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Maryaline 23 octobre 2012

Mon prof principal Après l'épisode sexuel avec M. Vidal qui m'a rendu heureuse, j'ai poursuivi sérieusement le travail à l'école. Il est presque 18 h. je dois rendre un bouquin à la documentation, personne dans la grande salle, alors je m'aventure silencieusement dans la pièce du fond, et là, un spectacle incroyable s'offre à mes yeux. La jeune bibliothécaire avait pris à deux mains le sexe puissant de M. J.P. Heinse, mon professeur principal et le suçait consciencieusement. Elle s'active sur ce chibre en gémissant. images similaires Je l'entends dire : « C'est bon.. » Voir cette scène érotique me fait sentir une chaleur qui envahit mon entrejambe. Je n'en peux plus, la pression est trop intense. Je passe une main dans ma culotte et commence à me masturber frénétiquement. Adosser contre le mur jambes écartées, je triture mon clitoris. De mon autre main, je m'occupe de mes seins et de mes tétons en les pinçant. J'arrive à l'orgasme et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Mes jambes ne me tiennent plus. De peur d'être surprise, titubante comme saoule, Je m'enfuie honteuse et très gênée. En partant, j'ai l'impression que M. Heinse m'a aperçu. Deux jours plus tard, le micro de l'école annonce : « Melle Pouchain est attendue à 16 h. dans le bureau de M. Heinse. » Je suis surprise et repense à la scène que j'ai vue deux jours plus tôt. Le prof principal est un homme de cinquante ans très banal et même plutôt rebutant. A l'heure dite, je frappe à la porte de mon prof principal, très angoissée. « Entrez ! ». « Ha ! Melle Pouchain, asseyez-vous jeune fille. Je tiens à vous féliciter pour tout le travail fourni depuis le début de l'année, continuez ainsi. » Je me détends et suis soulagée. « Par contre, j'ai un souci, et je dois en parler au proviseur. Vous avez un gros défaut, vous êtes voyeuse. Et des sanctions doivent tomber et vos parents seront prévenus. » Il joue le chaud et le froid. Je suis morte de honte et bafouille : « M. Heinse, excusez-moi, je ne recommencerai plus, c'était le pur hasard. Ne parlez de rien je vous en supplie. Nous pouvons peut-être trouver une solution qui pourrait nous satisfaire tous les deux ? » Quelle conne ! Je réalise que j'en ai trop dis. « Bien Maryaline, puisque tu es dans de bonnes dispositions, dans ce cas, tu vas recommencer ce que Melle Bideau me faisait l'autre soir. » Horrifiée, je me lève et le traite de vieux pervers. D'un ton autoritaire le prof m'ordonne de me rassoir. Tremblante j'obéie. « Tu n'as pas d'autre alternative petite salope. Où c'est le proviseur et les sanctions ainsi qu'une lettre à tes parents ou tu viens me sucer. » Toute tourne autour de moi. Mes jambes sont en coton. Suis-je arrivé si bas que de cédez à ce salopard ? Malheureusement, anéantie, je me plie à ce vicelard. Me voyant m'avancer vers lui, hésitante mais déterminée, il ouvre sa braguette et en sort un truc encore mou. « Tu vas venir me sucer et me grossir dans ta bouche. Mignonne comme tu es tu dois pas en être à ta première queue ! » Je suis morte de honte mais n'ai pas envie de répondre à ses horreurs. Je m'agenouille entre ses cuisses et prenant mon courage à deux mains je commence à sucer comme les salopes que j'ai vu dans les films pornos. Sa queue grossie rapidement et il guide mes sucions en me prenant la tête. Parfois sa queue frappe le fond de ma gorge me faisant coqueter. Sa queue est douce et je prends presque du plaisir à sucer ce truc. Je l'entends grogner sous ma fellation. Je prends tant de plaisir devant cette nouvelle caresse que je ne fais plus attention d'où je suis et du plaisir qui monte dans cette queue. Tout à coup, il pousse un gémissement et de long jet chaud et gluant frappe le palais et le fond de ma gorge. Je suis surprise et veux me retirer mais il me maintien la tête sur son truc. Le liquide est écœurant et je veux recracher mais il m'ordonne : « Avale putain, n'en perd pas une goutte. Je tiens pas à ce que tu salope mon fûte » Je déglutie péniblement avec une vague envie de vomir. « Allez fou le camp et gare à toi » Je rentrais à mon studio mais en passant devant La porte de Bernard, Je décidais de lui raconter mon aventure.

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