Émilie, directrice et traînée de lycée - 30
Je passe donc prendre Séverine chez moi pour la conduire en voiture jusqu'à une église. Celle-ci m'attend sur les escaliers qui mènent aux chambres. Elle n'est vêtue que d'une simple robe noire, certes décolletée, mais tout à fait convenable, mais pourtant, un érotisme incroyable émane d'elle. Cette superbe femme est faite pour le sexe et je l'allais, aujourd'hui, faire en sorte qu'elle el découvre pleinement !

Nous parcourons une vingtaine de borne depuis chez moi et arrivons devant l'église. Le prêtre nous attend devant la porte d'entrée, nous invite à l'intérieur et nous indique son petit bureau, derrière l'hôtel de l'église, le tour en gardant le silence et avec un air solennel.
Une fois à l'intérieur, il prend la parole :
- Bonjour Emilie. Voilà donc votre amie dont vous m'avez parlé ?
- Oui, mon père. Je vous présente Séverine. Elle aimerait se confesser, dis-je en soulevant discrètement le bas de sa robe sans qu'elle s'en rende compte, Séverine étant trop stressée par la présence du prêtre.

- Est-ce le cas, ma fille ? demande-t-il en dévorant du regard son décolleté et ses magnifiques jambes.
- Oui, mon père... J'en ai besoin.
- Alors suivez-moi.
Nous nous dirigeons vers les confessionnel et Séverine entre dans la cabine réservée aux pêcheurs, l'air très inquiète.

Le prêtre va alors fermer la porte principale de l'Eglise pour que personne n'entre et me prend alors en aparté.
- Elle est très séduisante, votre amie, Emilie...
- Contentez-vous de faire ce qui est convenu, mon Père... Et je continuerai de m'occuper de vos besoins spéciaux du mieux que je pourrai... et gratuitement....
- Ne vous inquiétez pas, ma fille, je connais mon métier !
Le prêtre entre alors dans l'autre cabine. Je me dirige rapidement vers les bancs de l'église pour y retrouver Jean-Claude qui y était déjà assis avant que nous arrivions. Il tient dans sa main un ordinateur portable et on aperçoit à l'écran Séverine, assise sur un siège en bois en train de commencer à parler au prêtre à travers une cloison, celle-ci étant uniquement percée d'un parloir.
- Je n'ai rien loupé ? demandais-je alors en m'asseyant à côté de Jean-Claude.
- Non, elle commence tout juste à parler.
Séverine commençait en effet à se livrer au prêtre, sans savoir que la conversation était filmée en direct et que le prêtre était un de mes clients réguliers !

A l'invitation de celui-ci, mon amie commence à dire qu'elle est une mauvaise épouse, une femme perverse et qu'elle cherche l'absolution pour pouvoir retrouver la confiance de son mari. Le prêtre lui demande en quoi elle a pêché.
- Mon père.... C'est trop choquant pour être dit... Disons que j'ai été infidèle.
- Dites m'en plus, ma fille. Je dois tout entendre de votre bouche...
- Et bien... j'entretiens une relation charnelle avec une femme pour qui j'ai beaucoup de tendresse...
- A quel point est-ce charnelle ? Vous embrassez-vous ?
- Mon père.... Nous faisons bien plus. Nous faisons l'amour régulièrement... chez moi, chez elle, partout où nous le pouvons.
- Je vois... Est-ce tout ?
- Non... Il m'arrive d'accompagner cette femme dans des soirées libertines où elles couchent avec de nombreux hommes.
- Ah... participez-vous à ces soirées ?
- Oui, mon père, cela m'arrive...
En entendant cette réponse, je vois Jean-Claude fermer les yeux et serrer le poing. L'épreuve que je lui impose est difficile à supporter mais je sais qu'il en sortira rassuré. Je pose ma main sur sa cuisse pour le réconforter pendant que Séverine continue de se livrer.
- Pendant ces soirées, avez-vous également des relations avec ces hommes.
- Non, mon Père... seule mon amie couche avec eux... Pour ma part, je regarde... en me caressant...
- Vous vous montrez nue devant ces hommes ?
- Parfois oui. Nue, ou en lingerie, cela dépend. J'avoue que m'exhiber devant ces inconnus m'excite beaucoup.
A ma grande surprise, et à celle de Jean-Claude, je vois alors Séverine écarter légèrement les jambes...

... puis, tout en parlant, les écarter complètement...

...et glisser sa main sur son entre-jambe, évidemment sans savoir qu'elle est filmée.

Et alors qu'elle commence à se caresser, elle continue de parler :
- Je participe parfois avec mon amie, laisse les hommes me regarder en se... masturbant... mais c'est tout.
- Vraiment, ma fille ? Vous vous contentez de vous caresser devant des hommes nus, eux-mêmes se touchant devant vous ? Avez-vous laissé des hommes vous toucher ?
- Je n'ai jamais laissé d'homme me faire l'amour, mon père...
- Vous ne répondez pas à ma question... Vous touchaient-ils ?
Séverine plonge alors sa main dans sa culotte et se caresse doucement la chatte alors qu'elle hésite à répondre.

Puis enfin :
- C'est vrai, j'ai laissé des hommes me toucher, mais jamais au niveau du sexe... Je les ai laissé me caresser les seins, dit-elle en se palpant la poitrine dans le confessionnal...

En entendant et voyant ceci, je pensais que Jean-Claude allait s'énerver. Mais son visage est au contraire détendu et un léger sourire coquin se dessine au coin de ces lèvres. Je pose alors ma main sur son sexe et je constate qu'il est très dur.
- Cela t'excite d'entendre ta femme parler de ses expériences ? Et de la mater en train de se branler à côté d'un prêtre ?
- J'avoue... C'est une sacrée salope mais bizarrement, je ne lui en veux pas... Au contraire, je crois que j'ai envie d'en entendre plus.
- Oh je crois qu'elle va en dire plus....
- Bien... Heu, Emilie, ne reste pas là à rien faire... Branle-moi.
- Avec plaisir Jean-Claude... Heureuse que tu le proposes !
Je sors donc son sexe de son pantalon et commence à le masturber doucement pendant que Séverine continue de répondre aux questions du Prêtre.

- Et vous, ma fille, avez-vous touché certains de ces hommes ?
- Je..... Oui, mon père... Il m'est arrivé de caresser le sexe de certains d'entre eux... De beaucoup d'entre eux, en réalité, ajoute-elle en commençant à se doigter rapidement.
- Vous les caressiez ? C'est-à-dire ?
- Je... mmhh... Je les branlais... mon père. Tous ces sexes gros et durs me rendaient folles alors très souvent, je les branlais et les faisais jouir.
En finissant ces mots, nous voyons Séverine tirer sa culotte sur le côté pour se masturber et se doigter plus vigoureusement.

Le prêtre enchaine :
- Ma fille, c'est là une infidélité assez grave... Lorsqu'ils jouissaient, j'ose espérer que ces hommes ne vous souillaient pas, n'est-ce-pas ?
- Mon dieu... si.. mmhh... Enfin au début, je leur refusais cela.... Mais l'excitation.... L'odeur du sperme... Oh mon dieu, mon Père, je les autorisais à jouir sur mes seins, sur mon ventre, dans mes mains et.... Oohhh Et sur mon visage....
- Je suis consterné par ce que j'entends.... La semence de l'homme n'est pas un jeu mais un instrument de la divine procréation, ma fille. Si au moins vous me disiez que cela ne vous plais guère...
- Mon père, si je vous disais cela, je mentirais... J'adore me faire souiller par la semence de ces inconnus.... J'adore l'odeur sur mon visage... J'adore le gout dans ma bouche...
- Le gout ?? Vous avez avalé du sperme, ma fille ?
- Oh mon dieu... Oui, mon père, j'en ai avalé beaucoup ! Je laissais les hommes jouir dans ma bouche mais je pouvais aussi boire la semence dans des verres qu'ils remplissaient ou directement à la sortie du sexe ou de l'anus de mon amie...
Séverine était en feu ! Elle racontait le moindre détail de ses expériences sexuelles avec malice et s'enfonçait presque la main dans la chatte en disant cela. Elle avait d'ailleurs retiré sa culotte et je me demandais alors ce qui passait par la tête de Séverine à ce moment car je n'avais pas du tout anticipé un tel comportement de sa part !

On voyait à son regard et à la frénésie de sa masturbation qu'elle était dans un état second. Mais le prêtre la ramena alors à la réalité :
- Ma fille, taisez-vous ! Jamais je n'ai entendu de pareilles horreurs.... Je ne vois pas comment je peux pardonner cela !
- S'il vous plaît mon, père, il le faut. Mon mari doit me croire à nouveau et Dieu doit me pardonner !
- Je ne vois qu'une solution...
Ce qui se passe alors sous nos yeux est magnifique. La grille métallique qui couvre l'ouverte dans la cloison du confessionnel tombe soudainement au sol et un énorme sexe bandé sort alors du trou et se pointe fièrement face au visage de Séverine.

Celle-ci s'exclame :
- Mon dieu, mon Père, que faites-vous ???
- Ma fille, faites-vous avec ce sexe ce que vous avez fait avec tant d'autres. Caressez-le jusqu'à la jouissance et jurez devant Dieu que vous n'avez jamais rien fait de plus grave ! Prenez-le, ma fille, ou sortez !
Séverine se saisi alors de l'énorme gourdin qui sort de la cloison et commence à le branler avec une certaine gêne, en stoppant ses propres caresses.

Jean-Claude n'en revient pas de la scène se produisant sous ses yeux : sa femme est en train de branler la bite d'un autre homme que lui, d'un Prêtre en plus ! Puis nous voyons la timidité de Séverine disparaitre au profit de la perversité. Elle branle la queue avec de plus en plus de plaisir manifeste et tire sur sa robe pour dégager son soutien-gorge.

De notre côté, l'excitation de Jean-Claude (et la mienne) était grandissante et, alors que sa femme ouvrait encore sa robe pour sortir sa grosse poitrine en branlant le prête, celui-ci m'invitait à lui sucer la queue. Je pouvais tout de même suivre les évènements dans le confessionnal puisque Jean-Claude inclinait la tablette vers moi.

Dans la cabine de confession, nous voyons Séverine sortir ses gros seins de son soutien-gorge et les malaxer. Puis, sans même que le prêtre ai eu à le demander, elle frotte ses tétons contre le gland du prêtre et le branle ensuite à deux mains avec la ferme intention de le faire jouir.

Celui-ci lui ordonne soudain :
- Prenez le en bouche, ma fille. Sucez ce sexe qui vous excite tant et vous serez pardonnée !
- Mon père, non, s'il vous plait... Je n'ai jamais sucé un autre homme que mon mari, je vous le jure... Ne m'obligez pas à le faire ici...
- Sucez-moi ! C'est un ordre !
- Je... je ne peux pas, mon Père.... J'aime trop mon mari...
A ce moment, Jean-Claude se lève en me laissant l'ordinateur et en rangeant son sexe. Il se précipite vers le confessionnal et ouvre le rideau de la cabine où est vautrée Séverine, une queue à la main.
Celle-ci pousse un cri d'horreur en voyant son mari et lâche par réflexe le sexe. Mais avant qu'elle ne puisse parler, Jean-Claude dit :
- Suce-le !
- Mon chéri.... Non... je suis désolé...
- Séverine, je t'aime et je te pardonne tout. Je serai avec toi si tu le souhaites dans tes fantasmes. Et je compte bien aussi que tu deviennes ma petite chienne obéissante...
- Mon chéri, tout ce que tu voudras ! Je t'aime tellement...
- Alors suce-le. Suce la grosse bite de ce prêtre, je t'y autorise.
Séverine se rapproche alors du sexe du prêtre et dépose un baiser sur son gland.

Mais avant d'aller plus loin, elle demande à nouveau à Jean-Claude :
- Tu es sur de vouloir me faire faire cela, mon chéri ? Je ne veux pas te blesser...
- Suce-le, fais-le jouir et avale son sperme, c'est un ordre ! Je sais que tu en crèves d'envie !
Séverine cède, obéis et gobe la bite bien dure du prêtre qui pousse un long râle de plaisir.

Je la vois depuis la tablette sucer cette bite avec gourmandise, pompant, léchant, mordillant la tige en fixant du regard Jean-Claude. Celui-ci se branle en regardant sa femme faire une pipe à un inconnu et l'encourage à le faire jouir rapidement.
Elle déploie alors tout son talent de suceuse et se met à pomper le prêtre comme une folle.

Elle se l'enfonce très loin dans la gorge, démontrant ainsi des capacités que je ne lui soupçonnais pas !

Le prêtre, que je connais bien, est un pervers mais est un amant de piètre qualité... Il ne résiste donc pas longtemps à ce traitement et jouis directement dans la bouche de Séverine.
Jean-Claude félicite alors sa femme pour son efficacité et lui demande de bien lui montrer sa bouche pleine de sperme avant d'avaler le tout, ce qu'elle fait avec obéissance.

Puis une fois la semence avalée, elle remontre sa bouche vide et obtient à nouveau les félicitations de son mari.

Pensant la fête terminée, je remballe la tablette dans mon sac et retourne vers la cabine pour rejoindre mes amis. Mais lorsque j'arrive là-bas, je vois Jean-Claude en train de se masturber au-dessus du visage de Séverine, celle-ci étant docilement agenouillée devant lui.
J'assiste alors à l'éjaculation puissante de Jean-Claude qui macule le beau visage de Séverine de longues trainées blanchâtres.

N'ayant toujours pas jouis depuis le début de cette mise en scène au combien excitante, je regrette que les deux seules bites présentes dans cette église soient hors d'état de me donner du plaisir. Frustrée, je me jette sur Séverine pour lécher le sperme sur son visage.

Elle se laisse faire puis me lèche la bouche à son tour et nous finissons par nous embrasser goulument. Puis elle me demande si c'est moi qui est organisé tout cela. Je lui explique alors ma combine et ma volonté de la rabibocher avec son mari.
Je lui avoue ensuite que j'espère en retour qu'ils participent avec moi à mes folles aventures.
Jean-Claude accepte évidement, tout comme Séverine, mais ils me disent qu'ils ont d'abord besoin de temps pour se retrouver après cette crise. Jean-Claude précise même, avec un humour que je ne lui connaissais pas, qu'il veut sa femme rien que pour lui avant de prêter à moitié de la région !
Et en effet, Séverine a vu passé une paire de queues dans les semaines qui ont suivis !
Mes deux amis rentrent donc chez eux, à nouveau en couple, tandis que je rentre seule de mon côté pour retrouver mon mari. Au fond de moi, j'enviais leur complicité car, moi-même, je ne pouvais évidemment partager mes hobbies à mon mari... Cela dit, j'ai trouvé en Séverine et Jean-Claude un couple de substitution et rapidement, nous étions presque en ménage à trois.

Séverine m'accompagnait de plus en plus souvent dans mes délires. Elle acceptait parfois d'aller tapiner au bord de la route certains soirs et c'était alors Jean-Claude qui assurait nos arrières en cas de problème.

Lorsque des clients arrivaient, c'est surtout moi qui allais à leur rencontre et qui leur proposait mes services. Séverine était là pour l'amusement, l'excitation, l'exhibition mais était encore un peu réticente à l'idée de vendre son corps à des inconnus.
Cela-dit, parfois, certains clients la réclamaient elle en particulier et, si Jean-Claude était d'accord, elle se transformait pour l'occasion en pute.

Il était hors de question pour elle comme pour Jean-Claude qu'elle devienne, comme moi, une vraie prostituée. Mais ce jeu lui plaisait beaucoup et il lui arrivait donc de faire semblant de tapiner sans moi (j'étais en fait en train de regarder dans une voiture, le plus souvent avec la queue de Jean-Claude dans les mains)...

... et de s'envoyer en l'air avec le premier inconnu venu.

Mais Séverine et Jean-Claude aimaient surtout m'accompagner lorsque j'allais à Paris pendant plusieurs jours dans le but d'y entretenir mon carnet d'adresse ou de découvrir de nouvelles expériences. Là, ils s'épanouissaient en tant que couple libertin, avec ou sans moi.
Ils pouvaient « simplement » participer aux partouzes que j'organisais (ou que Séverine continuait d'organiser pour moi), et ils baisaient alors avec qui ils voulaient.

C'est d'ailleurs au cours de ces soirées que nous nous sommes rendu compte que Jean-Claude aimait particulièrement mâter sa femme en train de se faire baiser par d'autres. Du coup, il lui organisait des séances privées où elle seule était prise par plusieurs hommes pendant que son homme regardait et que je lui servais de kleenex.
La première orgie du genre a été pour elle une surprise, puisqu'elle avait les yeux bandés lorsque plusieurs hommes lui sont tombés dessus.

Puis elle est devenue une experte et une accro au sexe à plusieurs, tout comme Jean-Claude qui ne se lassait pas de la voir satisfaire plusieurs queues en même temps.

Immanquablement, elle a découvert la double pénétration et les plaisirs immenses que cela procure !

J'ai également fait découvrir à Séverine les GloryHoles, ces murs troués d'où sortent des queues inconnues à satisfaire, que je pratiquais moi-même depuis des années. Même si, finalement, son premier gloryhole avait été dans une église avec un prêtre, elle ignorait que cela existait de manière « organisée ».

Je l'ai d'abord emmenée dans un club privé où des cabines avaient été aménagées pour cette fonction et où les queues étaient celles de clients assez clean. Et je l'ai évidemment accompagné pour en profiter et l'aider dans sa tâche car les clients étaient nombreux !

Jean-Claude, lui, regardait le tout sur un écran car l'intérieur de la cabine était filmé et projeté dans le club.
Puis rapidement, nous avons fréquenté des Glory Holes plus « sauvages », souvent dans des toilettes publiques de quartiers un peu glauques. Là les queues y étaient plus métissées, avec même une forte proportion de grosses bites noires.

Lors de nos précédentes aventures, Séverine avait déjà branlé ces gros engins ébènes et avait évidemment gouté leur sperme. Mais là, pour la première fois, elle les suçait et se les enfilait à volonté, avec la bénédiction de Jean-Claude.

Celui-ci trouvait d'ailleurs que le noir allait particulièrement bien à sa femme et il lui organisait des séances uniquement composées de Blacks tous plus membrés les uns que les autres.

Séverine et moi (il était hors de question que je laisse passer ces occasions !) prenions grand plaisir à jouer avec ces énormes membres qui nous faisaient tellement défaut à la campagne !

Jean-Claude se délectait de nous voir ainsi et participait évidemment parfois. Il offrait sa femme de plus en plus généreusement, dans des situations toujours plus perverses.

A côté de ces soirées et virées citadines souvent chiques, parfois plus trash, nous avons continué de mener nos propres vies. Séverine et Jean-Claude redevaient un couple presque comme les autres et pouvaient avoir leurs propres aventures. Moi, je continuais évidemment de tapiner et de chercher des clients nouveaux et situations toujours plus excitantes. Par exemple j'ai une fois été offerte en cadeau à des détenus de la part d'un directeur de prison soucieux de maintenir le calme dans son établissement !
Et à la manière dont ils m'ont tous défoncé, pendant des heures, dans tous les sens, j'ose espérer qu'ils ont foutu la paix aux gardiens pendant un bon moment !

Séverine de son côté a totalement embrassé son côté MILF et était sans cesse à la recherche de chair fraiche, d'ados ou de jeune homme à déniaiser, à dominer et à rendre dingue.
Avec le soutien de Jean-Claude qui faisait de plus en plus d'elle une nympho obéissante, Séverine continuait d'allumer les amis de son fils...

...leur proposait de les branler, telle une experte...

... voire un peu plus lorsque le jeune s'avérait plus tenace que prévu, ou que Jean-Claude était d'humeur à prêter sa femme.


Le vivier de copains de son fils n'étant pas inépuisable, elle m'a ensuite demandé de taper dans mes élèves ! Mais comment organiser ces rencontres ? Comment lui envoyer des élèves ? Sentant que mon activité dans l'éducation nationale allait bientôt se terminer car j'envisageais de plus en plus de vivre uniquement de mon corps, j'ai joué avec le feu et, en tant que directrice, je l'invitais parfois à venir au lycée puis la faisait passer tantôt pour une infermière scolaire, tantôt pour une éducatrice spécialisée ou encore une assistance sociale.
L'essentielle était qu'elle ne soit présente qu'une seule journée pour recevoir un ou deux élèves sans se faire trop repérer, de laisser passer quelques semaine et de recommencer avec une autre excuse.
Ainsi, pendant plusieurs semaines, j'envoyais certains gamins à une visite médicale, après les cours, d'un genre un peu particulier...


Ou je les punissais suite à un mauvais comportement et les envoyais en cours de redressement disciplinaire très stricte...

... aux méthodes parfois très dures...


... mais au final généreusement récompensé !

Si je vous raconte tout cela, ce n'est pas pour vous narrer la vie trépidante de Séverine et Jean-Claude en plus de la mienne, mais pour vous faire comprendre le niveau de complicité et de luxure qui régnait dans notre drôle de ménage à trois. Et pour que vous compreniez comment nous en sommes arrivés à la situation qui conclura bientôt mon histoire.
A suivre...