10. L'inconnu

Après avoir permis à Boris de jouir sur le visage des deux jeunes vendeuses de la boutique, Camille était très excitée. Elle avait proposé à Boris la contrepartie de lui choisir un inconnu. Arrivée à la maison, Camille demanda à Boris d'attendre dans la voiture et alla se changer. Quand elle revint, Boris venait de décider où ils allaient aller ensuite. Quand il la vit s'asseoir dans la voiture, il fut éberlué : elle avait mis un petit haut extrêmement décolleté terriblement sexy.



- Et bien sûr, tu n'as pas mis de soutien-gorge !
- Tu aurais préféré ?
- Oh non ! Ce sera bien plus facile...
Elle était ravie que ça lui plaise.



- Et tu vas m'emmener où, mon chéri ?
- C'est une surprise...
- Allez, dis-le moi, que je me prépare psychologiquement.
- Mmmh, je ne sais pas... Il faudrait que tu fasses quelques efforts.
- Quels genre d'efforts ?
Ce disant, Camille écarta les cuisses. Boris crut discerner sous la jupe que sa femme n'avait pas mis de culotte.



- Et pas de culotte, non plus ?
- C'est suffisant comme effort, pour que tu me dises où tu m'emmènes ?
- Je n'ai pas très bien vu...
Camille obtempéra et, s'installant dans son siège, elle écarta franchement les cuisses en relevant sa jupe.



- Alors ?
- Pas de doute ! Tu es terriblement bandante ! On peut y aller.
- Où ?
- Dans un supermarché, histoire d'avoir le choix et de tomber sur vraiment n'importe qui.
Une demi-heure plus tard, ils étaient dans un grand magasin. Quand un homme seul et pas trop moche passait à proximité d'eux, Camille se caressait les cuisses et remontait négligemment sa jupe pour révéler son sexe nu.



La plupart du temps, le type devenait rouge vif et passait son chemin. A un moment, un jeune homme ne s'enfuit pas devant l'exhibitionniste et Camille en profita pour aller un peu plus loin en ouvrant son décolleté pour dégager ses seins.



Le jeune homme prit ce geste comme il devait être pris et s'approcha de la jeune femme si impudique. Camille ne chercha pas à se rajuster à l'approche du jeune homme et se montra même accueillante. Elle lui sourit et laissa sa poitrine dégagée hors du décolleté. Le gars était aux anges. Camille demanda à Boris :
- Lui ?
- C'est toi qui choisi ma chérie...



Camille se tourna vers le garçon :
- Monsieur, mon mari m'autorise à m'offrir à un inconnu. Voulez-vous être cet inconnu ?
- Je ne sais pas...
Le garçon semblait pris au dépourvu. Boris intervint :
- Ma chérie, il faut peut-être lui laisser entrevoir ce que tu peux lui offrir ?
Camille amena la tête du jeune homme contre sa poitrine pour qu'il lui suce les seins. Pas farouche, le gars passa une main sous la jupe pour lui caresser la moule. Content de voir que sa femme avait convaincu le garçon, Boris l'embrassa avec passion.



Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à la voiture. Boris proposa de conduire pour laisser le nouveau couple s'installer à l'arrière. A peine assise, Camille demanda à l'inconnu s'il bandait :
- Un peu, oui...
- Juste un peu ?
Camille ressortit à nouveau sa magnifique poitrine.
- Et là?



- Là, je reconnais que c'est déjà mieux !
- Et pour que tu bandes complètement, que dois-faire ?
- Me sucer ?
- T-t-t... Chaque chose en son temps... Et si je me caresse ?
Relevant sa jupe, Camille commença à se caresser la moule.
L'inconnu se tourna vers Boris :
- Putain ! Elle est terrible, ta femme !!!



L'inconnu s'est montré sage pendant le voyage et n'a pas touché Camille, ni sortit son érection. Il a sagement attendu que Boris et Camille le conduise dans le salon. Boris s'installa dans un fauteuil et laissa le jeune homme déshabiller sa femme. Il semblait porter un grand intérêt à la magnifique poitrine de la jeune femme qu'il caressa longuement.



Quand Camille en eut assez, elle lui retira les mains de ses seins et s'agenouilla devant lui. Elle commença par déboucler la ceinture et lui ouvrit le pantalon. Il bandait déjà très très dur et elle eut un peu de mal à extraire la tige raide du caleçon.



Dès qu'elle réussit à sortir la tige du type, elle le saisit de la main droite. Camille resta ainsi quelques secondes à apprécier cette sensation de tenir un membre palpitant dans sa main. Elle tira un peu la peau pour extraire complètement l'énorme gland de son amant et le porta à sa bouche.



Le garçon feula de plaisir. Boris, assis dans son fauteuil, admirait sa femme donner du plaisir à un autre homme. Et vu l'état du gars, elle semblait s'y prendre très bien. Camille avait désormais engouffrée la totalité du gland dans sa bouche. Le garçon fermait les yeux en sentant la langue de Camille jouer autour de son gland.



Soudain, Camille abandonna sa proie. Le gars rouvrit les yeux, manifestement déçu. Camille s'était levée et s'est installée sur le canapé, s'allongeant sur le ventre. Elle se retourna vers le gars et, lui souriant, écarta lentement les jambes :
- Tu viens ?



Le gars s'approcha sans attendre et demanda :
- Qu'est-ce que tu proposes ?
- Libre à toi...
L'inconnu décida de la prendre en levrette. La saisissant par la taille, il la fit se mettre à quatre pattes et s'engouffra en elle sans même la préparer. Boris crut qu'il avait fait mal à sa femme, mais il n'en était rien : Camille cria autant de surprise que de plaisir en se faisant transpercer par cette grosse bite.



Il la besogna si bien que Camille se mit à jouir en quelques minutes. Il continua à la prendre voulant manifestement atteindre son plaisir à lui dans cette position. Mais Camille l'arrêta :
- Branle-toi entre mes fesses !
- Quoi ?
- Branle-toi entre mes fesses : je ne veux pas que tu éjacules en moi...
- ...
A la fois surpris et décontenancé, le garçon obtempéra et sortit sa longue tige pour se masturber entre les fesses accueillantes de Camille. Il en retira finalement plus de plaisir qu'il n'aurait cru et éjacula rapidement, laissant échapper un premier jet de sperme épais.



Lui-même surpris d'ariver à jouir si vite, le garçon se redressa et se masturba pour continuer à éjaculer sur les fesses de son hôtesse. De longs jets vinrent s'écraser sur le joli postérieur de Camille.



Boris, qui s'était mis à poil pour se masturber, crut que ça n'en finirait pas : le type semblait ne pas pouvoir s'arrêter d'éjaculer. Quand elle ne sentit enfin plus de jet à venir lui fouetter les fesses, Camille se retourna vers son amant, elle aussi surprise de la quantité qu'il avait fourni.



Le type, à bout de force, s'affala sur le canapé, sa queue débandant déjà. Camille se releva et jeta un coup d'oeil à son mari qui lui demanda :
- Alors ? Tu as aimé ma chérie ?
- Oh oui... mais toi, tu ne veux pas une gâterie ?




Camille admirait le sexe tendu de son mari. Il bandait pour elle, pour le spectacle qu'elle venait de lui donner en s'offrant à un inconnu. Mais maintenant, elle avait aussi envie de satisfaire son mari et de voir quelle quantité de sperme il pourrait fournir lui aussi...



Elle vint donc se placer entre les cuisses écartées de son mari et se saisit de son membre turgescent. Le regardant droit dans les yeux, elle le masturba vigoureusement. Boris ferma les yeux et apprécia les talents de sa femme, ne serait-ce que pour une simple branlette.



En peu de temps, Camille obtint ce qu'elle voulait : le corps de Boris de tendit, il ouvrit la bouche et son sexe se contracta. Un énorme jet de sperme s'échappa, venant s'écraser sur son ventre.



Plusieurs autres jets suivirent la même trajectoire. Boris haletait de plaisir. Camille était fière de ce résultat. Elle admira tout le sperme qui maculait le ventre de son mari et se dit que finalement, lui aussi éjaculait beaucoup.



Quand ils furent remis tous deux de leurs émotions, ils constatèrent que l'inconnu, poli ne s'était pas imposé et était déjà parti.
- Le spectacle t'a plu, chéri !
- Oh que oui ! Et toi ? Tu es prête pour d'autres expériences ?
- Mmmmh ? Oui, pourquoi pas...
- Tu as déjà une idée, apparemment ?
- Oui... ça fait deux fois que j'assiste à une double pénétration de Laurine et ça me fait bien envie d'essayer.
- Zut, on aurait pu demander au gars avant qu'il parte !
- Non j'aimerai autant que ce soit Pascal...
- Ecoute, la prochaine fois que tu le verras, tu lui proposeras, ça m'étonnerait qu'il refuse !

Boris