12. Sylvie et Axel sortent en boîte
Dès le lendemain soir, Axel et moi décidâmes de sortir en boîte. Il était tout excité et moi aussi. Notre mise au point de la veille nous avait donné confiance en nous et nous avions déjà une vague idée de la manière dont allait se terminer la soirée. C'est Axel qui choisit lui-même la robe que j'allais mettre : une petite robe beige toute courte et sans bretelle.

Quand je fus prête, je le rejoignis dans le salon. Il me regarda de haut en bas en souriant puis me lança un regard interrogateur en plissant légèrement les yeux. je savais quelle question ce regard sous-entendait. J'attrapai donc le bas de la robe pour la remonter et lui dévoiler ainsi mon sexe nu. Il était ravi. Moi-même, déjà excitée, je sentais la chaleur monter dans ma petite chatte.

Pendant tout le trajet, Axel n'arrêtait pas de me tripoter et je lui rendait bien (mais je le laissais quand même se concentrer sur sa conduite). Arrivés en boîte, nous nous sommes retrouvés au milieu d'une foule assez dense. Axel attaqua directement au bar. Je l'accompagnais et il alterna son attention entre son verre de bière et mes fesses. De mon côté, je regardai les mecs qui me plaisaient et tentai de leur dire par transmission de pensée que j'avais très envie qu'il me culbute (mais ça n'a pas vraiment marché). Au bout d'une dizaine de bière Axel commença à glisser sa main sous ma jupe. Il y découvrit bien sûr une fontaine. Couvrant presque le bruit de la musique, il dit :
- Tu mouilles à fond ! Va falloir te trouver quelques bites...
J'étais un peu gênée mais je me détendis en voyant que les gens autour ne s'offusquaient pas. En majorité des garçons, ils se massèrent autour de nous et semblaient attendre le prochain commentaire croustillant d'Axel. Mais celui-ci se contenta de me faire lever et souleva ma robe, montrant à tous ma minette luisante de mouille. Couvrant la musique, un "Hooo !" se fit entendre, issu de la stupéfaction des mâles présents.

Axel ne se contenta pas de m'offrir en spectacle. Il annonça :
- Vous savez ce qu'elle veut, la petite ? Voilà ce qu'elle veut !
Et ce disant, il extirpa de son pantalon une érection colossale (surtout pour un mec bourré). Placé derrière moi, il m'attrapa par les fesses et me souleva les cuisses pour m'empaler sur son mât. Je fus surprise de voir qu'il y parvint du premier coup. Il me laissa retomber dessus, s'enfonçant jusqu'à la garde. Puis il entama un lent va-et-vient sous les encouragements des mecs autours.

Les gens autours applaudissaient. Certains prenaient même des photos ou filmaient avec leur téléphone-portable. Mais comme Axel était bourré, il montra un manque cruel d'endurance et m'abandonna avant que l'un de nous deux ait joui. Il me reposa délicatement sur un canapé en bord de piste, me laissant dans un état de frustration indéfinissable. Excitée comme j'étais, je me mis machinalement à me toucher.

Je vis Axel se rajuster et téléphoner. A cette heure-là, c'était manifestement un taxi. Sans se formaliser sur le fait que je me masturbais en public, il m'apporta les clés de sa voiture et m'expliqua qu'il avait trop abusé de l'alcool et rentrait en taxi. Il me laissait donc à la merci de qui voulait... A peine eut-il disparu, qu'un type m'aborda. J'arrêtai de me caresser pour l'écouter. Il me proposait de continuer ce qu'Axel n'avait pas pu terminer. Je lui répondis non et lui expliquai que j'avais envie de faire pipi. Comme il insistait, je lui proposais de garder ma robe le temps que j'aille au toilette. Il accepta et m'accompagna jusqu'à la porte où je retirai ma petite robe et lui confiai.

En sortant des toilettes deux types étaient là à uriner (j'admets que je m'étais peut-être trompée de côté et que j'étais sans doute entrée chez les hommes), surpris de me voir en tenue d'Eve. Je leur souris mais je déchantai en constatant que le type qui devait me garder ma robe avait disparu et ma robe avec. Les deux gars n'avaient d'yeux que pour moi.

Aussi, je leur demandai s'ils avaient vu le type avec ma robe et s'ils savaient où il était parti. Ils voulurent bien me répondre mais réclamèrent auparavant de me caresser. De bonne grâce, j'acceptais et les laissais donc me tripoter les fesses et la moule.

Mais je n'avais toujours pas joui et j'étais terriblement excitée. Ils se rendirent très vite compte que je mouillais abondamment et que leurs caresses étaient drôlement efficaces. Aussi, lorsqu'ils sortirent leur queue, je ne protestai pas et me mis même aussitôt à genou pour les sucer.

Ils bandaient tout les deux déjà bien. A tour de rôle, je les suçais et les branlais avec une rare énergie. J'y mis tout mon cœur si bien qu'en moins d'un quart d'heure je sentis qu'ils étaient tous les deux mûrs.

Le premier jouit sur le haut de ma poitrine et j'eu à peine le temps de redresser le tir pour en recevoir un peu sur le menton. Cela ne me déclencha bien sûr pas d'orgasme. Je fondais donc mes espoirs sur le second...

Par chance, le second comprit parfaitement ce que je voulais : il visa bien ma bouche et mon visage et m'envoya son sperme en abondance. Je jouis enfin... Une nana black entra, me dévisagea quelques instants puis tourna les talons, semble-t-il dégoutée. Une minute plus tard, couverte de sperme, je leur demandai donc ce qu'était devenue ma robe. Ils m'expliquèrent que le type leur avait dit "Il y a une salope du tonnerre là-dedans les gars, moi, je dois partir. J'embarque sa robe en souvenir." Je me retrouvais donc à poil en boîte de nuit.

Bien sûr je l'avais un peu cherché mais je me disais que le retour à la maison promettait d'être plus épique que prévu. Je me nettoyai quand même le visage avant de regagner la grande salle. Sans me poser de question, j'attrapai un blouson posé sur un tabouret du bar et l'enfilai. Celui-ci était trop court pour me couvrir le bas mais j'étais au moins "à moitié" décente, bien que je ne pouvais dissimuler ni mes fesses, ni ma chatte trempée.

Un type déboula en me criant dessus :
- Hé, salope, c'est le blouson de ma femme, qu'est-ce que tu fous ?
Il commença à me l'arracher, non sans en profiter pour me caresser les seins au passage.

Arriva alors la nana black que j'avais aperçue peu avant dans les toilettes, bien roulée, C'était sa copine et elle se montra très conciliante :
- Ecoute, si tu veux, j'ai des fringues de rechange, mais en échange tu nous accompagnes dans le vestiaire et tu suces mon mec.
La demande était directe, formulée presque en ces termes mais je ne pouvais pas vraiment m'offusquer alors que je venais de faire l'amour en public avec Axel sans complexe. Elle m'expliqua que son mari insistait très souvent pour ce genre de gâterie mais que cela la dégoutait et qu'elle lui a toujours refusé. Elle m'avait vu opérer dans les toilettes et s'était justement dit que j'étais le genre de fille qu'il fallait à son copain...
Je les suivis donc dans le vestiaire où elle me passe un jeans et un tee-shirt. Elle me souleva le tee-shirt sous prétexte de motiver son copain. Celui-ci se branlait déjà...

Apparemment, ce qu'il voulait, c'était surtout une éjaculation faciale car il ne demanda pas à se faire sucer. Il s'approcha au-dessus de moi et s'astiqua fermement la queue. Sa copine regardait avec attention, heureuse de pouvoir satisfaire un fantasme de son copain sans avoir à faire quelque chose qui la dégoûte.

Cela dura une éternité me sembla-t-il. J'avais à moitié envie de le sucer pour accélérer la cadence, mais comme on ne me le proposait pas, c'est que ça ne devait pas figurer dans les termes de l'accord. Il finit quand même par venir et éjacula en m'envoyant une quantité de sperme assez conséquente. Cela me déclencha bien sûr un nouveau orgasme.

Sa nana me rétorqua :
- Pas la peine de simuler, il a déjà joui...
Je pris le temps de me remettre avant de lui lancer un regard noir et de lui rétorquer :
- Je ne simulais pas, j'ai vraiment eu un orgasme. J'en ai un presque à chaque éjaculation faciale...
- Ah ? T'étais vraiment la fille idéale pour ce boulot, alors !
Je pris ça pour un compliment.

Finalement, ils me remercièrent et la nana black en profita pour me pincer les tétons :
- C'est vrai que t'as les tétons tout raides comme après un orgasme...
- C'est surprenant, je sais, mais tu l'as vu toi-même...

- T'es une fille incroyable, j'avais jamais vu une salope comme toi.
Elle avait l'air sincère et je décelais dans sa voix comme une pointe d'amertume, comme si elle regrettait de ne pas pouvoir prendre plaisir à faire des pipes à son homme et à recevoir son sperme au visage ou dans la bouche.
Je leur demandai de me raccompagner chez moi pour pouvoir lui rendre ses fringues. Ils acceptèrent ne tenant manifestement pas à rester davantage dans la boîte. Alors que son copain approchait avec un kleenex pour m'essuyer le visage, la nana black l'arrêta et dit :
- Ce sera amusant si des passants le remarque.

Je n'émis pas d'objection. Le voyage fut calme, rien de sexuel ne fut tenté et on garda chacun le silence (je n'ai même pas su leurs noms et ils ne m'ont pas demandé le mien). On ne croisa personne à cette heure avancée de la nuit. A l'appartement, Axel dormait déjà profondément, vautré sur le canapé, n'ayant pu atteindre sa chambre.