Les aventures de Louise - 6
Hugo passa chercher Louise en voiture en tout début d'après-midi, direction la plage. Louise avait enfilé une petite jupe bleue et un débardeur blanc avec un sympathique décolleté. Son petit bikini et sa serviette étaient pour le moment relégués au fond du sac de plage. Hugo, en plus de son sac de plage, s'était armé d'un appareil photo. Louise était très excitée car Hugo lui avait laissé entendre la veille qu'il lui préparait une surprise. Bien qu'elle le cuisina durant tout le trajet jusqu'à la plage, Hugo ne dit rien. Pourtant ce qu'il lui réservait devait être très excitant vu la bosse que Hugo présentait dans son pantalon tout en conduisant.
Ils se garèrent sur un petit parking où ils prirent la dernière place, coincés entre deux autres voitures. Sur le parking, Louise aperçut un petit panneau en bois indiquant une plage nudiste. Elle se dit qu'il devait s'agir de la surprise de Hugo mais celui-ci ne prit pas du tout la direction indiquée par le panneau.
- Où tu m'emmènes ?
- Sur la plage, tu vois bien.
- Tu veux me prendre en photo ?
- Oui, mais c'est toi qui décidera jusqu'où aller...
- Tu veux me prendre à poil.
- Ce sera à toi de décider.
Vu l'état d'excitation dans lequel il l'avait mise, Louise se dit qu'il devait bien se douter qu'elle n'allait pas garder ses vêtements longtemps... D'autant que Louise avait curieusement oublié de mettre des sous-vêtements... ce qui n'avait pas échappé à Hugo.

Hugo proposa à Louise d'aller dans les dunes pour la photographier. Louise n'avait qu'une envie : voir Hugo bander ! Elle était si excitée depuis la veille où elle l'avait quitté après une petite masturbation en face à face, qu'elle était pressée de s'exhiber pour l'exciter autant que possible et voir s'il allait se contenter de prendre des photos. Arrivés dans les dunes, Louise se mit assise sur une branche, cuisses un peu écartées, un peu en équilibre. Hugo saisit aussitôt son appareil photo pour immortaliser cet instant précieux : Louise n'avait bien sûr pas mis de culotte.

Hugo avait le souffle court et cherchait le meilleur angle et la meilleur lumière pour faire des photos réussies. Louise bougeait selon ses recommandations mais essayait de ne pas aller trop vite : elle n'écartait pas les cuisses pour faire monter l'excitation lentement. Toutefois, elle tira sur le décolleté du débardeur et dégagea sa poitrine, découvrant ses seins nus.

Hugo continuait de bouger pour prendre ses photos. Ils étaient si concentrés l'un et l'autre par ce qu'ils faisaient qu'ils n'entendirent pas qu'un type arrivait. Quand Louise s'en rendit compte, elle serra les cuisses par réflexe de pudeur mais cela manqua de la faire tomber de sa branche et elle dut se raccrocher avec chaque main à d'autres branches pour ne pas tomber. Dans cette position, il lui était bien sûr impossible de cacher ses seins nus et elle resta donc ainsi pour le plus grand plaisir du promeneur.

Hugo s'amusa de la situation et prit quelques photos de Louise, ainsi mal prise. Quand un second type arriva face à elle, Louise demanda à Hugo :
- Je vais peut-être descendre, là, non ?
- Oh, non, tu es bien magnifique comme ça et je ne pense pas que ces messieurs diront le contraire.
Les deux voyeurs rigolèrent sans quitter Louise des yeux.

Le gars derrière elle lui demanda :
- Pourquoi vous faites ça ici ? Il y a la plage nudiste juste à côté...
Hugo répondit en faisant un clin d'œil à Louise :
- Je crois que ma copine est un peu exhibitionniste, c'est donc plus excitant de faire ça ici.
- C'est vrai qu'on ne sera pas obligé de se cacher dans les dunes...
Louise comprit que Hugo avait finalement bien ficeler son plan. Il avait bien prévu de la mettre à poil en public et y arriverait quoi qu'il arrive !
Hugo proposa aux deux types de prendre leur adresse mail pour leur envoyer quelques photos si cela leur disait. Ils n'en croyaient pas leurs oreilles et s'empressèrent de donner leur adresse mail en vérifiant deux fois qu'il n'y avait pas d'erreur.
Louise et Hugo repartirent ensuite vers la fameuse plage nudiste tout en restant dans les dunes. Une fois à proximité, Louise retira sa jupe et fit glisser les bretelles du débardeur pour se dégager les seins. Hugo la prit ainsi en photo. Elle continua en faisant glisser le débardeur sur ses fesses puis sur ses cuisses. Mais elle perdit l'équilibre et se retrouva sur les fesses. Hugo lui demanda de rester ainsi et de s'appuyer au tronc d'arbre derrière elle.

Quand Hugo fut satisfait de ses prises de vue, il quitta lui aussi son bermuda et ils regagnèrent la plage où se trouvaient quelques couples. Hugo la fit avancer un peu et ils installèrent leur serviette entre deux mecs seuls qui avaient laissé une bonne dizaine de mètres entre eux, un costaud à leur gauche et un noir à leur droite. Ils ne quittaient bien sûr pas Louise des yeux mais, en bons habitués des plages nudistes, ils n'affichèrent aucune érection. D'ailleurs, Hugo lui aussi se contrôlait parfaitement. Louise s'installa ainsi nue sur sa serviette, finalement plutôt à l'aise de cette nudité presque pas imposée.

Il y eut quelques minutes de flottement. Hugo ne disait rien se contenant de la regarder. Les deux types de part et d'autre n'arrêtaient pas de loucher sur ses seins. Louise ne savait pas trop ce que Hugo attendait d'elle. Elle finit par en avoir marre et se leva pour aller se baigner. Sans se retourner, elle savait très bien que les trois mecs derrière elle, et peut-être d'autre à proximité, avaient les yeux rivés sur ses fesses.

La fraicheur de l'eau la calma un peu. Elle en avait bien besoin. Elle s'avança jusqu'à avoir de l'eau en haut des cuisses. La mer était assez calme. Les petites vagues venaient caresser son entrejambe et Louise se trouva alors très excitée par cette douce caresse. Elle se tourna vers les garçons pour voir si le clapotis entre ses fesses lui faisait le même effet. La sensation était tout aussi délicieuse et cela la fit sourire.

Quand elle revint sur sa serviette, elle vit que le mec costaud affichait un début d'érection. Elle se dit qu'elle n'en était pas forcément la cause car ce pouvait simplement être le plaisir du soleil lui caressant la peau. Elle même trouvait cette caresse très agréable. Elle s'installa sur sa serviette. Hugo lui souriait bizarrement mais elle l'ignora, se disant qu'elle serait sûrement vite fixée sur la suite des événements.

Quelques minutes plus tard, Louise entendit que le costaud à sa gauche respirait assez rapidement. En tournant la tête, elle découvrit qu'il se masturbait franchement en la regardant. Son érection était phénoménale et elle sentit la cyprine s'écouler presque aussitôt de sa chatte en voyant l'énorme membre. Pour le coup, cette érection lui était bien destinée !

Hugo faisait mine de n'avoir rien remarqué et souriait toujours bêtement. Alors qu'il se levait pour aller se baigner, Louise se demanda s'il n'avait pas parlé avec le type pendant qu'elle était partie se baigner. Elle se demanda d'ailleurs si le noir du côté droit ne faisait pas comme l'autre. Si il s'intéressait beaucoup à elle, les yeux balayant son corps nu, il ne se masturbait pas. Pas encore du moins, car il affichait un membre énorme légèrement gonflé, bien qu'encore au repos sur sa serviette.

Louise se sentit fondre. Était-elle l'objet d'une tractation entre Hugo et ces deux mecs ? Elle se plaisait à le penser et le fait de pas savoir exactement ce qui l'attendait l'excitait au plus haut point. Elle regardait les deux types l'un après l'autre, en essayant de ne pas montrer son excitation. D'où ils étaient les deux garçons ne pouvaient heureusement pas voir les lèvres de sa chatte légèrement gonflées et luisantes de mouille. Quand Hugo revint de sa baignade, lui ne manqua pas de remarquer ce détail. Louise remarqua quant à elle que Hugo se mettait à bander aussi, sans retenue.

De voir son sexe en érection, elle eut aussitôt envie de le sucer. Pourquoi pas ? Ce sexe était celui de son copain officiel. Légitimement, elle pouvait donc s'en saisir et lui offrir une fellation. En public ? A part les deux types à côté d'eux, personne ne semblait faire attention et l'un des mecs se branlait bien sans se soucier des regards d'autrui. Avant que Hugo ne s'assoit, elle lui demanda de s'approcher. Hugo vint se caler juste devant elle, faisant claquer son sexe contre le front de la jeune fille. Elle se redressa un peu, attrapa la hampe de chair entre le pouce et l'index et la guida dans sa bouche.

Alors qu'elle suçait Hugo sans complexe, Louise regarda du coin de l'œil la réaction des deux voyeurs. Celui de gauche se masturbait plus franchement. Celui de droite, le noir, semblait stupéfait : il ne se branlait pas mais sa queue avait pris des proportions monstrueuses et se dressaient fièrement contre son ventre. Hugo ne la laissa pas le sucer très longtemps. Au bout de quelques minutes, il la fit s'allonger sur sa serviette et vint se positionner entre ses cuisses béantes pour lui faire l'amour sous les yeux exorbités des deux types.

Hugo fit entrer son membre lentement dans la chaude fontaine de Louise. Il sourit, satisfait de voir que la facilité avec laquelle il la pénétrait tenait à l'excitation qu'il avait su entretenir chez la jeune fille depuis la veille. La besogner alors qu'elle dégoulinait ainsi de mouille était un vrai régal pour le jeune homme. Louise suffoquait de plaisir et commençait à gémir. Elle gardait pourtant les yeux grands ouverts pour regarder les deux types qui les regardaient baiser et bandaient à fond.

Le délice était tel que Louise sentit l'orgasme monter très rapidement. Voyant cela, Hugo sut qu'il n'allait pas pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Il se retira et se redressa, la bite palpitante, prête à exploser. Louise approcha sa bouche juste à temps pour recevoir le premier jet de sperme qui vint éclabousser son palais. Les jets suivants, moins puissants atterrirent dans et autour de sa bouche, s'écoulant le long du menton de la jeune fille.

Le visage couvert de sperme, elle se tourna vers les deux voyeurs. Les deux se masturbaient franchement désormais. Manifestement aucun n'avait joui et il ne semblait pas attendre d'invitation de Louise. Quand elle se tourna face à eux, ils arrêtèrent leur masturbation pour l'écouter. Louise fut surpris de ce geste mais leur demanda quand même, le visage couvert de sperme :
- Alors, messieurs ? Est-ce que ça vous a plu ?

Les deux hommes répondirent l'un après l'autre :
- Beaucoup, madame.
- Vous êtes très belle, madame, très excitante.
Louise était un peu déçue, elle pensait qu'ils se lèveraient et viendraient la rejoindre pour réclamer un juste soulagement. Mais ils n'en firent rien. Ils se levèrent tous les deux et partirent se baigner chacun de leur côté. Hugo remit son caleçon et fit une proposition à Louise :
- On retourne dans les dunes de la plage publique ?
- Pourquoi faire ?
- Une surprise...
Louise ne discuta pas. Elle était encore bien excitée et la partie de jambe en l'air avec Hugo ne l'avait finalement pas vraiment rassasiée. Elle attrapa son bikini dans son sac et l'enfila. Elle fit un signe de la main en guise d'adieu aux deux voyeurs qui se baignaient non loin de là et suivit Hugo dans les dunes.

Alors qu'ils s'éloignaient, perchée sur une haute dune, Louise se retourna pour regarder la plage nudiste. Les deux gars ne se baignaient plus. Ils étaient en train de ranger leurs affaires. Louise repensait à leurs gigantesques bites. Hugo la sortit de sa rêverie :
- C'est la première fois que tu faisais ça en public ?
- Oui... J'ai adoré !
- Mais faut se méfier, ça peut vite tourner au viol collectif si les voyeurs tentent de participer...
- Oh, là, vu la taille des engins des deux mecs, ils n'auraient pas eu à me violer, je leur disais oui tout de suite ! Rien qu'à voir leurs engins, j'avais une vraie fontaine entre les cuisses...
- J'ai vu ça... Mais tu ne te les ferais pas tous les deux en même temps quand même ?
- Mmmmh ? ça se tente ! Mais ils n'avaient pas l'air motivé pour ça...
- C'était des garçons bien élevés !
- Tu ne trouves pas bizarre, toi, qu'ils soient restés à se branler sans tenter d'en profiter ?
- Ils en ont profité puisqu'ils se sont branlés...
- Mouais... Si ça se trouve ils sont gays et ce n'est pas moi qui les faisait bander, mais toi !
- Arrête, c'est toi qu'ils regardaient, il n'y a aucun doute là-dessus.
Louise trouvait quand même le comportement de ces deux hommes assez étrange.

Quand ils furent revenus dans la partie publique, Hugo proposa à Louise de faire quelques photos. Elle se prêta bien sûr au jeu sans sourciller et commença à prendre des pauses tantôt suggestives, tantôt langoureuses. Elle voyait que Hugo bandait dans son bermuda. Il avait pourtant bien joui tout à l'heure ? Louise se dit que le programme n'était peut-être pas terminé. Pendant qu'il la shootait, elle commença à dénouer le haut de son bikini et le retira.

Elle regardait tout autour d'elle, partagée entre un sentiment de peur de se faire surprendre et un sentiment d'excitation de se faire surprendre. Il lui fallait bien admettre quand même que c'était l'exhibitionnisme qui dominait largement en cet instant. Louise, sans pudeur, commença à faire baisser son string. Hugo s'arrêta alors de prendre des photos pour la regarder opérer.

Puis Hugo reprit les shoots et laissa Louise prendre des positions de plus en plus osées. Bien qu'ils étaient cachés dans un creux de dune avec beaucoup de végétation, ils n'étaient plus dans la partie nudiste et pouvaient se faire surprendre par des promeneur à tout moment. A un moment, Louise s'appuya les deux mains contre un arbre et se cambra en écartant les cuisses. La position était particulièrement provocante car on pouvait voir son magnifique cul et surtout sa moule encore gonflée par l'excitation et toujours un peu rouge de la pénétration qu'elle avait eu un quart d'heure auparavant. Après avoir pris quelques photos de Louise dans cette position, Hugo posa son appareil photo et appela Louise :
- Ne bouge plus !
Louise tint la position sans bouger, pensant que Hugo continuait à la prendre en photo.

Mais Hugo avait une autre idée. Quand Louise le vit près d'elle, elle ne s'inquiéta pas : elle se dit qu'il ne résistait pas à son superbe cul et qu'il allait la prendre, là. Elle fut quand même surprise de voir qu'il tenait une petite corde et qu'il commençait à lui attacher les deux poignets ensemble. Elle prit ça pour une petite perversion de sa part et se laissa faire. Puis Hugo attacha la corde au tronc de l'arbre, en laissant un peu de jeu pour que Louise puisse bouger un peu. Hugo s'écarta, satisfait de son travail.

- Tu sais Louise, les deux mecs de tout à l'heure, ils ne sont pas gays, je peux te l'assurer.
- Qu'est-ce que tu fous ?
- J'ai discuté avec eux pendant que tu te baignais...
- Salaud ! J'avais bien suspecté un truc dans ce genre-là !
- Et comme tu viens de m'avouer que tu te les serais bien tapée tous les deux en même temps, tu ne sera pas fâchée de savoir qu'ils doivent être en train de te chercher à l'heure actuelle.

Louise semblait un peu inquiète et se demandait à quel jeu jouait Hugo :
- Bon écoute, Hugo, je veux bien m'occuper de ces deux mecs mais détache-moi !
- Tu t'es tapée mon père, maintenant à moi de m'amuser un peu...
- Tu déconnes ? C'est quoi cette vengeance de merde ?
- Ne le prends pas comme ça... ce n'est pas une vengeance, tu m'as avoué vouloir te les taper. Maintenant il va falloir assumer, la corde c'est juste une sécurité pour que tu ne te défiles pas quand ils arriveront.
- Tu vas participer aussi ?

- Oh non, moi je vais me cacher dans les fourrés derrière et je vais prendre des photos...
- Mais si c'est d'autres types qui viennent ? Ou des gens mal intentionnés ?
- Je ne serais pas loi, ne t'inquiète pas. Et puis cette surprise donne un petit côté excitant, non ? Qui va bien pouvoir passer par là et te trouver ainsi ?
- T'es vraiment un pervers !

Hugo attrapa son sac et son appareil photo et s'éloigna derrière les buissons. Louise cria :
- Eh non ! Me laisse pas !
Hugo se releva de sa cachette avec un grand sourire :
- Chut... Tu vas attirer du monde... Et ne t'inquiète pas, je ne suis pas loin.
Louise essaya de tirer sur la corde mais se rendit vite compte que Hugo savait parfaitement faire les nœuds.

Hugo et Louise n'eurent pas longtemps à attendre. Des voix s'approchaient dans leur direction. Peu après, apparurent les deux voyeurs qui les avaient regardés faire l'amour sur la plage. Les deux types affichèrent un sourire radieux en découvrant Louise attachée au tronc d'arbre. Louise put constater la bosse monumentale qui se formait dans chacun des maillots au fur et à mesure qu'ils descendaient dans la dune. A mi-chemin, le noir retira son maillot et laissa s'échapper son gigantesque membre déjà gonflé. L'autre l'imita et exhibait fièrement sa bite qui, bien que pas encore en érection, avait elle aussi prit des proportions très intéressantes.

- Ton copain nous avait dit que tu nous attendrais dans le coin...
- S'il vous plaît, détachez-moi, mon ami m'a joué un sale tour !
- Héhé, il t'a attaché car tu ne t'es pas montrée assez docile quand il t'a dit qu'il nous avait proposé de venir te faire ta fête ?
- Non, même pas, je suis d'accord pour votre petite fête, mais ce salaud ne me fait pas confiance !

Le noir s'approcha et fit le tour de Louise. Elle avait les yeux rivés sur le sexe monstrueux qui se dressait peu à peu alors que l'homme la détaillait. L'autre resta face à elle et se masturba lentement pour se mettre en belle forme. Louise sentait la cyprine couler le long de ses cuises tant elle était excitée d'avoir ces deux magnifiques sexes qui se dressaient pour elle. Le noir finit par la détacher. Il l'empoigna aux hanches, comme s'il s'agissait d'un simple carton à déplacer, et la planta sur son mat avec une précision redoutable. Louise cria, autant de surprise par la rapidité du geste, que de plaisir de sentir cet énorme mât qui venait de la transpercer si délicieusement. L'autre gars, le blanc, vint se positionner derrière elle, la tige bien tendue avec un objectif qui ne laissait aucun doute à Louise.

Alors que le noir la faisait lentement monter et descendre sur sa hampe, elle sentit l'énorme gland de l'autre appuyer sur son anus. Le noir s'arrêta quelques secondes afin de laisser à l'autre le temps de se positionner. Elle le sentit appuyer peu à peu. Son anus s'écarta un peu avec douleur au début, puis quand le gland fut passé, Louise se détendit un peu et le reste suivit assez facilement, sans lui faire mal. Le noir reprit son rythme, l'autre bougeait à peine, manifestement très content de sa place. Louise sentait ces deux bites glisser en elle, proches l'une de l'autre, terriblement grosses. Elle hurlait de plaisir et l'orgasme arriva comme une violente vague qui la laissa presque dans un état de demi-conscience.

Alors que Louise étaient secouée par les spasmes de son orgasme, les deux hommes ne purent tenir. De sentir leurs bites énormes prises dans ces fourreaux de convulsions, les deux gars éjaculèrent en même temps. Louise encore sous le choc de son orgasme sentit celui-ci se relancer alors que les deux monstrueuses queues se vidaient en elle, libérant de puissants jets de sperme dans ses entrailles. Louise hurla de plaisir, encore et encore, jusqu'à que les deux mecs aient terminé et la laissent inerte dans le sable, les deux trous béants, dégoulinants de leur foutre encore chaud.

Les deux types repartirent sans un mot. Hugo sortit des fourrés et installa une serviette sur le sable :
- Allez, viens, tu as bien mérité un peu de repos.
- Aide-moi s'il te plaît, je suis trop faible, ils m'ont défoncée...
- Non, débrouille-toi, je voudrais te prendre en photo en train de ramper dans le sable...
Louise n'eut pas la force de l'insulter et rampa vers la serviette.

Alors qu'elle entendait les déclics de l'appareil photo, elle finit par atteindre la serviette. Son corps était encore secoué de quelques spasmes de plaisir. Elle était comme en transe, ivre de jouissance. En s'installant, le ventre sur la serviette, Elle sentait le sperme de ses amants encore s'échapper de ses orifices. Elle trouvait agréable ce simple écoulement et elle écarta les cuisses pour en profiter encore.

Hugo arrêta de photographier. Louise ne bougeait plus. Un peu inquiet, il s'approcha et demanda :
- Louise ?
- Oui...
- Comment tu te sens ?
- Hyper bien ! Crevée par tant de plaisir, mais hyper bien ! Et grâce à toi...
- Tu ne m'en veux pas, alors ?
- Oh, non... Si c'était à refaire...
- Je suis content que ça t'ai plu, je ne n'étais quand même pas sûr de moi à cent pour cent...
- Et toi ? Tu en as profité ?
Louise tourna la tête vers Hugo. Il souriait bêtement : son caleçon de bain était complètement tendu par son érection et il avait du sperme sur le dos de la main. Il s'était donc masturbé pendant que Louise subissait les assauts des deux gigantesques bites. Elle sourit et s'endormit ainsi sur sa serviette. Hugo lui couvrit le bas du dos avec une seconde serviette et resta assis à côté d'elle jusqu'à son réveil.