16. Sylvie et Axel sortent dans un bar
Le samedi qui suivit ma consultation, Axel me proposa de rencontrer des amis à lui que je n'avais pas encore vus.
- Comment se fait-il que tu ne m'aies jamais parlé de ces amis-là ?
- Ce sont des gars avec lesquels je vais boire des coups de temps à autre dans un bar peu fréquentable.
- Peu fréquentable ?
- Oui, il n'attire pas forcément : on y va surtout pour se payer une cuite.
- Rien de bien original...
- Oui mais, tu vois, ça fait un peu "club privé" car, à ma connaissance, les filles n'y viennent pas. Les seules nanas que j'ai pu voir là-bas étaient des filles qui n'avaient pas peur de se faire draguer, voire de se faire violer.
- Charmant ! Et tu veux m'amener là-bas ?
- Oui mais je serais là pour éviter tout geste déplacé : ce sont mes amis quand même !
J'avais un peu de mal à comprendre ce qu'Axel attendait de cette soirée avec des gens bizarre, mais je me dis que jusqu'à présent il ne m'avait jamais emmenée dans un plan foireux. Là où je commençai à avoir des soupçons sur ses intentions fut quand il me demanda d'enfiler ma petite robe noire sans rien mettre dessous.
- Axel, cette robe est très légèrement transparente. Si je ne mets rien dessous, tes amis risquent de se faire des idées sur mes intentions...
- C'est effectivement l'idée.
- Tu veux donc que j'excite tes potes ?
- Tu penses ne pas en être capable ?
J'avais déjà une vague idée de la manière dont allait se terminer cette soirée.
J'obtempérai : je mis la petite robe noire sans rien dessous. Une fois dans la voiture, avant de démarrer, Axel me demanda :
- Alors ? Pas de dessous ?
- Vu l'épaisseur du tissu, je pense que tu le vois, non ?
- Juste pour être sûr.
Pourquoi est-ce que je me pliais sans discuter à tous ces jeux pervers ? Toujours est-il que je remontais le bas de ma robe pour lui dévoiler mon sexe nu.

Il avança la main et me caressa. Je vis son pantalon se déformer par une bosse. Je la massai : elle était bien dure. Il me sourit en disant :
- Tu sais, on n'est pas pressé...
Le message était clair. Je libérai donc son érection et pris entre mes lèvres la tige déjà bien raide pour la sucer.

Soudain, Axel me fit me redresser en disant:
- Merde ! Arrête, il y a un type qui arrive.
Nous étions dans le parking souterrain et notre voisin venait chercher sa voiture garée juste à notre gauche. Pourquoi mon colocataire pervers faisait-il tant d'histoire pour qu'un voisin ne me voit pas lui tailler une pipe ? Cela n'allait pas m'arrêter. Je replongeai sur sa queue avant qu'il n'ait le temps de la remballer. Face à ma détermination, son étrange pudeur ne fit pas le poids et il se laissa faire. Notre voisin arriva, s'arrêta, nous regarda. Tout comme nous, il semblait avoir tout son temps et s'appuya donc à sa voiture pour profiter du spectacle.

Cette situation fit qu'Axel ne put se retenir bien longtemps et, après quelques minutes, je le sentis au bord de l'éjaculation. Je sortis donc sa bite de ma bouche pour le masturber vigoureusement. Il explosa en de longs jets qui montèrent à la verticale et m'atteignirent au menton et dans les cheveux. Pas forcément très à l'aise dans cette position, cela m'avait passablement excité mais l'éjaculation d'Axel ne m'avait déclenché aucun orgasme.

Je le nettoyai ensuite en lui léchant le sperme. Quand je relevai la tête, le voisin était déjà dans sa voiture et s'en allait. Axel démarra aussi et nous partîmes pour son mystérieux bar (qui n'était donc pas en centre ville puisqu'on y allait en voiture. Le bar se trouvait en banlieue proche dans un quartier plutôt sordide. Il y avait quelques types qui traînaient, pas de femme, d'enfants, pas de familles... Axel me désigna le bar qui se trouvait au fond d'une petite esplanade qui nécessitait de gravir quelques marches. Derrière moi, Axel m'interpela :
- Sylvie ! Je crois que ta boucle de chaussure est défaite...

Effectivement, j'avais mal attaché la boucle de ma chaussure droite. Aussi je m'assis dans les marches pour la rattacher. Axel souriait bêtement : dans cette position, les gens qui passaient pouvaient voir très distinctement que je ne portais pas de culotte ni de soutien-gorge.

Par jeu, en me relevant, je fis glisser de mon épaule une bretelle de la robe. Le décolleté s'en trouva élargi et un sein avec son téton s'échappa. Bien sûr vu ma poitrine pour le moins discrète (je n'ai pas de seins), cela ne fut pas visible depuis l'autre bout de la rue, mais je vis que cette petite initiative réveilla la bête qui sommeillait derrière la braguette du pantalon d'Axel.

En me relevant, je remis ma bretelle convenablement, mais, trop concentrée sur la bosse qui se formait dans le pantalon d'Axel, je glissai et me retrouvai à quatre pattes sur les marches. Avant que je ne me fus relevée, Axel me rejoignit et, en passant à côté de moi, il attrapa le bas de la robe et la retroussa sur mes hanches, dévoilant de manière tout à fait impudique mon cul et mon sexe nu.

Je me redressai aussitôt pour me rajuster. Plusieurs types avaient bien profité du spectacle (il faut dire que les nanas semblant plutôt rares dans le quartier, ma simple présence avait attiré l'attention). Je rejoignis Axel et nous entrâmes dans ce fameux bar. Beaucoup de fumées de cigarettes, une lumière uniquement artificielle (même s'il y avait du soleil dehors) et une musique assez forte. Axel fut accueilli par quelques "Hey !". Le bar ne comptait que quelques clients, des habitués semblait-il, exclusivement masculins. Axel me présenta à quelques uns. Ils n'étaient pas très bavards et semblaient impressionnés par ma présence (et peut-être aussi un peu par ma robe transparente). Axel me présenta à un certain "Alain-16-23". Intriguée par cette sorte de pseudonyme en guise de nom, je me risquais à une question :
- 16-23 ? Pourquoi vous utilisez ce nom ??
Le gars avait l'air réjoui que je lui pose la question. Avec un grand sourire, il répondit :
- Parce que c'est ce qui me caractérise : "16", c'est la longueur de ma verge au repos...
Il n'avait pas besoin d'en dire plus, je devinai parfaitement ce qu'il en était du "23". Il aurait fallu que je me montre outrée ou choquée par des propos aussi crus tenus devant une jeune femme. Mais au lieu de ça, je pense que mon visage reflétait le fait que j'étais impressionnée. Curieuse, je lui demandai s'il était possible de voir de mes propres yeux cette légende. Pas démonté, le gars répondit :
- Ok, mais tu me montre tes seins, après. Comme ça, tu auras la possibilité de voir les deux états.
- Ok.
L'accord était passé en présence de témoins. Le gars ouvrit les boutons de son jeans et, tirant son caleçon vers le bas, en sortit un truc imposant. Je ne suis pas sûre d'avoir jamais vu de ma vie une bite aussi impressionnante. Les dimensions annoncées avaient l'air vrai. Et sa bite n'était qu'au repos ! Je sentis la présence d'Axel derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes hanches et remontèrent doucement en emportant la robe. Je ne protestais pas, même si, pour le coup, Axel ne se contentait pas d'exhiber mes seins mais aussi mon sexe...

Mais j'avais mon attention portée ailleurs, car le gars devant moi ne m'avait pas menti : au fur et à mesure qu'Axel remontait ma robe, le sexe du type se gonflait et se dressait, comme si ma robe et sa bite étaient reliés par un fil invisible. Axel me retira complètement la robe et s'éclipsa. Plusieurs types s'approchèrent de moi et commencèrent à me tripoter. Même si ces gars n'étaient pas très délicats, toutes ces mains qui parcouraient mon corps commencèrent à me faire de l'effet.

Mais je n'avais pas vraiment envie que l'orgie commence comme ça. Je cherchai Axel du regard. Il était au bar, accoudé au comptoir, tenant ma robe. Je le rejoignis et lui mis une main à l'entrejambe pour constater qu'il bandait déjà bien. Je le libérai et sortis son sexe qui me parut bien modeste, en comparaison du monstre que j'avais eu sous les yeux quelques minutes auparavant.

Les autres types ne restèrent pas à regarder. Ils se débarrassèrent tous de leurs vêtements et s'approchèrent de moi en se masturbant. Toutes ces queues pour moi ! Cela me tourna un peu la tête. Sans réfléchir, je me mis accroupie et attrapai ce que je pouvais, les suçant à tour de rôle et masturbant les autres.

Je fus interrompue par Axel qui m'appelait : il était assis dans un canapé au fond du bar, la queue bien dressée. Je lui devais bien ça. Je laissai les autres pour le rejoindre et je m'enfilai sa queue en lui tournant le dos. Les autres restèrent quelques secondes à me regarder m'installer et ils se décidèrent à s'approcher alors que j'entamais des mouvements du bassin sur la bite de mon colocataire.

Tous se masturbaient. Deux approchèrent de chaque côté de moi pour que je les suce. J'attrapai la bite de celui à ma droite (plus mignon et plus jeune que celui à ma gauche) et commençai à lui faire une fellation aussi appliquée que les assauts d'Axel me le permettaient.

Axel me souleva par les hanches et me fit glisser sur un type à côté de lui, m'obligeant à abandonner mes fellations. Le type en question m'attrapa par les fesses et c'est quand il me positionna l'anus sur son gland que je pris conscience qu'il s'agissait d'Alain-16-23. Il écartait mes fesses pour aider à l'insertion. Il était large mais il n'eut finalement pas à appuyer beaucoup pour je me glisse sur cette hampe qu'il avait manifestement pris soin de bien lubrifier auparavant (et heureusement pour moi !). Il me fit descendre petit à petit sur sa gigantesque queue qui m'emplissait totalement. Une fois en place, il me fit monter et descendre lentement. Puis il accentua le rythme et accompagna mes descentes de coups de reins pour aller le plus loin possible. Un peu douloureuse au début, la sensation devint rapidement formidable. J'empoignai fermement la bite de chacun des deux gars qui m'entouraient, sans les sucer, car il m'était difficile de garder une certaine stabilité vu les coups de reins que donnait Alain pour me sodomiser.

Voyant qu'il m'était techniquement trop difficile de me pencher pour leur offrir ma bouche, ils se rapprochèrent pour me coller leur bite directement dans la bouche, en essayant de suivre la cadence de mes mouvements. J'alternais à droite et à gauche, sans trop pouvoir m'appliquer sur ma fellation. Cela semblait pourtant leur convenir et un troisième gars s'approcha en se disant qu'il attendait son tour depuis déjà suffisamment longtemps.

Les deux autres ne bougèrent pourtant pas et le nouvel arrivant dû se contenter de continuer à se masturber sans espoir de se faire sucer pour le moment. Axel, plus malin, se dit qu'une place était libre : ma moule qu'il avait libérée pour me faire glisser sur Alain. Aussi Axel n'eut aucune peine à se frayer un chemin entre les jambes d'Alain et les miennes, et il m'introduisit sa queue d'un coup de reins sec mais assuré.

Sentir tous mes orifices amplis par ces bites magnifiques me fit jouir formidablement. Mes spasmes déclenchèrent également l'orgasme d'Alain que je sentis gicler au plus profond de moi. Je sentais mon cul se remplir de foutre comme il ne l'avait jamais été avant ça. Les gars (très nombreux) qui se branlaient encore autour ont pris peur en se disant que c'était fini et qu'ils n'auraient pas l'occasion de profiter de moi. Aussi s'approchèrent-ils pendant qu'Alain me laissait et qu'Axel m'aidait à m'allonger sur le canapé. Il fut le premier à ouvrir la danse : il se masturba au-dessus de moi et éjacula rapidement, m'envoyant son foutre dans le cou. D'autres l'imitèrent rapidement.

Malgré mon précédent orgasme dont je ne m'étais pas encore tout à fait remise, recevoir tout ce sperme sur moi, toutes ces bites qui venaient cracher leur semence, déclencha un nouvelle orgasme. Nous jouissions donc tous plus ou moins en même temps, les hommes me couvrant peu à peu de leur sperme, comme l'ultime remerciement de ma présence et du don que je leur avais fait de mon corps.

Jamais auparavant je n'avais connu un tel orgasme, aussi puissant, aussi intense, aussi long. J'étais épuisée, mais dans un état de plénitude que je n'avais jamais atteint. Je ne me posais pas de question sur la situation pourtant bizarre, sur le fait de m'être livrée en pâture ainsi à une multitude de mecs sans même savoir leur nom, pour le simple plaisir du sexe, le simple plaisir de prendre du plaisir et de donner du plaisir.
