La cousine - 4. Apprentissage


Quand Laurine quitte Camille pour retourner dans sa chambre, cette dernière a une idée en tête. Elle remet sa robe et écoute. Comme la veille, elle entend Pauline passer dans le couloir et aller prendre sa douche. Quelques minutes plus tard, elle en ressort et, peu après, elle sort pour aller travailler. Aussitôt, Camille sort de sa chambre et descend discrètement jusqu'à la chambre de Raphaël. Celui-ci somnole nu sur le lit et relève la tête en entendant la porte s'ouvrir. Il voit sa cousine passer la tête par l'entrebâillement :
- Raphy, tu peux venir dans le salon, s'il te plaît ?



Raphaël enfile un short de nuit et suit sa cousine dans le salon :
- Qu'y a-t-il ?
- Laurine vous a observé...
- Je sais.
- Elle est venu me raconter.
- Ha oui ?
- Je pense qu'il faut qu'on t'aide. Pour le cunnilingus...
Camille soulève sa robe et dévoile son entrejambe pour s'assurer que Raphaël a bien compris.



- Comment ça ?
- Laurine m'a dit que ton cunni n'était pas un succès alors je veux que tu t'exerces sur moi et je te dirais comment t'améliorer.
- Ah je vois. C'est totalement désintéressé.
- Evidemment. Juste pour te rendre service. Tu te souviens de notre arrangement ?



- Je n'ai pas besoin d'un cours, je sais comment faire minette à une fille.
Camille s'assoit, écartant les cuisses :
- Et moi je crois que non... Laurine m'a dit que Pauline ne t'avait pas laisser faire très longtemps...



- Elle se masturbait avant que j'arrive. Elle était déjà très excitée et n'avait pas besoin de préliminaire.
- Ok, je vais me masturber aussi avant que tu me fasses minette. Comme ça on sera dans les mêmes conditions.
Raphaël n'en revient pas d'avoir cette conversation avec sa cousine. Il se demande presque d'ailleurs s'il n'est pas plus intime avec elle qu'avec Pauline. Fasciné, il la regarde se glisser le majeur entre les lèvres de sa moule pour se masturber.



Camille continue à se masturber en voyant bien que son cousin est de plus en plus à l'étroit dans son short, tendu comme un chapiteau :
- Tu vois, j'adore me caresser et je peux parfaitement me faire jouir comme ça. Mais je préfère largement quand ce n'est pas moi-même et quand c'est Boris qui caresse ou, mieux, qui me lèche. Je sais ce que font mes doigts. Les doigts ou la langue de Boris, c'est imprévisible, surprenant, et c'est bien meilleur.



Retirant son doigt trempé de cyprine, elle le tend vers son cousin :
- Approche...
Raphaël s'approche et attrape la main de sa cousine. Il lui suce le doigt. Elle lui demande :
- Tu aimes ma mouille ?
- Oui...
Il s'agenouille entre ses cuisses et plonge son visage sur sa moule, faisant tourner sa langue autour du clitoris tendu.



Après quelques secondes, Camille se redresse :
- Attends Raphy, je crois que j'ai compris. Lèves-toi...
Raphaël, un peu vexé, se relève et attend le verdict de Camille qui se rassoit, cuisses serrées :
- C'était pas bien ?
- Si, mais je pense que tu n'as pas compris le concept des préliminaires.



- Pauline ne s'en est jamais plainte...
- Pauline n'a peut-être jamais eu la chance de connaître de vrais préliminaires.
Camille se lève et commence à faire glisser les bretelles de sa robe :
- Tu m'excuseras, je me mets à l'aise.



Une fois nue, elle le prend par la main et l'emmène dans les escaliers :
- Où tu vas ?
- Dans haut sur le clic-clac du bureau, on sera mieux...
Une fois la porte du bureau refermée, Camille s'agenouille sur le lit :
- Raphy, je vais m'occuper de ton apprentissage.
- Tu sais que c'est un peu vexant de s'entendre dire qu'on est nul au pieu.
- Je n'ai pas dit que tu étais nul. Je t'ai dit que tu peux faire mieux. T'aider à t'améliorer, c'est bien le but de notre arrangement non ?



- Je me demande quand même si vous ne me manipulez pas pour votre propre plaisir Laurine et toi.
- Disons que c'est un arrangement gagnant-gagnant.
Camille s'assoit et écarte les cuisses :
- Première chose, vous les mecs, le plaisir passe essentiellement par votre bite. C'est comme ça. Mais il ne faut pas que vous croyez que notre plaisir à nous passe uniquement par notre sexe, voire notre clitoris. C'est beaucoup plus subtil.



- Ça, je le savais.
- Mais tu ne l'appliques pas. Tu t'es jeté sur mon clito comme si c'était là l'unique moyen de me faire jouir. Considère que le clitoris est un petit être fragile qui est endormi et que tu dois réveiller le plus doucement. Ce n'est pas un marathon ! Il faut que tu laisses ma moule se reposer un peu, pour mieux repartir après. Le clitoris doit être préparé lentement, d'abord sans le toucher, en stimulant les autres zones érogènes : l'intérieur des cuisses, les fesses, le ventre, les seins, la nuque, la bouche...
Camille se renverse sur le dos et se caresse la poitrine en guise de démonstration.



Relevant la tête, elle sourit à son cousin, lui indiquant que c'est à lui de jouer :
- Essaye.
Raphaël vient la rejoindre et commence par lui caresser l'intérieur des cuisses et lui embrasser un mamelon. Camille approuve :
- Mmmm, tu apprends vite...
Il se décale un peu et lui caresse la tête d'une main, faisant glisser l'autre entre ses cuisses, laissant ses doigts effleurer les lèvres de la moule.



Après quelques minutes, Camille lui dit :
- Regarde. Mes mamelons sont tendus à l'extrême. Ils sont devenus très sensibles et réagiront à la moindre caresse. Et regarde ma moule comme elle mouille. Elle est presque en attente de la suite.
Raphaël est fasciné par le corps superbe de sa cousine qui semble effectivement réclamer du plaisir.



Camille ajoute :
- Peut-être Pauline était-elle dans cet état tout à l'heure et elle a exprimé son besoin de jouir en demandant à se faire pénétrer. Mais elle aurait pu avoir un orgasme bien plus puissant en prolongeant encore les préliminaires. Vas-y, continue, tu vas voir.
Raphaël vient se positionner entre ses cuisses et lui lèche la moule.



Camille a le souffle court et gémit de plus en plus. Elle le met en garde :
- Aaaah... Attention... si tu sens que je viens, ne me fais pas jouir... Aaaaaah... Fais durer le plaisir... Change de... Oooooh.... Change de stratégie...
Interrompant son cunnilingus, Raphaël se redresse et fait lentement pénétrer son majeur dans la fente trempée de cyprine.



Camille gémit :
- Ouiiiiii ! C'est parfait. Branle-moi sans toucher à... ooooooh... à mon clito... Fais-moi patienter...
Le majeur de Raphaël pénètre aussi loin qu'il peut dans le vagin de sa cousine et caresse su bout du doigt le ventre, peut-être à la recherche de son point G. Camille souffle de plus en plus. Après quelques minutes, Raphaël sort son majeur et plonge son index dans la fente trempée. Se penchant dessus, il tente la langue et commence à en tourner la pointe autour du clitoris dardé.



Camille exprime son plaisir :
- C'est parfait... Ooooooh... Ouiiii... Mais ne me fait pas jouir... Fais une pause.
Raphaël obéit et se redresse. Camille se redresse et observe son sexe dressé :
- Branle-toi pour entretenir ton érection pendant que je me calme un peu. Tu peux encore faire monter beaucoup mon excitation si tu marques quelques pauses.
Tandis que son cousin se masturbe lentement, Camille aussi entretient son plaisir en se caressant la fente, mais en évitant de s'attarder sur son clitoris.



Elle se rend compte alors que leurs sexes sont à seulement quelques centimètres l'un de l'autre. Elle a très envie que son cousin la pénètre mais elle sait qu'il a juré à Pauline qu'il ne ferait pas ça. Un peu troublée, elle tente sa chance :
- Si tu veux... tu peux essayer de caresser mon clito avec ton gland...



Raphaël la regarde et se demande s'il s'agit d'un piège. Camille le rassure :
- Tu n'es pas obligé si tu penses que c'est une mauvaise idée... Mais ce n'est qu'une branlette.
Le jeune homme pense pouvoir faire confiance à sa cousine et pose le gland de son sexe tendu à l'extrême contre les lèvres humides.



Camille pousse un petit gémissement quand il commence à faire glisser son gland et que celui-ci vient frotter contre son clitoris :
- Mmmm, c'est délicieux...
- Oui, mais également dangereux...
- Pourquoi ?
En disant cela, Camille se redresse, changeant l'angle de son bassin et mettant son orifice vaginal dans le même axe que la tige de son cousin.



Comme il appuie dessus pour bien le frotter contre la fente ouverte, le changement de position de Camille provoque la pénétration du gland dans la délicieuse fente. Camille pousse une exclamation. Raphaël se perdrait volontiers entre ses cuisses, oubliant ses promesses à Pauline, mais sa cousine pose la main sur son ventre et l'empêche de faire pénétrer plus que son gland :
- Attention, je crois que nous sommes à deux doigts de l'accident...



- T'inquiète, je maîtrise...
Mais même s'il semble maîtriser, les mouvements coordonnées des deux amants finissent par provoquer l'accident. Le gland de Raphaël commence à pénétrer la fente trempée de mouille de sa cousine.
- Hey, Raphy !



Raphaël se ressaisit et se retire, un peu honteux :
- Désolé... l'accident a eu lieu...
- Voyons, ce n'était que ton gland et c'est de ma faute puisque j'ai changé de position.
Voyant qu'il semble perturbé par ce qui vient de se passer, elle le replonge dans l'action :
- Allez, Raphy, suce-moi la moule. Fais-moi jouir avec ta bouche.



Plongeant son visage entre ses cuisses, Raphaël commence à lécher les lèvres de sa cousine sans jamais laisser sa langue entrer en contact avec le clitoris. Camille est contente de voir qu'il a bien retenu la leçon :
- Prends ton temps, on a toute la nuit...
Elle se laisse aller en arrière sur le lit et ferme les yeux pour goûter pleinement à cette douce caresse buccale.



De temps en temps, Raphaël s'interrompt, caresse du bout des doigts l'intérieur des cuisses de sa cousine, faut le tour de son sexe, effleure le clitoris gorgé de sang, puis replonge le visage pour faire courir sa langue le long de la fente dégoulinante de cyprine. Camille pose alors sa main sur sa tête pour le maintenir dans cette position :
- Ooooooh.. Ne t'y trompes pas... J'adore quand tu fais une pause. Tu me... Aaaaaah... tu me frustres. Tu me fais te désirer... encore plus. Si j'appuie ainsi sur ta tête... c'est par... réflexe... je veux jouir...



Raphaël semble avoir bien compris. Interrompant son cunnilingus, il se contente de caresser les lèvres béantes avec le plat de son pouce. Il relève la tête et observe sa cousine dont les yeux restent clos pour mieux profiter du plaisir. Il lui murmure :
- Tu veux que je te fasse jouir maintenant ?
- Ooooh ouiiiii...s 'il te plaît...
- Pourtant, je crois que tu peux encore patienter...
- Noooon, s'il te plaît...
Raphaël replonge son visage sur la fontaine de sa cousine, il lui lèche l'abondante cyprine qui humecte toute sa moule, n'épargnant maintenant plus le clitoris.



Mais ce sont de larges coups de langue, pas du tout destinés à tirer parti d'une zone érogène plus qu'une autre. Quand il sent que Camille commence à s'habituer à ses coups de langue, il change de stratégie : il tend sa langue et en dirige la pointe au plus profond de la moule, laissant sa lèvre supérieure se poser contre le clitoris qu'il sent alors palpiter légèrement. Il comprend qu'il est sans doute déjà aller trop loin. Il remonte alors et concentre ses coups de langues contre la petite excroissance de chaire rendue hypersensible. Le corps de Camille se tend alors. Ses doigts agrippent violement les cheveux de son cousin pour être certain qu'il ne bouge pas et son bassin se met à vibrer fougueusement tandis que l'orgasme la gagne tout son corps.



C'est en reprenant son souffle après ce magnifique orgasme que Camille se rend compte qu'elle n'a pas du tout retenu ses cris de plaisir. Raphaël la regarde en souriant, assez fier de lui :
- Alors, madame la formatrice, qu'en avez-vous pensé ?
Camille ne veut pas le mettre trop en confiance et se dit qu'elle peut sûrement encore profiter de cette situation :
- Pas mal du tout, Raphy.



- Seulement pas mal ? Tu as encore les seins gonflés. Tu as eu un orgasme terrible.
- Oui... et je pense qu'on a réveillé Laurine... Mais tu peux sûrement faire encore mieux. En tout cas, tu es sur la bonne voie, c'est très encourageant.
Raphaël semble un peu déçu de sa réponse mais ils sont interrompus par la porte de la chambre qui s'ouvre, laissant Laurine apparaître, tenant sa culotte à la main :
- Dites, maintenant que je suis réveillée, je suis curieuse d'évaluer les progrès de Raphaël... Après tout, je fais aussi partie de cet arrangement, non ?



Camille se pousse sur le bord du lit :
- Vient ici, Laurine.
Alors que sa collègue commence à s'allonger sur le lit à côté de Raphaël, Camille précise ce qu'elle a en tête :
- Non, mets-toi à quatre pattes. Il m'a fait un cunni sur le dos, je pense qu'il faut qu'il découvre une nouvelle position.
Laurine semble ravie de cette idée et prend position en se cambrant.



Puis elle tourne la tête en voyant le sexe turgescent du garçon :
- Mais tu ne l'as pas fait jouir, lui ?
Camille rigole :
- Non. L'objectif est qu'il apprenne à donner du plaisir en résistant à ses pulsions.
Laurine s'adresse alors à Raphaël :
- Et tu en as des pulsions, là, en voyant mon cul ?



- Evidemment !
- Alors concentre-toi. Tu dois me faire jouir et éviter de me pénétrer.
Lentement, il s'approche et admire la croupe splendide. Il sourit :
- Tu mouilles déjà énormément !
- Oh... C'est possible que je me sois un peu caresser la moule en te regardant œuvrer entre les cuisses de Camille depuis dix minutes.



Dès que la langue de Raphaël se pose sur la moule de la jolie blonde, celle-ci pousse un feulement de chatte en chaleur. Camille essaie de la rappeler à l'ordre :
- Tu es là pour sa formation... Essaie de te retenir de jouir au premier contact avec ton clito !
- Je... Aaaaah... j'y peux rien... Aaaaaah... J'ai déjà failli jouir tout à l'heure quad je... Aaaaah... me branlais...



Camille fait la moue, se disant que sa collègue gâche un peu tout le travail qu'elle vient de faire avec son cousin. Laurine n'écoute pas les conseils de Camille et se cambre encore davantage pour que Raphaël accède plus facilement à son clitoris. Celui-ci oublie totalement les conseils de Camille et plonge sa langue dans la moule dégoulinante de mouille de Laurine, comme s'il dégustait son dessert préféré, concentrant régulièrement ses coups de langue sur le clitoris.



Camille s'approche pour observer mais elle sait aux gémissements suggestifs de Laurine qu'il est sans doute déjà trop tard. Elle gronde son cousin :
- Raphy ! Tu n'as donc rien appris ?
Il s'interrompt, comprenant son erreur mais le bassin de la jeune blonde est déjà secoué des soubresauts de l'orgasme. La tête contre le lit, elle jouit :
- Oouiiiiiiii...



L'orgasme de Laurine est peu intense et elle reprend son souffle rapidement. Dès qu'elle rouvre les yeux, Camille la gronde :
- Tu exagères ! J'avais obtenu de bons résultats, un vrai progrès. Et toi, tu viens tout gâcher.
- Désolée... Je crois que je m'étais trop caressée avant et je n'ai pas pu m'empêcher de jouir... Il est doué. Je n'ai pas pu me contrôler.
Camille désigne son cousin dont le sexe est toujours tendu à l'extrême :
- Et lui ? Tu ne crois pas qu'il a envie de jouir ? Il se contrôle.
- Tu as raison, je suis égoïste...



- Pour ta peine, c'est à toi de le faire jouir, mais sans pénétration bien sûr...
Raphaël écarquille les yeux et égaille :
- Je... je peux choisir ?
- Bien sûr. Fais d'elle ce que tu veux !
Comme Laurine est toujours à quatre pattes sur le lit, Raphaël vient caler son sexe entre ses fesses, les couilles contre sa moule :
- Branle-moi comme ça.
Laurine se redresse et tourne la tête pour le voir tandis qu'il en profite pour lui caresser les seins.



Laurine fait monter et descendre le membre tendu entre ses fesses, sentant parfois les bourses tendues venir caresser sa moule. Excitée, elle remonte parfois asse haut pour sentir le gland au contact de sa moule qui accepterait bien volontiers une pénétration. Camille voit son manège :
- Attention Laurine, pas de pénétration !
Se calmant, elle tourne à nouveau la tête vers lui et l'embrasse à pleine bouche.



Camille intervient à nouveau :
- Pas de baiser. Les baisers sont réservés à Pauline, nous ne sommes là que pour son l'aider à améliorer ses performances sexuelles, à ce qu'il donne plus de plaisir à Pauline.
Interrompant le baiser, Laurine lance un regard noir à sa collègue et répond :
- Dans ce cas, je veux bien qu'il me caresse la moule pendant qu'il se branle. J'ai le droit ça ?
- Oui...
Encouragé, Raphaël plonge une main entre les cuisses de la jeune fille blonde et lui doigte la moule dégoulinante de mouille tandis qu'il la pelote de l'autre main.



Laurine feule de plaisir. Camille veut lui dire de se calmer parce qu'elle a déjà eu un orgasme mais se dit qu'elle l'a déjà suffisamment frustrée comme ça. Toutefois après une minute ainsi, Raphaël abandonne soudain l'entrejambe et les seins de sa partenaire et la saisit à la taille. Camille écarquille les yeux, craignant qu'il ne la pénètre à la volée pour jouir en elle. Mais, immobile, il garde sa queue calée entre les fesses de Laurine et libère soudain une giclée de sperme qui vient s'écraser dans le dos de la jeune fille.



Soufflant comme un bœuf, il s'écarte précipitamment pour saisir son sexe palpitant :
- Rhaaaaa ouiiii !
Un second jet de sperme vient s'écraser dans le dos de Laurine. Celle-ci gémit, mais Camille sait qu'elle simule un orgasme pour stimuler Raphaël.



Un troisième et dernier jet vient s'écraser entre les fesses de Laurine. Tandis que les dernières gouttes s'écoulent lentement pour venir rejoindre ce dernier filet, la jeune blonde sent la semence s'écouler lentement vers son anus :
- Ooooh, ça coule. Ton sperme coule dans mon cul et sur ma moule !



Camille saute alors sur le lit :
- Attends, je m'en occupe !
Raphaël s'écarte, laissant sa cousine venir s'installer entre les cuisses de Laurine et plonger son visage entre ses fesses pour en lécher le sperme.



Laurine gémit en sentant la langue de sa collègue s'attarder sur sa moule et sur son anus. Une fois la toilette terminée, Camille se redresse et écarte les fesses de Laurine :
- Je crois que c'est bien propre...
Raphaël est pétrifié de voir cette scène et n'en débande pas, les yeux rivés à cette sublime croupe qu'il n'a même pas pénétrée.



Laurine murmure en gémissant à l'attention de Camille :
- Je crois qu'il y en a un peu qui s'est immiscé entre les lèvres de ma moule...
- Ah oui ? Voyons cela...
Camille écarte les lèvres de la moule et fait glisser sa langue de haut en bas, s'attardant autant sur le clitoris que sur l'entrée du vagin. Laurine n'a plus besoin de simuler. Un nouvel orgasme la gagne.



Quand Laurine retrouve son calme après ce nouvel orgasme, elle remercie Camille et Raphaël :
- C'est un régal, ces séances d'apprentissage !
Camille lui caresse la croupe :
- Même si tu aurais pu suivre mes recommandations et faire durer le plaisir pour plus d'intensité...
- Pffff... Rabat-joie.
Raphaël caresse les seins de Laurine et se penche pour lui murmurer à l'oreille :
- Je pense que j'aurais pu te donner un orgasme plus puissant si tu m'en avais laissé le temps... mais c'était déjà extra.



Alors que Laurine regagne sa chambre, Raphaël remet son short de nuit. Camille le regarde faire :
- Tu ne dors jamais à poil ?
- Heu... si, mais là c'est pour redescendre...
- Tu as peur de croiser quelqu'un d'autre ?
- Heu... non, je ne sais pas pourquoi... La pudeur peut-être...
- Je me demandais, tu as trouvé différent de me sucer moi allongée sur le dos que de sucer Laurine allongée sur le ventre ?



- Plus difficile pour Laurine. Mais c'est peut-être une question de sensibilité ?
- Il faut essayer pour savoir... Tu t'en sens la force ?
- Oui... j'ai les couilles vides mais je bande encore.
- Fais-moi voir ça.
Le rejoignant sur le lit Camille commence à lui abaisser son short tandis qu'il lui caresse les seins.



Sitôt le short baissé, Camille empoigne le membre toujours tendu de son cousin :
- C'est dingue que tu ne débandes jamais, Raphy !
- Faut dire que tu restes à poil et que tu es en train de me masturber...



- Tu as raison... Je te laisse te reposer pour que tu te concentre sur notre expérience...
S'allongeant sur le ventre, cuisses écartées, Camille redresse sa croupe pour exposer sa moule à son cousin :
- Motivé pour un troisième cunnilingus ?



- Moi oui, mais toi, je trouve que tu mouilles à peine assez...
- Il s'agit d'une expérience scientifique, voyons ! L'excitation, c'est à toi de me la donner.
- Tu m'as appris à te faire patienter pour justement faire grandir cette excitation.
- Salaud !
Camille passe la main sous son ventre et laisse ses doigts caresser doucement les lèvres de sa moule.



Raphaël admire et se retient de se masturber pour accompagner sa cousine. Après une minute à se caresser ainsi, Camille s'arrête et tourne la tête :
- Et maintenant ? Est-ce que je mouille assez pour te prouver mon excitation ?
Raphaël s'approche et regarde la mouille qui commence à humecter les lèvres de sa cousine.



- Mmmm, oui c'est charmant. Mais j'aimerai que ça dégouline.
- Alors dans ce cas, il va falloir que tu t'en occupes toi-même avant que je ne m'endorme...
Plongeant sa tête dans l'oreiller, Camille ferme les yeux faisant mine de dormir. Ses cuisses écartées et sa moule humide la rendent indécente et Raphaël aimerait oublier Pauline et pénétrer cette magnifique moule qui lui avait donné tant de plaisir lorsqu'il était passé chez sa cousine.



S'agenouillant à côté d'elle, il commence par faire glisser son majeur le long de la fente. Camille frétille de plaisir :
- Tu... tu ne fais pas avec la langue ?
- Je crois avoir compris qu'il y a des préliminaires aux préliminaires, non ?
- Oui...
Camille garde les yeux fermés et sent son échine vibrer quand son cousin commence à faire pénétrer deux doigts dans sa moule.



La jeune fille se met à gémir profondément :
- Oui... Doucement... Pas trop vite...
Raphaël retire ses doigts et se redresse. Camille, frustrée, tourne la tête :
- Hey, je ne t'ai pas dit d'arrêter. Qu'est-ce que tu fais ?



- Je fais monter ton plaisir. Tu te souviens ce que tu m'as dit sur la frustration ?
- Salaud, tu apprends trop vite !
Camille redresse sa croupe encore plus et ajoute :
- Mais résisteras-tu à ça ?



- J'avoue que c'est irrésistible...
- C'est une autre leçon que tu aurais pu apprendre de Laurine tout à l'heure. Même si tu veux faire monter l'excitation par la patience, si une femme veut jouir, elle obtiendra ce qu'elle veut, quoique tu fasses.
- Les hommes sont bien faibles.
- Oui... Le sexe faible n'est qu'un mythe.
Raphaël est derrière elle et lui caresse les fesses, faisant s'écarter les lèvres de la moule qui suintent de cyprine.



Alors que Camille s'attend à ce qu'il lui lèche enfin la moule, Raphaël se recule et admire la croupe totalement offerte de sa cousine. Camille tourne la tête :
- Mais... ?
- Je mène l'expérience dans les mêmes conditions que lorsque tu étais sur le dos... Tu te souviens que nous procédons à une expérimentation scientifique ?
- Là, je vais fâcher si tu ne me lèche pas immédiatement.



Raphaël plonge le visage alors entre les fesses de Camille et fait courir sa langue contre la moule hyper-sensible. Camille n'y résiste pas :
- oooooh putain, Raphy ! Ouiiii... ça va valait le coup !
La langue du cousin lèche toute la surface de la moule, depuis le clitoris jusqu'à l'entrée du vagin.



Camille se redresse pour tendre sa croupe encore plus et aller au-devant des coups de langues de son cousin. Elle sent ses mamelons tendus effleurer le drap du lit, accentuant encore son excitation :
- Ohhhhh Raphy... Ne t'arrêtes plus !
S'interrompre n'est effectivement plus dans les projets du cousin.



Surexcité lui aussi, Raphaël fait remonter sa langue jusqu'à l'anus de sa cousine qui se met à crier :
- Oh oui ! Là aussi ! C'est booooon !
Fourrant alors un doigt dans la moule dégoulinante de mouille pour la masturber, Raphaël se met à concentrer ses coups de langue sur l'étroit orifice.



Camille n'y tient plus. L'orgasme l'envahit, tout aussi puissant que le précédent que son cousin lui avait donné :
- Ooooooooh Ouiiiiiiiiiii ! Oooooh Raphyyyyyyy !
Son corps est secoué de spasmes. Raphaël sent une incroyable quantité de cyprine envahir sa langue quand il interrompt son cunnilingus pour laisser sa cousine reprendre ses esprits.



Camille met quelques minutes à reprendre ses esprits. Quand la jeune fille rouvre les yeux, elle se rend compte que Raphaël termine de remettre son short et que Laurine est dans la chambre, nue. Quand Raphaël passe devant elle pour sortir, elle lui dit avec un petit sourire moqueur :
- Maintenant, ce serait bien de laisser les jeunes filles dormir...
- Je vous laisse. Je prends une douche et je me couche.



Raphaël sort. Camille tourne la tête vers sa collègue :
- Désolée... on t'a réveillée ?
- Je dors en face, donc oui, quand tu jouis comme ça, ça me réveille...
- Désolé...
- Du coup, je viens procéder au nettoyage de rigueur.
- Il n'a pas éjaculé cette fois-ci...
- Laisse-moi en juger par moi-même.
Laurine profite que Camille a gardé les cuisses écartées pour venir s'installer derrière elle. Elle s'agenouille et commence à lui lécher la moule.



Camille gémit en sentant la langue s'immiscer entre ses lèvres hyper-sensibles :
- Ooooh... Je viens de jouir... tu... tu ne pourras pas encore...
- Chiche !
Laurine se redresse :
- Que voulais-tu dire par "Là aussi" tout à l'heure ?
Camille ne répond pas car elle sait que Laurine a compris. Elle fait alors tourner sa langue contre son anus, inlassablement.



L'orgasme revient, moins puissant que le précédent, mais laissant Camille dans un état de fébrilité qui, sitôt l'orgasme passé, la fait tomber dans le sommeil. Quand Raphaël ressort de la douche quelques minutes plus tard, il s'arrête devant la porte entrouverte pour contempler les deux charmantes formatrices qui s'occupent si bien de lui faire découvrir les secrets du corps féminin. Alors qu'il referme la porte, Camille rouvre les yeux et murmure :
- Bonne nuit et à demain.