15. Le club de tennis
Fabrice et moi marchions devant, suivi de près par les deux mecs qui nous avaient matés sur le cours de tennis pendant que je suçais Fabrice. Comme nous allions vers les douches du club de tennis, Fabrice me lança un sourire coquin.
- Quoi ? lui demandais-je.
- Tu vas voir... J'ai cru voir tout à l'heure qu'une partie des douches étaient actuellement en réfection... Ils demandent donc d'alterner par demi-heure entre homme et femme, car c'est une douche commune.
- Je vois pourquoi cette idée te plaît...
- Tu ne vas pas vouloir attendre une demi-heure, j'imagine ?
- Tu imagines très bien...
Il fallait passer devant l'accueil pour accéder aux douches. Là un homme nous arrêta :
- Excusez-moi, la moitié des douches est en rénovation, il a donc été instauré un tour d'alternance entre hommes et femmes. Je vous demanderais donc messieurs de bien vouloir patienter le temps que la jeune femme ai terminé.
- C'est-à-dire que je lui ai expliqué, et ça ne la dérange pas si nous y allons ensemble...
- Ah ?... Bien... mais ces deux messieurs vont devoir attendre dans ce cas.
Je répondis moi-même...
- Non, ils peuvent venir aussi, ça ne me dérange pas...
- Mais peut-être que ça les dérange eux ?
Les deux gars lui lancèrent un sourire ravi qui en disait long. Ils passèrent à côté de lui et l'un d'eux lui dit tout bas (mais je pus quand même entendre) "T'es puceau, toi, ou t'es complètement débile ?"
Nous entrâmes donc tous dans ces douches communes et n'y avait que nous. Avant même que les gars n'ai refermé la porte, j'avais déjà retiré ma jupe et l'avais envoyée sur le banc. J'entendis un des gars demander à Fabrice :
- C'est votre femme ?
- Même pas ! Je la connais depuis hier et on est juste venu faire un tennis...
- Vous avez bien fait... dit-il en m'admirant retirer mon tee-shirt.

- Je suis son médecin et cette fille a besoin de beaucoup de sexe...
- Quoi ?
Il n'en croyait pas ses oreilles. Je lui confirmai :
- Je suis un peu nymphomane et comme il m'arrive de faire des conneries à cause de ça, Fabrice m'a conseillé de satisfaire mon appétit sexuel dès que c'était possible et de profiter que je me contrôlais encore. Car quand je suis en état de manque je suis prête à faire n'importe quoi avec n'importe qui...

Les deux garçons restèrent béats et ne dirent rien pendant presque une minute. Puis l'un d'eux bafouilla :
- Alors là vous êtes en manque ?
- Bien sûr que non, mais j'ai pleine confiance en vous, messieurs.
Alors que je me penchais en avant pour attraper mon gel-douche par terre, Fabrice m'arrêta :
- Stop ! Ne bouge plus !

Je gardai donc la pause, sachant qu'il admirait ainsi le somptueux spectacle de mes fesses et de mon sexe nus. Fabrice s'approcha et me passa un doigt sur les lèvres de ma chatte. Cette petite caresse me surprit et m'arracha un petit feulement. Fabrice, encouragé par ma réaction m'enfonça un doigt dans la moule.

Je crus que j'allais le laisser faire jusqu'à l'orgasme mais, penchée ainsi, je ne pouvais pas vraiment garder la pose éternellement. Aussi je le redressai, l'obligeant à abandonner la gentille masturbation qu'il voulait me prodiguer. En plus je ne voulais pas qu'il soit le seul à en profiter. Je filai sous la douche et ne manquai pas de prendre des poses aguichantes pour exciter mes trois amants.

Je fis couler l'eau tiède. C'était absolument divin de la sentir couler sur mon corps. J'entendais que les trois mecs étaient en train de se déshabiller. Je leur présentais mes fesses puisque c'est, il me semble, mon meilleur atout.

Quand je les entendis s'approcher, je me mis de profil pour les accueillir. Ils avaient tous les trois de belles queues déjà bien droites et raides. Je savais que je n'allais pas m'ennuyer.

Ils vinrent se coller à moi et me caressèrent. Six mains rien que pour moi ! Six mains qui se disputaient toutes les parties de mon corps, des cuisses aux épaules avec quelques intérêts nettement marqués pour mes fesses, mon entrejambe et ma poitrine pourtant plate. De mon côté j'attrapais leur queue à tour de rôle et je les masturbais tranquillement. Je ne voulais pas succomber ainsi (car j'aurais pu si je les avais laissés faire). Aussi je m'accroupis entre eux et me mis à les sucer chacun leur tour. J'entendais Fabrice expliquer aux deux petits nouveaux :
- Elle adore les éjaculations faciales ! Elle peut avoir un orgasme rien qu'à recevoir du sperme au visage...
Les gars ne firent pas de commentaires mais semblaient être assez d'accord avec le programme qui leur était proposé.
Et je continuais à les sucer sous la douche.

Tout le monde était excité au plus haut point et mes trois bites ne furent pas longues à succomber. L'un des deux gars fut le premier à m'inonder le visage de son jus. Je sentis que l'orgasme montait quand Fabrice éjacula à son tour alors que l'autre n'avait pas fini. Je criais de bonheur, sentant les jets de sperme venir s'écraser à divers endroits de mon visage. Le troisième commença à jouir quand j'étais en train de sentir que l'orgasme retombait. Cela eut pour effet de le relancer encore plus violement. Je dus m'appuyer au sol pour ne pas tomber, le corps frappé de soubresauts par un orgasme incroyable.

Quand tout retomba, je me relevai pour me remettre sous le jet de la douche et me nettoyer de tout le sperme qui me couvrait le visage. Il y en avait une telle épaisseur que je dus presque frotter pour le faire partir.

Une fois bien nettoyée, je sortis attraper ma serviette pour me sécher. Les gars, qui avaient fini de se doucher et étaient déjà en train de se rhabiller, rigolaient en me regardant. Fabrice m'expliqua :
- Ta serviette est trop courte, on voit ta chatte...
- Et alors ?
- Alors, tu viens de l'essuyer mais elle est redevenue luisante de mouille aussitôt...
- Ah...
Je ne savais pas que répondre. Fabrice me demanda :
- Tu es toujours excitée ? Malgré ce qu'on vient de faire ?
- Il faut croire.

Je me rhabillai à mon tour enfilant une petite robe à bretelle assez décolletée. Comme nous l'avions prévu, nous sommes allés au bar prendre un verre. En tant que nouvelle, les hommes me désignèrent volontaire pour aller passer la commande au bar. Le barman était un jeune homme très mignon et très doux. Le service étant au bar, je devais ramener moi-même la commande à ma table. Mais, accoudée au bar avec mon profond décolleté, j'offrais au barman le profil d'un sein qui, je l'espérais, allait le convaincre de m'aider.

Mais, tout en admirant le profil de mon sein nu, il me répondit:
- Désolé, mademoiselle, je l'aurais volontiers fait, mais comme je suis seul pour m'occuper de la salle, je dois rester autant que possible derrière ce bar.
- Aller, et je vous offre un verre...
- Croyez bien qu'ici je peut m'offrir tous les verres que je veux.
-Mais ma compagnie vous serait sûrement plus agréable que celle de votre caisse enregistreuse...
Ce disant, je me tortillais et avais réussi à faire glisser les bretelles de ma robe de mes épaules, élargissant mon décolleté et dégageant la vue sur mes seins.

Mais cela ne semblait pas encore le convaincre même si je le sentais de plus en plus troublé. Je me redressai un peu, laissant mon sein droit s'échapper du décolleté, le téton, raidi par l'excitation. Je tentai un dernier assaut :
- Allons, ne vous faites pas prier, il n'y a personne d'autres que nous !
- Je ne sais pas...
- Allez, venez vous joindre à nous, ça vous fera une petite pause...
- Bon, ok, mais pas longtemps.

Il attrapa le plateau et me suivit jusqu'à la table où je me chargeai des présentations. Le barman s'assit entre Fabrice et moi. On parla du club, de sa fréquentation,, du type de clientèle (et on me reprit en m'expliquant qu'on ne disait pas "clientèle" mais "membres" et "invités"). Tout en discutant je m'étais décalée de la table et penchée en avant pour remettre correctement la boucle de ma chaussure. J'offrais ainsi aux trois hommes une sympathique vue dans mon décolleté.

- N'est-elle pas charmante ? demanda Fabrice.
- Effectivement ! répondit le barman.
Je pris mon temps mais mes cheveux leur dissimulaient une bonne partie du spectacle.

En me voyant sourire, le barman ajouta :
- Et elle a une bouche superbe !
Un des deux autres gars renchérit :
- Et elle sait s'en servir cette coquine !
- Vous l'avez tous embrassée ? demanda le barman interloqué.
- Pas exactement... Disons qu'elle vient juste de nous sucer tous les trois sous la douche...
Le barman resta autant étonné par ce que venait de dire le gars que par le fait que je réponde à cela par un grand sourire. En me redressant, les bretelles de ma robe avaient glissé encore et mes seins apparaissaient, nus.

Fabrice, gardant davantage son sang-froid que les autres, intervint :
- Sylvie, tu gènes notre invité... regarde comme il bande.
Effectivement, le jeune homme avait une belle bosse qui lui déformait son pantalon. Machinalement, je passais la main dessus pour me rendre compte à quel point elle était grosse et raide. Ne le voyant pas protester à cette caresse, j'entrepris de le libérer pour le soulager.

Je le suçais tant et si bien qu'il fut au bord de l'éjaculation en quelques minutes. Quand je le sentis prêt à venir, je m'agenouillai
à côté de lui pour recevoir son jus. Il s'était un peu redressé, mais restait assis, si bien que la scène restait quand même assez discrète si quelqu'un pénétrait dans la salle à ce moment-là.

Il jouit discrètement, lâchant seulement un gros soupir au moment où son sperme fut projeté à mon visage. Il n'éjacula pas longtemps mais m'offrit une quantité de sperme plus qu'honorable qui me valut un petit orgasme. J'étais ravie.

Après cela, Fabrice me nettoya le visage avec un kleenex. Nous terminâmes nos consommations et Fabrice me raccompagna chez moi. Je ne suis pour le moment pas retourné le consulter, mais je sais que si j'y vais, je serais bien accueillie.