The Good Place - Épisode 8- partie 2

(Petit rappel de l'épisode précèdent : Julien, ayant tout avoué à Dakota à propos de son addiction au sexe et de la précarité de sa situation au « bon endroit », suit une sorte de cure de désintoxication. Mais alors qu'il cherchait à se changer les idées, il est confronté à toutes sortes de situations tentantes. Après avoir bravement résisté, il rentre chez lui pour raconter sa journée à Dakota).

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Arrivé chez lui, Julien constate l'absence de Dakota qui, se dit-il doit être restée chez elle. Il envisage donc d'aller la voir pour faire le bilan de sa balade mais se récompense déjà lui-même en se préparant un casse-croute royal. Pour l'accompagner, il ne dispose malheureusement que d'eau. Or il estime mériter une excellente bouteille de vin et décide donc d'appeler Janet pour se servir de ses capacités de manière plus classique.

Même si ses intentions étaient tout à fait conformes aux habitudes du quartier, Julien reconnait les transformations qu'il a réalisé sur Janet au moment où elle apparait : elle se présente seins nus et uniquement vêtue d'un bas de tablier pour couvrir son sexe.



- Oui Julien ?
- Bonjour Janet... Quelle tenue !
- Oui, comme tu étais dans ta cuisine au moment de m'appeler, je me suis dit que ça restait dans le thème. Tu aimes ?
- Oui beaucoup... Tu pourrais me fournir une bonne bouteille de vin. J'ai envie de me faire plaisir !
- Bien sûr... D'après mes bases de données, un Romanée-Conti 1984 ira très bien avec ton sandwich.
- Du Romanée-Conti ?? Si j'avais su que c'était si simple, j'en aurai déjà fait une cave entière !
- Et oui, on est au « bon endroit » ! Ce sera tout ?
- Oui, merci Janet !
- De rien.... Tu... penses que tu peux me donner un orgasme... maître ?



- Oh... Et bien, tu sais, l'expérience d'avant-hier réalisée par Dakota continue toujours et je crains de ne pouvoir te satisfaire.
- Tu pourrais me faire jouir sans... te soulager.
- Sauf que je ne pense pas être capable de me retenir... Et j'ai donné ma parole à Dakota. Tu comprends ?
- Oui, je crois. La confiance est quelque chose d'important dans un couple et trahir ton âme sœur serait de mauvais augures pour une éternité de vie en commun.

De toute la journée où il avait dû repousser les avances de femmes ou les tentations qui s'offraient à lui, c'est le faite de rejeter Janet qui lui parut le plus dommage. Il avait fait d'elle son esclave et elle était à présent accro aux orgasmes. Il pouvait en faire ce qu'il voulait et pourtant, il était pieds et poings liés. Quel gâchis !

- Merci de ta compréhension. Je te promets que dès que je peux m'occuper de toi, je le ferai. Et je le ferai avec plaisir, Janet !

Julien pensait sincèrement cette dernière phrase : il avait hâte que la phase de sevrage soit terminée et qu'il puisse enfin, dans une certaine mesure et sous le contrôle de Dakota, baiser des femmes !

- J'ai également hâte que tu le puisses, répond Janet, un poil agacée, en se tournant sur le côté, exposant ses fesses nues sous le tablier. A bientôt !



Julien se sent soulagé du départ de Janet et du fait qu'elle n'ait pas insisté plus que ça. Il dévore son sandwich et, s'apprête à savourer son fabuleux vin hors de prix. Mais au moment de le déboucher, il se dit que le boire avec Dakota, pour fêter sa journée de courage et de résistance, serait une meilleure idée.

Il emporte donc la bouteille avec lui et se dirige vers chez Dakota. Mais en passant à côté de la fenêtre de son salon, une surprise l'y attend. Il aperçoit en effet Janet et Dakota, nues, en train de faire l'amour.



L'excitation à l'air à son maximum dans la pièce et la passion entre les deux femmes semble puissante. Elles s'embrassent, se lèchent et se doigtent furieusement, en changeant souvent de position pour se donner mutuellement du plaisir du plus de manières possibles !




La première sensation perçue par Julien est évidemment de l'excitation et de la fierté : sa femme est bisexuelle et il se dit qu'une fois sa position sécurisée dans le quartier, les plans à 3 seront fréquents avec Janet.

Mais en les voyant si complices, si passionnées, si... amoureuses on dirait, de la jalousie apparaît. Il envie la passion qui uni Janet et Dakota, lui qui a toujours traité les femmes avec le moins de sentiments possibles, pour se protéger. Et aujourd'hui, amoureux de Dakota et sincèrement attaché à Janet, il se retrouve exclu.

Soudain, alors que Dakota est occupée à masturber Janet pour lui donner un orgasme qui n'a pas l'air d'être le premier de la soirée, celle-ci lève les yeux vers la fenêtre et aperçoit Julien.



La belle brune omnisciente, sans aucune volonté de blesser Julien (elle n'en a d'ailleurs pas les capacités), sourit avec bienveillance à Julien et retourne à ses embrassades avec Dakota. Elle ne lui dit d'ailleurs rien de la présence du jeune homme, celui-ci étant sensé s'abstenir de toute tentation sexuelle.

Découvert et impuissant, Julien décide de rentrer chez lui la queue entre les jambes (littéralement) et attaque seul la bouteille de Romanée-Conti. La jalousie est toujours là mais, au fur et à mesure que le niveau de la bouteille descend, un autre sentiment monte en lui : la colère.

En effet, comment justifier, de la part de Dakota, un tel comportement alors que de son côté, il ne doit toucher aucune femme. Comment cette scientifique, addictologue, peut-elle se prendre une ligne de cock tout en disant à son patient d'arrêter les drogues ?? Lui qui a résisté toute la journée, tenu tête aux nudistes, aux serveuses en chaleur, aux masseuses bisexuelles, aux inconnus allumeuses qui l'ont emmerdé avec leur histoire de bouquets de fleurs...

- Merde !!! s'exclame alors Julien en se tapant le front. La commission à faire à Anissa pour les bouquets de fleurs, putain j'ai zappé !

Julien termine d'une traite son verre et file en vitesse chez la voisine pour lui passer la commission. Deux minute et c'est plié, se dit-il.

Il frappe à la porte d'Anissa et celle-ci répond alors en demandant qui est-ce.

- C'est Julien !
- Oh ! Attend une minute, j'arrive.

Quelques instants plus tard, Anissa lui ouvre la porte, simplement vêtue d'une culotte et d'une chemise ouverte sur ses seins à peine couverts.



- Ouha ! Bonsoir Anissa, quel accueil !
- Bonsoir Julien, je suis ravie que tu passes me rendre visite. Entre.
- Non, en fait je passais juste de faire une commission de la part de Shyla... à propos des fleurs... elle..
- On peut parler de ça à l'intérieur ? l'interromp Anissa. Tu ne veux pas que je reste à la porte dans cette tenue, n'est-ce pas ? ajoute-elle en écartant les pans de sa chemise pour faire sortir ses seins.



- Ok... 5 min.
- Ah tu vois quand tu veux ! Allez entre.



Julien entre dans la maison et suit Anissa vers le salon. Celle-ci s'assoit alors négligemment sur le canapé, exposant sans pudeur sa poitrine et dit :
- Alors, puisque tu ne viens pas pour moi... Quel est le problème de Shyla ?



- Une histoire de fleur d'une certaine couleur que tu lui as demandé mais qu'elle ne trouve pas... Elle te fait dire qu'elle continue de chercher !
- Elle n'a qu'à demander à Janet, elle est là pour ça !

Julien comprend alors le sentiment qu'à Janet d'être considérée comme un robot distributeur. Il y avait du mépris dans la voix d'Anissa.

- Elle m'a dit qu'elle essaierait de se débrouiller toute seule... Donc voilà, en gros, elle a du retard mais elle est sur le coup !
- Ok merci... Mais dis-moi, tu n'es pas venu chez moi juste pour me dire ça, n'est-ce-pas ? demande insidieusement Anissa en le penchant sur Julien, assis à côté d'elle.



- Et bien... si... tente Julien en fixant les gros seins qui pendent sous son nez, malgré sa volonté de ne pas le faire.
- Je n'y crois pas. Tu aurais pu me le dire tout à l'heure... Pourquoi venir chez moi ? Avoue que ma proposition de ce matin t'a intéressé.
- Evidemment que ça m'a intéressé, Anissa ! répond alors Julien alors qu'Anissa approche d'avantage ses seins de son visage.



- Mais je dois me retenir... pour Dakota. Au moins le temps qu'elle se fasse à l'idée que j'ai une relation avec toi.
- Une relation ? Mais Julien, je ne t'ai jamais demandé d'entretenir une relation avec moi. J'ai juste besoin d'un vrai homme qui comble mes besoins.
- Je sais ce que tu veux...
- J'ai besoin d'un étalon qui sache me faire jouir, qui sache me prendre comme la chienne que je suis, qui sache me démonter par tous les trous et me faire mal... tellement mal que j'en jouirais ! continue Anissa en plaçant la main de Julien sur sa culotte.



- Tu sens comme je mouille ? Je suis littéralement trempée ! Je t'en prie, ne me laisse pas dans un état comme ça...

Flirtant avec son excitation en espérant pouvoir se retenir, Julien écarte le tissu de la culotte d'Anissa et caresse son sexe, effectivement bouillant et dégoulinant.



- Anissa... tu sais que j'en ai envie... mais ce serait trahir la confiance de Dakota !
- Ce n'est que du sexe, Julien. Aucun sentiment. Prend-moi, défonce-moi. Prend mon anus et défonce-le. Fait de moi ta chose. Cela ne sortira pas de cette maison. Mon mari ne saura rien et Dakota non plus !

Julien revoit alors Dakota en train de doigter et de lécher Janet, de la faire jouir et de prendre elle-même beaucoup de plaisir. Soudain, sa volonté craque et il dit alors :

- Et puis merle !

Et il se jette sur une Anissa qui pousse alors un cri de surprise et de joie en voyant son étalon se ruer sur elle. Il plonge la tête entre ses gros seins et les lèche. Il s'attarde aussi sur les tétons qu'il suce et mordille. Ils sont déjà très durs, démontrant l'excitation latente d'Anissa.



Puis il pousse Anissa sur le dos et commence à lui enlever sa culotte. Mais à peine a-t-il exposé sa chatte humide qu'il s'arrête, laissant la culotte au niveau des genoux, pour contempler et doigter le sexe.



Enfin, il enlève complètement la culotte et dévore à grand coup de langue le sexe d'Anissa qui, gémissante de plaisir, lui tient la tête d'une main et se malaxe un sein de l'autre.



Au bout de quelques savoureux instants, Anissa repousse Julien et se redresse vers lui. Elle fouille dans son pantalon pour en sortir son sexe en disant :

- Ta langue est toujours aussi habile, Julien, mais ne t'embête pas en préliminaire ! C'est ton sexe que je veux aujourd'hui, et rien d'autre.



- Cela ne m'embête pas de te lécher, Anissa, c'est au contraire un plaisir... Mais si tu veux être plus directe, je t'en prie, vas-y !

Julien s'allonge à son tour sur le dos et laisse Anissa commencer à le sucer comme une affamée.



Les talents de suceuse d'Anissa, à nouveau, sont au rendez-vous. Tout en regardant Julien dans les yeux, elle le lèche, le pompe et le mordille, en bougeant frénétiquement tant elle est excitée, faisant balloter dans tous les sens ses gros seins.



Elle prend également grand plaisir à masturber cette énorme queue à une ou a deux main et ne peut s'empêcher, pour lubrifier le tout, de lécher le gland comme s'il s'agissait d'une glace.



Puis une fois enduite de salive, elle place la queue entre ses gros seins pour faire à Julien une branlette espagnole de qualité. A ce moment précis, Julien revoit les petits seins de Dakota et il se dit que, parfois, une poitrine volumineuse a ses avantages !



L'apparition de Dakota dans ses pensées lui donne un sentiment de culpabilité qu'il balaie aussitôt en revoyait sa belle âme sœur jouer avec les gros seins de Janet. Elle s'amuse de son côté, alors aucune raison qu'il n'en fasse pas de même.

D'autant que c'est à ce moment qu'Anissa choisit de stopper sa branlette pour monter sur Julien et s'empaler directement sur sa queue. Sa chatte est si trempée que la pénétration est immédiatement divine. Julien ne se prive d'ailleurs pas pour la prendre par les hanches et la défoncer à grand coups de bassin.



Au bout de quelques instants, les coups de boutoirs de Julien déclenchent un orgasme fulgurant à Anissa. Mais il ne lui laisse pas le temps de savourer le plaisir : il sort du vagin et entre, avec la même facilité, dans son cul dilaté.

Anissa pousse alors un cri de surprise :

- Bourrin ! Tu me sodomises sans m'avertir ??
- Tu rigoles ? Tu m'as proposé ton anus deux fois aujourd'hui en me disant de faire de toi ma chose. Alors oui, je te sodomise sans faire de politesse !



Et sur ces mots, Julien accélère la cadence et défonce le cul d'Anissa, lui arrachant des cris de plaisir non feints. Cette belle brune orientale n'est pas que magnifique : elle est aussi une grande amatrice de sodomie et cela plait beaucoup à Julien !



Cependant, la journée a été rude pour lui et il sent que toute l'excitation accumulée pourra exploser d'un moment à l'autre. Pour gagner du temps sur un orgasme imminent, il décide de changer de position et de trou.

Il prend donc Anissa par derrière et dans la chatte.



- Tu sais l'avantage d'être au bon endroit ? demande Anissa à Julien en s'écartant les fesses.
- En général ou dans le contexte de notre petite partie de jambes en l'air ?
- A ton avis ? Dans quel autre contexte que ton sexe en train de me défoncer ??
- Et bien, non, quel avantage ?
- Les mycoses n'existent pas ici !
- C'est si sexy quand tu me parles de ça !
- Idiot ! Ça veut dire que tu peux passer de mon anus à mon vagin à ta guise sans aucun risque hygiénique !
- C'est intéressant mais si tu as envie que je prenne à nouveau par les fesses, tu peux simplement me le demander !

Et pour lier le geste à la parole, Julien sort de la chatte d'Anissa et l'encule à nouveau.



- C'est parce que je suis une grande timide, déclare Anissa entre deux gémissements de plaisir.

Pendant les minutes qui suivent, Julien profite à plein de cette avantage sanitaire et prend donc Anissa dans toutes les positions, tantôt pas la chatte, tantôt par l'anus.




Alors qu'il l'enculait, Anissa placée à cheval sur lui, il doit précipitamment se retirer, à deux doigts de craquer. Cette sortie brutale laisse un aspect dilaté à l'anus d'Anissa qui commente :

- Je pense que j'ai le trou de balle en chou-fleur...



Julien, trop content de cette opportunité pour gagner encore du temps, sort d'en-dessous Anissa et lui demande d'écarter en grand ses fesses.



- Effectivement, tu es grande ouverte. Mais n'ai aucune crainte, ton petit trou va reprendre sa forme normale. Tu... pourrais en profiter pour te doigter et améliorer ta souplesse... Qu'en penses-tu ?

Anissa a alors un peint rire ironique :

- Ah, parce que tu crois que je ne me suis jamais doigtée par cet endroit-là ? Si j'aime autant qu'on me sodomise tu penses bien que j'en ai profité aussi durant mes longues soirées seules ici. Et je me suis aussi entrainée dernièrement pour m'adapter à ton calibre, mon cher ! Regarde...

Et tandis que Julien s'installe pour contempler Anissa à l'œuvre, celle-ci s'enfonce deux puis trois doigts dans le cul. Elle les fait aller et venir et les écarte un peu pour dilater les parois de son rectum. Puis, à la surprise de Julien, elle enfonce un quatrième doigt.



- Ça mon cher, c'est depuis que je te fréquente... J'ai gagné un bon centimètre de largeur !
- Et bien on va continuer l'entrainement et, bientôt, tu pourras y mettre ton poing en entier.
- Oh mon dieu ! Tu crois que c'est possible ?
- Évidemment ! Mais, tu sais, cette souplesse ne remplace pas l'appétit sexuel que tu as. Tu es insatiable Anissa, et je me demande si ça ne te plairait pas de faire ça avec plusieurs hommes.
- Seigneur ! Voici un fantasme que je n'ai jamais pu... ou voulu réaliser étant vivante. Je ne sais pas si j'oserai d'avantage ici.
- On verra si un jour tu te sens prête, ce genre d'expérience doit être pratiquée en étant pleinement convaincue. En attendant, tu sais sur qui me ferait plaisir ? Que tu viennes me sucer pour me faire venir !
- Tu sucer ? Après que tu m'ais sodomisé ?
- Où est le problème ? Pas de problème hygiénique ici, tu m'as dis...
- Ça n'enlève peut-être pas le problème du gout...
- Il faut gouter avant de dire qu'on aime pas ! Tes parents ne t'ont pas appris ça ?
- Si... pour la soupe. Pas pour les verges tout juste sortis de mon derrière...
- C'est le même principe. Allez, à genoux.

La mine un poil réservée, Anissa obéit et pose ses lèvres sur le gland de Julien.



Puis elle relève la tête et commente :

- Mmhh.... Ça passe...



Elle se met alors à dévorer la bite pourtant odorante de Julien et rajoute :

- Ça passe même carrément !!



Voir ainsi Anissa lui pomper la queue alors qu'il venait de l'enculer copieusement achève Julien. Cette pratique n'était, il s'en souvient, pratiquée que par les grosses salopes quand il était vivant et à moins qu'il y ait vraiment un côté « odeur et hygiène » neutralisé ici, cela faisait d'Anissa une véritable chienne de compétition que Julien comptait bien utiliser !

Pour l'heure, son orgasme montait en lui. Il se redresse donc rapidement et explose sur le visage d'Anissa qui, de son côté, n'avait pas lâché la bite et continuait de la branler au moment des premières giclées.

Contrairement à leur dernière partie de sexe, l'éjaculation de Julien est cette fois violente et abondante, du fait de la frustration sexuelle accumulée depuis 2 jours. Anissa se prend du foutre dans les cheveux, sur le visage et sur la poitrine. Les premiers jets, rapides, sont même passés au-dessus de sa tête pour finir sur son fauteuil, derrière.



Anissa, aux anges, donne des coups de langue sur le gland suintant de Julien en commentant :

- Mon Dieu, tout est délicieux chez toi, tout.



- Tant mieux... parce que je peux te dire que tu vas en boire durant l'éternité qui nous attend !
- J'espère bien ! Par contre... j'aurais bien jouis une deuxième fois... Tu es sur que tu n'as pas de jus pour un deuxième round ? demande Anissa en exposant son cul, le visage encore dégoulinant de sperme.



- Houlà ! Tu es chaude ! Alors pour le deuxième round, il faudrait qu'on attende un peu... et je dois rentrer chez moi avant que Dakota ne se doute de quelque chose. Par contre, je suis sûr que tu peux te faire venir vite fait avec tes doigts.
- Tu restes pour me regarder ?
- A une condition : essaie de te faire jouir en te doigtant l'anus.
- Challenge accepted !!

Anissa s'allonge sur le dos face à Julien et commence à se caresser. Elle commence classiquement par le clitoris et la chatte, histoire de remonter rapidement. Puis, sentant l'orgasme pointé, elle passe au niveau de son cul.

Elle enfonce d'abord 2 ou 3 doigts pour profiter encore de cette sensation d'ouverture exceptionnelle. Puis elle ne laisse qu'un doigt mais le fait aller et venir frénétiquement. Et il ne lui faut que quelques secondes de cette masturbation anale intensive pour jouir violemment.



Éprise de plaisir, elle s'affale sur le dos en gémissant et soupirant.

- C'était mon premier orgasme du genre, murmure-elle, à bout de souffle.
- C'est vrais ? Je suis content pour toi, alors. Pouvoir jouir par plusieurs endroits multiplie les possibilités de prendre du plaisir !

Anissa se redresse alors, le visage toujours couvert de sperme et l'anus encore flageolant de plaisir, puis déclare :

- Julien, je te serai éternellement reconnaissante pour les moments qu'on a passé ensemble et qu'on va passer durant l'éternité qui nous reste. Je sais que ton âme sœur est Dakota et que tu l'aimes. Et c'est normal, c'est une femme adorable et très belle. Et je crois que j'aime également mon mari, même si cela ne semble plus réciproque et que je suis en train de le perdre. Mais je crois surtout que l'amitié avec bénéfice que nous partageons est exactement ce qu'il me faut aujourd'hui. Alors merci, vraiment.



- Anissa, rien que pour avoir eu la chance de faire ta rencontre, je suis content d'être mort ! Tu es une femme formidable et une maîtresse hors du commun. Tous les hommes rêveraient de t'avoir et ton mari est un idiot s'il ne s'en rend pas compte. Alors merci à toi également de me permettre d'être ton ami avec bénéfice ! Et même si je ne peux pas te promettre d'être toujours là pour toi, je te promets de faire en sorte d'être le plus présent possible.
- C'est tout ce qui m'importe : te savoir à porter de main quand j'en ressens le besoin. Et pas que pour le sexe, je te rassure. J'ai aussi un cœur qui est pal mal meurtri en ce moment.
- Je sais, je m'en rends compte. Je dois y aller mais on se revoit bientôt, ok ?
- Parfait, bonne soirée Julien.

Après avoir embrassé Anissa là où il n'y avait pas de sperme, Julien rentre chez lui. L'excitation retombée, la culpabilité d'avoir trahit Dakota refait son apparition. Et les images d'elle avec Janet ne suffisent plus à lui faire changer les idées. Il n'ose cependant repasser chez son âme sœur, ne sachant pas si elle est encore en train de fricoter avec Janet. L'escapade chez Anissa a finalement été assez courte et il est tout à fait possible que les deux femmes soient encore en train de s'amuser.
Il rentre donc directement chez lui et fini la bouteille de Romanée-Conti qu'il avait laissé sur le bar.

Le soir venu, Dakota fait son retour dans la maison de Julien, comme si de rien n'était, comme si elle ne venait pas de passer l'après-midi à baiser avec une femme-robot.

- Bonjour mon chéri !
- Bonjour... ta journée s'est bien passée ? répond Julien avec un air légèrement distant et curieux de la réponse.
- Heu... Très bien... J'ai... bouquiné en attendant que tu rentres.



- C'est tout ? Ok...

Ce mensonge de Dakota venait de convaincre Julien de garder pour lui son aventure avec Anissa. Mensonge pour mensonge. Pourtant, la réaction suivante de Dakota le pris au dépourvu.

- Julien, je voudrais te faire un dosage de dopamine. Pour vérifier si... tu vois ?
- Si je n'ai pas craqué ? Inutile, je peux déjà te dire que j'ai échoué...
- Noooonn ! Tu avais tenu toute la journée d'hier et d'aujourd'hui...
- Oui j'ai tenu toute la journée. Et quand je suis venu chez toi pour t'en parler, tout fier, j'ai vu que tu prenais du bon temps avec Janet. Alors même que je venais de résister à ses avances et de lui dire de revenir plus tard !

Dakota met alors les mains sur la bouche, confuse.

- Tu nous as vu ?!? Comme je suis désolée...
- Du coup, jaloux et excité, je... me suis masturbé. Je me sens bête d'avoir fait ça mais s'en était trop pour moi.
- Julien, je comprends tout à fait.... Et d'ailleurs je voulais te parler de ma méthode. Tu sais, je ne crois pas que ce soit approprié à toi et au quartier.



Julien voyait que Dakota semblait vraiment embêtée et en pleine remise en question. Sentant une lueur d'espoir pour la fin de son sevrage, Julien fait mine de ne pas comprendre.

- Oui... alors que j'étais avec Janet, je m'en voulais de faire ça sans toi. Je sais que tu aurais adoré être avec nous. Et, plus tard, en me promenant dans le quartier, j'ai vu les innombrables sources de tentations sexuelles. Te sevrer ici est impossible et, d'ailleurs, ça n'aurait pas de sens. Tu n'es pas un cocaïnomane qui doit tout arrêter pour reprendre une vie normal. Tu ne peux pas arrêter complètement le sexe, et d'ailleurs, je ne le veux pas. Tu fais trop bien l'amour pour que je m'en prive le reste de l'éternité !
- Je te remercie... mais du coup on fait comment avec mon « problème ».
- Ton problème c'est, actuellement, de ne pas savoir te contrôler et, du coup, de te mettre en danger. Tu dois changer ton comportement vis-à-vis des femmes et apprendre à maîtriser tes pulsions, avec à la clé, des récompenses.
- Tu veux me faire... du renforcement positif ?
- Tu connais le terme ? Et bien oui. En fonction de ton comportement, tu auras des récompenses. Je te poserai des défis, te proposerai des challenges qui t'obligeront à te maîtriser. Et en récompense, tu pourras me baiser, baiser Janet, nous baiser toutes les deux ensemble et encore plus... qui sait ?
Et tout en décrivant le programme de récompenses, Dakota l'illustra en écartant les jambes et en écartant sa culotte.



- Ce programme... est bien plus intéressant que la première version de ma thérapie !
- Je savais que ça te plairait. Voilà ce que je te propose. Cette nuit, c'est chacun chez soi : toi tu te reposes et moi j'imagine le premier défi pour demain. On va commencer par un truc simple. Ok ?
- Ça me va ! Dakota... je t'aime et je te remercie d'être aussi compréhensive avec moi.
- Julien, c'est moi qui te remercie. J'ai batifolé tout l'après-midi alors que tu résistais. Je suis une horrible personne et j'ai vraiment de la chance que tu ne me détestes pas.

En pensant à ce qu'il avait fait avec Anissa, Julien se dit qu'il était lui aussi une horrible personne. Mais ça, il le savait déjà et depuis un moment. Mais au moins, lui, essayait de s'améliorer. Peut-être cela allait-il lui éviter un aller simple vers le mauvais endroit ?

A suivre...