27. L'enlèvement
Axel était sans doute déjà reparti. Mais je m'amusais beaucoup avec William. Et quand il était pris par son travail, Albert s'occupait très bien de moi. De temps en temps, ils me prenaient tous les deux. Mais la plupart du temps, je les sollicitais davantage qu'ils ne pouvaient réellement fournir et au bout de trois jours je commençais à m'amuser un peu moins, ayant l'impression d'avoir goûté à tout ce qu'on pouvait imaginer faire à trois. Malheureusement, Anthony n'était pas repassé...
Et puis le quatrième jour, alors que je songeai à aller rejoindre Axel, arriva quelque chose d'incroyable.
Albert et William était parti tous les deux, me laissant seule. J'avais tranquillement pris mon petit déjeuner et m'étais habillée. J'étais sortie pied nue dans le jardin et je me penchai pour attacher mes chaussures. C'est à ce moment que surgit un homme cagoulé avec une arme.
- Ne bouge pas !
Sa voix était étouffée par la cagoule. Je n'osais pas faire le moindre mouvement, restant penchée en avant. Dans cette position, ma courte jupe devait probablement lui révéler mes fesses et mon sexe nu.

- Que me voulez-vous ?
- Tu vas gentiment faire tout ce que je dis. On a pris ton copain en otage.
- Axel !!!
- Oui, alors tu fais tout ce que je te dis et il ne lui arrivera rien.
Je n'arrivais pas à en croire mes oreilles mais je préférais ne pas prendre de risque et décidai de lui obéir.

Je lui fis signe de la tête que j'obtempérais. Je le sentis sourire sous sa cagoule. Je fus vite fixée sur la nature de ses exigences :
- Tourne-toi et soulève ta jupe pour me montrer ton cul, il a l'air splendide !
Je m'exécutais en me disant que s'il se limitait à du voyeurisme, éventuellement à des attouchements, je m'en sortais bien.

- Mmmm, je crois que c'est le plus joli cul que j'ai jamais vu...
Il resta prêt d'une minute à regarder. Je pus distinguer que son pantalon se déformait peu à peu au niveau de l'entrejambe.
- Mais ce n'est pas suffisant. Je veux voir le reste, tout le reste !
Je devais donc quitter tous mes vêtements. Je retirais donc mon petit haut et ma jupe, me retrouvant nue.
- Bien, tu es très jolie. Tourne-toi encore que je vois ton cul !
Je lui tournai le dos, me cambrant légèrement.

- Quel cul ! Penche-toi un peu, voir ?
Je me penchai en avant.
- Pas trop vite !
Je repris le mouvement, plus lentement.
- Mmmm, ta moule est bien appétissante. Et on dirait que tu mouilles, en plus, salope !
C'est vrai que ce petit jeu commençait sérieusement à m'exciter mais j'étais quand même un peu inquiète de la suite des événements.

Il me demanda ensuite de passer devant lui. Il me dirigea dans un sentier qui longeait l'arrière des propriétés. L'endroit était désert et c'était heureux puisque j'étais toujours nue. Je tentai de voir quelles étaient ses intentions :
- Et vous allez me promener ainsi nue toute la journée ?

Cela ne sembla pas l'amuser car il répondit sèchement :
- Tu verras bien !
Puis le sentier nous conduisit sur l'arrière d'un supermarché. Le type me demanda de descendre dans le parking souterrain. Sa voiture était toute proche et il m'intima d'y monter. Nous n'avions jusqu'alors croisé personne. Mais avant que je ne monte dans la voiture. Une voix cria :
- Eh, les gars ! Vous voyez ça ???
- Oh, mademoiselle, c'est gentil de nous offrir ce spectacle.
- On peut prendre des photos ?
Le type dans la voiture ne bougeait pas. Il se contentait de les observer. Les gars me rejoignirent et l'un d'eux referma la porte de la voiture avant que je n'ai le temps de monter. Je pris peur et j'essayai de couper court à cette rencontre :
- Écoutez, vous me prenez en photo si vous voulez mais après vous me laissez partir.
Les gars rigolaient et acceptèrent donc le marché. L'un d'eux prit son téléphone portable pour nous photographier. Les autres s'agglutinèrent autour de moi. S'ils se limitaient à cela, je m'en sortais bien !

Mais ils ne se limitèrent pas à cela et des mains commencèrent à se balader. Ils essayaient de s'insinuer dans ma moule et dans mon cul et je me tortillais pour les en empêcher. J'essayai de m'enfuir mais ils me retinrent. Je dus les supplier :
- Les gars, vous aviez promis... Maintenant, laissez-moi !

Finalement, le type dans la voiture sortit et pointa son arme sur eux. Ils prirent peur et s'enfuirent aussitôt. Je pus rentrer dans la voiture sans dommage.
- Tu n'as pas eu trop peur ?
- Pas trop mais ces gamins m'ont finalement bien excitée...
C'est vrai qu'à être nue ainsi, j'avais une irrésistible envie de sexe. Je commençai à me toucher. Mon kidnappeur observait les pointes de mes seins qui étaient effectivement tendues.

Il bandait très fort dans son pantalon. J'avais presque pitié de lui. Il remarqua que je regardais son entrejambe :
- Sors-la et suce-la.
Je m'exécutai sans broncher. Finalement, il ne me faisait pas si peur et j'avais vraiment trop envie de le sucer.
Il s'arrêta sur le bord de la route et retira tous ses vêtements avant que je n'entame la fellation tant attendue.

J'y mettais tout mon cœur mais il devait être quand même particulièrement excité car il ne fut pas long à jouir. Il explosa en se masturbant devant mon visage, inondant ma bouche et mon menton de son jus épais. J'eus un petit orgasme qui ne lui échappa, semble-t-il, pas vu son petit sourire satisfait.

Il devait quand même être surpris car il me demanda :
- Tu as joui ??
La bouche pleine de sperme, je ne lui répondis pas et lui souris en guise de réponse.

Il me donna un mouchoir en papier pour m'essuyer le visage et nous reprîmes la route. Nous arrivâmes finalement dans le parking en sous-sol d'un hôtel. Le lieu était quasi-désert. Une fois sortis de la voiture, nous n'empruntâmes pas les passages balisés. Il semblait bien connaître l'endroit et me fit passer par un accès réservé au personnel. Il n'y avait heureusement personne car j'étais toujours nue.

Il me dirigea vers l'escalier. Si nous y croisions quelqu'un cela serait embarrassant. Je lui demandai s'il était possible de prendre l'ascenseur. Il sembla réfléchir au meilleur choix stratégique à faire. J'attendais sa réponse devant l'ascenseur.

Finalement, il se décida :
- Non, prend l'escalier !
Je montai sans discuter. Derrière moi, il me demandait de temps en temps de m'arrêter et d'écarter les jambes pour profiter de la vue...

Il me conduisit jusqu'à une petite pièce vide, comme un ancien local technique. Là, il me demanda de me mettre à quatre pattes. Jusqu'ici, il s'était contenté de regarder, sans même me toucher, si on exclut la fellation dans la voiture. Je savais qu'il allait maintenant passer à l'acte. Son plan semblait bien préparer. J'étais extrêmement excitée. Maintenant j'avais très envie qu'il me prenne.

Il s'approcha et retira son masque. Je fus subjuguée. C'était Axel ! Et j'étais tellement sûre qu'il était déjà reparti que je ne m'étais pas imaginée un seul instant que tout cela puisse être une blague de sa part. Il ne me laissa pas le temps de réagir qu'il se mit à me lécher l'anus. Cela eut son petit effet car je me laissai aussitôt aller à ses caresses buccales, oubliant du coup de lui crier dessus.

Quand sa bite vint pénétrer mon anus, je reconnu avec certitude qu'il s'agissait bien de Axel. Comment ne l'avais-je pas reconnu plus tôt alors que je l'avais sucé dans la voiture. J'aurais dû reconnaître sa bite, son sperme dans ma bouche. Toujours est-il qu'il me sodomisait majestueusement bien et que je ne m'imaginais plus lui reprocher son petit jeu qui m'avait finalement drôlement excitée.

Comme il était lui aussi sévèrement excité, je me doutais qu'il n'allait pas tarder à jouir. Avant que cela n'arrive, je lui échappai et je me retournai pour lui présenter mon visage. Il ne lui fallut que quelques coups de poignet pour éjaculer. Alors que le sperme venait s'écraser sur mes joues et mon menton, je laissai l'orgasme m'envahir. Malgré ma fellation dans la voiture qui aurait dû lui avoir vidé les couilles, Axel continua de jouir de manière tout à fait honorable avec quelques jets assez puissants qui m'arrachèrent quelques cris de plaisir.

J'avais du sperme plein le visage et j'étais heureuse de ce dénouement :
- Tu m'as bien menée en bateau, salopard !
- De ton côté, tu ne t'es pas trop opposée à mes injonctions...
- Tu m'as bien excitée !
- Et je te retourne le compliment, ma belle...

- J'ai finalement adoré ce petit simulacre d'enlèvement et de viol. Mais je t'avoue que je suis encore plus heureuse que ce soit toi qui en soit l'auteur !
- Je ne tenais plus sans toi...
- Je crois qu'il va être temps de rentrer...
- Tu ne veux pas revoir William pour lui dire au revoir ?