Ma très chère Annie - suite.


Après ce feu d'artifice de sensations nous nous allongeâmes sur le lit.
Nous étions tous les deux l'un contre l'autre.

Est-ce que tu peux imaginer cela Annie. J'avais enfin un homme dans mon lit. Et pas n'importe lequel.

Mon cœur battait la chamade et ma chatte était en feu. Je n'arrivais pas à croire en cette réalité tellement improbable la veille.

Et pourtant tout cela était vrai.

Moi, blottit contre son épaule et lui avec une main nonchalamment posée sur mon sein droit.

Je baignais dans une félicité sans borne et lui ne prononçait plus un mot.

Mais que devais-je faire ?

Je me dis qu'au minimum il fallait que je prouve ma gratitude à mon chevalier servant.

Dans la position où nous nous trouvions, son glaive se trouvait à proximité de mon coude je fus fort étonné de le sentir frémir surtout si peu de temps après son exploit.

Peut-être devrais-je moi aussi lui prodiguer un « massage » ?

Aussi mon bras descendit tout le long de son magnifique corps.

Son sexe bien que souple avait conservé une certaine consistance. J'avais complètement oublié la douce sensation que procure ce morceau de chair lorsqu'on le saisit à pleine main. J'en profitais pleinement et j'alternais des effleurements et les prises en main fermes.

Mes doigts couraient tout le long de cette lance d'incendie. Et c'est avec un réel plaisir que je la vit se transformer petit à petit en un mat de cocagne du plus bel effet.
.

Dans cet état il me faisait penser à un eskimo à la fraise et sans même que je réfléchisse je me suis retrouvé en train de le sucer...

Moi qui n'avais prodigué cette gâterie à mon homme que contrainte par ses exigences répétées, je me transformais en une vrai chienne lubrique.

Rien ne pouvait plus m'arrêter, pour ce prince charmant je devais devenir une Messaline des plus expertes.

Son sexe m'appartenait et je m'en servais à ma guise tout en veillant à ce que son désir croisse. Je me surpris encore plus lorsque ma langue s'égarât entre ses fesses et je compris vite que c'était loin de lui déplaire : son bassin avançait insensiblement vers ma langue et sa queue ne cessait de vibrer.

A un tel point que j'eu peur qu'il jouisse précipitamment. Lorsque j'abandonnais la feuille de rose je sentis qu'il était un peu déçu.
Aussi je repris derechef son chibre dans ma bouche.

Je voudrais avaler tout entier ce morceau de choix. Je ne sais vite que je lui procure beaucoup de plaisir car une de ses mains calée sur ma tête accompagne ma succion.


Malgré tout ce qui s'accomplissait je n'étais pas encore au bout de mes découvertes.

C'est à ce moment que je sentis un de ces doigts pénétrer ma chatte.

La surprise fut si grande et l'effet si intense que j'en ai lâché ma friandise.

et un flot de cyprine coulât sur son doigt.
Je ne savais plus où je me trouvais.

Instinctivement pour lui faciliter le « travail » je me tournais sur le dos.
Avec son doigt il appuyait sur mon clitoris et sa bouche avalait mon téton droit . Je fermais les yeux pour savourer le moment.

Un deuxième doigt vint rejoindre le premier et se frayât un chemin entre mes grandes lèvres. Je n'osais plus bouger de peur que tout s'arrête et mon plaisir recouvrait toujours ses doigts qui s'insinuaient de plus en plus profond dans mon intimité.


C'est à ce moment que ses lèvres abandonnèrent mes seins. Il recouvrit tout mon ventre de bisous plus légers qu'une plume, insistant sur mon nombril et s'égarant sur mes hanches. Mais insidieusement il se rapprochait de ma chatte.
Une deuxième déflagration me traversa lorsque sa langue effleura mon clitoris.

Jusqu'à présent, aucun de mes amants n'avait posé sa bouche sur ma chatte, encore moins sa langue sur mon bourgeon intime. L'intensité du plaisir ressentit m'était totalement étranger.
Et pendant ce temps le doigt resté dans ma chatte ne chômait pas. J'avais l'impression qu'il caressait mon ventre de l'intérieur. Par moment il posait son autre main au dessus de ma toison pubienne et les deux mains semblaient se rejoindre en produisant un arc de jouissance.

Il me semblait que je flottais sur un océan de miel et que de ma chatte s'échappait des litres et des litres de plaisir pur. Comme si j'avais gardé en moi, toute ma vie, cette jouissance pour l'offrir en une seule fois à ce jeune homme.

Ses premières paroles ne me surprirent même pas «allez maintenant tourne toi, je veux t'enculer »
Après tout le bonheur qu'il m'avait offert, il ne me demandait que la Lune, décemment je ne pouvais vraiment pas la lui refuser.

Il devait se retenir depuis très longtemps car à peine ses hanches touchèrent mes fesses que je sentis une explosion au plus profond de moi et je m'écroulais dans une ultime et fulgurante jouissance.

Mon plaisir avait été si intense que je n'eu même pas la force de lui en vouloir lorsque je le vit s'habiller et s'éloigner doucement du lit.
Je lui demandais simplement d'une petite voix «te reverrais-je ? » il répondit ‘oui bien sur » et nous échangeâmes comme de vieux amis un simple geste de la main qui voulait dire a très bientôt.

FIN