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Elle est jolie, elle à un beau corps, un beau sourire, ma voisine de palier. C'est une femme active, une belle quadra.

Je l'admire secrètement, mais « bonjour, bonsoir », quand nous nous croisons dans l'escalier, c'est tout.

Vendredi dernier alors que je la rencontre dans le couloir, elle m'arrête par ces mots : 
« Bonjour,excusez moi de vous interpeler : pourriez-vous m'aider, j'ai des problèmes de salle de bain. Il faudrait changer un joint mais l'écrou est si serré que je n'y arrive pas. »
« Bonjour, certainement, ce sera un plaisir de vous offrir ce service. »
« C'est gentil de votre part, voulez-vous demain soir vers 17 heures. »
« D'accord, à demain. »

Le lendemain, je sonnes à sa porte, un peu en avance. Elle vient m'ouvrir . Elle n'est vêtue que d'une serviette nouée sur la poitrine. Je pense alors qu'elle était sous sa douche.
« Bonsoir, je suis venu trop tôt ? Je peut repasser. »
« Bonsoir, non, restez. Venez, je vais vous montrer. »



Je la suis jusqu'à la salle de bain. Elle se baisse pour me montrer la fuite sous le lavabo. La serviette s'ouvre légèrement et j'aperçois l'intérieur de ses cuisses et un partie de son pubis. Cela provoque en moi une forte excitation et mon sexe entre en érection. Elle se relève et voit ma gène car mon pantalon est énormément gonflé par devant. Je m'accroupi rapidement pour cacher mon émoi et desserrer ce fameux écrou.

Elle est debout, moi couché sur le dos, la tête sous le lavabo. Je vois ses cuisses et presque tout de son intimité. Mon cœur bat très fort. Mes pensées naviguent entre tentation et désir de cette femme au charme indéniable.

Je reste sous le lavabo, mon excitation est insoutenable. Je me tourne sur le coté pour cacher mon trouble. Elle me demande :
« Tout va bien ? »
« Ah oui, ce sera parfait, j'ai presque fini. »

Elle se baisse pour voir mon travail et elle vient à me toucher, sa poitrine s'appuie sur moi, je brule de désir...
Je me releve très gêné, elle aussi et sa serviette se dénoue. Elle a des seins magnifiques : mon érection augmente encore !
Elle renoue sa serviette avec un rire charmeur :
« Je ne vais quand même pas te faire exploser ton pantalon ? »
« Je suis désolé, vous me troublez énormément, je ne contrôle plus rien ! »

Elle s'approche et me dit tout bas à l'oreille :
« Je vais te faire un cadeau et ce sera également mon cadeau. Je n'ai jamais vu de bite de black, si j'en crois la légende, je pense que c'est vrai au vu l'arrondi de ton pantalon. »



La serviette tombe, elle s'agenouille, elle ouvre ma ceinture, baisse mon pantalon et mon slip.



« Aaah ! Elle est encore plus belle que je me l'étais imaginée ! »



Elle passe ses mains sous mon tee-shirt, caresse mon torse :

« Enlève tout, je veut voir tout ton corps. »



Je suis nu elle est nue.



On s'embrasse à pleine bouche. On se caresse, mes lèvres s'égarent sur ses seins fermes, je suce ses mamelons, qui durcissent et s'érigent. J'enfonce un doigt dans sa chatte puis un deuxième. Je titille son bouton d'amour, Je fais tourner mes doigts, elle dégouline de mouille.
Elle s'agenouille et s'empare de mon membre, le caresse doucement, le bécote, le lèche.



Puis elle lèche mes couille, les suce, l'une après l'autre, les gobe, les aspire tout en caressant mon chibre du gland à la racines.



Je ferme les yeux, et je sens une chaleur humide envelopper mon gros dard. Sa langue s'active pendant que ses lèvres l'enserrent et exécutent un délicieux va-et-vient. Elle finit en le prenant entier, à fond de gorge, le bout de sa langue titille mes joyeuses, c'est formidable de sensations !



Je me retiens pour ne pas jouir tout de suite : je veux que ça dure encore et encore.

Et puis il me vient un désir indescriptible de voir sa chatte de tout près.
« Ecarte les cuisses et ouvre-les bien et montre-moi ta moule ! »

Elle s'assoit puis se laisse aller sur le dos dans le jacuzzi en écartant largement les jambes. Elle m'expose tout de sa moule au trou de son cul : il s'en dégage une bonne et puissante odeur de femme excitée.



Elle me dit :
« Je n'en peux plus, lèche-moi... »

Je n'y résiste pas, ma bouche se pose sur sa chatte, ma langue s'insinue entre ses lèvres intimes, elle gémit de plaisir. Elle mouille abondement, je lèche et suce son clito bourgeonnant, c'est un délice, Je bois sa mouille toujours plus abondante.



Et puis c'est l'explosion de sa jouissance qu'elle hurle sans retenue. Je sens les spasmes de sa vulve. Elle attire ma tète vers ses lèvre, prend les miennes et, dans un souffle, demande :
« Oh... Viens maintenant, prend-moi, baise-moi ! »

L'excitation est intense, nous ne pouvons résister. Ma bite est tendue raide, je bande à en souffrir.



Je m'allonge sur le tapis de bain, sur le dos, mon pieu se dresse fièrement, le gland turgescent. Elle, un genou de chaque coté de mon corps, les jambes écartées, présente sa chatte en appui sur ma bite dressée.



Je la tiens aux hanches mais lui laisse l'initiative.
Elle pèse d'avantage et mon gros gland commence à entrer. Que c'est bon ! Sa grotte est lubrifiée par sa mouille.
Elle descend lentement, ainsi elle se fait pénétrer jusqu'à la moitié de ma verge.



« Je crois que je l'ai tout au fond, c'est la première fois de ma vie que j'en prend une comme la tienne. »



« Va doucement, tu vas t'habituer, commence par de petits mouvements, selon ce que tu ressens. »



Elle remonte légèrement, redescend, remonte un peu plus. Ses mouvements sont assez lents au début mais, bientôt, elle accélère. Ils prennent de l'amplitude. Je suis si excité, je me mets à onduler du bassin en suivant son rythme, aidant ainsi la pénétration - c'est divin -.

« Ah que c'est bon, tu m'emplis, tu me combles, oui, oui, encore ! »

Maintenant les trois quarts de ma bite visitent son ventre. Elle va de plus en plus vite et mon chibre la pilonne de plus en plus profondément. J'ondule le bassin avec plus d'amplitude. J'ai du mal à retarder ma jouissance.



« J'en veux plus vas-y à fond ! Ahhh ! Oui ! Comme ça ! Encore ! Oui, Oui ! C'est bonnnn ! Ahhh ! Je jouis ! Jeee jouiiiiiis ! »

Elle est assise sur mes couilles, elle a tout pris. Je jouis en même temps qu'elle. Les spasmes de son vagin compriment mon dard me font décharger encore et encore, j'inonde ses entrailles de jets puissants.



« Ah que c'est bon ! Je sens tes décharges au fond de moi ! Je t'ai pris tout entier, c'est merveilleux... »
A regrets, nous nous separons, sa chatte dégouline de mon jus.



Nous nous regardons, surpris et comblés. Notre mutuel cadeau est vraiment impérial !