se saisit d'Inès et la jucha sur son épaule. Inès était admirative de la masculinité brute qu'il dégageait. Il l'emmena dans la chambre et la posa sur le lit. Le noir se déshabilla complètement avec assurance dévoilant son énorme queue. Son dard interminable se balançait de gauche à droite avec les mouvements de son corps. Inès était déjà excitée au plus haut point mais décida de prendre son mal en patience. Inès se saisit du membres.

- Waouuuuuh! Quelle bite noire tu as! s'exclama-t-elle à l'intention
d'Idrissa. Elle est magnifique... Bien longue... Bien large... Tout ce dont une femme rêve...

Inès commença à branler la bite qui était en début d'érection. Inès bouillonnait intérieurement. Le membre érigé du bel homme lui faisait terriblement envie. Elle se leva et enleva ses vêtements avec rapidité et habileté. Idrissa fondit sur ses seins qu'il se mit à suçoter, ce qui arracha un gémissement de plaisir à Inès. Cette dernière masturba des deux mains la massue ahurissante de son partenaire, par désir plus que par nécessité, car la colonne de chair était au plus dur. Le bel homme noir agrippa Inès et la plaqua sur le lit avant de l'embrasser avec fougue. Le moment tant attendu était arrivé. Guidé par la main d'Inès, Idrissa plongea d'un coup son glaive dans l'intimité humide de la belle blonde qui en cria de douleur. Elle adorait souffrir de l'étroitesse de sa cavité vaginale.

Idrissa se lança dans une série de va-et-vient digne des meilleurs acteurs porno. Tout en prenant soin de peloter la poitrine opulente de son amante, il matraquait son vagin de sa superbe lance turgescente, en veillant à varier le rythme. Pour son plus grand plaisir, les parois vaginales de la blonde étaient confortablement resserrées autour de son attribut, provoquant une sensation indicible de chaleur et de stimulation exaltantes. Idrissa poursuivit sa performance magistrale en concentrant son attention sur les fesses rondes et charnues de la belle, qu'il malaxait sans ménagement tout en embrassant à pleine bouche ses lèvres pulpeuses et avides.

Inès était aux anges. Son amant semblait la pistonnait comme si c'était la dernière fois. Elle se délectait de la douce sensation de sa peau noire qui frottait frénétiquement contre sa peau blanche. Mais par-dessus tout, elle adorait l'euphorie causée par l'interminable braquemard qui la pourfendait. Le membre noir étirait son vagin et venait cogner violemment contre sa matrice, lui arrachant des cris d'extase à chaque fois que la sensation de plaisante brûlure lui faisait griffer le dos de son partenaire. Agrippée à son homme comme un marin à une bouée de sauvetage, elle subissait avec joie le forage acharné de son orifice le plus intime. Grisée par tant d'émulation, elle se mit à donner des coups de bassin vers le haut pour venir s'empaler encore plus vite contre le chibre noir. Sa voix partit dans les aigus alors que l'orgasme la frappa sans prévenir. Elle plongea dans un monde de sensations plaisantes où les dimensions spatiales et temporelles n'existaient plus. Son transport était exacerbé par le fait qu'Idrissa continuait de l'embrocher et de la marteler comme si ça vie en dépendait. Inès perdit complètement toute notion de réalité, naviguant dans l'hystérie indescriptible de cet instant suprême. Ses jambes tremblaient convulsivement. Son souffle était court. La belle semblait être écrasée sous la masse de muscle impressionnante qui la culbutait sans pitié.Inès était trop occupée à jouir comme une tarée

A peine Inès fut-elle remise de son premier orgasme qu'un deuxième était en train de monter en elle. Pour temporiser, elle proposa de changer de position. Elle se retrouva alors au-dessus d'Idrissa qui était allongé sur le dos. Accroupie, elle était alors en mesure de contrôler la profondeur et la vitesse de la pénétration. L'entrée du gland dans le vagin dilaté fut plus facile cette fois, mais elle arracha tout de même un cri aigu à Inès qui n'en revenait décidemment pas de l'épaisseur colossale du pieu noir. Elle entama alors sa danse endiablée. Elle s'empalait avec souplesse à un rythme lent, faisant pousser des grognements de plaisir à Idrissa. Elle dégoulinait littéralement de la chatte tout en accueillant le membre hypertrophié de son amant black.

- OOOOHHHH!!! C'est si bon!!! Tu me dilates tellement!!! J'adore ta grosse bite de noir!!! s'exclama-t-elle.
- Humpf! Oui!!! J'aime quand tu me dis que ma queue est la plus grosse!!! répondit-il.

- Ta grosse queue est magique!!! Elle me remplit tellement!!! PUTAIN J'AIME TROP LES BITES NOIRES!!!!! ajouta-t-elle.

Ces mots crus semblèrent réveiller à nouveau la bête qui sommeillait en Idrissa. Il se saisit des hanches gracieuses de sa partenaire et l'invita à venir se faire empaler pus profondément sur son épée noire. Il appréciait la passion que dégageait Inès quand elle ondulait son bassin pour venir se faire transpercer. Bien vite, ils reprirent un rythme de croisière, la belle blonde donnant des coups secs vers le bas. Elle ressentait un plaisir extrême à se faire tamponner par un mandrin aussi pharaonique. Tous les terminaux nerveux de son intimité s'activèrent, et Inès atteignit la jouissance en deux temps trois mouvements. Son vagin se contractait frénétiquement, envoyant des ondes de délicieux plaisir au cerveau d'Inès qui eut l'impression de perdre la tête, tant et si bien qu'elle tomba en arrière sur le lit. Son orgasme était si violent qu'il ressemblait à une crise d'épilepsie ; Inès tremblait de tous ses membres et bavait sur les draps, les yeux dans le vide.

Idrissa se leva et se fit couler un verre d'eau au robinet, qu'il sirota comme s'il assistait à ce genre de spectacle tous les jours. Son érection n'avait pas faibli. Il avait l'air d'un dieu. membré... Il avait l'air d'avoir été créé dans le seul but de servir de fantasme à la gente féminine toute entière.

Inès reprit lentement ses esprits. Elle remarqua qu'ils avaient trempé les draps. Elle se leva du lit et vint se coller au mur puis elle sa cambra, présentant sa croupe magnifique à Idrissa, comme pour l'inviter à lui faire l'amour. Le grand noir ne se fit pas prier et vint rejoindre sa belle amante. Il se mit à frotter son superbe sceptre d'ébène entre les jambes de la blonde, stimulant au passage son clitoris.

- Hmmm, tu m'excites tellement... Ton canon noir... Hummm... J'aime quand il me perce... murmura Inès à l'intention de son amant black.

- J'ai envie de toi... Ton beau cul de blanche me fait bander comme un taureau... lui susurra-t-il à l'oreille en guise de réponse.

Alors qu'il s'apprêtait à lui pénétrer à nouveau la chatte, elle l'arrêta.

- Je veux ta grosse bite dans mon cul... Défonce-moi le cul!!! dit Inès avec une lueur de folie dans les yeux.

- T'es vraiment une sacrée salope... s'exclama Idrissa, surpris de la demande.

Il s'exécuta néanmoins, essayant tant bien que mal de faire rentrer sa poutre majestueuse dans l'arrière-boutique d'Inès. Après quelques secondes, il parvint à faire passer le gland, ce qui suffit à faire hurler Inès de douleur. La sensation de brûlure fit cependant très vite place à la plénitude.

Inès tremblait d'anticipation à l'idée d'accueillir dans son cul un chibre aussi surdimensionné. Elle se mit à pousser vers l'arrière par petits à-coups, engloutissant de plus en plus de centimètres de l'énorme sabre noire, si bien qu'elle parvint en quelques minutes à faire rentrer l'entièreté du membre titanesque. Idrissa se mit alors à la sodomiser violemment, faisant fi des cris de douleur de la belle blonde, car il savait qu'à cette douleur perçante était ajoutée une euphorie sans limite.

-Tu aimes te faire ramoner le cul par une grosse bite de black, HEIN?!?
grogna Idrissa dans sa frénésie.

- OOOOOOOUUUUUUIIIIII!!!!! C'EST SI BON DE SE FAIRE ENCULER PAR UNE ENORME QUEUE NOIRE COMME LA TIENNE!!! T'ARRETE PAS!!! répondit Inès avec ardeur.

Les deux partenaires avaient complètement lâché les chevaux. Ils se donnaient l'un à l'autre sans retenue, ils n'avaient qu'un objectif : s'envoyer en l'air le plus vite et le plus fort possible. Idrissa attrapa d'une seule main le crâne d'Inès et le plaqua nerveusement contre le mur en grognant férocement. Il avait dans les yeux la lueur folle d'un animal en rut. Il était en train de clouer Inès au mur en lui déboîtant l'anus avec son obélisque géant. La belle gueulait alors qu'il la tringlait si fort que les murs de la pièce en tremblaient. Ils approchaient tous les deux de l'extase ultime.

Idrissa se déversait dans le cul d'Inès. Cette dernière explosa alors dans un orgasme final complètement dingue, qui lui fit perdre l'équilibre. Idrissa se retira, essoufflé, alors qu'Inès se rattrapa de justesse les jambes tremblantes et le corps en sueur. Elle sentait son anus se contracter si fort que le plaisir lui donna des vertiges.

Il lui fallut plusieurs minutes pour se rendre compte de ce qu'il venait de se passer. Elle n'avait certainement jamais joui autant ni aussi fort avec aucun homme. Idrissa était véritablement un amant remarquable.

Elle alla l'embrasser et le remercia de cette expérience formidable. Elle fut ravie de discuter avec Idrissa, qu'elle connaissait tout de même assez mal pour quelqu'un qui venait de lui mettre une cartouche. Elle apprit qu'Idrissa était né dans un petit village non loin de Dakar, au Sénégal. Il était arrivé en France alors qu'il n'était encore qu'un jeune enfant. Il avait maintenant 23 ans et il vivait de petits boulots. Inès lui parla aussi de son travail dans le webdesign, Ils se quittèrent en s'embrassant, plus langoureusement et tendrement cette fois.
