Émilie, directrice et traînée de lycée - 28


Parfois, lors de nos virées à Paris ou ailleurs, j'arrivais à convaincre quelques mecs pas trop louches de me défoncer dans un coin discret d'un parking ou autre. Séverine se contentait alors regardait me faire défoncer le cul, la chatte, le deux en même temps...



Et même si elle n'a jamais baisé avec des hommes lors de nos soirées, elle adorait me regarder et, surtout, adorait se faire mater habillée comme une pute ou à poil, comme au club de striptease, sauf que là nous étions dehors, quasiment dans la rue. Lorsqu'elle était très excitée, elle se permettait de se joindre au groupe et de branler quelques queues par ci par là... surtout si elles étaient grosses !



Je m'aperçus d'ailleurs vite que c'était une branleuse experte ! Elle masturbait avec un plaisir non feint les mecs que je rencontrais et en faisait même jouir certains sans qu'ils soient passés par ma chatte ou mon cul, tellement elle était douée.
Elle m'avoua en fait que ce vice de la branlette lui était venu il y a quelques années lorsqu'elle avait surpris un copain de son fils en train de se palucher à la maison devant un porno, une nuit alors que tout le monde était censé dormir.



Elle m'a juré qu'en intervenant, son intention était uniquement de l'engueuler et de le renvoyer chez lui, mais que c'est la vision de sa grosse queue bandée et surtout de la taille impressionante de ses couilles qui l'a intrigué et excité.


Puis c'est la réaction du gamin, appeuré et presqu'en train de chialer qui l'a fait céder à la tentation. Elle lui a promis de ne rien dire si lui-même ne disait rien sur ce qu'elle allait faire. Et elle a lors saisi la bite du gosse et l'a masturbé.



Même si elle s'est surprise à prendre un grand plaisir à branler un autre homme que son mari, elle était tout de même anxieuse d'être prise en flagrant déli par son fils ou son mari. Elle a donc accéléré le processus en montrant ses seins au garçon et en lui laissant les lécher.



Elle l'a ainsi rapidement fait jouir sur son T-shirt, Séverine étant encore à l'époque peu désireuse de se faire juter dessus par un inconnu, et lui a fait promettre fermement de ne rien répéter.



A partir de ce moment, Séverine est devenur une maniaque de la branlette et peu à peu, une experte. Evidemment, en premier lieu, c'est son mari qui en profitait car elle lui proposait de le soulager très souvent, peu importe le moment ou l'endroit.

Elle lui rendait des visistes au bureau pour une pause branlette..



... ou plus simplement à la maison, en pleine journée, même s'ils avaient des invités qui attendanient dans le salon, par exemple.



Mais son mari n'était pas le seul sur qui Séverine s'adonnait à son loisir favoris... Elle branlait régulièrement des amis de son fils, d'abord simplement en leur montrant ses seins et rien d'autre.



Puis elle est devenue plus coquine, plus joueuse. Elle a par exemple un jour masturbé un autre ami de son fils en s'assoyant sur lui, cul tendu vers son visage. Il pouvait donc contempler sa belle chatte humide mais avait l'interdiction de la toucher.



Un autre encore à eu droit à une branlette espagnole et a pu ensuite se vider sur la belle poitrine de Séverine. A force de branler de plus en plus de monde, elle s'était aussi décoincée au niveau du sperme.





J'ai donc compris que Séverine avait une notion de la fidèlité qui évoluait en fonction de ces envies même si la pénétration ou encore la fellation restaient hors de question. Avec moi et les hommes que je rencontrais, elle a progressivement développé son addiction à la masturbation à un niveau impressionnant et branlait les queues par groupe de 2 ou 3 et laissait les hommes lui jouir dessus, que ce soit dans ses mains, sur ses seins et plus rarement sur son visage.



Comme moi, elle est devenue amatrice de soin du visage au jus d'homme car il lui arrivait souvent de me rejoindre en toute fin de séance, uniquement pour bénéficier d'une bonne faciale.


Mais jamais à cette époque je ne l'ai vu sucer, lécher ou se faire baiser par un autre homme que Jean-Claude.

Et en bonne épouse « fidèle » qu'elle était, elle faisait profiter son mari de toutes ses nouveaux loisirs. Du coup, en plus de branlettes magiques, Jean-Claude pouvait venir sur le visage de sa femme autant qu'il le voulait...



... Séverine acceptant même d'avaler son sperme, ce qu'elle avait toujours refuser auparavant !



Jean-Claude était ravi et nous étions alors convaincues qu'il ne se doutait de rien...

De mon côté, cette obcession de Séverine m'amusait et m'excitait et j'ai voulu savoir jusqu'où cela allait la mener. Ainsi, un jour que nous étions en vadrouille à Paris, j'ai organisé une petite sauterie avec des « amis », tous noirs et bien équipés, pour Séverine. Lorsqu'elle a découvert le groupe d'homme, elle a paniqué et m'a dit qu'il était hors de question qu'elle se laisse baiser par tous ces inconnus.

Mais je l'ai rassuré en lui disant qu'ils étaient prévenus : ils ne la sauteraient pas, ils allaient juste avoir la meilleure branlette de leur vie ! Elle était libre de s'amuser avec eux comme elle l'entendait, et ils ne tenteraient rien.

Rassurée, Séverine à donc participer à son premier gangbang mais où seules ses mains allaient servir. Et son visage aussi car, ma seule demande envers elle était de la voir recouverte de foutre !

Les mecs ont commencés par la déshabiller en la pelotant assez franchement. J'avais peur que Séverine se braque de ses attouchements mais non, elle semblait carrément les apprécier. Tous ces blacks lui touchaient les seins, les fesses mais pas la chatte, limite que je leur avait imposé.



Puis, une fois déshabillée, les types l'ont soulevée et lui ont écarté en grand les jambes. La chatte de Séverine était dégoulinante de mouille et j'ai cru un moment qu'un des blacks allait craquer et l'enfiler comme ça, dans cette position.



Mais non, ils l'ont posé au sol et ont sorti tout leurs énormes engins devant une Séverine impressionnée par autant de jouets rien que pour elle.



Elle a passé ensuite une bonne demi-heure à les branler tour à tour, souvent 2 en même temps, à palper leur couilles, à masser leur gland du bout de son pouce...



A plusieurs reprise, Séverine c'est retrouvée très proche de sexes suitant de désir et j'ai bien cru qu'elle allait céder et les prendre en bouche.



Mais elle a su garder son sang froid, en prenant tout de même soin de se doigter énergiquement pour se faire jouir et ainsi satisfaire et calmer sa propre excitation.



Puis ce fût l'avalanche de foutre. Un à un, les mecs sont passé lui recouvrir avec leur semence abondande son beau visage de femme mure et encore superbe.



Il lui ont macculé le visage, les cheveux et la poitrine. Séverine a d'abord gardé la bouche fermée mais devant les quantités de jus qui la recouvraient, elle a du se rendre à l'évidence : il était plus simple de l'ouvrir pour respirer et d'avaler ce qui allait y rentrer !



Elle a même fini par tirer la langue pour inciter certains à lui remplir la bouche.



Elle se trémoussait par terre d'excitation, alors que les éjaculations continuaient de se succéder et de la recouvrir, également sur la poitrine et le ventre. A l'aveugle, elle branlait les queues dégoulinantes et palpait les couilles allégées qui se présentaient à elle.



Elle a fini la séance ainsi recouverte, avachie dans un sous-sol assez lugubre sous les applaudissements de la petite dizaine de Blacks venant d'honorer le magnifique visage de cette femme si belle, si perverse et, selon ses critères un peu spéciaux, encore fidèle.



A notre retour à l'hotel, elle m'a avoué avoir adoré servir ainsi de kleenex pour des inconnus mais m'a fait promettre de ne jamais réorganiser une telle partie. Elle avait trop souvent été à deux doigts de craquer et de sucer voire même de s'enfiler ces queues qui l'excitaient tant. Et elle voulait vraiment rester fidèle envers son mari et même si elle savait que son actuel comportement était déjà allé trop loin, elle voulait absoluement préserver son couple et son mari qu'elle aimait follement. Notre amitié précieuses et intense dépendait de cela.

J'ai donc compris le message et ne l'ai plus jamais tenté avec des hommes que je rencontrais. Après cette séance assez exceptionnelle, elle a continué de m'accompagner dans mes délires et d'y participer modestement, à la manière qui lui semblait correcte.

Mais même si elle restait fidèle, Séverine devenait de plus en plus perverse, ce qui me convenait très bien car j'avais parfois besoin d'aide pour soulager mes besoins. Ainsi, il m'arrivait d'avoir envie et même besoin d'être un objet offerte à tous, peu importe ce qu'ils me faisaient... Je voulais me sentir usée, utilisée, abusée comme une chose sans volonté.

Dans ces moments de nymphomanie aigue, Séverine, qui avait réfléchi à la question, m'attachait dans un parking, une ruelle sordide ou même dans des toilettes publiques, bref n'importe quel endroit mal fréquenté, et revenait me chercher une heure plus tard.



J'étais alors souvent dans un état lamentable, ayant subi tous les caprices des passants, qu'ils soient simples travailleurs rentrant chez eux, SDF, dealeurs, etc. J'étais baisée, évidemment, mais pas par tout le monde... Certains se contentaient par exemple de me doigter. Lorsque j'étais vraiment sale, avec du foutre débordant de tous mes orifices, la pluparts des gens n'osaient plus me toucher et s'amusaient alors à me cracher ou à ma pisser dessus.



La première fois que nous avons fait ça, je me suis fait après coup la réflexion que c'était terriblement dangereux de me mettre dans ces situations où j'étais incapable de me défendre. Mais j'ai appris plus tard que Séverine ne me laissait en fait jamais seule et restait à proximité, prête à venir me secourir si besoin. Elle avait même une bombe lacrymo dans son sac au cas où !



Elle prenait un réel plaisir à chercher des lieux adaptés et des positions nouvelles au gré de ses envies. Elle a amélioré ses méthodes de contention et pouvait donc me ligoter dans n'importe quelle position, sans que cela ne soit trop pénible pour moi. Ainsi, après des débuts très basiques où elle me laissait en sous-vêtement, mains ligotées...



... elle a rapidement appris à me positionner de manière à offrir la totalité de mes orifices en me suspendant les quatre fers en l'air. J'étais alors baisée, doigtée ou fistée par n'importe qui sans que je puisse m'y opposer.



D'autres fois, Séverine me plaçait de manière à mettre en évidence mon cul pour indiquait, avec des panneaux ou autres, que les sodomies étaient à volonté.



Elle s'amusait aussi à mesurer le succès que j'avais rencontré durant le temps où j'avais été ligotée par la quantité de sperme contenue en moi. Elle me positionnait donc de manière à ce que je ne puisse pas me vidanger et les hommes se succédaient pour me remplir.



Puis, lorsqu'elle revenait me libérer, elle laissait ces litres de foutre s'écouler de mes orifices, parfois simplement en le faisant couler par terre tout en admirant la quantité...



... ou plus rarement, si elle était vraiment très excitée, elle buvait tout ce nectar qui sortait de moi et en partageais une partie avec moi.



Je finissais épuisée, vidée, laminée de ces séances et, en général, nous nous offrions ensuite une journée ou deux dans des hôtels de luxe avec spa et compagnie, sans que rien de sexuel ne se produise, puis nous rentrions auprès de nos maris pour retrouver une vie plus normale.

Même si nos vacances de débauche étaient agréables, les retours à la normal était toujours appréciés. Séverine reprenait une vie presque normale auprès de son mari et il pouvait se passer des jours voire des semaines sans que nous nous voyions. Elle avait besoin de retrouver son homme, de se rassurer sur le fait qu'elle l'aimait toujours autant et me revenait ensuite pour de nouvelles aventures plus perverse que jamais !

De mon côté, je retrouvais mon mari et mon travail au lycée qui m'ennuyaient tous d'eux de plus en plus. Je ne trouvais de bonheur que dans mon autre vie : le sexe.

A suivre...