L'autre cousin - épisode 3 : La soirée
Samedi soir
Avec un grand sourire, Antoine serre la main de Boris :
- Un grand merci pour votre aide ! C'était précieux.
Regardant sa montre, Boris se rend compte qu'il est temps de rentrer :
- Mince, il est plus tard que je ne le pensais... Il va falloir qu'on parte.
- Vous voulez prendre une douche avant ? Julien y est mais il ne devrait pas tarder à libérer la salle de bain.
- Pas de refus pour ma part ! dit Boris.
- Et c'est quoi le programme pour dimanche ?
Camille soupire :
- Monsieur va faire du rafting avec ses copains, sans nana.

Antoine a un sourire en coin :
- Attends, tu veux dire que toi, tu rentres mais tu n'as rien de prévu demain ?
- Bah si, j'attends gentiment mon homme à la maison comme une bonne petite épouse docile.
- Mais pourquoi tu ne resterais pas, toi ? Je peux te redéposer demain en soirée. Je dois remonter et ça ne me fera pas un gros détour de te déposer chez toi. Et comme ça tu pourras profiter un peu de la piscine et de la plage...
Tous les arguments étant avancés, ni Boris ni Camille ne voient de raisons pour s'opposer à cette excellente idée. Boris entrevoit cependant les perspectives qui s'ouvrent à Camille s'il la laisse seule avec Antoine et Julien. Cela l'émoustille et il fait un clin d'œil entendu à Camille :
- OK. Je vais quand même prendre une douche avant de partir si ça ne te dérange pas.
Pendant qu'il retourne chercher du change à la voiture, Antoine confie une serviette de bain à Camille. Julien sort juste de la salle de bain quand Boris revient.
Camille le suit dans la salle de bain pour lui donner sa serviette et referme la porte :
- Tiens, Tony te prête une serviette.
Boris sourit en voyant Camille qui semble un peu excitée.
- Stressée à rester seule avec ton cousin et son copain ?
- Oui, plutôt excitée en fait...

- Tu me raconteras ?
- En détails.
Camille pose sa main sur son entrejambe :
- Oh, mais tu bandes ! C'est de m'abandonner aux mains de ces deux beaux garçons qui t'excite ?
- Oui et aussi du souvenir de ce qu'on vient de faire sur la plage...
- Oh mon pauvre, c'est vrai que tu n'as même pas joui... On a sûrement le temps de résoudre ça.
Camille retire son débardeur et commence à baisser son short.

Boris sourit :
- Tu vas me mettre en retard...
- Tu préfères que je sorte ?
- Bien sûr que non. Tu es adorable...
Camille, nue, lui retire ses vêtements et dégage sa formidable érection. Ils s'embrassent.

Alors que Camille saisit le membre turgescent, Boris lui saisit le poignet :
- Attends ! C'est prêt à partir...
- Tu déconnes ?
- Bah, non, tu m'as chauffé toute la journée, comment veux-tu que je que résiste ?!
Camille s'appuie au meuble du lavabo et bombe sa croupe. Elle ne peut pas être plus explicite pour son homme.

- Tu hésites ?
- Non... Je me dis juste, quand je vois dans l'état où je suis, je sais que je ne vais pas tenir longtemps...
- Moi j'ai eu mon quota d'orgasmes sur la plage donc occupe-toi seulement de ton plaisir.
Boris s'approche et engage sa verge tendue dans le sexe chaud et accueillant de sa copine, en repensant aux doigts de cet inconnu qui ont investi le lieu il y a moins d'une heure.

Lentement il s'enfonce en elle. Puis s'arrête. Camille tourne la tête :
- Tu veux que je gère ?
- Non, je veux faire à mon rythme. Ne pas bâcler ça...
Camille se redresse et il lui empoigne les seins, commençant à la limer lentement.

Camille se met à feuler :
- Ooooh, Boris... Tu es si gros...
Il faut reconnaître qu'il est dans un tel état d'excitation qu'il lui semble tout à fait possible que sa queue soit plus conséquente que d'habitude. Après seulement une minute de va-et-vient, il sent soudain sa partenaire se tendre et se cambrer pour aller au-devant de sa pénétration. Elle se mord les lèvres, s'immobilise et tout son corps se met à vibrer. Boris ne s'attendait pas à ce qu'elle jouisse et cela lui met à bas toute résistance. Après avoir pris une profonde inspiration, il pousse un profond râle. Tout son corps se bloque, à l'exception de sa verge qui se met à déverser une incroyable quantité de sperme dans le sexe de sa chérie. Ils restent ainsi, tous les deux immobiles, Camille accoudée au lavabo, Boris agrippé à ses seins, avec seulement les tressautements du sexe de Boris et les dernières convulsions du bassin de Camille.
Ayant repris son souffle, elle se redresse et tourne la tête pour l'embrasser.

- C'était délicieux, même si c'est en dehors de mes principes. Celui de faire durer le plaisir le plus longtemps possible...
- Tu déconnes ?! J'ai attendu toute la journée !
- Je te taquinais...
Camille, avec un sourire, remet son short et son débardeur :
- Dépêche-toi de te doucher. Tu vas être en retard.

Boris expédie sa douche en seulement quelques minutes. Après avoir dit au revoir à Julien et Antoine, il va avec Camille jusqu'au coffre de la voiture pour sortir du sac ses affaires et laisser à Camille les siennes. Après un dernier baiser d'adieu, Boris lui susurre à l'oreille :
- Ne t'étonnes pas si Julien se montre moins timide, je lui ai dit qu'on était un couple très libre et qu'il nous arrivait de pratiquer l'échangisme...
C'est un mensonge mais il espère que cela incitera Camille à aller de l'avant avec Julien. Camille rigole :
- T'es con de lui avoir dit ça !

- Et il m'a avoué que tu lui plaisais beaucoup.
Boris lui fait un clin d'œil avant de monter en voiture. Il repart seul. A peine la voiture partie, sur le pas de la porte, Antoine appelle sa cousine :
- Camille, tu viens prendre l'apéro ?
- Je vais d'abord prendre une douche, si ça ne te dérange pas.
- Tu n'en as pas pris une avec Boris ?
- Lui oui, pas moi. On a discuté un peu.

- J'imagine bien, oui...
Antoine lui fait un clin d'œil et laisse sa cousine passer pour qu'elle aille à la salle de bain. Camille, comme elle en a souvent l'habitude, laisse la porte de la salle de bain entrouverte, invitation explicite pour que les garçons viennent se rincer l'œil. De la salle de bain, elle entend le bruit de la conversation de Julien et Antoine. Alors qu'elle se lave l'entrejambe, le contact de ses doigts sur ses lèvres lui rappelle le souvenir encore vif de ces doigts étrangers qui s'immisçaient si délicieusement en elle. Puis de la queue si grosse de son amant et de toute la semence qu'elle sent encore elle.

La conversation dure toujours dans le salon. Les garçons ont respecté son intimité. Camille est étonnée. Julien n'a sans doute pas osé, mais Antoine ? Sans doute qu'il n'ose pas laisser son ami. Un peu frustrée, Camille sort et se sèche. Elle raccroche la serviette au radiateur et cherche ses affaires du regard. Elle se rend compte qu'elle a oublié le sac avec ses affaires dans le salon. Elle doit aller chercher ses vêtements et ne voit que deux options : remettre son short et son débardeur qui empestent la sueur ou se contenter d'une serviette enroulée autour d'elle. Le choix est rapide.

Quand elle arrive dans le salon, les garçons sont en train de discuter dans le canapé. Camille arrive dans leur dos et constate que la table de basse est désespérément vide :
- Après une telle journée, vous n'êtes même pas en train de boire ?
- On t'attendait. On voulait...
Antoine reste sans voix en la voyant.

- Désolée pour la tenue, j'ai oublié de prendre mes fringues propres. Tony, t'as pas vu mes affaires ?
Camille cherche son sac des yeux. Antoine met quelques secondes à comprendre qu'elle lui pose une question.
- Oh, heu, je les ai montées dans la chambre d'amis... Je pensais que tu avais ce qu'il fallait.
- Oh merde... Tant pis, trop la flemme de remonter.
Camille s'affale dans le fauteuil face aux garçons.

Les garçons sont en attente. Comment cette petite serviette peut-elle bien tenir ? Combien de temps va-t-elle tenir ? Et si Camille écarte les cuisses, la serviette, ultra courte, ne dissimulera rien du tout. Camille les voit tous les deux subjugués. Elle sourit et demande :
- Vous avez l'air sacrément fatigué par le déménagement les gars. Si vous voulez, je m'occupe d'aller chercher les boissons.
Elle se met debout, sautant presque. Sa vivacité contraste avec l'inertie des deux gars. Mais surtout la serviette glisse un peu et les garçons aperçoivent les mamelons de la belle.

- Tony, où planques-tu tes alcools ?
- Heu... Dans le placard à portes coulissantes juste derrière toi. Les bouteilles en bas et les verres en haut.
Rien qu'en entendant ça, Camille sent des fourmis dans son bas-ventre. Voilà un exercice qui devrait être suivi avec insistance par les spectateurs vu les risques qu'elle encourt. Et cela fonctionne à merveille, comme elle se hisse pour attraper les verres en haut du placard, la serviette glisse et manque de tomber par terre. Elle la retient in extremis alors qu'elle est sur ses cuisses. Certes, elle est de dos et les garçons n'ont pu apercevoir qu'une partie de ses fesses, mais elle sait qu'ils ne vont plus la quitter des yeux.

- Oups...
Retenant la serviette d'une main, elle attrape les trois verres de l'autre pour les poser sur le rebord du meuble avant de rajuster sa serviette. Puis elle vient rapporter les verres sur la table basse. Quand elle se penche pour les déposer, elle sent que sa serviette glisse un peu mais elle est trop heureuse de voir les regards brillants des garçons, perdus dans son décolleté.

- Et qu'est-ce qu'on met là-dedans ?
Camille se redresse et retourne au placard.
- Heu, je dois avoir pas mal de chose. Un Jet 27, ça vous va ?
- Mmm oui. Besoin de te rafraichir, Tony ?
Camille se penche alors pour inspecter le bas du placard où une bonne vingtaine de bouteilles se disputent la place. Elle sait parfaitement que, dans cette position, sa serviette trop courte dévoile ses fesses et même probablement un peu davantage.

Espiègle, Camille garde la pose :
- Toi aussi, Julien, un Jet 27 ?
- Heu oui, oui très bien, merci.
Camille sort la bouteille et se relève pour refermer la porte.

Quand elle ramène la bouteille, elle reste face aux garçons et les regarde alternativement, amusée. Gênés par son regard, ni Julien ni Antoine n'osent profiter de son décolleté pendant qu'elle sert les verres. Tony voit bien qu'elle joue avec eux :
- Tu ferais mieux de regarder ce que tu fais, tu vas en mettre à côté.
- Je fais attention, ne t'inquiète pas.

Camile se rassoit, face aux garçons. Elle sent leur regard sur elle et fait attention à bien garder les cuisses serrées. Julien tente de trouver un sujet de conversation :
- Moi j'ai des cousins, mais je ne les vois plus depuis un bout de temps.
Camille lui répond :
- Des fois, il ne faut pas chercher. On n'est pas forcément fait pour s'entendre avec la famille...

Mais Antoine sourit à Camille et dit :
- Nous aussi, on s'était perdu de vue pendant longtemps. Entre nous, ça collait plutôt bien quand on était môme et, quand on s'est retrouvé récemment, la magie était toujours là...
Camille approuve et repense à la visite surprise d'Antoine et Raphaël. Presque instinctivement, elle écarte les cuisses, ne se rendant pas compte que la serviette trop courte ne dissimule pas aux regards des garçons son entrejambe nu. Elle murmure :
- Oui... la magie était toujours là.

Julien, le regard plutôt attiré par la poitrine partiellement couverte par la serviette, n'a pas remarqué la discrète exhibition de la jeune fille :
- De la magie ? Rien que ça ? Vous avez été cul et chemise pendant l'enfance ?
Antoine repense à leurs étés naturistes :
- Pas chemise, non...
Camille rigole en comprenant l'allusion. Antoine lui fait un clin d'œil puis porte un regard insistant à son entrejambe. Camille prend conscience de ce qu'elle offre aux regards des garçons mais, plutôt que de serrer les cuisses, elle tire sur la serviette.

Julien reste béat. La serviette, tirée vers le bas, dévoile désormais presque toute la poitrine de la jolie cousine. Antoine garde son sang-froid et pose aussitôt à Camille une question dans l'espoir que la réflexion l'empêche de se rendre compte de sa nouvelle exhibition :
- Combien de temps, on est resté sans se voir ?
Et la méthode fonctionne ! Camille se met à compter mentalement. Elle resserre les cuisses mais ne semble pas avoir conscience de ses seins exposés. Après une dizaine de seconde, elle annonce fièrement le résultat de son calcul :
- Dix neuf ans !

Ayant pu faire aboutir sa réflexion, Camille reprenant place dans la conversation et observe les deux garçons : Antoine sourit bêtement et Julien est béat, les yeux exorbités et la mâchoire décrochée. Elle baisse les yeux et comprend le trouble qu'elle a jetée. Elle fusille son cousin du regard :
- Tony ! Tu aurais pu me dire !
- Ah ? Désolé, je ne m'étais même pas rendu-compte...
- Menteur.
Camille rajuste sa serviette.

Pour ne pas rester sur ce froid, Camille attrape la bouteille sur la table basse et se lève :
- Je vous ressers les garçons ?
Avant qu'ils ne répondent, elle fait le tour de la table basse et vient entre les deux garçons :
- Allez hop, je suis debout, je sers tout le monde.
Pour la seconde fois, elle se penche en avant, sauf que cette fois-ci les garçons ont les yeux à seulement quelques dizaines de centimètre de ses fesses et de son appétissant abricot.

Pendant qu'elle sert, malgré son trouble, Julien tente de meubler la conversation :
- Et c'était quoi les jeux entre un cousin et une cousine de cette âge : dinette ou catch ?
Antoine est surpris par cette question :
- Catch ? Jamais mais c'est une bonne idée !
Camille a tout juste le temps de poser la bouteille quand Antoine la saisie par la taille et la fait basculer entre eux deux sur le canapé. Camille et Antoine sont hilares et commencent à chahuter comme des gamins. Dans l'action, Camille tenant fermement la serviette sur sa poitrine, le bas de la serviette s'est largement ouvert et laisse apparaître une toison bien taillée juste sous les yeux de Julien.

Camille se dégage de son éteinte.
- T'es con, Tony, merde ! J'ai failli renverser la bouteille ! s'écrie Camille en lui donnant un coup de coude, avant d'ajouter :
- De toute façon, tu n'as aucune chance contre moi, gros balourd.
Antoine lui saisit alors les deux poignets et la plaque sur le dossier du canapé.
- Ah, tu veux jouer à ça ? On va voir si je suis balourd !
Dans l'action la serviette s'ouvre complètement, les deux pans sont maintenant libres et Camille apparaît complètement nue aux yeux des garçons.

- À l'aide ! lance-t-elle à Julien en rigolant.
Elle se débat pour se libérer. Ce qui bien entendu a pour effet de balancer ses seins libérés. Camille s'avoue vaincue :
- C'est bon, Tony, tu as gagné. Lâche-moi maintenant !
C'est alors que l'interphone sonne. Antoine libère sa cousine
- Les pizzas !
Camille se redresse en cachant ses parties intimes.

Antoine attrape son portefeuille et tend un billet à Camille :
- Comme j'ai gagné, c'est toi qui va aller les réceptionner.
Camille rajuste sa serviette :
- T'es con, je vais pas ouvrir au livreur comme ça ?

- Mais si. Tu as perdu contre le balourd, tu n'as pas le choix.
Elle se lève et rajuste au mieux sa serviette :
- Il faut que je lui laisse un pourboire sur la monnaie ?

- T'inquiète, il n'aura pas besoin de pourboire.
Quelques secondes plus tard elle lui ouvre la porte et le jeune homme entre, portant devant lui 3 cartons à pizzas.
- Je vous mets ça où, mademoiselle ?
Camille lui indique la table basse mais, voyant qu'elle est encombrée des verres et de la bouteille, elle se précipite devant le livreur et se penche pour faire de la place et écarter les verres. Le jeune livreur passe au rouge écarlate, non pas sous l'effort, mais par la vue que lui offre Camille.

Camille, armée de son billet, le tend au livreur et, alors qu'elle s'apprête à l'accompagner pour lui ouvrir la porte Tony se penche en avant et tend le bras pour attraper du bout des doigts le bas de la petite serviette. Avec l'élan de Camille, qui n'a pas remarqué la manœuvre de son cousin, la serviette se détache totalement et tombe par terre. Le livreur a à peine le temps de profiter du spectacle que la jeune fille attrape sa serviette et tente de la remettre :
- Tu vas me payer ça, Tony...

Hilare, Antoine répond :
- Excuse-moi, Camille, c'était juste pour que tu lui dises de garder la monnaie.
Camille l'ignore et va rouvrir la porte pour le livreur. Tournant la tête pour lancer un regard noir à son cousin, elle dit au livreur :
- Désolé, mon cousin est un peu puéril.

- Oh, ce n'est pas bien méchant. Merci mademoiselle. Au revoir mademoiselle.
Camille revient dans le salon, et Antoine la complimente sur son attitude envers le livreur :
- À voir sa tronche, faut croire que ce petit livreur n'est pas souvent accueilli de la sorte, hein Camille ?
- T'es vraiment qu'un très gros con, Tony, réplique pour la énième fois Camille, mais toujours avec le sourire.

- N'empêche qu'il a pu voir ta minette.
- Non, j'avais les cuisses serrées et j'ai remis la serviette aussitôt.
Antoine se lève et vient derrière sa cousine, soulevant le bas de la serviette pour dévoiler ses fesses :
- Non, pas quand la serviette est tombée. Quand tu t'es penchée pour ranger la table basse...

Camille soupire :
- Ah, vous ne pensez qu'à ça vous les garçons...
Elle s'installe en face d'eux, dans le fauteuil et attrape une part de pizza. Tout en mangeant lui aussi, Julien relance la conversation :
- Et donc, pour en revenir aux souvenirs, vous vous voyiez souvent quand vous étiez enfants ?
Camille répond :
- Pendant quelques années, tous les étés. Les grandes vacances. Oui, on a passé pas mal de temps ensemble avec Tony et son frère Raphy. De bons souvenirs.
Alors qu'elle parle, la serviette glisse encore, laissant maintenant les mamelons apparaître.

Julien a bien vu le détail intéressant mais garde son calme et poursuit la conversation pour ne pas éveiller les soupçons de la jeune fille :
- Et du coup, vous faisiez quoi ? Vélo ? Jeux de société ?
- Ah oui c'est vrai ! On avait fait un strip-poker une fois ! Tony nous avait expliqué les règles.
Comme elle se tourne vers son cousin pour voir sa réaction au rappel de ce souvenir, elle se rend compte qu'il a les yeux rivés à ses seins. Baissant les yeux, elle en comprend la raison :
- Tony ! Espèce de vicieux. Arrête de me mater les seins. Tout ça, c'est réservé à Boris.

Elle se lève alors pour rajuster la serviette correctement. À ce moment-là, Antoine, qui vient de terminer un part de pizza, se redresse un peu et la saisit par le poignet :
- Oui, mais Boris n'est pas là ! Et tu mérites des chatouilles pour m'avoir traité de vicieux !
Il la tire alors vers lui et, de nouveau, elle se retrouve couchée dans le canapé, serviette ouverte, cuisses écartées, seins libérés.

Julien est abasourdi, tant pas le culot d'Antoine que par la beauté et la désinvolture de Camille. De nouveau, ils recommencent leur simulacre de lutte mais cette fois Julien y prend part sous prétexte de secourir Camille. Dans cette lutte improvisée, les mains des garçons parcourent son corps, elle est hilare, essaie de refermer sa serviette. Antoine la plaque dans les coussins, Julien tente de les séparer, les bras croisés autour de sa taille. Une de ses mains lui prend un sein. Antoine tente de la maintenir plaquée, il a passé un bras dans son dos en opposition, et l'autre a saisi le second sein.

L'étreinte de Julien se desserre et sa seconde main va maintenant vers le ventre de Camille. Antoine a empoigné son postérieur. Camille se débat et libère l'emprise de sa poitrine. Elle parvient à se dégager et se relève :
- T'es chiant, Tony ! Je me retrouve encore à poil devant ton copain !
- Allons, ne sois pas pudique. On a fait du nudisme ensemble quand on était petits.
- Quand on était petits, oui. Maintenant on est adulte et ces petits jeux ne sont plus aussi innocents.

- Allons, c'est pour jouer !
- Arrête. Je suis certaine que tu bandes...
- Et moi que tu mouilles !
- Pas du tout.
- On peut vérifier ?
- Salaud... Pas toi alors. Julien.
Julien n'en croit pas ses oreilles. Camille vient se mettre devant lui et lui prend le poignet pour amener sa main à son entrejambe.

Aussitôt, les doigts de Julien se mettent en action contre les lèvres trempées, se glissant entre pour aller en quête du clitoris. Camille feule. Antoine sourit :
- Alors, j'avais raison ?
Julien répond :
- Carrément...
Voyant que sa cousine se laisse aller aux caresses de Julien, il en profite pour ouvrir la serviette. Julien se penche alors sur elle pour l'embrasser.

Antoine est surpris qu'elle se laisse faire et, un peu jaloux, demande :
- Ses lèvres sont douces ?
Camille se détache alors de Julien. Elle appuie sur les épaules de son cousin pour le faire mettre à genoux et pose un pied sur le canapé pour lui exposer sa moule devant le visage :
- Tu peux goûter à celles-là si tu veux...
Antoine se met à lécher la moule de sa cousine tandis que Julien en profite pour lui caresser les seins.

Alors que la langue d'Antoine fouille son intimité avec délicatesse, Camille se sent partir. A deux doigts de l'orgasme, elle se dégage des deux hommes :
- Non, mais arrêtez ! Je... je suis désolée... Je n'aurais pas dû... c'est ma faute...
Elle reprend sa serviette :
- Désolée les gars... Je me suis laissée aller.

Antoine sourit :
- Il n'y a pas de mal à se laisser aller, surtout dans les bras de deux amants.
Un peu honteux de cette situation, Julien murmure :
- Son copain ne partagerait sans doute pas ton point de vue...
- Boris ? Tu rigoles ? Si tu savais...
Il attrape alors Camille par les épaules :
- On va finir cette partie de catch.
Il la pousse alors sur le canapé où elle s'affale à plat ventre, serviette retroussée sur les fesses.

Les deux garçons viennent s'asseoir de part et d'autre et Camille a juste le temps de se retournée, nue, offerte. Elle se recroqueville :
- Tony, on n'y jouait déjà pas quand on était petit et là on a franchement plus l'âge...
- Ne fait pas l'innocente, tu sais que c'est un prétexte.
Julien rigole :
- Et puis vous avez joué au strip-poker... Là, je crois que tu as déjà perdu.
Les garçons commencent à lui caresses les cuisses et les épaules.

Antoine lui saisit une cuisse et la force à écarter la jambe pour exhiber sa moule dégoulinante de cyprine :
- Vas-y Julien, caresse-la.
Julien n'a pas à se faire prier, surtout que la jeune fille ne semble même pas essayer de refermer ses cuisses. Antoine se penche sur elle pour l'embrasser.

Le souffle court, Camille dit à son cousin :
- Tony, je ne veux pas tromper Boris...
- Qui te parle de le tromper ? Je veux montrer à Julien à quel point tu es belle quand tu jouis.

Camille se laisse aller, comme si ce simple argument de son cousin avait suffi à la convaincre.
- D'accord... murmure-t-elle.
Julien s'agenouille alors entre ses cuisses écartées. Il plonge alors la tête entre ses jambes et commence à laper goulûment son sexe. Antoine s'est attaqué à ses seins. Camille ne se débat plus, sa tête repose sur un coussin qu'a mis Antoine avant de se lever pour se mettre à ses côtés pour continuer son jeu avec sa poitrine. Il lui tire un téton tout en aspirant le second. Elle pose une jambe sur le dossier, ouvrant encore davantage son sexe, et supplie Julien de ne pas s'arrêter.

Julien lui lèche le sexe, puis introduit un doigt dans son vagin. Il la masturbe, elle gémit. Puis, il retire son doigt et adjoint doucement un second. Il continue son va-et-vient, et recommence à lui lécher le clitoris, elle ondule de plus en plus du bassin. Elle gémit de plus en plus fort :
- Oh putain ! Ouiiii...
Julien n'en revient pas. Excité, il retire ses deux doigts et les lui tends à lécher, ce qu'elle fait comme s'il s'agissait d'un sexe.

Julien lui présente alors un troisième doigt à sucer, elle les prend tous en bouche. Il les retire puis, inspiré par ce qu'il a pu observer sur la plage quelques heures plus tôt, doucement il commence à les rentrer dans son vagin, qui petit à petit s'ouvre. Il continue à aller et venir en elle. Elle mouille énormément, ce qui mélangé à sa salive lubrifie son vagin. C'est la première fois que Julien fait cela, mais rien qu'à la regarder, il constate qu'elle adore ce traitement. Ses trois doigts vont et viennent maintenant sans aucune résistance, elle est complètement relâchée, complètement ouverte. Il fait pivoter sa main dans tous les sens, la pistonne.

Une nouvelle fois, il sort ses doigts et les lui tend à lécher. Doigt par doigt, elle récupère toute sa mouille. Il en ajoute un quatrième. À sa surprise, elle le lèche lui aussi, l'enduit de salive. Julien bande à tout rompre et est très excité. Sans ménagement cette fois, il introduit l'index, le majeur et l'annulaire en une seule fois. Elle est extrêmement mouillée et dilatée, il ne rencontre plus aucune résistance. Il retire ses doigts et les replonge, mais cette fois en y ajoutant mon petit doigt. Il la sent pousser, comme si elle voulait s'empaler sur sa main qui petit à petit, phalange après phalange, la pénètre. Elle ondule encore et encore du bassin. La dernière phalange est entrée et Julien bute contre ses parois, son pouce lui masse le clitoris.

Elle a les yeux clos, les dents serrées, mais appuie de tout son corps sur sa main. Antoine la regarde, stupéfait. Il a abandonné sa poitrine et se caresse au travers de son jean. Julien caresse le ventre de Camille, son autre main est ancrée dans son vagin. À ce moment, il retire sa main et retourne Camille sur le canapé. Elle ondule du postérieur. D'une seule fois, Julien remet trois doigts dans son vagin et la pistonne sans ménagement. Elle crie son plaisir, sa mouille coule le long de ses cuisses.

Puis, terrassée par son orgasme, elle s'écroule dans le canapé. Julien retire doucement ses doigts et se redresse. Antoine et lui restent à contempler la scène. Antoine est abasourdi :
- Putain, Julien, j'aurais jamais cru...
- C'est la première fois que je fais un truc pareil !
- Sans déconner ?
- Je te jure, c'est juste... un truc que j'ai vu sur la plage cet après-midi.
- Tu déconnes ! Tu a vu une fille se faire fister sur la plage ?!
- Camille...
- Par Boris ??
- Non. Un autre type. Un inconnu... Boris regardait.
En entendant ces mots, Camille reprend conscience et a un frisson. Elle comprend que Julien a été spectateur du fisting par l'inconnu plus tôt sur la plage.
- En tout cas, dit Antoine, tu n'y es pas allé de main morte !
Echevelée, Camille tourne la tête vers eux et sourit :
- Non, Tony. Je peux t'assurer que sa main était bien vivante ! Délicieusement vivante...

Les garçons rient aux éclats. Camille se lève et attrape sa serviette :
- Je vous laisse, je vais aller me coucher...
- Tu nous laisses dans cet état ?
Antoine écarte les cuisses de manière obscène, révélant à sa cousine son membre tendu à l'extrême qui déforme son jeans. Tout en ajustant sa serviette, Camille ouvre de grands yeux gourmands :
- Intéressant...

Puis elle ajoute :
- ... mais vous m'avez épuisée tous les deux. Et puis le déménagement a sûrement dû vous fatiguer beaucoup. Je pense qu'il est plus sage qu'on aille tous dormir...
- J'ai pas sommeil du tout ! dit Antoine.
- Moi non plus ! ajoute Julien du tac au tac.
Camille sourit :
- Vous êtes mignons, mais moi je suis vraiment claquée. Mes deux premiers fists le même jour, ce n'est pas rien. Et puis nous avons encore toute la journée de demain pour... discuter, non ?

Cet épisode est librement inspiré de la seconde partie de l'histoire de Free (2008)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb130/reve13010.html]